Aviculture moderne
L’élevage industriel et commercial des espèces aviaires importées au Sénégal se concentre dans la zone des Niayes qui offre un climat favorable à ce type d’élevage (régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis), et la région de Dakar abritant plus de 80% des activités, celle de Thiès environ 15% et de Saint-Louis 3%. Ce type d’élevage enregistre de bonnes performances comparables, chez certains éleveurs, à celles obtenues dans les pays développés à climat tempéré: un poids moyen de 1,5 à 2 kg en 45 jours d’éleva ge pour les poulets de chair et une ponte annuelle qui varie entre 260 et 280 œufs par poule et par an (RIDAF, 2006).
La zone des Niayes présente, durant certaines périodes de l’année, des conditions climatiques favorables presque identiques à celles de l’Europe et de l’Amérique du Sud d’où proviennent ces souches utilisées. La filière avicole dite moderne compte actuellement un effectif de 17 000 000 têtes, soit 43% du cheptel avicole national (DIREL, 2011; FAFA, 2011).
Importance socio-économique
Au niveau national, l’aviculture moderne contribue au PIB à hauteur de 25 milliards de francs CFA avec un taux de croissance moyen de 8% de 1994 à 1996(GAYE, 2004). L’aviculture semi-industrielle représente actuellement un chiffre d’affaires de 110 milliards(FAFA, 2011).
Sur le plan socio-économique, l’aviculture moderne sénégalaise générait plus de 10.000 emplois directs et indirects (FAFA, 2002).
Conduite de l’élevage
Les poussins, produits localement, sont élevés dans des bâtiments équipés, nourris avec des aliments complets et sont soumis à un programme de prophylaxie en fonction des pathologies dominantes de la région (figure 1)
Production
Les données du Centre national avicole indiquent une production locale de viande de volaille de 16.366 tonnes en 2007, soit un chiffre d’affaires de 24 milliards de F CFA. La production de viande de volaille en 2007 a connu une hausse en valeur absolue de 5 067 tonnes, soit 44% en valeur relative par rapport à l’année 2006. La production nationale d’œufs de consommation a été de 418 millions d’unités en 2007 équivalant à un chiffre d’affaires de 25 milliards de F CFA. Comparée à 2006, la production d’œufs de consommation a connu une hausse de 47 millions d’unités en valeur absolue. Le prix de la viande de volaille est le moins élevé de toutes les autres viandes. Les variations saisonnières du prix des poulets sont notées notamment en périodes de fortes demandes commeles fêtes (ANDS, 2010).
Circuit de commercialisation de la volaille
Commercialisation de la volaille vivante
Une étude sur les circuits de commercialisation des volailles a été réalisée en octobre 2008 par le cabinet Afrique Emergence Conseil. Elle a permis de faire une typologie des acteurs, des marchés et des infrastructures d’abattage de volailles.
Cas de la volaille traditionnelle
La sous-filière traditionnelle, c’est-à-dire l’aviculture villageoise, compte cinqtypes acteurs qui lui sont propres, à savoir les producteurs, les grossistes urbains, les collecteurs villageois, les revendeurs urbains, les détaillants et deux qu’elle a en commun avec la sous filière moderne, à savoir les ménages et les restaurants (figure 2)
Marchés de volailles vivantes au Sénégal
Généralités
Le marché d’une entreprise se définit par un système de référence de produits ou services regroupant les alternatives à la satisfaction d’un besoin donné. Si le besoin est spécifique, le marché sera étroit, et si le besoin est plus global, le marché sera large avec une concurrence diversifiée. Les marchés de volailles vivantes sont très divers puisqu’ils comprennent aussi bien les grands marchés de vente dans les centres urbains que les petits marchés locaux en milieu rural qui ne sont ouverts que de temps à autres (FAO, 2008c).
Les mesures de biosécurité
Définition et principes de la biosécurité
Concept et définition de la biosécurité
La biosécurité est définie de plusieurs manières. La définition, assez générale utilisée dans le document de synthèse de la FAO présenté à la Conférence interministérielle sur la grippe aviaire et la grippe pandémique à New Delhi en décembre 2007, est la suivante : « le terme biosécurité désigne l’ensemble des mesures visant à réduire le risque d’introduction du virus de l’influenza aviaire hautement pathogène dans les unités de productions individuelles (bio exclusion) ainsi que le risque de transmission à l’extérieur (bio confinement) et de propagation ultérieure par le biais de la filière de production et de commercialisation ».
Cette définition s’applique théoriquement à de nombreuses activités dont la vaccination.
Le terme biosécurité désigne l’ensemble des mesures visant à réduire le risque d’introduction et de propagation d’organismes pathogènes. La biosécurité implique que les acteurs adoptent un ensemble d’attitudes et de comportements propres à diminuer le risque dans toutes les activités en relation avec des volailles, des oiseaux exotiques ou d’autres oiseaux sauvages en captivité ainsique les produits qui en sont dérivés (FAO, 2008a).
Selon les auteurs, les mesures regroupées sous le terme «biosécurité» sont définies de manière très large ou plus étroite, et peuvent être appliquées à tous les niveaux, depuis les politiquesnationales jusqu’à la gestion d’une unité de production individuelle (FAO, 2007a).
Selon également la FAO la biosécurité peut se définir comme : « l’ensemble des pratiques et mesures mises en œuvre pour prévenir l’introduction, le maintien et la dissémination d’agent (s) pathogène(s) dans un pays/une région/une ville/un village/une exploitation avicole/un marché de volailles (FAO, 2008b). Selon BAKAYOKO (2007), c’est un ensemble de bonnes pratiques d’hygiène qui comprend les mesures de bio exclusion afin de limiter au maximum les risques d’introduction des agents pathogènes, et les mesures de bio confinement pour empêcher leurs circulations. Bref, la biosécurité a pour objectif la protection dela vie aussi bien des Hommes que des animaux (GUEYE, 2008).
Principes de la biosécurité
Les principes fondamentaux de biosécurité(FAO, 2008a) sont :
L’isolement ;
Le contrôle des mouvements ;
L’assainissement (nettoyage et désinfection).
Isolement
Encore appelé ségrégation physique (bio-exclusion / bio-confinement), l’isolement est la première étape, la plus importante et la plus efficace dans la mise en œuvre des mesures de biosécurité (GUEYE, 2008). Elle consiste en la mise en place et au maintien de barrières visant à limiter les possibilités d’introduction d’animaux infectés ou d’objets contaminés dans une unité de production non infectée. Elle aide à protéger les volailles de l’exposition aux virus et autres agents pathogènes. Il ne s’agit pas seulement de séparer les espèces, mais de tenir éloignés les animaux susceptibles d’être contaminés de ceux qui ne le sont pas (FAO, 2008a). L’isolement constitue la base de la plupart des mesures de biosécurité appliquées dans les systèmes de production à grande échelle fortement intégrés depuis le portail de l’exploitation jusqu’aux poulaillers individuels. C’est la meilleure forme de biosécurité (FAO, 2008a).
Contrôle des mouvements
Il s’agit ici delimiter les mouvements dans le marché et contrôler le mouvement du matériel, des véhicules, des personnes, des aliments, des volailles et des œufs pour éviter l’exposition à la maladie (FAO, 2007a). C’est ainsi que:
Les points d’entrée et de sortie uniques peuvent aider au contrôle de mouvements dans les marchés ; Le marché doit être installé de sorte que la circulation des personnes ait lieu dans un seul sens, de l’entrée à lasortie ;
Une zone de déchargement doit être créée pour les véhicules et autres moyens de transport des volailles depuis les fermes avicoles et les centres de collecte. Cette préoccupation permet de maîtriser les mouvements et de limiter le point d’entrée potentiel d’une maladie à un seul secteur. Par ailleurs, une seule zone de déchargement est plus facile à nettoyer et àdésinfecter.
Assainissement
L’assainissement comprend le nettoyage et la désinfection.
Nettoyage
C’est la deuxième étape en termes d’importance (FAO, 2008a). Cette étape a pour objectif de compléter l’isolement et de la ségrégation physique, il s’agit de limiter la contamination de l’environnement de l’élevage et des bâtiments ainsi que les équipements et matériel d’élevage et de vente (mangeoires, abreuvoirs, cages etc.).
Notons que le nettoyage, lorsqu’il est bien mis en œuvre, permet de détruire une grande partie des agents pathogènes.
Mise en œuvre des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes et les contraintes
Mise en œuvre
Isolement
L’isolement a pour but de protéger les volailles des sources d’infection, y compris l’accès non autorisé et les vecteurs de maladie, et séparer les animaux enfin de réduire la propagation de l’infection dans les fermes. Ainsi, selon la FAO (FAO, 201O) les mesures d’isolement qui s’appliquent dans les marchés sont :
Placer les marchés loin des lieux de vente d’autres marchandises y compris les marchés classiques ;
Isoler les marchés par une clôture ;
Séparer les différentes espèces aviaires sur les marchés ;
Séparer les volailles des autres espèces animales sur les marchés ;
Mettre en place des cages pour les volailles ;
Les marchés de volailles vivantes des grands marchés urbains peuvent être isolés par la clôture et la création d’un point unique d’entrée et de sortie ;
Les marchés de volailles vivantes doivent être situés loin des endroits où les aliments sont vendus, préparés ou cuisinés.
Contrôle des mouvements
Certaines actions sont préconisées :
Instaurer des points d’entrée et de sortie uniques ;
Réglementer la circulation entre les différents compartiments des marchés (vente, abattage, site de quarantaine, site de stockage d’aliments, etc.) ;
Interdire ou réglementer l’accès des véhicules et autres moyens de transport ;
Réglementer les visites à risque.
Assainissement
Malgré la grande efficacité de l’isolement et du contrôle des déplacements à l’intérieur des marchés, un certain degré de contamination au sein des marchés est inévitable, d’où la nécessité de la mise en place de mesures d’assainissement.
Ces mesures sont basées sur la mise en œuvre de bonnes pratiques commerciales et de mesures d’hygiène (nettoyage et désinfection). Dans ce cas, toujours selon la FAO, les mesures à suivre sont :
Nettoyage hebdomadaire des étals individuels et une fermeture mensuelle complète du marché pour le nettoyage et la désinfection ;
Nettoyage et désinfection au quotidien des cages, matériaux, zones d’abattage et de transformation et stand de vente;
Nettoyage et désinfection de matériel avec l’eau de Javel (hypochlorite de sodium, 3%) à un taux de dilution de 1/10 ou avec l’alcool éthylique (70 à 90%) ;
Nettoyage et désinfection des cages entre les livraisons avec de l’ammonium quaternaire ou des composés phénoliques ;
Nettoyage de matériel d’abattage et de transformation et les étals durant toute la journée à intervalles réguliers ;
Mise en place d’un programme de lutte contre les rongeurs, les mouches, les chiens et chats errants ;
Instaurer un système de lavage des mains et des pieds avec du savon et de l’eau tiède pour les travailleurs qui doivent porter des tenues réservéesaux manipulations des volailles ;
Il est important que toutes les parties concernées (volaillers, autorités locales, services vétérinaires, etc.) participent à l’élaboration du plan de biosécurité etqu’ils comprennent la nécessité de l’adopter, et en perçoivent les avantages (FAO, 2008c BO). Il est donc impératif que les mesures de biosécurité recommandées tiennent compte des réalités socio-économiques chez lespersonnes censées les appliquer. Cependant, il n’est pas possible de recommander un seul et unique ensemble standardisé de mesures pour tous les types d’activités. Par ailleurs, dans chaque marché, les sources potentielles d’infection doivent être évaluées périodiquement afin d’identifier et/ou d’adapter les mesures à appliquer pour un plus fort impact.
Suivi et l’évaluation des mesures de biosécurité mis es en place
Un programme national de suivi et d’évaluation des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes est rarement disponible ; ce qu’a révélé les enquêtes documentaires effectuées auprès des autorités compétentes. Les éléments si dessous proposés s’inspirent des travaux de BC POULTRY ASSOCIATION (2007)réalisés pour des fermes avicoles au Canada.
Ainsi, un programme de suivi et d’évaluation des mesures de biosécurité a un double objectif. D’une part, il permet de vérifier régulièrement l’effica cité du plan de biosécurité mis en œuvre afin de proposer des mesures correctives, et d’autre part, de faire le contrôle de l’application effective des mesures proposées. Ce contrôle est fait grâce à des audits périodiques suivant un calendrier bien établi.
Le processus de vérification ou encore l’audit comprend les étapes suivantes :
S’entretenir avec le ou les responsables des structures concernées ;
Examiner les documents de travail (registre de traçabilité, etc.) ;
Faire une visite complète des lieux.
L’auditeur utilise, pour ce faire, la liste de contrôle de vérification qui est un questionnaire d’audition. Les questions font l’objet d’une cotation et chaque question sert à évaluer la structure visitée (fermes avicoles, marchés de volailles) vis-à-vis des normes obligatoires inscrites dans le plan de biosécurité.
A la fin, l’auditeur prend un certain temps pour évaluer les résultats et tirer des conclusions sur le nombre de non-conformités constatées. Une séance de restitution est organisée pour permettre à l’auditeur de présenter les résultats aux acteurs concernés, expliquer les actions correctives, et de fournir une évaluation globale de l’efficacité du plan de biosécurité proposé. Il est important de veiller à ce que les différents acteurs comprennent et acceptent les mesures correctives.
Contraintes à l’application de la biosécurité dans les marchés de volailles vivantes
Les contraintes de biosécurité sont liées, d’une part, à l’état des marchés, et d’autre part, à la mauvaise pratique commerciale des volaillers mais aussi à l’insuffisance d’encadrement des acteurs par les services vétérinaires.
Facteurs liés aux volailles
Dans de nombreux marchés, les volailles vendues proviennent de diversessources et comprennent différentes espèces. Ce qui signifie que les sources d’origine ne sont pas toujours fiables ; ce qui est à l’origine d’achat de volailles malades ou infectées. Par ailleurs, le regroupement de plusieurs espèces aviaires en un endroit sans séparation est aussi un grand risque d’échange de pathogènes.
De nombreux marchés de volailles vivantes ne pratiquent pas de vide sanitaire.
Les oiseaux arrivent et partent chaque jour en un flux continu dans les deux sens, ce qui permet aux agents pathogènes de persister et s’accumuler au fil du temps, transformant ainsi les marchés en des sites hautement contaminés (FAO, 2008a). Les opérations peuvent être gérées de manière à réduire le risque d’infection au minimum ; pour cela, il faut toutefois un système vétérinaire de haut niveau et un personnel extrêmement motivé.
Présentation de la zone d’étude
Notre étude s’est réalisée sur les marchés de volailles vivantes de la région de Dakar.
La région de Dakar (figure 5) est située dans la presqu’île du Cap Vert et s’étend sur une superficie de 550 km², soit 0,28 % du territoire sénégalais. Elle est comprise entre les coordonnées 17° 10 et 17° 32 de longitude Ouest et 14° 53 et 14° 35 de latitude Nord. Elle est limitée à l’Est par la région de Thiès et par l’Océan Atlantique dans ses parties Nord, Ouest et Sud.
La population de la région de Dakar est estimée en 2011 à 3 215 255 (http://fr.wikipedia.org). Elle représente le quart (25,5%) de la population totale du pays, estimée à 12.643.799 habitantes. Ce qui fait de la région de Dakar la plus peuplée du Sénégal.
Sa taille démographique est certainement due au fait qu’elle est de loin la région la mieux dotée en infrastructures économiques, sociales et culturelles, faisant d’elle une terre privilégiée pour l’exode rural et, du fait de sa situationgéographique, une région de transit pour l’émigration internationale.
Enquête
Elle a été conduite de mai à juin 2012 en présence des agents d’élevage départementaux. La présence d’un agent d’élevage, sur le terrain, se justifie du fait qu’il facilite la collaboration des acteurs ciblés pour l’enquête.
Les questionnaires ont été administrés aux acteurs impliqués dans les activités ciblées (transport, vente, abattage) par des questions posées en français et traduite en wolof par les agents d’élevage.
Parfois, certains acteurs mènent plusieurs activités ciblées à la fois, d’où l’administration de plusieurs questionnaires à la même personne.
Analyse des données
Les logiciels (Sphinx et Excel 2007) ont été utilisés pour la saisie des données recueillies sur le terrain. Le logiciel Microsoft Office Excel 2007 a été utilisé pour le traitement de ces données et l’analyse statistiques descriptive a été faite grâce au logiciel R Commander ®.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : La filière avicole au Sénégal
I.1 Caractéristiques des systèmes d’élevage avicole
I.1.1 Historique
I.1.2 Typologie des systèmes d’élevage
I.1.2.1 Aviculture traditionnelle
I.1.2.1.1 Importance socio-économique
I.1.2.1.2 Conduite de l’élevage
I.1.2.1.3 Production
I.1.2.2 Aviculture moderne
I.1.2.2.1 Importance socio-économique
I.1.2.2.2 Conduite de l’élevage
I.1.2.2.3 Production
I.2 Circuit de commercialisation de la volaille
I.2.1 Commercialisation de la volaille vivante
I.2.1.1 Cas de la volaille traditionnelle
I.2.1.2 Cas de la volaille moderne
I.3 Marchés de volailles vivantes au Sénégal
I.3.1 Généralités
I.3.2 Typologie des marchés de volailles vivantes
CHAPITRE II : Les mesures de biosécurité
II.1. Définition et principes de la biosécurité
II.1.1. Concept et définition de la biosécurité
II.1.2. Principes de la biosécurité
II.1.2.1. Isolement
II.2.2. Contrôle des mouvements
II.2.3. Assainissement
II.2.3.1.Nettoyage
II.2.3.2.Désinfection
II.2. Mesures de biosécurité pour le transport de volailles au marché
CHAPITRE III : Mise en œuvre des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes et les contraintes
III.1 Mise en œuvre
III.1.1. Isolement
III.1.2. Contrôle des mouvements
III.1.3. Assainissement
III.1.4. Suivi et l’évaluation des mesures de biosécurité mises en place
III.2. Contraintes à l’application de la biosécurité dans les marchés de volailles vivantes
III.2.1. Facteurs liés aux volailles
III.2.2. Facteurs liés au transport des volailles
III.2.3. Facteurs liés aux marchés
III.2.4. Facteurs liés aux vendeurs et aux abatteurs sur les marchés
III.2.5. Facteurs liés à l’encadrement (gestionnaire et vé térinaires dans les marchés)
DEUXIEME PARTIE : PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : Matériel et méthodes
I.1. Présentation de la zone d’étude
I.2. Marchés enquêtés
I.1.3 Matériel
I.2 Méthodes d’étude
I.2.1 Elaboration des questionnaires (fiches)
I.2.2 Enquête
I.2.3 Analyse des données
CHAPITRE II : Résultats
II. 1. Marchés enquêtés
II.2 Mesures de biosécurité appliquées dans les marchés de volailles vivantes de Dakar
II.2.1. Pratiques d’isolement dans les marchés
II.2.2. Pratiques de contrôle de mouvement dans les marchés
II.3. Evaluation de la gestion de la biosécurité dans les marchés
II.4 H.ygiène dans les marchés enquêtés
II.5. Mesures de biosécurités appliquées par les acteurs impliqués dans le marché de volailles vivantes de Dakar
II.5.1. Transport des volailles
II.5.2 Vendeurs et abatteurs des volailles dans les marchés enquêtés
II.6 Lacunes à la biosécurité
II.6.1 Lacunes dans le transport de volailles vivantes
II.6.2 Lacunes observées dans les marchés de volailles vivantes enquêtés à Dakar
CHAPITRE III : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
III.1. Sur le choix des sites et de la méthodologie
III.2. Sur les résultats
RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE