Mise en place de point de vente des produits vétérinaires

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Appareil respiratoire (PAGOT J., 1979).

Par rapport aux autres espèces, les poumons du porc sont relativement petit, leur poids n’excède pas de 600 g pour l’animal de 100 Kg. Ces poumons sont étroitement logés entre les parois d’une cage thoracique réduite et le cœur, al ors que la masse viscérale repousse le tout vers l’avant.

Appareil reproducteur (PAGOT J., 1979)

Chez le verrat

Le verrat est doté de deux testicules assez volumineux, de forme oblongue, contenus dans deux bourses situées au bord inférieur de l’anus etdescendant jusqu’entre les cuisses .
Les glandes annexes, prostate et glande de Cowper, sont relativement moins développées .Par contre, les vésicules séminales sont très volumineuses, s’étendent à la face supérieure de la vessie.
Les voies d’évacuation des spermatozoïdes comportent un épididyme volumineux, formant bloc avec l’extrémité du testicule. Le canal déférent s’abouche à l’urètre jusqu’après la vessie, en commun avec les vésicules séminales. L’urètre sert donc à la fois à l’évacuation du sperme et d’urine. La verge contenue dans le fourreau est d’un diamètre faible et assez peu érectile.

Chez la truie

La truie possède deux ovaires ovoïdes mesurant de 2 à 3 cm de diamètre. Ces ovaires produisent les ovules et il reste après expulsion de ceux-ci les corps jaunes qui donnent à l’ovaire son aspect bosselé. Les oviductes sont longs d’une trentaine de centimètres, suivent le ligament large pour aboutir aux cornes utérines. Ces dernières sont au nombre de deux, très développées, alors que le corps de l’utérus est réduit.
Le vagin, long et étroite, est tapissé par une muqueuse épaisse qui comporte trois plis longitudinaux; il s’ouvre à l’extérieur par une vulve assez petite, bordée par des lèvres épaisses se rejoignant à l’angle aigu en bas où se trouve l’organe érectile, le clitoris.

Physiologie

Pysiologie de la reproduction (Anonyme 5, 1983)

Chez le verrat

Chez le verrat, l’activité sexuelle est continue à partir de la puberté. Les testicules élaborent en moyenne de 120-150 milliards de spermatozoïdes par semaines.
La fréquence des saillies ne modifie que très légèrement la production totale, il convient donc de limiter les services d’un animal afin de préserver son pouvoir fécondant.
L’activité sexuelle est, comme chez la truie, soumise à une régulation hormonale d’origine hypothalamo-hypophysaire. Elle conditionne en grande partie l’ardeur sexuelle du verrat ou libido. Mais la libido est également influencée pardes facteurs nerveux important lié à la fréquence de l’utilisation, la disposition de l’habitat par rapport aux truies et sa qualité, la douceur apportée aux manipulations, les douleurs ressenties au moment de saillie.

Chez la Truie

L’activité sexuelle de la truie est cyclique En général, les cycles sexuels d’une truie se déroulent régulièrement tous les 21 jours et quipeuvent apparaître à partir de la puberté de 6-7 mois d’âges, à un poids variant de 90-120 kg.
La race, l’alimentation et les conditions d’habitat , sont de grands facteurs qui peuvent influencer son apparition.
Ces cycles se poursuivent sans interruption, sauf en gestion ou troubles pathologiques.
Le déroulement cyclique de ces phénomènes est sousla dépendance d’une régulation neurohormonale qui fait intervenir le système nerveux central, l’axe hypothalamo – hypophysaire, les ovaires et l’utérus.

Physiologie de la croissance

La croissance est sous la dépendance de l’alimentation.
Le porc est un animal à croissance très rapide d’où provient ses exigences en besoins alimentaires. Cette vitesse de croissance n’est pas constante pour chaque stade physiologique et que les gains quotidiens des races perfectionnées sont nettement plus élevés par rapport aux autres races (ANDRIANOMENJANAHARY H., 2002).
Le porc a une croissance de type exponentielle car il présente la particularité de doubler son poids de naissance en 8 jours, de le multiplier par 5 en 3 semaines, par 20 en 8 semaines et par 80 en 6 mois. Mais passée la puberté, la vitesse decroissance diminue jusqu’au stade adulte. Ceci fait que la courbe de croissance du porc a une forme en «S» dite syngmoïdale avec un point d’inflexion au moment de la puberté (POULENC J., 1993).

Races métisses

Ce sont des races obtenues par le croisement de race locale (truie en générale) avec la race pure améliorée (verrat en général), par exemple verrat Large White avec race locale. Les résultats obtenues sont de taille plus réduite quela race pure améliorée, généralement de couleur blanche. Procéder toujours à chaque génération le croisement entre mâle race pure avec femelle métisse, à la cinquième génération : e l produit est considéré race pure (Anonyme1., 2007).

Bâtiment

Les bâtiments d’élevage sont différenciés selon lesmatériels utilisés. Les plus utilisés sont les matériaux locaux comme le bozaka, et la planche(RAHERIVONJY J. D., 2008).

Choix d’emplacement et Orientation

Le choix d’emplacement doit être déterminé en fonction les points suivants :
· Installée sur un terrain suffisamment haut, sec, calme et favorable à l’évacuation des eaux usées;
· Facilité des installations électriques et l’alimentation en eau potable;
· Plus ou moins éloignée de la maison;
· La porcherie doit être lumineux, assez chaud en hiver, frais en été et bien aéré avec de l’air pure;
· Prévoir un emplacement pour chaque catégorie d’animaux : porc à l’engrais, truie, verrat, et porcelets;
· La meilleur orientation pour une porcherie est Sud Est cela permet d’assurer une bonne ventilation en été et la chaleur en hiver.

Construction de bâtiment

La porcherie doit être :
· En mesure de rassembler tous les animaux et les protéger contre les intempéries (contre le soleil, de chaleur, de froid);
· Assez vaste pour faciliter le travail et assurer une hygiène correcte des animaux;
· Conçu pour nourrir et abreuver les animaux;
· Conçu pour séparer éventuellement les animaux d’élevage (truie, porcelets, porc à l’engrais);
· Economique : son amortissement et son entretien ne doivent pas peser lourdement dans le prix de revient ;
· Bien éclairée : pour la vie du porc et pour permettre à l’éleveur de voir ses animaux;
· Normative concernant l’air de vie : surface, volume, longueur d’auge, nombre de points d’abreuvement;
· Et maîtrisée des paramètres caractérisant l’ambiance et notamment la température, la ventilation. et l’humidité.

Matériaux de construction (PAGOT J., 1979)

Sols

Les sols doivent être imperméables, imputresciblesde façon à pouvoir être facilement nettoyés à la pelle et au balai, ainsi qu’au grande eau. Cela permet d’éliminer les œufs de parasites et d’éviter la génération des infestation.
Le sol doit avoir une pente suffisante, de l’ordre de 3% vers l’arrière, qui permet un bon écoulement. Le sol en terre battue n’est pas convenable.

Couverture

La couverture doit assurer le maximum d’ombrage et s’abaisser assez près du sol pour empêcher la pénétration des rayons obliques du soil eet de la pluie poussée par le vent. La toiture à deux pentes peut assurer cet impératif. Elle peut d’ailleurs recouvrir la totalité des boxes.
Les matériaux de couverture devront assurer l’étanchéité ainsi que une ambiance la plus fraîche possible dans la porcherie.

Alimentation

En élevage porcin, l’alimentation est le facteur plus important du prix de revient, de l’ordre de 62 à 65% pour les ateliers naisseurs, 76 à 90% pour les ateliers engraisseurs et 72% naisseurs engraisseurs.
Une bonne alimentation des animaux conduit à un acc roissement de la production animale et rend disponible une grande quantité de protéine de haute valeur nutritionnelle pour l’alimentation humaine

Principales matières premières utilisées

L’alimentation est fonction du stade physiologique des animaux. Il faut adapter les recommandations alimentaires selon le poids vifs des animaux, leur vitesse de croissance et la composition de leur carcasse à la fin de l’élevage. En général, pour une bonne production, les animaux ont besoin : de l’énergie, des protéines, des minéraux et les autres nutriments (GRET et CIRAD. Edition 2002).

Mode de distribution des aliments

En général, il y a deux modes de distribution d’aliments :
La nourriture «à volonté» ou ad libitum, dans laquelle l’animal a toujours des aliments à sa disposition et les consommation selon son bon vouloir (PAGOT J., 1979).
Il permet d’augmenter le GMQ et de réduire le travail. Par contre l’IC est très élevé.
La nourriture «rationnée», où selon le calcul des besoins, on distribue à chaque lot d’animaux, ou mieux, à chaque animal, une quantité de nourriture limitée, en deux ou trois repas. C’est la méthode qui permet d’ajuster au maximum les besoins de l’animal à l’apport d’aliment (RAMANANDAFIARISOA A., 1998).
Pour l’alimentation par rationnement, il faut prendre en considération le poids de l’animal, la race et le milieu où le porc est élevé(SERRES H., 1989).

Conduite sanitaire

La conduite sanitaire se rapporte à la prophylaxie médicale et sanitaire des animaux.

Prophylaxie sanitaire

Ces mesures visent à éviter d’abord l’entrée, puis la propagation des agents pathogènes dans la porcherie par des moyens non médicaux tels l’hygiènes, l’isolement, interdiction de transports, l’abattage des animaux malades et contagieux, le contrôle sanitaire du bétail de commerce et la création de zone de quarantaine(LORBY M., 1968).

Hygiène des locaux et des matériels

Chaque bâtiment (principalement maternité et post sevrage) est nettoyé journellement et désinfecté entre deux passages d’animaux.

Nettoyage

Il consiste à :
· vider les locaux de leur contenu;
· détruire tous les matériels sans valeur pouvant être économiquement remplacé;
· laver le sol en grande eau et si le sol est en terre battue, il faut enlever une couche de terre de 5 cm d’épaisseur et la remplacer par une couche de terre additionnée de 5% de sulfate de fer; laver et gratter tout le matériel fixe et mobile (CRAPLET C., 1961).

Désinfection

C’est l’ensemble des opérations destinées à détruire les microbes et les parasites partout où ils se trouvent et à supprimer les agents de transmissi on. La désinfection doit être rationnelle, complète, périodique et économique. Le désinfectantidéal doit être liquide pour pouvoir être pulvérisé sous pression(CRAPLET C., 1961).
Choisir un désinfectant ayant :
– Un large spectre d’activité;
– Une action rapide mais durable;
– Une absence d’effet corrosif pour les matériels et d’effet toxique pour l’utilisateur et les animaux. (Anonyme 6 : Doc étudiants, 1983).

Vide sanitaire

Il consiste à laisser sans occupant, pendant une qu inzaine de jours, toute loge qui vient d’être quittée par les animaux. Il est précédé d’un nettoyage et d’une désinfection afin d’éliminer les agents pathogènes qui pourraient souiller le bâtiment et les matériels d’élevage. Le vide sanitaire dure au minimum cinq jours (RAMANANDAFIARISOA A., 1998).

Hygiène des animaux (Anonyme6 Doc, 1983)

-Lutter contre les parasites externes : poux, sarcoptes (agent responsable de la gale).
-Lutter contre les parasites internes : vers et protozoaires en utilisant des vermifugation régulière.
-Eliminer les animaux dangereux : culots de portée, animaux à signe cliniques chroniques (toux, diarrhées), rebelles aux traitements.
-Isoler les cadavres dans un secteur non susceptible d’être occupé par des animaux.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES: GENERALITES SUR LE PORC, L’ELEVAGE PORCIN ET LES PRINCIPALES MALADIES DE CETTE ESPECE A MADAGASCAR
I- PORC
I-1- Historique et Systématique
I-1-1- Historique
I-1-2- Systématique
I-2- Anatomie
I-2-1- Appareil digestif
I-2-2- Appareil circulatoire.
I-2-3- Appareil respiratoire.
I-2-4- Appareil reproducteur
I-2-4-1- Chez le verrat
I-2-4-2- Chez la truie
I-3- Physiologie
I-3-1- Physiologie de la reproduction
I-3-1-1- Chez le verrat
I-3-1-2- Chez la Truie
I-3-2- Physiologie de la croissance
II- ELEVAGE PORCIN A MADAGASCAR
II-1- Evolution de l’élevage à Madagascar
II-2- Conduite de l’élevage
II-2-1- Races
II-2-1-1- Race locale ou «kisoa gasy»
II-2-1-2- Races européennes
II-2-1-3- Races métisses
II-2-2- Bâtiment
II-2-2-1- Choix d’emplacement et Orientation
II-2-2-2- Construction de bâtiment
II-2-2-3- Matériaux de construction
II-2-3- Alimentation
II-2-3-1- Principales matières premières utilisées
II-2-3-2- Mode de distribution des aliments
II-2-4- Conduite sanitaire
II-2-4-1- Prophylaxie sanitaire
II-2-4-1-1- Hygiène des locaux et des matériels
II-2-4-1-2- Hygiène des animaux
II-2-4-2- Prophylaxie médicale
II-2-4-2-1- Vaccination
II-2-4-2-2- Déparasitage
II-3- Type d’élevage
II-3-1- Elevage traditionnel
II-3-2- Elevage artisanal
II-3-3- Elevage fermier
II-3-4- Elevage intensif ou moderne
II-4- Modes de production
II-4-1- Elevage naisseur
II-4-2- Elevage engraisseur
II-4-3- Elevage mixte
III- PRINCIPALES AFFECTIONS ET MALADIES
III-1- Causes des maladies
III-2- Principales maladies de porc
III-2-1- Maladies d’origines alimentaires
III-2-2- Maladies d’origines parasitaires
III-2-2-1- Parasitoses externes
III-2-2-2- Parasitoses internes
III-2-2-2-1- Cysticercose porcine
III-2-2-2-2- Ascaridiose
II-2-2-2-3- Strongyloses
III-2-3- Maladies d’origines bactériennes
III-2-3-1- Salmonellose (entérite infectieuse)
III-2-3-2- Pneumonie contagieuse et pasteurellose
III-2-4- Maladies d’origines virales
III-2-4-1- Peste Porcine Classique (PPC)
III-2-4-2- Peste Porcine Africaine (PPA)
III-2-4-3- Maladie de Teschen
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX SUR TERRAIN
I- MATERIELS ET METHODES
I-1- Matériels
I-1-1- Représentation géographique du District
I-1-1-1- Contexte topographique de la zone
I-1-1-1-1- Reliefs et Végétations
I-1-1-1-2- Hydrographie
I-1-1-1-3- Climat
I-1-2- Renseignement d’ordre administratif et social
I-1-2-1- Administratif
I-1-2-2- Social
I-1-2-2-1- Démographie
I-1-2-2-2- Organisation Culturelle
I-1-2-2-3- Organisation Coutumière
I-1-2-2-4- Education
I-1-2-2-5- Assistance médicale
I-1-3- Renseignement d’ordre économique
I-1-3-1- Agriculture
I-1-3-2- Elevage
I-1-3-2-1- Bovins
I-1-3-2-2- Volailles
I-1-3-2-4- Pisciculture
I-1-3-3- Pêche
I-1-3-4- Artisanat
I-1-3-5- Routes et Moyens de transports
I-1-3-6- Outils de communication
I-1-3-7- Tourisme
I-1-3-8- Sécurité
I-1-4- Porcs
I-1-5- Eleveurs
I-1-6- Institutions responsables de cet élevage
I-1-6-1- Direction de l’élevage
I-1-6-2- Direction des Services Vétérinaires (DSV)
I-1-6-3- Maison du Petit Elevage (MPE)
I-2- Méthodes
I-2-1- Recherches bibliographiques
I-2-2- Enquêtes sur terrain
I-2-2-1- Déroulement de l’enquête
I-2-2-2- Echantillonnage et enquête proprement dite
I-2-2-2-1- Enquête auprès des responsables de l’élevage
I-2-2-2-2- Enquêtes auprès des responsables administratifs
I-2-2-2-3- Enquête auprès des éleveurs
I-2-3- Observation directe
I-2-4- Analyse et interprétation des résultats obtenus
I-2-5- Limites de l’enquête
II- RESULTATS ET DISCUSSIONS
II-1- Résultats de l’enquête dans la zone d’études
II-1-1- Information sur l’éleveur et la situation d’élevage
II-1-1-1- Typologies des éleveurs
II-1-1-2- Responsables d’élevage
II-1-1-2-1- Sexe de l’éleveur
II-1-1-2-2- Age de l’éleveur
II-1-1-2-3- Formation d’association de l’élevage porcin et adhésion à une association ou une organisation des éleveurs
II-1-1-3- Objectif de l’élevage
II-1-1-4- Enregistrements
II-1-1-5- Nature de l’activité et mode de gestion
II-1-2- Cheptel porcin
II-1-2-1- Races élevées
II-1-2-2- Différentes types d’élevage
II-1-2-3- Modes de production
II-1-2-3-1- Naisseurs
II-1-2-3-2- Engraisseurs
II-1-2-3-3- Naisseurs Engraisseurs
II-1-2-4- Composition des troupeaux
II-1-3- Conduite d’élevage
II-1-3-1- Habitat
II-1-3-2- Reproduction
II-1-3-2-1- Choix de reproducteur
II-1-3-2-2- Saillie
II-1-3-2-3- Mise bas
II-1-3-3- Alimentation
II-1-3-3-1- Préparation des aliments
II-1-3-3-2- Mode de distribution
II-1-3-3-3- Fréquence de distribution
II-1-3-4- Hygiène et prophylaxie
II-1-4- Commercialisation et auto consommation
II-2- Discussion
II-2-1- Typologies des éleveurs
II-2-2- Responsables de l’élevage
II-2-3- Races
II-2-4- Types d’élevages
II-2-5- Modes de production
II-2-6- Habitat
II-2-7- Santé
II-2-8- Alimentation
II-2-9- Reproduction
TROISIEME PARTIE : PERSPECTIVES D’AVENIR
I- PROBLEMES ENGENDRES PAR LA SITUATION ACTUELLE
I-1- Problème génétique
I-2- Problèmes techniques
I-3- Problèmes d’alimentation
II- PROPOSITIONS ET PERSPECTIVES D’AVENIR
II-1- Amélioration génétique
II-2- Amélioration des conduites d’élevage
II-2-1- Habitat
II-2-2- Hygiène et santé animale
II-2-2-1- Mise en place de point de vente des produits vétérinaires
II-2-2-2- Principales mesures appliquées à l’hygiène de l’élevage
II-2-3- Alimentation
II-2-3-1- Valorisation des matières premières locales
II-2-3-2- Création et mise en place d’un centre de provenderie
II-3- Regroupement des éleveurs
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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