Mémoire de fin d’études gestion des risques et des catastrophes

Mémoire de fin d’études pour l’obtention du Diplôme de MASTER en Gestion des Risques et des Catastrophes

Définitions

  Pour faciliter la compréhension du public, cette section traitera les définitions des mots clés liés à la résilience et sécurité alimentaire:
Aléa L’aléa est défini comme un phénomène dangereux, substance, activité humaine ou condition pouvant causer des pertes de vies humaines, des blessures ou d’autres effets sur la santé, des dommages aux biens, des pertes de moyens de subsistance et de services, des perturbations socio-économiques ou des dommages à l’environnement.
Aléas hydrométéorologiques C’est un processus ou phénomène de nature atmosphérique, hydrologique ou océanographique susceptible de provoquer des pertes en vies humaines, des blessures ou autre impact sur la santé, des dégâts matériels, la perte des moyens de subsistance et des services, des perturbations sociales et économiques ou une dégradation environnementale. « UNISDR Terminologie pour la Prévention des Risques de Catastrophe 2009 » (Stratégie Internationale de Prévention des Catastrophes – Nations Unies ou UNISDR, 2009)
 Aléas naturels Ils se définissent, comme un processus ou phénomène naturel qui peut causer la perte de la vie, des blessures ou d’autres effets sur la santé, des dommages aux biens, la perte de moyens de subsistance et de services, des perturbations sociales et économiques, ou des dommages environnementaux (SIPC, 2009).
Les cyclones Les cyclones sont définis comme un phénomène naturel associant le vent et l’eau. C’est un tourbillon d’air chaud, d’une taille exceptionnelle, vent de plus de 118 km/h, diamètre parfois supérieur à 1 000 km, épaisseur de plusieurs km, au total, une puissance déployée équivalente à celle de 4 à 10 bombes de type Hiroshima, se déplaçant sur l’océan à la vitesse d’un homme à bicyclette de 10 à 20 km/h, On peut le voir venir mais on ne peut pas l’éviter .Histoire des catastrophes naturelles par Pr Emilienne RAPARSON, 2014). Les zones sous l’emprise d’un cyclone sont soumises à de fortes pluies et des vents violents. Les cyclones tropicaux sont divisés en trois stades de vie : les dépressions tropicales, les tempêtes tropicales, et un troisième groupe dont le nom varie selon les régions19. Le cyclone amène du vent et des fortes pluies qui causent des dégâts sur leur passage. Le vent provoque la destruction d’habitat, des infrastructures, des cultures et des plantations. Les pluies provoquent des dégâts sur les habitats et les infrastructures, les cultures et plantations, des inondations, des pertes de vie humaine ou animale, des ensablements des rizières, des glissements de terrain.
Inondation L’inondation, c’est l’eau qui, ayant dépassé le bord de ce qui la contient, se disperse partout jusqu’à une certaine hauteur. Avec une définition plus précise, l’inondation est une « submersion temporaire de terrains normalement hors d’eau, provoquée par l’apport exceptionnel et plus ou moins rapide d’une quantité d’eau supérieure à celle que peut drainer le lit des cours d’eau
Communauté C’est un groupe qui peut partager une ou plusieurs choses en commun tels que: vivre dans le même environnement, l’exposition similaire aux risques de catastrophe, le fait d’avoir été affecté par une catastrophe, des problèmes, préoccupations et espoirs communs en matière de risques de catastrophe. Cours: « Concepts de base de la Gestion des Risques et/de Catastrophes (GRC) et de la Réduction des Risques de Catastrophes (RRC) ».
Résilience La résilience, se définit comme la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger, en temps opportun et de manière efficace, notamment par la préservation et restauration des structures essentielles se traduit et de ses fonctions de base. Ceci est déterminé par le degré dont le système social est capable de s’organiser pour augmenter sa capacité d’apprendre des désastres passés pour une meilleure protection et d’améliorer les mesures de réduction des risques (UNISDR,2009 ).
La vulnérabilité La Vulnérabilité est l’ensemble des conditions et des processus résultant des facteurs physiques, sociaux, économiques et environnementaux, qui augmentent la sensibilité des enjeux d’une communauté, d’une région, d’une nation aux effets des aléas. On parle aussi de capacité ou de résilience pour qualifier l’ensemble des conditions et de processus résultant de facteurs physiques, sociaux, économiques et environnementaux qui favorisent la faculté d’affronter et de récupérer de l’occurrence d’un phénomène extrême.
Risque En ce qui concerne le risque, le SIPC 2009 a défini le risque comme la combinaison de la probabilité d’un événement et de ses conséquences négatives. Le risque peut se catégoriser par son intensité, son étendue et la période de retour.  Un risque est une relation fonctionnelle entre aléa, vulnérabilité et résilience ; c’est l’union de l’occurrence de l’aléa avec ses enjeux. En fait, une typologie du risque pourrait se faire, il peut être : diffus, ponctuel, à propagation lente, risque d’usage, risque d’échange, ou encore risque-réseau. La priorisation du risque est en fonction de l’ampleur des dégâts qu’il affecte et ainsi l’état de vulnérabilité de la communauté.

Mesure et analyse de la résilience

  Quant à la résilience, elle reste encore difficile à mesurer, mais, le degré de résilience se fait en fonction du temps. Sa mensuration peut être : non résilient, faiblement résilient,moyennement et fortement résilient. La figure de la résilience nous montre la relation entre résilience, choc et le temps ; elle est variable et dépend de la dimension temporelle. Ce principe résume la mesure de la résilience. L’analyse de la résilience vise à mieux comprendre les causes sous-jacentes de la vulnérabilité des ménages et communautés face aux catastrophes. D’une manière générale, la résilience face aux catastrophes est caractérisé par:
– Une communauté, dans laquelle, les catastrophes sont minimisées, du fait que la population vit dans des habitations où la fourniture de service est assurée et les infrastructures obéissent à des codes de construction appropriés, excluant toute formation d’établissements humains informels sur des plaines inondables ou des pentes abruptes par manque de terrains.
– Une communauté dotée d’un gouvernement local inclusif, compétent et responsable, capable d’établir une urbanisation durable et engageant les ressources nécessaires au renforcement de ses propres capacités en matière de gestion et d’organisation avant, pendant et après l’avènement d’un aléa.
– Une communauté dont les autorités locales et la population comprennent les risques et mettent en place une base d’informations locales partagées sur les pertes, les aléas et les risques liés aux catastrophes, permettant de répertorier les personnes exposées et vulnérables.
– Une communauté dont la population est habilitée à prendre part au processus de prise de décision aux projets de développement, et qui connait la valeur des connaissances des capacités et des ressources locales.
– Une communauté ayant entrepris d’anticiper et d’atténuer l’impact des catastrophes, en intégrant les technologies de surveillance et d’alerte rapide afin de protéger les infrastructures, ainsi que de préserver l’héritage culturel, et le capital environnemental et économique. Il s’agit aussi d’une communauté ayant pris les dispositions nécessaires lui permettant de minimiser les pertes matérielles et sociales découlant des phénomènes extrêmes.
– Une communauté capable de réagir, de mettre en œuvre des stratégies immédiates de relèvement, et de rétablir les services de base pour autoriser la reprise des activités sociales, institutionnelles et économiques après le passage d’une catastrophe.

Profils économiques

Les spéculations en agriculture dans la zone d’Anakatrika L’agriculture est la principale activité de la communauté. Les principales cultures pratiquées par les communautés d’Anosivelo sont le riz, les tubercules et les légumineuses. Il est à noter aussi l’existence de la pratique des cultures de rentes comme le café, le girofle et le poivre. En général, la pratique agricole dans ce Fokontany est à base d’organisation sociale et du type familial destiné majoritairement à l’autoconsommation.
La source de revenu La vente des produits agricoles est la principale source de revenu de la communauté. En effet, la main d’œuvre journalière, dont le coût varie entre 2000 et 3000 ariary par homme et par jour, pendant la saison de culture, constitue des sources de revenus précaires. S’ajoute aussi, la vente de volaille et de produit de rente, correspond à une source de revenu supplémentaire des habitants.
Dépenses du ménage Pour l’ensemble des enquêtés, les principales dépenses de ménage, par ordre d’importance pendant le mois de mai sont liées aux frais de scolarité des enfants (40%), suivi de l’achat de nourriture durant la période de soudure (30%) et enfin, des dépenses médicales et des vêtements (20%).

Enquête liée à la Sécurité Alimentaire

Secteur Agriculture Le riz, le manioc, la patate douce et l’igname sont les principales cultures vivrières pratiquées par les communautés d’Anosivelo. La production rizicole occupe la première place dans l’agriculture et joue un rôle essentiel pour la sécurité alimentaire. C’est la principale base de l’alimentation de la population, mais parfois, touchés par les dégâts causés par les cyclones et inondations lors de la saison de production du riz vatomandry.On distingue traditionnellement deux saisons de riziculture à savoir : le vary vatomandry et le vary hosy. En général, le calendrier cultural du riz vatomandry commence au mois de novembre, pour le semis, et au mois de juin se fait la récolte. Cela coïncide avec la période cyclonique. Les habitants cultivent habituellement la variété de plants à cycle court. Tandis que le riz hosy se pratique au mois de mai jusqu’au mois de décembre. A partir, de l’année 2011, les agriculteurs ont adopté un nouveau calendrier cultural pour réduire l’effet dévastateur des cyclones et de l’inondation. Le taux d’adoption de ce nouveau calendrier cultural en riziculture est de 66,65% pour le SRA (Système de Riziculture Améliorée). Les femmes, chefs de ménages ont un taux d’adoption technique le plus élevé par rapport aux hommes, à cause de leur lourde responsabilité dans le fonctionnement du ménage. Soit, 40% des femmes chefs de ménage enquêtées utilisent le nouveau calendrier.30
Enquête liée à l’aspect genre Les femmes chefs de famille, sont généralement en charge de la nourriture au sein de leurs ménages. Il est intéressant de recueillir leur avis en dehors de toute influence exercée par les hommes de la communauté. Elles n’ont point accès à la propriété foncière que les hommes, selon la coutume locale de la région Atsimo Atsinanana. Il y a une répartition inégale des terres exploitables.

Connaissances des risques sur l’agriculture :

  Actuellement, la poche de sècheresse due à la mauvaise répartition temporelle de la pluviosité figure parmi le principal risque à craindre et perçu par 70,60% de la communauté locale, au même titre que l’inondation et le cyclone. Cette tendance confirme la projection de la pluviosité publiée par la DGM31 en 2008 prévoyant une baisse de la pluviosité durant les mois de juillet – août – septembre, même si le cas observé ne rentre maintenant que dans le cadre de la variabilité climatique régionale. La mauvaise répartition temporelle de la pluviosité n’engendre non seulement la poche de sècheresse mais aussi l’inondation des bas-fonds à cause de l’excès de pluie qui tombe en un seul moment. Pour la Région Atsimo Atsinanana, dans sa totalité, l’inondation et la poche de sècheresse sont les deux principaux facteurs de risques sur la production agricole, évalués respectivement à 47,9% et 6,2%.32 La perception des risques encourus sur l’agriculture évolue suite aux actions de sensibilisation de masse et la mise en place de la structure effectuée par la SAF FJKM dans le Fokontany.

CONCLUSION GENERALE

  Ce travail est le fruit de recherche que nous avons effectuée dans le Fokontany d’Anakatrika, commune rurale d’Anosivelo avec la collaboration étroite des membres de l’équipe de la SAF FJKM et du DMGRC dans le cadre de la préparation du diplôme de master en gestion des risques et des catastrophes. Il est à rappeler que, le renforcement de la résilience d’une communauté par rapport au cyclone et à l’inondation constitue la problématique de notre recherche. Le but de ce travail est de réduire la vulnérabilité et d’augmenter la résilience à l’insécurité alimentaire de la communauté, par elle-même et l’implication de toutes forces vives, dans la réduction des risques et de catastrophes en suivant le cadre d’action de Sendai. Pour réaliser l’objectif de cette recherche, notre travail est divisé en deux parties, dont la première partie se focalise sur la liaison entre fondement théorique et conceptuel de la GRC et la deuxième partie sur la méthodologie appliquée et l’analyse et résultats sur les stratégies de réduction de risques de  catastrophe, adoptées par la population afin de renforcer la résilience.La première partie de la recherche a traité la définition des termes techniques utilisés dans le devoir qui sont interdépendant et lien entre résilience et sécurité alimentaire. Nous avons choisi le Fokontany d’Anakatrika comme zone d’étude, car elle est très vulnérable à l’insécurité alimentaire du fait de sa situation facile à l’inondation. Le passage périodique du cyclone et de l’inondation dans la localité entraine l’augmentation de la vulnérabilité de la communauté. Les majorités des ménages pratiquent les activités agricoles qui sont effectivement susceptibles de subir les effets des aléas d’origines climatiques. Or, l’agriculture représente la première source de revenu de la population. Par conséquent, la communauté locale est fortement exposée aux aléas d’origine hydrométéorologique habituels.La seconde partie du travail a exposé sur les analyses et résultats des études sur terrain. Dans la foulée, nous avons utilisé l’approche Connaissances, Attitudes et Pratiques, afin de conscientiser la communauté au processus de la RRC par elle-même. Par conséquent, la connaissance acquise par la population entraine le changement d’attitude et du paradigme vis- à-vis des risques à l’insécurité alimentaire. L’attitude est devenue pratique adaptée au contexte locale pour l’amélioration de la résilience par rapport à l’insécurité alimentaire et la maîtrise à la gestion efficace et pérenne des risques et catastrophes. Après notre analyse sur terrain, les habitants sont convaincus que le risque est maîtrisable après l’effort déployé par l’ONG SAF FJKM depuis l’année 2009 sur le renforcement de la résilience de la population face aux risques liés au cyclone et à l’inondation. En effet, l’application des processus simples et efficaces aboutit à un résultat, pour que, la population se rebondisse vers le niveau initial, après quelques jours d’inondation, cyclone et poche sécheresse sans aide et apport extérieur. Il sait trouver les capacités nécessaires pour adapter aux aléas qui le menacent. La communauté prend en main la responsabilité dans le processus de mise en œuvre de la RRC à tous les niveaux, non seulement sur la planification mais aussi sur la démarche et suivi de la bonne fonctionnalité, pour une vision à long terme de répondre aux chocs. Le passage de divers acteurs qui interviennent à la réduction des risques et de catastrophes a donné des connaissances techniques pour atténuer et limiter les  risques, il en est de même à la transformation de la communauté en bloc autonome et sécurisé pour répondre aux chocs.

Adaptation : L’ajustement dans les systèmes naturels ou humains en réponse à des changements climatiques actuels ou attendus, ou à leurs effets, qui atténue les dommages ou en valorise les bénéfices (SPIC, 2009).
Capacité : La combinaison de toutes les forces, les attributs et les ressources disponibles au sein d’une communauté, d’une société ou d’une organisation qui peuvent être utilisés pour atteindre les objectifs convenus (SIPC, 2009).
Catastrophe : Une perturbation grave du fonctionnement d’une communauté ou une société impliquant d’importants impacts et pertes humaines, matérielles, économiques ou environnementales, que la communauté ou la société affectée ne peut affronter avec ses propres ressources.
Changement climatique : La Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) définit le changement climatique « comme un changement de climat qui est attribué directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui est, en plus de la variabilité naturelle du climat, observé sur des périodes comparables ».
Gestion des Risques de Catastrophes (UNISDR 2009) : Le processus de recours à l’utilisation systématique des directives et organisations administratives, et des capacités et compétences opérationnelles, pour mettre en œuvre des stratégies, des politiques et des capacités à faire face, améliorées, afin de réduire les impacts négatifs des aléas et la possibilité de catastrophe.
Moyen de subsistance : Agriculture, économie de subsistance. Agriculture ou économie qui répond aux besoins essentiels de la population mais ne permet pas d’excédent. Une multitude de petites économies agricoles fermées, essentiellement autochtones, où règne l’économie de subsistance et de troc (Univers écon. et soc. 1960, p. 36-37).
Réduction des Risques de Catastrophe (UNISDR 2009) : Le concept et la pratique de réduction des risques de catastrophe à travers des efforts pour analyser et gérer les facteurs causaux des catastrophes notamment par à une exposition réduite aux aléas, une vulnérabilité réduite des populations et de leurs propriétés, une gestion rationnelle (sage) des terres et de l’environnement, et une préparation améliorée face à des évènements négatifs, indésirables.

Risques de catastrophe : Préjudice potentiel causé par une catastrophe (décès, conséquence sur la santé, perte de moyens de subsistance, de biens et services) qui pourrait survenir au sein d’une communauté ou d’une société donnée, sur une période à venir précise (SIPC, 2009).
Situation de risque majeur : Personnes, biens, activités, moyens, patrimoine, systèmes… susceptibles d’être affectés par un aléa naturel ou anthropique et de subir des préjudices ou des dommages. Ils sont en situation de risque majeure. http://www.environnement.gouv.fr
Vulnérabilité : la mesure selon laquelle un système est susceptible ou incapable de faire face aux effets néfastes des changements climatiques, y compris à la variabilité et aux événements extrêmes. La vulnérabilité est fonction de la nature, de l’ampleur, et du taux de variation climatique auxquels un système est exposé, de sa sensibilité et de sa capacité d’adaptation (FAO, 2008).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CONCEPT DE BASE GRC ET CONTEXTE DE L’ETUDE
CHAPITRE I : CADRE CONCEPTUEL
Section 1 : Généralités sur la GRC
Section 2 : Définitions
Section 3 : Lien entre résilience et sécurité alimentaire
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
Section 1 : Contexte et objectifs de l’étude
Section 2 : Information sur la localité
Section 3 : Caractéristique et Profil de la communauté d’Anakatrika
PARTIE II : METHODOLOGIE, RESULTATS ET ANALYSES
CHAPITRE III : METHODOLOGIE
Section 1 : Objectifs de l’approche
Section 2 : Principes spécifiques de l’approche C.A.P
Section 3 : Analyses et résultats
CHAPITRE IV : STRATEGIE LOCALE DE LA RRC
Section 1 : Attitudes et Pratiques de la communauté
Section 2 : Le développement de la résilience communautaire
Section 3 : Suggestions
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

Mots-clés : Aléa, communauté, cyclone et inondation, résilience, risque, catastrophe, sécurité alimentaire et vulnérabilité.

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