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COMPOSITION CHIMIQUE
La diversité de leurs constituants chimiques est grande. On y trouve des essences aromatiques, des hétérosides flavoniques à propriété vitaminique P, (Rutoside, Hesperidoside des citrus), des alcaloïdes.
Les différentes huiles essentielles retrouvées dans le Citrus limon
sont :
3 Limonène : 34 à 64%,
3 γ Terpinene : 13%,
3 Terpinolene : 9%,
3 Geranial : 7%,
3 Néral : 4% (2).
Les principaux flavonoides contenus dans le citron sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Dans le citron, la partie blanche de la pelure est celle qui contient le plus de ces flavonoides, la pulpe et la chair du fruit en contiennent moins.
Les limonoïdes sont principalement contenus dans les pépins des agrumes (39), mais aussi dans leur jus (36). La limonine, l’obacunone et la nomiline sont les principaux limonoïdes des agrumes (59).
Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, retrouvée dans la pelure et dans la membrane blanche autour de la chair.
PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
Plusieurs études épidémiologiques démontrent une association inverse entre la consommation de fruits et de légumes et l’incidence de maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires et certains cancers (6,53). Plus particulièrement, il a été observé dans de nombreuses études que la consommation d’agrumes serait reliée à la prévention de certains types de cancers (comme le cancer de la bouche, du pharynx, de l’oesophage, de l’estomac) (11,33).
Plusieurs composés actifs, tels les flavonoides, les limonoïdes et les fibres participent à ces effets.
¾ Les flavonoïdes
Le citron renferme différents types de flavonoides. Ces derniers sont des antioxydants puissants qui permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement. Les principaux flavonoides contenus dans le citron sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Dans le citron, la partie blanche de la pelure est celle qui contient le plus de ces flavonoides, la pulpe et la chair du fruit en contiennent moins.
3 Dommages oxydatifs :
Des études ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérétine extraits de la pelure du citron ou de son jus peuvent diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages oxydatifs chez des animaux soumis à un certain stress oxydatif (39, 40).
Chez l’être humain, une étude d’intervention a été réalisée chez des femmes diabétiques auxquelles on a donné, pendant une période de trois semaines, des flavonoïdes d’agrumes sous forme de supplément (environ 1 g par jour) (8). La prise de supplément n’a eu aucun effet sur la susceptibilité à l’oxydation des lipoprotéines (protéines produites principalement par le foie et qui transportent les lipides dans le sang). Rappelons que l’oxydation des lipoprotéines contribue au développement des maladies cardiovasculaires. Pour l’instant, aucune conclusion précise ne peut être émise quant à l’effet de la consommation de citron contre les dommages oxydatifs.
9 Cancer
En plus de son action antioxydante, l’ériocitrine du citron pourrait induire l’apoptose (mort cellulaire) de cellules leucémiques in vitro (43). Notons que d’autres flavonoïdes des agrumes ont démontré des effets antiprolifératifs in vitro contre plusieurs lignées de cellules cancéreuses (31). Ces propriétés des flavonoïdes du citron peuvent potentiellement servir à l’élaboration de thérapies antitumorales (43).
9 Lipides sanguins :
Les flavonoïdes des agrumes et de leurs jus peuvent avoir un potentiel hypocholestérolémiant. En effet, des études réalisées chez l’animal ont démontré que l’hespérétine et un mélange de flavonoïdes contenant principalement de l’hespérétine et de la naringine abaissaient le cholestérol sanguin (9, 30).
¾ Les Limonoïdes :
Ces composés biologiquement actifs, selon leur type, peuvent être responsables de la saveur amère des fruits qui en contiennent ou encore être insipides. Les limonoïdes sont principalement contenus dans les pépins des agrumes (38), mais aussi dans leur jus (35). Les limonoïdes posséderaient aussi une certaine capacité antioxydante (59, 36,39). La limonine et la nomiline sont les principaux limonoïdes des agrumes.
Les limonoïdes des agrumes ont démontré des effets anticancéreux in vitro, diminuant ainsi la prolifération de cellules cancéreuses du sein (57) et conduisant à l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones) (46). Ces effets ont été confirmés chez l’animal au cours de différentes études. En effet, la limonine et la nomiline inhibent le développement des cellules cancéreuses de l’estomac (35), du poumon (35), de la bouche (37), par différents mécanismes.
9 L’obacunone :
C’est un autre type de limonoïde qui s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon (55) et aussi le nombre de tumeurs de la bouche chez l’animal (38). L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou de ceux-ci avec d’autres composés (tels les flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses. Ces études laissent présager un effet potentiellement préventif du cancer chez l’animal par les limonoïdes des agrumes, mais il n’existe aucune donnée quant à un effet similaire chez l’humain.
9 La limonine :
La limonine ainsi que d’autres limonoïdes présents dans les jus d’agrumes auraient la propriété de diminuer le cholestérol sanguin chez l’animal (34). Des études sur la biodisponibilité des limonoïdes des agrumes et leurs mécanismes d’absorption devront être faites afin de connaître l’impact chez l’humain.
La limonine et la nomiline inhibent la replication du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) in vitro, en plus d’inhiber l’activité de la protéase du virus (5). De plus, certains limonoïdes du citron démontrent une activité antifongique (26). Dans une dernière étude, la nomiline et d’autres limonoïdes améliorent le système immunitaire chez l’animal (48). Ces résultats sont prometteurs, mais n’ont pas fait l’objet d’études cliniques contrôlées. Il est donc impossible à l’heure actuelle de transposer ces effets chez l’humain.
¾ Les fibres solubles :
Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, retrouvée dans la pelure et dans la membrane blanche autour de la chair. Par leur aptitude à diminuer le cholestérol sanguin, les fibres solubles, en général, contribuent à réduire l’incidence de maladies cardiovasculaires (13). Grâce à sa structure, la pectine du citron pourrait aussi être efficace pour diminuer le cholestérol sanguin chez l’animal. En effet, des chercheurs ont démontré que des pelures de citron, avec ou sans la pectine, étaient aussi efficaces pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique chez l’animal qu’un extrait de pectine (56). En plus de démontrer l’effet hypocholestérolémiant de la pectine, cette étude confirme que d’autres composés non identifiés de la pelure du citron participeraient à ce processus (36).
AUTRES ESPECES DU GENRE CITRUS :
Quelques espèces et variétés intéressantes:
3 Citrus hystrix : le Combava au goût bien particulier
3 Citrus Limon : le Citronnier
3 Citrus maxima : le Pamplemoussier
3 Citrus medica : le Cédratier aux fruits jaunes
3 Citrus miti ou x Citrofortunella mitis, Citrus madurensis : le calamondin
3 Citrus paradisi : le Pomelo
3 Citrus reticulata, Citrus deliciosa : le Mandarinier est peu rustique
3 Citrus sinensis l’Oranger
3 Citrus aurantifolia : le Limettier
3 Citrus aurantium : le Brigadier ou Oranger amer résiste a 5°C est très certainement un hybride
3 Citrus bergamia : le Bergamotier
3 Citrus clementina : le clémentinier
Le citron et la lime ont probablement été introduits dans le Nouveau Monde par Christophe Colomb lors de sa deuxième expédition en 1493 (20)
GENERALITES SUR LA FIEVRE
DEFINITIONS
La fièvre est un phénomène pathologique qui résulte d’un dérèglement du système thermorégulateur (52).
La température centrale normale du corps humain est de 37°C le matin et 37,5°C le soir.
La fièvre est définie par une valeur de la température centrale supérieure à 38°C en prise rectale en dehors de tout effort musculaire.
En fait, cette définition est variable, car il existe des variations individuelles et des facteurs physiologiques influençant la température :
¾ Le nycthémère : pic physiologique vers 18 heures, augmentant la température de 0,5°C ;
¾ L’activité musculaire et la digestion peuvent augmenter la température de 1°C ;
¾ Le cycle menstruel : la température augmente au cours de la deuxième partie, de 0,5°C et 1°C (25).
Il est bien de noter la différence entre fièvre et hyperthermie qui sont deux phénomènes identiques par leur aspect extérieur (la sensation d’avoir le corps chaud) mais différents par les mécanismes qui les induisent (52).
Le problème de la fièvre est très différent de celui de l’hyperthermie
¾ l’hyperthermie :
Elle survient lorsqu’une quantité excessive de chaleur est accumulée dans l’organisme d’un individu parce que sa production de chaleur excède ses capacités de perdre de la chaleur (soit parce que la température ambiante est trop élevée pour permettre les pertes de chaleur par convection et radiation, soit parce que l’humidité relative de l’air empêche l’évaporation de la sueur) (3, 4, 27).
¾ La fièvre met en jeu un centre thermorégulateur, véritable «thermostat » situé dans l’hypothalamus, qui assure le véritable réglage de la température corporelle (23).
Elle se manifeste par :
9 une élévation de la température ;
9 une vasoconstriction périphérique ;
9 une augmentation du tonus musculaire
9 des frissons (14)
La fièvre est un symptôme fréquent. Le diagnostic doit être posé d’urgence, car la cause de la fièvre peut aller d’une infection banale à une infection systémique grave.
LES CAUSES
Très généralement la fièvre est déclenchée par suite de la pénétration dans l’organisme d’agents pathogènes tels que :
9 les agents infectieux que sont les virus, les bactéries ou des champignons qui peuvent entraîner : la grippe, la rougeole, la grippe aviaire, l’angine,
9 les gastro-entérites, rougeole, la rubéole, etc.
9 les corps étrangers tels que les allergènes, ou les greffes peuvent être aussi responsables de la fièvre ainsi que les cellules cancéreuses.
9 Par ailleurs la fièvre peut être observée dans le cas de l’altération d’un organe ou d’un tissu (infarctus, etc.) (23).
PHYSIOPATHOLOGIE DE LA FIEVRE
Le contrôle de la température corporelle se situe au niveau de l’hypothalamus, région régulant de nombreuses fonctions telle que le sommeil et sécrétant de nombreux facteurs neuro-endocrines. L’hypothalamus antérieur contient des neurones thermosensibles, sensibles à la température sanguine ou en connexion avec des thermorécepteurs périphériques permettant ainsi un très haut degré de régulation de la température corporelle.
L’induction de la fièvre peut s’effectuer selon deux voies, prostaglandines indépendantes ou prostaglandines dépendantes :
La voie des prostaglandines indépendantes est médiée par le MIP1 (macrophage inflammatory protein 1) qui est sécrété en réponse aux endotoxines. En effet, il traverse la barrière hémato-encéphalique, agissant ainsi directement sur les centres de thermorégulation. Il n’est pas inhibé par les inhibiteurs de cyclo-oxygénase.
La voie des prostaglandines dépendantes est représentée principalement par la prostaglandine E2 (PGE2) via la cyclo-oxygénase 2 des cellules endothéliales de l’hypothalamus. En effet l’étape importante de l’induction de la fièvre est liée à l’augmentation de la synthèse de métabolites de l’acide arachidonique, principalement la PGE2. L’injection de la PGE2 dans l’hypothalamus induit, en quelques minutes, une fièvre et une libération de pyrogènes endogènes telles que IL1, IL6, TNF et IFNγ.
Ainsi la réponse fébrile est initiée soit par la production et la sécrétion de pyrogènes endogènes notamment les cytokines comme IL6, IL1, TNFα et l’IFNγ, soit au cours d’une infection, d’une inflammation ou d’une maladie auto-immune (FIGURE 6) (29).
MECANISME D’ACTION DES ANTIPYRETIQUES
Dans l’hypothalamus se trouve le centre de la thermorégulation sous dépendance d’une espèce de thermostat nerveux sensible aux variations de la température.
De la périphérie (terminaison nerveuse de la peau) partent des afférences nerveuses du chaud et du froid qui vont conditionner le fonctionnement du centre.
Du système circulatoire (gros troncs artériels et veineux) partent vers ce centre des afférences qui indiquent la température centrale.
Le centre, en fonction de la température ambiante et de la température centrale des gros troncs, va commander la réaction nécessaire au maintien de l’homéothermie, soit
– par accroissement de la thermolyse (vasodilatation, transpiration et vaporisation pulmonaire), soit
– par une augmentation de la thermogenèse par accélération des processus d’oxydation (14).
Depuis 1970, l’équipe écossaise de MILTON, a eu à démontrer que les prostaglandines de la série E induisent de la fièvre. VANE a plus tard démontré que les antipyrétiques anti-inflammatoires inhibaient la synthèse des prostaglandines. On a conclu à leur responsabilité dans la production de la fièvre, le pyrogène endogène induisant leur synthèse. Les prostaglandines ayant comme précurseur commun l’acide arachidonique. Le taux de prostaglandine dans le liquide céphalorachidien s’élève avec la fièvre et diminue avec les antipyrétiques (22).
Les antipyrétiques n’ont qu’un effet symptomatique. Ils diminuent la température du corps enfiévré. Ils sont à distinguer des hypothermisants (neuroleptiques) capables d’abaisser la température normale (14).
METHODES D’ETUDE DES ANTIPYRETIQUES
METHODE UTILISANT LES ENDOTOXINES D’ESCHERICHIA COLI
Les propriétés antipyrétiques sont recherchées après administration au lapin d’endotoxines de Escherichia Coli. On note en continu ou toutes les 15 minutes la température pendant trois heures chez l’animal hyperthermique traité ou non par l’antipyrétique. Cet essai est adapté au rat pour le tri rapide (Screening) (14).
METHODE UTILISANT LE VACCIN TBA (VACCIN CONTRE LA THYPHOIDE A&B).
L’activité antipyrétique est recherchée d’après les méthodes de TBA.
Le vaccin TBA est administré par voie intraveineuse dans la veine marginale des lapins à la dose 0,5 ml/lapin. Les températures maximales sont atteintes 30 minutes après injection (14).
METHODE DU TEST DE L’HYPERTHERMIE INDUITE PAR LA LEVURE DE BIERE CHEZ LE RAT
L’administration d’une macération de levure par voie sous-cutanée chez le rat entraîne une hyperthermie dont les caractères sont les suivants :
• Survenue vers la deuxième heure ;
• Maximum vers la quatrième heure ;
• Stabilité en plateau de la quatrième à la trente sixième heure.
L’activité antipyrétique d’une substance s’étudiera en recherchant dans quelles mesures son administration est susceptible d’antagoniser cette hyperthermie (50).
MEDICAMENTS A EFFET ANTIPYRETIQUE
LE PARACETAMOL OH
Le paracétamol est un dérivé de l’aniline et du para-amino-phénol inhibiteur de la cyclo-oxygènase. Son action antipyrétique est comparable à celle de l’acide acétyl salicylique, mais le paracétamol est plus efficace sur la cyclo-oxygènase centrale que périphérique. La résorption digestive du paracétamol est rapide et complète per os (30 à 60 minutes). Sa métabolisation est hépatique et aboutit à des dérivés glucurono, sulfoconjugués et aussi du N- acetyl para-benzoquinine imine. L’élimination du paracétamol est urinaire avec 95% en 24 heures sous forme de métabolites inactifs et moins de 5% sous forme active. La demi-vie est de 2 à 3 heures (14).
• La posologie :
3 Adulte : 1 à 3 g/24 heures en 3 à 4 prises
3 Enfant : 60 mg/kg/24 heures en 3 à 4 prises
• Effets indésirables :
Réactions allergiques rares (éruption cutanée, thrombopénie …)
3 Une hépatotoxicité en cas de surdosage, d’atteinte hépatique, d’alcoolisme.
• Présentations : pour la voie orale, nous avons des comprimés simples ou effervescents dosés à 500 mg et 1 g (DOLIPRANE*, EFFERALGAN*, DOLKO* …), des sirops et poudres pour suspension buvable dosés à 100, 150, 200, 300mg (DOLIPRANE*, EFFERALGAN …)
Il existe aussi des suppositoires à 80, 100, 150, 200, 300, et 600 mg (EFFERALGAN*, DAFALGAN*, DOLIPRANE*).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : BIOSYSTEMATIQUE DE CITRUS
I.1- ETUDE SPECIALE DE CITRUS LIMON (BURM.F.)
I.1.1- CLASSIFICATION SYSTEMATIQUE
I.1.2 – NOMENCLATURE
I.1.3- ETUDE DESCRIPTIVE
I.1.3.1- Feuille
I.1.3.2- La fleur
I.1.3.3- Le fruit
I.1.4- REPARTITION GEOGRAPHIQUE ET HABITAT
I.1.5- USAGES
I.1.5.1- Usages alimentaires
I.1.5.2- Usages médicinaux.
a) Les fruits
b) Les feuilles
c) Les racines
I.1.5.3- Autres usages
I.1.6- COMPOSITION CHIMIQUE
I.1.7- PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES..
I.2- AUTRES ESPECES DU GENRE CITRUS
CHAPITRE II : LA FIEVRE
II.1- DEFINITIONS
II.2- CAUSES
II.3- PHYSIOPATHOLOGIE DE LA FIEVRE
II.4- MECANISME D’ACTION DES ANTIPYRETIQUES
II.5- METHODE D’ETUDE DES ANTIPYRETIQUES
II.5.1- METHODE UTILISANT LES ENDOTOXINES
II.5.2- METHODES UTILISANT LE VACCIN TAB
II.5.3- METHODES DU TEST DE L’HYPERTHERMIE INDUITE PAR LA LEVURE DE BIERE
II.6- MEDICAMENTS A EFFET ANTIPYRETIQUE
II.6.1- LE PARACETAMOL
II.6.2- ACIDE ACETYLSALICYLIQUE : L’ASPIRINE
II.6.3- PYRAZOLONE ET DERIVES
II.6.3.1- La phénylbutazone
II .6.3.2- La Noramidopyrine
II.7- RECENSEMENT DE QUELQUES PLANTES A ACTIVITE ANTIPYRETIQUE
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX PERSONNELS
CHAPITRE I : MATERIELS ET METHODES
I.1- MATERIELS
I.1.1- MATERIEL VEGETAL
I.1.2 – ANIMAUX
I.1.3- MATERIELS ET REACTIFS POUR L’ETUDE CHIMIQUE
I.1.4- MATERIELS ET REACTIFS POUR L’ETUDE PHARMACOLOGIQUE
I.2- METHODE
I.2.1- PROCEDES D’EXTRACTION
I.2.2- METHODE D’ETUDE CHIMIQUE DES FEUILLES DE CITRUS LIMON
I.2.2.1- Essais de caractérisation
a)- Recherche des hétérosides flavonoïques
a.1- Extraction des flavonoïdes
a.2- Caractérisation des flavonoides
b)Recherche des tanins
b.1- Extraction des tanins
b.2- Caractérisation des Tanins
b.2.1- Réaction de mise en évidence des tanins
b.2.2- Réactions de différenciations des tanins
c) Recherche des alcaloïdes
c.1- Extraction des alcaloïdes
c.2- Caractérisation générale des alcaloïdes
I.2.2.2- Séparation et identification par chromatographie sur couche mince (CCM)
a) Principe
b) Mode opératoire
c) CCM des flavonoides
d) CCM des tanins
e) CCM des Alcaloïdes
I.2.3- METHODE DE L’ETUDE ANTIPYRETIQUE
I.2.3.1- Principe de l’étude de l’activité antipyrétique
I.2.3.2- Protocole
I.3 DETERMINATION DU POURCENTAGE D’INHIBITION
I.4- ANALYSE STATISTIQUE
CHAPITRE II : RESULTATS ET COMMENTAIRES
II-1- RESULTAS DE L’EXTRACTION
II-2 RESULTATS DE L’ETUDE CHIMIQUE
II-2-1- ESSAIS DE CARACTERISATIONS
II.2.2- CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE (CCM)
II.2.2.1- CCM des flavonoïques
II.2.2.2- CCM des tanins
II.2.2.3- CCM des alcaloïdes
II.3- RESULTATS DE L’ETUDE ANTIPYRETIQUE
CHAPITRE III : DISCUSSION
CONCLUSION
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