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Virus et lรฉsions anatomopathologiques
Les aspects anatomiques de la bronchiolite aiguรซ virale ont รฉtรฉ dรฉcrits sur des prรฉlรจvements post mortem provenant d’enfants dรฉcรฉdรฉs lors d’une virose grave, par insuffisance respiratoire aiguรซ ou subitement par trouble du rythme respiratoire [39, 40]. Les descriptions anatomo-pathologiques sont identiques ร celles observรฉes par
MAC LEAN lors d’autopsies systรฉmatiques [41] et par d’autres dans des modรจles animaux [42]. A quelques dรฉtails prรจs, les lรฉsions ne sont pas spรฉcifiques de l’agent รฉtiologique [33, 39, 41, 42]. Les virus pรฉnรจtrent dans l’organisme par voie aรฉrienne. Ils colonisent les cellules รฉpithรฉliales pour s’y multiplier. L’extension se fait par contiguรฏtรฉ, de cellule ร cellule, par bourgeonnement, รฉclatement cellulaire, ou formation du syncytium caractรฉristique lorsqu’il s’agit du VRS [5, 6, 43]. En dehors de la rougeole et des adรฉnovirus, l’infection reste localisรฉe, sans passage systรฉmatique [43]. Elle aboutit ร la nรฉcrose et ร la desquamation des cellules ciliรฉes, ร une augmentation des sรฉcrรฉtions sรฉromuqueuses, ร la production d’un exsudat sรฉrofibrineux et d’un oedรจme inflammatoire du chorion. Les espaces pรฉribronchiolaires et parfois le parenchyme adjacent sont infiltrรฉs par des cellules lymphocytaires et macrophagiques. L’obstruction des voies aรฉriennes est ร la fois endoluminale et murale. L’accumulation des cellules nรฉcrotiques desquamรฉes, des sรฉcrรฉtions muqueuses et de l’exsudat sรฉrofibrineux, la migration des cellules inflammatoires aboutit ร un vรฉritable bouchon obstruant plus ou moins complรจtement la lumiรจre bronchiolaire dรฉjร rรฉduite par l’inflammation pariรฉtale. Compte tenu du faible dรฉveloppement de la musculature lisse, le spasme bronchique ne joue qu’un rรดle mineur.
L’รฉtat du parenchyme respiratoire sus-jacent est fonction du nombre et de la rรฉparation des bronchioles oblitรฉrรฉes, de l’importance de l’oblitรฉration, de la participation alvรฉolo-interstitielle associรฉe, du respect ou non de la ventilation collatรฉrale. Peuvent alterner dans l’espace et dans le temps, des zones collabรฉes, aรฉrรฉes ou distendues.
Globalement ces anomalies aboutissent ร une augmentation des rรฉsistances des voies aรฉriennes, ร une diminution de la compliance pulmonaire, ร une augmentation du travail respiratoire ร une surdistension pulmonaire. Les inรฉgalitรฉs locales des rapports ventilation sur perfusion gรฉnรจrent trรจs rรฉguliรจrement une hypoxie, parfois importante, par effet shunt.
Toutes les lรฉsions sont potentiellement rรฉversibles [44]. l’รฉvolution vers la guรฉrison, รฉventualitรฉ la plus frรฉquente, passe par l’รฉvacuation du bouchon intraluminal, la rรฉgression des phรฉnomรจnes inflammatoires et la rรฉgรฉnรฉration des cellules รฉpithรฉliales. Si les cellules basales recouvrent la membrane basale en 3 – 4 jours, la reconstitution anatomique complรจte de l’รฉpithรฉlium cuboรฏde ciliรฉ peut prendre deux ร trois semaines. La reprise d’une activitรฉ ciliaire efficace est plus tardive (trois ร quatre semaines). Indรฉpendamment des perturbations du systรจme immunitaire et inflammatoire local, les altรฉrations de la fonction รฉpithรฉliale expliquent une certaine fragilitรฉ du tractus respiratoire plusieurs semaines aprรจs la phase aiguรซ de la bronchiolite.
Rรดle de l’immunitรฉ ร mรฉdiation cellulaire
L’immunitรฉ cellulaire joue un rรดle majeur dans la dรฉfense anti-VRS. L’atteinte clinique est plus grave chez les enfants souffrant de dรฉficits acquis ou congรฉnitaux de l’immunitรฉ cellulaire.
Les protรฉines virales induisent des rรฉponses cellulaires et stimulent ร des degrรฉs divers les lymphocytes T cytotoxiques (LTC ou CTL) et les lymphocytes T auxiliaires ou helpers (Lta).
Le contact macrophage lymphocyte provoque l’activation du lymphocyte, qui sous l’influence des lymphokines (IL 2, interfรฉron gamma, IL 4, IL 6) va devenir un effecteur cytotoxique capable de dรฉtruire spรฉcifiquement les cellules cibles prรฉsentant l’antigรจne viral.
Chez l’homme, l’activitรฉ cytotoxique est maximale deux semaines aprรจs le dรฉbut de l’infection, et la production de virus cesse quelques jours plus tard, suggรฉrant le rรดle important des LTC dans la guรฉrison de l’infection ร VRS.
Cependant, un taux รฉlevรฉ de LTC prรฉcocement au cours d’une infection virale peut entraรฎner de sรฉvรจres dรฉgรขts pulmonaires et des modifications du liquide de lavage bronchoalvรฉolaire ressemblant ร ceux rencontrรฉs lors des syndromes de dรฉtresse respiratoire aiguรซ de type adulte. Ce sont les travaux chez la souris qui ont permis d’identifier deux sous-populations parmi les lymphocytes T helpers : Th1 et Th 2.
Chez la souris, les lymphocytes T spรฉcifiques de la glycoprotรฉine G du VRS sont des cellules CD 4+ de type Th 2, et produisent surtout les cytokines IL 4, 5 et 10, alors que les lymphocytes T spรฉcifiquement de la glycoprotรฉine F sont des cellules CD 4+ de type Th 1, et produisent surtout de l’infection (IFN) gamma.
Les Th 1 sont des lymphocytes CD 4+ qui stimulent l’immunitรฉ cellulaire cytotoxique, ils sont activรฉs par IL 2 et l’IFN gamma. Les cellules Th 2 favorisent l’augmentation d’anticorps pour les lymphocytes B. Elles dรฉpendent des interleukines IL 4, IL 10 et IL 12. Les cytokines produites par Th 1 jouent un rรดle inhibiteur sur les Th 2 et inversement. L’IL 2 stimule l’activitรฉ antivirale cytotoxique CD 8+ alors que l’IL 10 l’inhibe.
Les souris sensibilisรฉes ร la protรฉine G dรฉveloppent une pneumonie ร รฉosinophile lors d’une infection ร VRS. Cet effet semble dรป aux Th 2 spรฉcifiques au virus qui reconnaissent la glycoprotรฉine G. De tels niveaux d’รฉosinophilie pulmonaires n’ont รฉtรฉ constatรฉs que lors de parasitose. La commutation immunitaire vers un mode ยซย anti-parasitaireย ยป semble รชtre avantageuse pour le virus : les Th 2 ayant un retro-contrรดle nรฉgatif sur la rรฉponse Th 1 dans le tractus respiratoire qui est thรฉoriquement la plus efficace pour limiter la rรฉplication virale.
Les virus pneumotropes auraient une action inhibitrice sur l’IFN gamma, d’oรน dรฉsรฉquilibre vers une rรฉponse Th 2 et production prรฉfรฉrentielle d’IL 4 amenant une diffรฉrenciation des polynuclรฉaires รฉosinophiles et commutant la production des immunoglobulines vers l’IgE.
Chez les souris nude (thymus dรฉficients), le transfert de lymphocytes T sensibilisรฉs permet l’รฉlimination du VRS. Cependant, le transfert passif de ces lymphocytes T provoque aussi des lรฉsions pulmonaires. La nature et l’intensitรฉ des lรฉsions dรฉpendent du type dรป lymphocytes transfรฉrรฉs : les CD 4+ Th 2 provoquent des lรฉsions sรฉvรจres avec infiltration marquรฉe par les รฉosinophiles et les granulocytes neutrophiles ; les lymphocytes CD 8+ cytotoxiques et CD 4+ Th 1, n’entraรฎnent que des lรฉsions mineures sans รฉosinophilie.
Cette distinction semble actuellement trรจs importante pour diffรฉrencier les atteintes ร VRS. Selon la balance entre les rรฉponses de type Th 1 ou de type Th 2, l’infection virale pourrait รชtre schรฉmatiquement, soit bรฉnigne et rapidement rรฉsolutive – cas de la majoritรฉ des infections -, soit sรฉvรจre et/ou rรฉcidivante – cas des formes hospitalisรฉes – [13, 17, 45, 49].
Perturbations fonctionnelles respiratoires
Entre les รฉpisodes critiques d’accรจs broncho-obstructifs rรฉcidivants, ces enfants sont en gรฉnรฉral asymptomatiques et ne prรฉsentent que des perturbations fonctionnelles lรฉgรจres, surtout dรฉtectรฉes par les techniques d’exploration les plus sophistiquรฉes. Il apparaรฎt donc qu’une hyperrรฉactivitรฉ bronchique non spรฉcifique peut persister quelques mois aprรจs une bronchiolite, mais qu’elle peut disparaรฎtre par la suite. Nรฉanmoins, ces รฉtudes ne tiennent pas compte des ย ยป รฉvรฉnements respiratoires ยซย , en particulier des viroses qui peuvent majorer ร nouveau la rรฉactivitรฉ bronchique. Ainsi, l’ensemble des donnรฉes de la littรฉrature montre que la bronchiolite ร VRS participe ร l’induction de l’asthme du nourrisson et du jeune enfant. La gravitรฉ de l’รฉpisode initial joue un rรดle prรฉpondรฉrant dans la survenue ultรฉrieure de sรฉquelle.
D’autres facteurs corrรฉlรฉs ou indรฉpendants interviennent รฉgalement. Mais une controverse persiste quant au rรดle de l’atopie ainsi que du tabagisme parental, des conditions socio-รฉconomiques familiales et de l’allaitement maternel dans le risque de voir se dรฉvelopper un asthme ร distance d’une ou plusieurs bronchiolites [110, 111].
CRITERES D’HOSPITALISATION
La bronchiolite du nourrisson est, dans la majoritรฉ des cas, une pathologie d’รฉvolution bรฉnigne. Cependant, le recours hospitalier conclut actuellement 20% des patients en France et la dรฉcision de consulter ร l’hรดpital est, dans deux cas sur trois, l’initiative des parents eux-mรชmes. Le recours hospitalier doit rester une dรฉcision mรฉdicale, reposant sur des indications prรฉcises, et ne concerner qu’une minoritรฉ d’enfants. La rationalisation des soins repose donc sur le mรฉdecin de ville par un rรดle รฉducatif auprรจs des familles (รฉvitant le recours abusif aux urgences hospitaliรจres) et par sa connaissance prรฉcise des critรจres de gravitรฉ [8]. Ces critรจres sont classรฉs sous formes de tableaux.
QUELLE EST LA PLACE DE LA KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA BRONCHIOLITE DU NOURRISSON ?ย
Le recours ร la kinรฉsithรฉrapie respiratoire dans les bronchiolites aiguรซs du nourrisson repose sur l’observation de l’amรฉlioration clinique franche qu’elle entraรฎne et sur un avis d’experts. Elle utilise des techniques de dรฉsencombrement bronchique recommandรฉes par la confรฉrence de consensus de Lyon de 1944. Des travaux de validation de cette pratique dans les bronchiolites aiguรซs du nourrisson doivent รชtre poursuivis et encouragรฉs afin d’obtenir une base scientifique solide.
Le kinรฉsithรฉrapeute ne se borne pas ร l’exรฉcution de gestes techniques itรฉratifs. Son rรดle est essentiel dans la surveillance du nourrisson et l’รฉducation des familles.
La kinรฉsithรฉrapie respiratoire dans les bronchiolites aiguรซs du nourrisson est largement prescrite et prรดnรฉe dans les pays europรฉens francophones : en France, dans des enquรชtes de pratiques rรฉcentes, le pourcentage de prescription de kinรฉsithรฉrapie dans la bronchiolite varie de 82,5 ร 99%. En revanche, sa pratique est contestรฉe dans les pays anglo-saxons. Les raisons de cette divergence paraissent reposer avant tout sur l’utilisation de mรฉthodes thรฉrapeutiques diffรฉrentes. Les Anglo-saxons utilisent des mรฉthodes dรฉrivรฉes de celles appliquรฉes ร l’adulte et au grand enfant. Celles-ci s’appuient essentiellement sur le drainage postural, les percussions et les expirations forcรฉes (Conventional Chest Physical Therapy ou CPT). Les effets dรฉlรฉtรจres observรฉs (collapsus bronchiolaire, majoration des sibilances, plus rarement dรฉsaturation) peuvent expliquer le dรฉsintรฉrรชt des Anglo-saxons pour la kinรฉsithรฉrapie respiratoire dans les bronchiolites aiguรซs du nourrisson.
Techniques de dรฉsobstruction des voies aรฉriennes supรฉrieures
Il s’agit de la dรฉsobstruction rhinopharyngรฉe (DRP) qui associe :
– la DRP rรฉtrograde, par reniflement passif (induit par une expiration passive profonde prรฉalable) grรขce ร une occlusion buccale concomitante de l’inspiration .
– le recueil des sรฉcrรฉtions par la technique dite ยซย d’antรฉpulsion pharyngobuccaleย ยป .
– et peut รชtre complรฉtรฉe par le dรฉsencombrement rhinopharyngรฉ antรฉrograde ou mouchage.
On peut y associer l’instillation locale de sรฉrum physiologique narine par narine, l’enfant en dรฉcubitus dorsal, la tรชte tournรฉe sur le cรดtรฉ.
Il s’agit de techniques codifiรฉes qui peuvent รชtre apprises aux parents.
L’aspiration nasopharyngรฉe au moyen d’une sonde est un geste invasif, rรฉservรฉ aux situations critiques le plus souvent en milieu hospitalier.
Techniques de dรฉsobstruction des voies aรฉriennes infรฉrieures
La dรฉsobstruction des voies aรฉriennes infรฉrieures est basรฉe sur deux techniques.
L’expiration lente prolongรฉe (ELPr), ร la quelle on peut assimiler l’augmentation lente du flux expiratoire (AFE lente), consiste en des pressions manuelles thoracoabdominales entraรฎnant une expiration lente et dirigรฉe, glotte ouverte. Elle a pour objectif d’รฉviter le collapsus bronchique et la sรฉquestration d’air. Elle vise ainsi ร dรฉsencombrer les bronches distales et ร amรฉliorer la ventilation alvรฉolaire. Elle doit รชtre guidรฉe par l’auscultation.
La technique de la toux provoquรฉe, dรฉclenchรฉe par une pression trachรฉale brรจve, appliquรฉe en fin d’inspiration au-dessus de la fourchette sternale vise ร obtenir l’expectoration.
Evolution des nouveaux cas
En dรฉcembre 2000, lโรฉquipe du service Pรฉdiatrie au Centre Hospitalier de Soavinandriana a constatรฉ lโaugmentation considรฉrable du nombre de malades pris en charge pour bronchiolite aiguรซ du nourrisson. Dans notre รฉtude, 22 cas ont รฉtรฉ recensรฉs durant cette pรฉriode, le maximum de tous les mois, dans les 3 annรฉes, dans les 3 centres (tableau VII).
Or, au mรชme mois, en 1998 et 1999 : aucun cas dans notre รฉtude nโa รฉtรฉ recensรฉ et normalement lโรฉpidรฉmie sรฉvit dans cette pรฉriode dans lโhรฉmisphรจre nord pendant lโhiver. Est-ce quโil sโagit dโune รฉpidรฉmie ยซ mondiale ยป ou dโune poussรฉe รฉpidรฉmique ยซ isolรฉe ยป ? Lโinformation sur la variation รฉpidรฉmiologique dans lโhรฉmisphรจre sud et en particulier pour Antananarivo n’est pas exhaustive. Rรฉtrospectivement, il est possible de faire un bilan รฉvolutif et comparatif des nouveaux cas de bronchiolite avec lโรฉtude des facteurs influents.
? Etude de chaque centre : Chaque annรฉe, lโรฉvolution est presque identique avec une poussรฉe aux mois de fรฉvrier, mars et avril et se normalise jusquโร la fin de lโannรฉe. Un pic brusque a รฉtรฉ constatรฉ au mois de dรฉcembre 2000 dans le Centre Hospitalier de Soavinandriana et dans le Service DEBRE reprรฉsentant respectivement 22 cas et 12 cas. Or, chaque annรฉe et au mรชme mois, 0 cas pour lโun et 1 cas pour lโautre ; mais le nombre de cas ร lโHรดpital des Enfants de Tsaralalana reste le mรชme comme chaque annรฉe. On peut dรฉjร constater lโaugmentation brusque anormale et non isolรฉe ร ce moment.
? Etude de lโensemble des 3 centres : En tenant compte de lโhypothรจse de lโinfluence du climat sur lโรฉvolution et la frรฉquence dโapparition de la bronchiolite, il est dโimportance capitale de superposer la courbe dโรฉvolution des nouveaux cas (figure 2) sur la courbe des renseignements climatologiques (figure 4) ร partir de la variation de lโhumiditรฉ relative rรฉsumรฉe sous forme de tableau.
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Table des matiรจres
PREMIERE PARTIE I- HISTOIRE NATURELLE
I.1- EPIDEMIOLOGIE
I.1.2- rรฉservoir et transmission
I.1.3- รฉpidรฉmiologie dans le monde
I.2- VIRUS ET LESIONS ANATOMIQUES
I.2.2- virus et lรฉsions anatomopathologiques
I.3- PHYSIOPATHOLOGIE
I.4- REPONSE IMMUNITAIRE ET IMMUNOPATHOLOGIE
I.4.1- rรดle de l’immunitรฉ ร mรฉdiation cellulaire
I.4.2- rรดle de l’immunitรฉ ร mรฉdiation humorale
I.5- CLINIQUE
I.6- EVOLUTION
I.7- FACTEURS FAVORISANTS
I.8- DE LA BRONCHIOLITE A L’ASTHME RELATIONS ENTRE BRONCHIOLITE AIGUE DU NOURRISSON ET ASTHME
I.8.1- asthme du nourrisson
I.8.2- les symptรดmes respiratoires aprรจs bronchiolite
II- CRITERES D’HOSPITALISATION
III- ASPECT THERAPEUTIQUE
III.1- MESURES GENERALES
III.1.1- hydratation et nutrition
III.1.2- couchage
III.1.3- dรฉsobstruction nasale .
III.1.4- environnement
III.2- TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX
III.2.1- bronchodilatateurs ..
III.2.2- corticoรฏdes
III.2.3- antiviraux
III.2.4- antibiothรฉrapie
III.2.5- antitussifs, mucolytiques et mucoregulateurs
III.2.6- oxygรฉnothรฉrapie
IV- PLACE DE LA KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE
IV.1- TECHNIQUES
IV.1.1- techniques de dรฉsobstruction des voies aรฉriennes supรฉrieure…31s
IV.1.2- techniques de dรฉsobstruction des voies aรฉriennes infรฉrieures…31s
DEUXIEME PARTIE I- CADRE D’ETUDE
I.1- LES SERVICES
I.2- L’ENVIRONNEMENT
II- METHODES
II.1- MATERIELS
II.2- RECRUTEMENTS
II.3- SELECTION DES PATIENTS
II.4- PARAMETRES A EVALUER
II.4.1- aspects รฉpidรฉmiologiques
II.4.2- signes cliniques et caractรจres cliniques de gravitรฉ
II.4.3- les terrains ร risque
II.4.4- aspects de la prise en charge
II.5- ANALYSE STATISTIQUE
III- RESULTATS
III.1- RESULTATS DU RECRUTEMENT
III.2- SYNTHESE DESCRIPTIVE
III.2.1- aspects รฉpidรฉmiologiques
III.2.1.1- morbiditรฉ
.variation de l’age
.variation selon le sexe
.รฉvolution des nouveaux cas de bronchiolites hospitalisรฉs
.รฉvolution des bronchiolites chaque annรฉe
.taux de morbiditรฉ des bronchiolites par rapport aux IRA des enfants de 0 ร 5 ans et par rapport aux hospitalisations chaque annรฉe
III.2.1.2- letalitรฉ
. dรฉcรจs annuel et le taux de motralitรฉ des hospitalisรฉs
.taux de mortalitรฉ proportionnel des bronchiolites par dรฉcรจs
III.2.2- รฉvaluation clinique et caractรจre de gravitรฉ
III.2.2.1- nature et frรฉquence des signes cliniques
III.2.2.2- terrains ร risque
III.2.3- รฉtude de la prise en charge
III.2.3.1- variation des jours d’hospitalisation
III.2.3.2- frรฉquence d’utilisation des mรฉdicaments
III.3- APPROCHE ANALYTIQUE
III.3.1- รขge infรฉrieur ร 6 semaines et bronchiolite
III.3.2- prematuritรฉ et bronchiolite
III.3.3- cardiopathie congรฉnitale et bronchiolite
III.3.4- hypotrophie et bronchiolite ..
III.4- SAISIE COMPARATIVE
TROSIEME PARTIE COMMENTAIRE ET DISCUSSION
I- RESULTAT DU RECRUTEMENT
I.1- LIMITES ET CONTRAINTE
I.2- REMARQUE SUR LES ยซLES NON- BRONCHIOLITESยป
II.2.1- ร partir de la dรฉfinition consensuelle
II.2.2- une bonne partie
II- SYNTHESE DESCRIPTIVE
II.1- ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES
II.1.1- morbiditรฉ
II.1.1.1- age
II.1.1.2- sexe
II.1.1.3- รฉvolution des nouveaux cas
II.1.1.4- รฉvolution des bronchiolites chaque annรฉe
II.1.1.5- importance par rapport aux IRA(<5ans) et aux hospitalisรฉs
II.1.2- letalitรฉ
II.1.2.1- dรฉcรจs annuel
II.1.2.2- taux de mortalitรฉ proportionnel
II.2- EVALUATION CLINIQUE ET CARACTERES DE GRAVITE
II.2.1- signes respiratoires
II.2.2- signes infectieux
II.2.3- signes digestifs
II.2.4- signes de gravitรฉ
II.2.5- terrains ร risque
II.3- ETUDE DE LA PRISE EN CHARGE HOSPITALIERE
II.3.1- variation des jours d’hospitalisation
II.3.2- frรฉquence d’utilisation des mรฉdicaments
II.3.2.1- antibiotique
II.3.2.2- bronchodilatateur
II.3.2.3- corticoรฏde
III- APPROCHE ANALYTIQUE
III.1- AGE INFERIEUR A 6 SEMAINES
III.1.1- รขge infรฉrieur ร 6 semaines et apnรฉe
II1.1.2- รขge infรฉrieur ร 6 semaines et prolongation de durรฉe de sรฉjour
III.2- PREMATURITE
III.2.1- prรฉmaturitรฉ et apnรฉe
III.2.2- prรฉmaturitรฉ et prolongation de durรฉe de sรฉjour
III.3- CARDIOPATHIE CONGENITALE
III.4- HYPOTROPHE
III.4.1- hypotrophe et mortalitรฉ
III.4.2- hypotrophe et prolongation du durรฉe de sรฉjour
IV- SAISIE COMPARATIVE
SUGGESTION
I- PRODUCTION D’ETUDE ET D’ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE
II- AMELIORER LES STRUCTURES DE SOINS
II.1- DEVELLOPEMENT DE STUCTURES D’AMONT ET COORDINATION ENTRE LES PROFESSIONNELS DE SANTE
II.2- CREATION DE CONSENSUS OU DE RECOMMANDATION
II.3- AUGMENTATION DE L’OFFRE DE SOINS HOSPITALIERS
III- PROMOTION DES MOYENS DE PREVENTION
III.1- SUR LES MESURES COMMUNES
III.2- AU DOMICILE
III.3- PREVENTION MEDICAMENTEUSE
III.4- PREVENTION SUR LES TERRAINS RISQUE ..
IV- MESURES GENERALES SUR LES FACTEURS POLLUANTS ET SOCIO-ECONOMIQUES
IV.1- SUR L’HABITAT
IV.2- SUR LA MALNUTRITION
IV.3- SUR L’ENVIRONNEMENT
CONCLUSION
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