Traitement du diabète de type 1
Structure de l’insuline
L’insuline est un polypeptide physiologique se composant de deux chaines principales A (21 acides aminés) et B (30 acides aminés) reliées entre elles par deux ponts disulfures. Initialement obtenue par extraction de broyats de pancréas d’animaux (porc, bœuf), l’insuline a secondairement été purifiée sur colonne puis obtenue par génie génétique. Cette insuline a une structure d’insuline humaine éventuellement remaniée dans le cas des analogues de l’insuline (modification de la chaine des acides aminés) (Richard, 2011).
Mécanisme d’action
L’insuline est une hormone hypoglycémiante. Elle agit sur le métabolisme glucidique (augmente la captation du glucose par les cellules adipeuses et musculaires, diminue la glycogénolyse et la néoglucogenèse), lipidique (augmente la lipogenèse par le foie et le tissus adipeux, diminue la lipolyse) et protéique (augmente la synthèse des protéines, facilite le transport et augmente la captation cellulaire des acides aminés). L’insuline favorise également la pénétration intracellulaire du potassium (Gimenez et al., 2002).
L’insulinothérapie
L’insulinothérapie est adaptée à chaque malade. L’objectif du traitement est essentiellement d’obtenir un équilibre glycémique correct (hémoglobine glyquée HbA1C 7%, glycémie de 0,7 à 2g/L avec une moyenne glycémique 1,4g/L). Ceci permet de prévenir la microangiopathie des diabétiques ayant une espérance de vie supérieure à 15 ans. Quelques principes d’insulinothérapie permettent d’amener le malade vers cet objectif glycémique (Gimenez et al., 2002) :
x Le traitement doit comporter plusieurs administrations d’insulines permettant de couvrir l’ensemble du nycthémère en respectant les variations glycémiques physiologiques. Afin de se rapprocher du profil physiologique, de nombreux diabétologues préconisent le schéma d’insulinothérapie dit « basal lobus », soit 1 à 2 injections d’insuline retard censées couvrir les besoins de base et 3 injections d’insuline rapide censées couvrir les besoins prandiaux. Ceci correspond en fait à des schémas à 3 ou 4 injections d’insuline par jour en utilisant des mélanges d’insulines. Le mode d’administration de l’insuline par pompe portable permet également de se rapprocher du profil insulinique physiologique en remplaçant le bolus sous-cutané d’insuline retard par une perfusion continue d’insuline rapide de résorption plus régulière.
x Il est important d’insister sur la régulation glycémique nocturne particulièrement difficile à gérer. L’objectif est d’obtenir une glycémie au réveil < 1,8g/L sans hypoglycémie nocturne. L’utilisation d’une insuline intermédiaire administrée avant le repas du soir (en mélange avec une insuline rapide) est parfois insuffisante pour couvrir la totalité de la nuit. Il conviendra alors d’utiliser une insuline lente ou ultralente ou bien d’administrer l’insuline intermédiaire vers 22-23 heures en gardant une injection d’insuline rapide avant le dîner.
x Le diabétique doit effectuer une autodétermination glycémique avant chaque injection afin de pouvoir réaliser un éventuel correctif des doses d’insuline d’action rapide (1 à 2 unités d’insuline), voire des délais entre injection d’insuline et début de repas.
Malgré la prise en considération de ces principes de base, le risque hypoglycémique reste toujours présent et le diabétique devra apprendre à le gérer.
En cas de microangiopathie débutante, de neuropathie douloureuses évolutive, d’infection (notamment d’ulcérations du pied), les objectifs glycémiques sont plus stricts et le malade devra donc multiplier les autocontrôles glycémiques (avant et après chaque repas ainsi qu’au coucher) afin d’adapter l’insulinothérapie de façon immédiate.
En cas de complications de microangiopathie avancées, elles deviennent alors irréversibles malgré un parfait équilibre glycémique. Par conséquent, le maintien d’un équilibre glycémique correct avec une insulinothérapie « basal bolus » reste suffisant.
Chez les personnes ayant une espérance de vie limitée, on se contente d’une insulinothérapie de confort. L’insulinothérapie doit toujours être associée à un régime alimentaire. Dans le cadre du diabète de type 1, le régime préconisé est normocalorique équilibré (55% de glucides, 30% de lipides, 15% de protides).
La fragmentation des apports glucidiques est essentielle (répartition des apports en 3 repas essentiels avec des collations variables, jusqu’à 3 par jour). L’apport lipidique se fera selon une répartition équilibrée des graisses polyinsaturées, mono-insaturées et saturées et un contenu en cholestérol alimentaire inférieur à 300mg/jour (Gimenez et al., 2002).
TRAVAUX PERSONNELS
Méthodologie de recensement des plantes antidiabétiques
Le recensement consiste à répertorier les plantes antidiabétiques poussant au Sénégal. Les sources sont les thèses et mémoires soutenus à Dakar d’une part et d’autre part les publications intéressantes. Pour chaque plante répertoriée, la partie utilisée (la drogue) ainsi que les différents types d’extraits ou de fractions testées, la méthodologie d’étude de l’activité antidiabétique utilisée et les résultats obtenus sont rapportés.
Concernant la drogue, pour chaque plante antidiabétique étudiée, une description sommaire de celle-ci sera effectuée.
La composition chimique de chaque drogue testée est réalisée aussi sur les bases de données bibliographiques.
Résultats
Plantes à activité antidiabétique recensées
Dans cette étude nous avons recensé vingt cinq plantes antidiabétiques « (Cf Tableau IV).
Pour chaque plante nous allons passer en revue la composition chimique de la drogue utilisée ainsi que les résultats des différents tests effectués sur les extraits.
Composition chimique des feuilles
Les feuilles de Moringa oleiferaconstituent un légume de bonne qualiténutritionnelle. Elles sont riches en protéines, vitamines et certains minéraux.
Elles contiennent en quantité les acides aminés et les acides gras essentiels. Des analyses nutritionnelles ont montré que les feuilles de Moringa oleiferasont plus riches en vitamines, minéraux et protéines que la plupart des légumes. Elles contiennent deux fois plus de protéines et de calcium que le lait, autant de potassium que la banane, autant de vitamine A que la carotte, autant de fer que la viande de bœuf, et deux fois plus de vitamine C qu’une orange. La valeur nutritive des feuilles de Moringaest d’une richesse rarement observée. En effet, les feuilles contiennent une très grande concentration de vitamines A et C, un complexe de vitamines B, du fer, du calcium, des protéines, du zinc, du sélénium et, phénomène assez rare pour une plante, elles possèdent les 10 acides aminés essentiels à l’être humain. La grande teneur en fer, protéines, cuivre et diverses vitamines et acides aminés essentiels des feuilles de Moringaen font un complément nutritionnel idéal (Coulibaly, 2011 ; Toury et al., 1963).
Au plan phytochimique la caractérisation des extraits par chromatographie sur couche mince (CCM) a révélé la présence des alcaloïdes, des flavonoïdes, des tanins, des hétérosides anthracéniques, des saponosides (Zirignon, 2005).
Les gousses
Description des gousses
Les gousses représentées par la figure 6 (b), sont trilobées, mesurent 20 à 60 cm de long, et pendent des branches. Lorsqu’elles sont sèches elles s’ouvrent en trois parties. Chaque gousse contient entre 12 et 35 graines (Foidl etal., 2001).
Elles sont allongées, linéaires, anguleuses, à 3 à 4 côtes, avec 2 cannelures sur chaque face.
Composition chimique des gousses
L’analyse chimique montre que les gousses sont très riches en matières grasses et en cellulose. La concentration en nutriments montre que les macronutriments dominants sont les lipides pour les gousses. Les teneurs en protéines pour les gousses sont multipliées par 3 par rapport aux feuilles et par 2 par rapport aux fleurs. La teneur en fer des gousses est très faible (Ndong et al., 2007).
Les graines de Moringacontiennent 40% d’huile et le profil de l’acide gras de l’huile démontre qu’elles contiennent 73% d’acide oléique (Coulibaly, 2011).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : Rappels sur le Diabète
I.1. Définition
I.2. Différents types de diabète
I.2.1. Diabète insulinodépendant (DID) ou diabète de type 1
I.2.2. Diabète non insulinodépendant (DNID) ou diabète de type 2
I.3. Manifestations cliniques du diabète
I.4. Les complications du diabète
I.5. Le traitement du diabète
I.5.1. Les mesures hygiéno-diététiques
I.5.2. Traitement du diabète de type 2
I.5.2.1. Les Antidiabétiques Oraux
I.5.2.1.1. Les sulfamides hypoglycémiants (SH)
I.5.2.1.1.a. Structure du Glicazide
I.5.2.1.1.b. Mécanisme d’action
I.5.2.1.1.c. Effets indésirables
I.5.2.1.1.d. Indications
I.5.2.1.2. Les biguanides
I.5.2.1.2.a. Structure de la Metformine
I.5.2.1.2.b. Mode d’action
I.5.2.1.2.c. Effets indésirables
I.5.2.1.2.d. Indications
I.5.2.1.3. Les inhibiteurs des Į-glucosidases
I.5.2.1.3.a. Structure de l’Acarbose
I.5.2.1.4. Les thiazolidinediones
I.5.2.1.4.a. Structure de la Rosiglitazone
I.5.2.1.5. Les glinides
I.5.3. Traitement du diabète de type 1
I.5.3.1. Structure de l’insuline
I.5.3.2. Mécanisme d’action
I.5.3.3. L’insulinothérapie
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX PERSONNELS
Chapitre I : Méthodologie de recensement des plantes antidiabétiques
Chapitre II. Résultats
II.1. Plantes à activité antidiabétique recensées
II.1.1. Analyse des paramètres étudiés
II.1.1.1. Diversité taxonomique
II.1.1.2. Drogues utilisées
II.1.1.3. Types d’extraits
II.2. Monographie
II.2.1. Moringa oleifera(Moringaceae)
II.2.1.1. Noms vernaculaires
II.2.1.2. Parties testées
II.2.1.2.1. Les feuilles
II.2.1.2.1.a Description des feuilles
II.2.1.2.1.b Composition chimique des feuilles
II.2.1.2.2. Les gousses
II.2.1.2.2.a. Description des gousses
II.2.1.2.2.b. Composition chimique des gousses
II.2.1.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.1.3.1. Action des extraits acétonique et hexanique des feuilles
II.2.1.3.2. Action de l’extrait méthanolique des gousses
II.2.2. Sclerocarya birrea(Anacardiaceae)
II.2.2.1. Noms vernaculaires
II.2.2.2. Parties testées
II.2.2.2.1. Les feuilles
II.2.2.2.1.a. Description des feuilles
II.2.2.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.2.2.2. L’écorce de la tige
II.2.2.2.2.a. Description de l’écorce
II.2.2.2.2.b. Composition chimique de l’écorce
II.2.2.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.2.3.1. Action du décocté aqueux des feuilles
II.2.2.3.2. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.2.3.3. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.2.3.4. Action de l’extrait aqueux de l’écorce de la tige
II.2.2.3.5. Action de l’extrait méthanolique de l’écorce de la tige
II.2.3. Anacardium occidentale(Anacardiaceae)
II.2.3.1. Noms vernaculaires
II.2.3.2. Parties testées
II.2.3.2.1. Les feuilles
II.2.3.2.1.a. Description des feuilles
II.2.3.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.3.2.2. L’écorce du tronc
II.2.3.2.2.a. Description de l’écorce
II.2.3.2.2.b. Composition chimique de l’écorce
II.2.3.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.3.3.1. Action de l’extrait aqueux de l’écorce du tronc
II.2.3.3.2. Action de l’extrait hexanique des feuilles
II.2.3.3.3. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.3.3.4. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.3.3.5. Action des extraits aqueux et méthanolique de l’écorce
II.2.4. Vernonia colorata(Composeae)
II.2.4.1. Noms vernaculaires
II.2.4.2. Partie testée
II.2.4.2.1. Les feuilles
II.2.4.2.1.a. Description des feuilles
II.2.4.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.4.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.4.3.1. Action des extraits acétonique et hexanique des feuilles
II.2.4.3.2. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.4.3.3. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.5. Cassia occidentalisL. (Caesalpiniacea)
II.2.5.1. Noms vernaculaires
II.2.5.2. Partie testée
II.2.5.2.1. La plante entière
II.2.5.2.1.a. Description de la plante
II.2.5.2.1.b. Composition chimique de la plante entière
II.2.5.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.5.3.1. Action de l’extrait éthanolique de la plante entière
II.2.5.3.2. Action de l’extrait aqueux de la plante entière
II.2.5.3.3. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.6. Momordica charantia(Cucurbitaceae)
II.2.6.1. Noms Vernaculaires
II.2.6.2. Partie testée
II.2.6.2.1. Le fruit
II.2.6.2.1.a. Description du pulpe du fruit
II.2.6.2.1.b. Composition chimique du pulpe du fruit
II.2.6.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.6.3.1. Action de l’extrait aqueux du fruit frais
II.2.6.3.2. Action de l’extrait éthanolique du pulpe du fruit sur le rat
II.2.6.3.3. Action du pulpe du fruit sur le lapin
II.2.6.3.4. Action de l’extrait acétonique de la poudre du fruit sur le rat albinos
II.2.7. Allium cepa(Alliacées)
II.2.7.1. Noms vernaculaires
II.2.7.2. Partie testée
II.2.7.2.1. L’oignon frais
II.2.7.2.1.a. Description de l’oignon
II.2.7.2.1.b. Composition chimique de l’oignon
II.2.7.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.7.3.1. Action de l’extrait aqueux d’Allium cepa
II.2.7.3.2. Action de l’oignon frais (Allium cepa) chez les patients diabétiques de type 1 et type 2
II.2.7.3.4. Action du disulfure d’allyl propyl (APDS) et de l’allicine chez des lapins présentant un diabète alloxanique
II.2.8. Blighia sapida(Sapindaceae)
II.2.8.1. Noms vernaculaires
II.2.8.2. Parties testées
II.2.8.2.1. L’écorce de la racine
II.2.8.2.1.a. Description de l’écorce de la racine
II.2.8.2.1.b. Composition chimique de l’écorce de la racine
II.2.8.2.2. Les graines
II.2.8.2.2.a. Description des graines
II.2.8.2.2.b. Composition chimique des graines
II.2.8.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.8.3.1. Action de l’extrait aqueux de l’écorce de la racine
II.2.8.3.2. Action de l’hypoglycine A retrouvé dans la graine
II.2.9. Eugenia jambolana(Myrtaceae)
II.2.9.1. Nom vernaculaire
II.2.9.2. Parties testées
II.2.9.2.1. Le fruit
II.2.9.2.1.a. Description du fruit
II.2.9.2.1.b. Composition chimique du fruit
II.2.9.2.2. La graine
II.2.9.2.2.a. Composition chimique de la graine
II.2.9.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.9.3.1. Action de l’extrait aqueux de la pulpe du fruit
II.2.9.3.2. Action de l’extrait éthanolique de la graine
II.2.9.3.3. Action de l’extrait méthanolique de la graine
II.2.10. Parinari excelsa(Chrysobalanaceae)
II.2.10.1. Noms vernaculaires
II.2.10.2. Partie testée
II.2.10.2.1. L’écorce
II.2.10.2.1.a. Description de l’écorce
II.2.10.2.1.b. Composition chimique de l’écorce
II.2.10.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.10.3.1. Action de l’extrait aqueux de l’écorce de la plante
II.2.11. Garcinia kola(Clusiaceae)
II.2.11.1. Nom vernaculaire
II.2.11.2. Partie testée
II.2.11.2.1. La graine
II.2.11.2.1.a. Description de la graine
II.2.11.2.1.a. Composition chimique de la graine
II.2.11.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.11.3.1. Action du kolaviron retrouvé dans la graine
II.2.11.3.3. Action du décocté lyophilisé de la graine
II.2.11.3.4. Action de l’extrait éthanolique de la graine
II.2.12. Oxytenanthera abyssinica(Poaceae)
II.2.12.1. Noms vernaculaires
II.2.12.2. Partie testée
II.2.12.2.1. Les feuilles
II.2.12.2.1.a. Description des feuilles
II.2.12.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.12.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.12.3.1. Action des extraits hexanique et hydro-alcoolique des feuilles
II.2.13. Zizyphus mauritiana(Rhamnaceae)
II.2.13.1. Noms vernaculaires
II.2.13.2. Parties testées
II.2.13.2.1. Les feuilles
II.2.13.2.1.a. Description des feuilles
II.2.13.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.13.2.2. La graine
II.2.13.2.2.a. Description de la graine
II.2.13.2.2.b. Composition chimique de la graine
II.2.13.2.3. Le fruit
II.2.13.2.3.a. Description du fruit
II.2.13.2.3.b. Composition chimique du fruit
II.2.13.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.13.3.1. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.13.3.2. Action de l’extrait d’éther de pétrole, de l’extrait aqueux et de sa fraction non-polysaccharide
II.2.13.3.3. Action de l’extrait éthanolique des graines
II.2.14. Icacina senegalensis(Icacinaceae)
II.2.14.1. Noms vernaculaires
II.2.14.2. Partie testée
II.2.14.2.1. Les feuilles
II.2.14.2.1.a. Description des feuilles
II.2.14.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.14.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.14.3.1. Action des extraits aqueux, éthanolique et hexanique des feuilles
II.2.14.3.2.Action de l’extrait hydro-alcoolique des feuilles
II.2.15. Jatropha curcas(Euphorbiaceae)
II.2.15.1. Noms vernaculaires
II.2.15.2. Partie testée
II.2.15.2.1. Les feuilles
II.2.15.2.1.a. Description des feuilles
II.2.15.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.15.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.15.3.1. Action de l’extrait éthanolique des feuilles
II.2.16. Catharanthus roseusL. (Apocynaceae)
II.2.16.1. Nom vernaculaire
II.2.16.2. Partie testée
II.2.16.2.1. Les feuilles
II.2.16.2.1.a. Description des feuilles
II.2.16.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.16.3. Etude de l’activité antidiabétique des feuilles
II.2.16.3.1. Action du jus de feuilles
II.2.16.3.2. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.17. Khaya senegalensis(Meliceae)
II.2.17.1. Noms vernaculaires
II.2.17.2. Partie testée
II.2.17.2.1. L’écorce
II.2.17.2.1.a. Description de l’écorce
II.2.17.2.1.b. Composition chimique de l’écorce
II.2.17.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.17.3.1. Action sur l’extrait aqueux de l’écorce de la tige
II.2.18. Calotropis procera(Asclepiadaceae)
II.2.18.1. Noms vernaculaires
II.2.18.2. Parties testées
II.2.18.2.1. Les feuilles
II.2.18.2.1.a. Description des feuilles
II.2.18.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.18.3 Etude de l’activité antidiabétique
II.2.18.3.1. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.18.3.2. Action des extraits aqueux, méthanolique et éthéré des racines
II.2.19. Chrozophora senegalensis(Euphorbiaceae)
II.2.19.1. Noms vernaculaires
II.2.19.2. Partie testée
II.2.19.2.1. La plante entière
II.2.19.2.1.a. Description de la plante
II.2.19.2.1.b. Composition chimique de la plante
II.2.19.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.19.3.1. Action du décocté de la plante entière
II.2.19.3.2. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.20. Scoparia dulcis(Scrofulariaceae)
II.2.20.1. Noms vernaculaires
II.2.20.2. Partie testée
II.2.20.2.1. Les feuilles
II.2.20.2.1.a. Description des feuilles
II.2.20.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.20.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.20.3.1. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.20.3.2. Action d’un diterpénoïde isolé de l’extrait éthanolique des feuilles
II.2.20.3.3. Action de l’extrait méthanolique des feuilles
II.2.21. Tamarindus indica(Ceasalpiniaceae)
II.2.21.1. Noms vernaculaires
II.2.21.2. Parties testées
II.2.21.2.1. Les feuilles
II.2.21.2.1.a. Description des feuilles
II.2.21.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.21.2.2. L’écorce
II.2.21.2.2.a. Description de l’écorce
II.2.21.2.2.b. Composition chimique de l’écorce
II.2.21.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.21.3.1. Action de l’extrait aqueux de l’écorce
II.2.21.3.2. Action de l’extrait aqueux méthanolique des feuilles
II.2.22. Eucalyptus globulus(Myrtaceae)
II.2.22.1. Nom vernaculaire
II.2.22.2. Partie testée
II.2.22.2.1. Les feuilles
II.2.22.2.1.a. Description des feuilles
II.2.22.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.22.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.22.3.1. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.22.3.2. Action de l’extrait hydro-éthanolique des feuilles de
E. globulus
II.2.22.3.3. Action de l’extrait éthanolique des feuilles
II.2.23. Acacia nilotica(Mimosacea)
II.2.23.1. Noms vernaculaires
II.2.23.2. Partie testée
II.2.23.2.1. Les gousses
II.2.23.2.1.a. Description des gousses
II.2.23.2.1.b. Composition chimique des gousses
II.2.23.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.23.3.1. Action de l’extrait aqueux méthanolique des gousses
II.2.24. Combretum micranthum(Combretaceae)
II.2.24.1. Noms vernaculaires
II.2.24.2. Partie testée
II.2.24.2.1. Les feuilles
II.2.24.2.1.a. Description des feuilles
II.2.24.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.24.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.24.3.1. Action de l’extrait aqueux des feuilles
II.2.25. Guiera senegalensis(Combretaceae)
II.2.25.1. Noms vernaculaires
II.2.25.2. Partie testée
II.2.25.2.1. Les feuilles
II.2.25.2.1.a. Description des feuilles
II.2.25.2.1.b. Composition chimique des feuilles
II.2.25.3. Etude de l’activité antidiabétique
II.2.25.3.1. Action de l’extrait hydro-éthanolique des feuilles
III. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES