DONNEES ECONOMIQUES
Du comportement des indicateurs d’activité de l’économie nationale au cours des six premiers mois de l’année 2006 ressort une estimation de la croissance du PIB réel de 13,9% contre 19,4% en prévision initiale. Hors pétrole, la progression du PIB réel est estimée à 6,1% contre une pression initiale de 6,9%.
Différentes activités économiques ont, en effet, connu un ralentissement au cours de la période : le secteur pétrolier connaît des difficultés techniques récurrentes ; le secteur agricole est affaibli par les aléas climatiques et les ennemis des cultures ; le secteur des transports et des télécommunications est affecté par la hausse des prix du pétrole, conduisant ainsi à la baisse de la consommation du gasoil.
Cependant, l’activité économique reste soutenue puisque la croissance de 2006 hors pétrole resterait plus élevé qu’en 2005 où elle était estimée à 5,4%. En effet les secteurs des constructions et des travaux publics, de l’extraction des minerais métalliques et des services privés, restent marqué par une dynamique soutenue au cours du premier semestre de 2006.
L’évolution de l’activité économique est reflétée par le niveau des indicateurs d’activité suivants:
• la Pêche : en se basant sur les donnéesdes capteurs du sous secteur de la pêche industrielle, la production aurait enregistré une évolution de 10,5%.
Cette production peut-être essentiellement liée à l’amélioration du système d’information, notamment le renforcement des moyens de surveillance des cotes maritimes.
• les Mines : l’activité de la Société Nationale Industrielle et Minière (SINM) qui avait connu des conditionsdéfavorables entraînant une décélération du rythme de croissance de la production aurait été marquée en 2006 par une reprise de la production. Quant aux exportations, elles ont connu, au cours des sept premiers mois de 2006, une hausse en quantité.
En outre, les cours moyensde fer mauritanien sur le marché internationalenregistraient une hausse.
• l’Exploitation pétrolière : la production moyenne du secteur pétrolier au 30 Septembre 2006 s’est établie à 39.297 barils/jour, ce qui dénote que le niveau d’exploitation demeure encore loin des prévisions initiales (75.000 barils/jour) même si au mois de Marsla production moyenne a atteint un niveau de 66.000 barils/jour. Cette situation est due aux difficultés techniques reccurentes liées à l’enlèvement du brut au système decombinaison du gaz. En outre il faut noter que la plupart des installations sont en cours de réception technique.
• l’Agriculture : l’évaluation de la saison hivernale montre que l’année 2006 a été caractérisée par une pluviométrie peu intense avec des pluies faibles et épaisses. Cette situation, conjuguée à d’autres facteurs tels que les ennemis des cultures, contribuerait à réduire l’offre nationale de produits agricoles et par conséquentporter des quantités importées à un niveau relativement élevé.
• les échanges : l’unité monétaire est l’ouguiya. La banque centrale de la Mauritanie, fondée en 1973, est chargée de l’émission de la monnaie. Le transport est assuré par des liaisons aériennes dans toutesles régions par Air Mauritanie. La route côtière desserte Rosso, Nouakchott, Nouadhibou, Akjoujt et se prolonge à Atar. Une ligne de cheminde fer de 670Km relie Nouadhibou à la zone minière deF’Derik-Zouerate. Nouadhibou et Nouakchott disposent chacune d’un porten eau profonde et d’un aéroport international.
LE SYSTEME DE SANTE DE LA MAURITANIE
L’ORGANISATION DU SYSTEME DE SANTE
Le système de santé de la Mauritanie est de type pyramidal en terme d’offre de soins mais de type d’entonnoir s’il s’agit du cas de prise de décision et d’identification des besoins. Ainsi on distingue un niveau central représenté par le Ministère de la santé et un niveau dit opérationnel. L’organisation de l’offre des soins comporte actuellement quatre principaux niveaux (les postes de santé, les centres de santé et les hôpitaux régionaux et les établissements nationaux de référence) auquel il faut ajouter un quatrième, qui lui est purement communautaire.
D’abord, un niveau central représenté par tous les grands hôpitaux et centres spécialisés, qui se trouve à Nouakchott et dans certaines villes commeNouadhibou. Ces structures offrent des soins dits tertiaires car spécialisés.
Ensuite sont implantés dans les capitales régionales les hôpitaux régionaux. Il est à noter que ces hôpitaux régionaux n’ontpas les mêmes statuts et ils sont classés en trois catégories en fonction de leurs équipements et du nombre de population qu’ils sont sensés desservir.
Enfin, les types de formations sanitaires du niveau périphérique comportent des services fonctionnant de façon complémentaire et intégré et sont constitués pardes centres de santé qui sont de deux catégories :
a- centre de santé de type A : il comprend une entité de consultation externe, un service d’hospitalisation de vingt (20) lits, une unité de radiologie, une maternité, un cabinet dentaire et un service de santé maternelle et infantile. Il est lastructure de référence de la moughaata (ou département).
b- centre de santé de type B : il est constitué de toutes les unités du centre de santé de type A sauf le service d’hospitalisation, la radiologie et le cabinet dentaire. Il dispose d’une salle d’observation avec une capacité de six (6) lits.
Dans certaines localités il existe des structures qui ne rentrent pas dans cette nomenclature nationale, ainsi à Nouadhibou, la communea créé des formations disposant d’équipements spécifiques divers :
* les postes de santé : ils sont constitués d’une unité de soins préventifs et curatifs et d’une unité de Protection Maternelle et Infantile (PMI).
C’est le premier échelon public de référence.
* l’unité de santé de base: elle est dirigée par les habitants des localités pour répondre aux besoins les plusélémentaires et les plus éminents notamment soulager les douleurs, promouvoir l’hygiène et encadrer les femmes en état de grossesse.
Dans chaque wilaya région), il y a un service de santé scolaire dont les activités sont très restreintes et des postes de santé pour certaines corporations au nombre desquels les établissements de la médecine du travail à Nouakchott et à
Nouadhibou. Il existe également un poste de santé à la prison civile de Nouakchott.
Depuis la fin des années 80, Caritas Mauritanie, l’ONG Espoir, l’Association Naître et Grandir ont mis en place des postes de santé dans quelques wilayas.
L’expérience de Caritas est très édifiante car avec de modestes moyens, elle a sut gagner la confiance des populations et étendre ses activités dans un département périurbain de Nouakchott. Actuellement tous les niveaux de la pyramide ont adopté le système de recouvrement des coûts des médicaments essentiels. De nouvelles formesde participation à la prise en charge financière sont en cours d’expérimentation, il s’agit essentiellement du système pratiqué par Caritas, les mutuelles locales vulgarisées par les ONG et leforfait obstétrical dans le cadre de la mise en œuvre des soins obstétricaux d’urgence du programme maternité sans risque.
La pratique de la médecine privée est officiellement en vigueur en Mauritanie depuis Octobre 1988. Elle a connu un développement important et anarchique au cours des 10 dernières années, en particuliers au niveau de Nouakchott et des grandes villes telles queNouadhibou et Kiffa.
Les structures sanitaires privées sont composées de 24 cliniques médicales, 28 cabinets médicaux, 34 cabinets dentaires et32 cabinets de soins. Le secteur privé connaît des insuffisances en terme decontrôle de qualité et de supervision.
SITUATION ACTUELLE DE LA SANTE BUCCO-DENTAIRE EN MAURITANIE
En Mauritanie, les affections bucco-dentaires demeurent importantes, constituant en cela le sixième motif de consultation dans les structures sanitaires.
En effet ces affections sont reconnues partout comme un véritable fléau, un problème de santé public. Ce phénomène prend d’avantage de l’ampleur avec les nouvelles habitudes alimentaires. Lasanté orale occupe une bonne place dans le système de santé du pays, elle est sous la responsabilité du Programme National de Santé Bucco-dentaire, elle-même sous la tutelle du Ministère de la Santé et des Affaires Sociales.
Les soins de santé bucco-dentaire sontassurés par quatre vingt dix (90) Chirurgiens Dentistes qui officient dans les hôpitaux et les centres de santé.
Tous ces praticiens ont également une activité libérale au niveau des cliniques ou cabinets dentaires privés qui sont l’équivalent de petites entreprises.
Des efforts sont entrain d’être consentisdans ce secteur car il y a environ une décennie des régions entières manquaient de chirurgiens dentistes, seuls des techniciens supérieurs en odontologie y officiaient. Aujourd’hui toutes les régions de la Mauritanie disposent au moins d’un cabinet dentaire.
La couverture territoriale en chirurgien dentiste est très inégale. En effet, la willaya de Nouakchott totalise à elle seule les ¾ des praticiens. Il arrive même qu’il n’y ait qu’un seul chirurgien dentiste pour toute une région, comme conséquence, ces derniers sont complètement débordés.
Dans certains centres de santé, les praticiens qui y officient sont restreints dans leur possibilité thérapeutiqueen raison d’un manque d’équipement adéquat ou de la vétusté de l’existant.
RAPPELS HISTOLOGIQUES
L’EMAIL
L’émail qui recouvre la dentine coronaire est le tissu le plus minéralisé de l’organisme. Il est constitué d’une juxtaposition de structures élémentaires ou prismes qui parcourent toute l’épaisseur de l’émail de la jonction amélodentinaire jusqu’ à la surface de ladent. Chaque prisme comporte une pièce renflée ou cœur du prisme qui se prolonge par une partie mince ou queue du prisme. Les prismes sont imbriqués les uns aux autres et chaque prisme est limité par une gaine de nature organique. L’agencementdes prismes est telle que le cœur d’un prisme est logé entre les queues des prismes sous jacents. Un prisme contient des cristaux regroupés en faisceaux alignés parallèlement entre eux. Le grand axe du cœur est parallèle à l’axe des cristaux et au niveau de la queue, les cristaux divergent par rapport au grand axe du prisme.
Dans les deux tiers internesde l’émail, les prismes ont un trajet sinueux ; lesquelles sinuosités se font par groupes et les prismes d’un groupe sont parallèles entre eux. Par contre, dans le tiers externe de l’émail, le trajet des prismes devient progressivement rectiligne, les prismes sont alors parallèles entre eux et perpendiculaires à la surface de la dent.
L’observation des prismes dans lesens longitudinale montre :
– des alternances de constructions et de dilatations,
– des striations transversales.
On observe aussi au niveau de l’émail des stries de RETZIUS qui sont des lignes séparant les différentes couches d’émail formées et qui suivent le contour de la dent depuis la formation des premières couches.
LA DENTINE
Elle est caractérisée à l’exception de lapremière couche de dentine qui est immédiatement sous jacente à l’émail et autrefois appelée la « mantle dentine » ; par des tubuli dentinaires qui la parcourent de la jonction amélo-dentinaire à la pulpe. Les tubuli sont parallèles entre eux et ont au niveau coronaire un trajet en S très allongé, et qui au niveauradiculaire sera rectiligne.
Ils sont reliés entre eux par des tubuli secondaires et au niveau de la jonction amélo-dentinaire ils se terminent par des bi ou des trifurcations.
Les tubuli entourent les prolongements cytoplasmiques issus du corps cellulaire des odontoblastes qui se trouvent à la périphérie pulpaire.
Ces prolongements s’étendent jusqu’auvoisinage de la jonction amélo dentinaire et peuvent présenter des expansions latérales qui seront incluses dans les tubuli secondaires entraînant ainsi des rapports de contiguïté interodontoblastique entre deux structures voisines.
Entre le prolongement odontoblastique et la paroi tubulaire, se situe l’espace péricytoplasmique où cheminent des terminaisons nerveuses issues de l’innervation pulpaire. Cet espace est comblé de polysaccharides et des protéines non collagéniques. Quelques fines fibres de collagéne peuvent se trouver dans la lumière des tubuli autour des prolongements odontoblastiques.
Ce matériel péricytoplasmique constitue une réserve matricielle potentielle minéralisable qui sert de support à la formation de la dentine péritubulaire.
La dentine péritubulaire entoure la paroi des tubuli. Sa minéralisation se produit sur le substrat matriciel de l’espace péricytoplasmique. Sa phase cristalline est constituée de cristaux d’hydroxyapatite plus fins et plus petits que ceux de la dentine intertubulaire et de cristaux isodiamétriques de phosphate tricalcique.
L’augmentation de l’espace de la dentine péritubulaire, de la zone juxta pulpaire à la jonction amélo-dentinaire, a pour résultat la diminution progressive du diamètre des tubuli.
La dentine intertubulaire occupe l’espace situé entre deux tubuli et elle résulte de la minéralisation de lamatrice synthétisée et secrétée par les odontoblastes.
LE CEMENT
Le cément acellulaire : le cément fibrillaire.
Il prédomine dans la portion juxtadentinaire et est constitué de la juxtaposition de lamelles parallèles entre elles dont letrajet suit le contour radiculaire.
Ces lamelles sont séparées par des lignes de croissance. Cet aspect traduit le rythme séquentiel de la cémentogénése. Ce type de cément est traversé par des fibres folliculaires et ou desmodontales incluses secondairement dans le cément au fur et à mesure de son apposition.
Le cément acellulaire, caractéristique des premières couches de cément déposé, alterne ensuite avec des zones de cément cellulaire.
Le cément cellulaire
Il recouvre le cément acellulaire quitapisse la surface radiculaire.
Le cément cellulaire prédomine dans la région apicale dela racine et dans les espaces inter radiculaires. Son épaisseur augmente progressivement avec l’âge.
Il est caractérisé par la présence de cémentocytes inclus dans le tissu au sein des cavités lacunaires ou cémentoplastes. Ces cémentocytes se répartissent le long des lignes d’apposition cémentaire.
Le cément afibrillaire
Il est observé généralement à la jonction émail cément recouvrant partiellement l’émail cervical. Ce type de cément est généralement acellulaire. Il existe parfois du cément afibrillaire au niveaudes furcations inter radiculaires.
LA CARIE DENTAIRE
DEFINITIONS
Il existe plusieurs définitions de lacarie dentaire dans la littérature.
• Pour l’OMS : « la carie est un processus localisée d’origine externe apparaissant après l’éruption des dents qui s’accompagne d’un ramollissement des tissu durs de la dentet évolue vers la formation d’une cavité ».
Selon Franck et Coll. : « la carie est avant tout une maladie bactérienne multifactorielle au cours de laquelle des actions diéto-bacteriennes contribuent au développement de différents types de lésions carieuses par déminéralisation des tissus par les acides ».
D’après Thylstrup et Coll. (62) La carie est un processus local résultant d’une activité bactérienne localisée.
ETIOPATHOGENIE
Il existe dans la cavité buccale un équilibre fragile entre les cycles de déminéralisation-reminéralisation à la surface de l’émail. La maladie carieuse, processus dynamique et progressif, résulte d’un déséquilibre entre les cycles vers la phase de déminéralisation avec dissolution de cristaux d’hydroxyapatite de l’émail (20).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ORGANISATION DU SYSTEME DESANTE EN MAURITANIE
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA MAURITANIE
1. DONNEES GEOGRAPHIQUES
2. DONNEES DEMOGRAPHIQUES
3. DECOUPAGE ADMINISTRATIF
4. DONNEES ECONOMIQUES
LA PECHE
LES MINES
L’EXPLOITATION PETROLIERE
L’AGRICULTURE
LES ECHANGES
CHAPITRE II : LE SYSTEME DESANTE EN MAURITANIE
1 L’ORGANISATION DU SYSTEME DE SANTE
2 LES RESSOURCES HUMAINES
3 SITUATION ACTUELLE DE LA SANTE BUCCO-DENTAIRE EN MAURITANIE
DEUXIEME PARTIE : RAPPELS
I -RAPPELS HISTO-PHYSIOLOGIQUES DES TISSUS DURS DE LA DENT
1.1- RAPPELS HISTOLOGIQUES
1.1.1- L’EMAIL
1.1.2 – LA DENTINE
1.1.3- LE CEMENT
1.1.3.1- LE CEMENT ACELLULAIRE : LE CEMENT FIBRILLAIRE
1.1.3.2- LE CEMENT CELLULAIRE
1.1.3.3- LE CEMENT AFIBRILLAIRE
1.2. RAPPELS PHYSIOLOGIQUES
1.2.1 L’EMAIL
1.2.1.1- LA DEMINERALISATION
1.2.1.2- LA REMINERALISATION
1.2.2- LA DENTINE
1.2.2.1- L’APPOSITION PERIPULPAIRE
1.2.2.2-L’APPOSITION INTRATUBULAIRE
1.2.2.3- LA RESORPTION PERIPULPAIRE
1.2.3- LE CEMENT
1.2.3.1- L’APPOSITION CEMENTAIRE
1.2.3.2- LA RESORPTION CEMENTAIRE
II- LA CARIE DENTAIRE
2.1-DEFINITIONS
2.2 ETIOPATHOGENIE
III-LE FLUOR DANS LA PREVENTION DE LA CARIE
3.1- MECANISME D’ACTION
3.2- TRAITEMENT DES HYPERSENSIBILITES DENTINAIRES
3.3- ROLE ANTI-BACTERIEN DES FLUORURES
3.4. LES METHODES PREVENTIVES
3.4.1- PROPHYLAXIE DE LA CARIE PAR VOIE GENERALE OU SYSTEMIQUE
3.4.1.1-.LA FLUORATION DU SEL
3.4.1.2- LES COMPRIMES AU FLUOR
3.4.1.3- LA FLUORATION DE L’EAU
3.4.2- PROPHYLAXIE DE LA CARIE PAR VOIE LOCALE OU TOPIQUE
3.4.2.1-APPLICATION DE GEL FLUORE AU CABINET DENTAIRE
3.4.2.2. APPLICATION PAR LES VERNIS
3.4.2.3 BAINS DE BOUCHE FLUORES
3.4.2.4 APPLICATION TOPIQUE DE FLUOR A DOMICILE
3.5. LES PATHOLOGIES DUES AU FLUOR ET SES DERIVES
3.5.1- INTOXICATION AIGUE
3.5.2- INTOXICATION CHRONIQUE : FLUOROSE DENTAIRE
3.5.2.1 DEFINITION
3.5.2.2. HISTORIQUE
3.5.2.3. CLASSIFICATION
IV-LES DENTIFRICES
4.1. DEFINITION
4.2. COMPOSITION
4.2 1- LES PRINCIPES ACTIFS
4.2.1.1- LES FLUORURES
4.2.1.2- LES AGENTS ANTI BACTERIENS
4.2.1.3- LES AGENTS ANTI HALITOSE
4.2.1.4- AGENTS BLANCHISSANTS
4.2.1.5- AGENTS ANTI TARTRE
4.2.1.6- LES AGENTS ANTI HYPERSENSIBILITE DENTINAIRE
4.2.2- LES EXCIPIENTS
4.2.2.1- LESAGENTS POLISSANTS OU ABRASIFS
4.2.2.2.- LES AGENTS MOUSSANTS (TENSIOACTIFS) OU DETERGENTS, EMULSIFIANTS
4.2.2.3- LES AGENTS HUMECTANTS
4.2.2.4 – LES AGENTS EPAISSISSANTS
4.2.2.5 – LES AROMES
4.2.2.6- LES AGENTS CONSERVATEURS
4.2.2.7- LES AGENTS COLORANTS
4.2.2.8-EFFETSINDESIRABLES DES EXCIPIENTS
4.3.- LES CONCENTRATIONS DES FLUORURES DANS LES DENTIFRICES
4.4- LES METHODES DE DOSAGE DU FLUOR DANS LES PATES DENTIFRICES
TROISIEME PARTIE : MESURE DU PH ET DOSAGE DE LA QUANTITE DE FLUORURES PRESENTE DANS LES PATES DENTIFRICES COMMERCIALISEES EN MAURITANIE
I- JUSTIFICATION ET OBJECTIFS
II-CADRE D’ETUDE
III- MATERIEL ET METHODES
3.1 MATERIEL
3.2 METHODES
3.2.1 VERIFICATION DES DONNEES SUR L’EMBALLAGE
3.2.2 MESURE DU POTENTIEL D’HYDROGENE (PH)
3.2.3 – DOSAGE DELA QUANTITE DE FLUORURES
3.2.3.1. PREPARATION DES SOLUTIONS
3.2.3.1.1- SOLUTION TAMPON D’AJUSTEMENT DE LA FORCE IONIQUE TOTALE
3.2.3.1.2- PREPARATION DES SOLUTIONS ETALONS
3.2.3.1.3- PREPARATION DES ECHANTILLONS
3.2.4- ETALONNAGE PAR LECTURE AU POTENTIOMETRE
3.2.5- LECTURE DES ECHANTILLONS
3.2..6-DETERMINATION PROPREMENT DITE DELA CONCENTRATION FLUORURES
IV- RESULTATS
4.1- DONNEES MENTIONNEES SUR LES BOITES
4.1.1- DATES DEFABRICATION ET DE PEREMPTION
4.1.2- FORMULES ET TENEURS EN FLUORURES
4.2- MESURE DU PH
4.3- CONCENTRATION EN FLUORURES
V- DISCUSSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE