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Spécialité utilisée en urgence
HTA, essentielle sévère, HTA maligne, HTA avec insuffisance rénale
Crise hypertensive, HTA pulmonaire, insuffisance ventriculaire gauche; insuffisance cardiaque congestive
Effets secondaires
Fièvre, œdème, tachycardie; hypotension orthostatique; éruption cutanée; urticaire, nausées, vomissements; diarrhées; constipations; céphalées, vertiges; anxiété, palpitations, flush, rétention hydrosodée; exceptionnellement: douleurs angineuses, troubles du rythme ventriculaire, exanthème, prurit.
Contre indications
Insuffisance cardiaque à débit élevé,
Hypersensibilité aux dérivés de l’hydralazine; angor instable; grossesse.
Présentation
Préparation injectable en IV 25 mg
Posologie
Dose usuelle par voie IM: Injection de 12 mg et demi à 25 mg, à renouveler en fonction de la réponse tensionnelle.
Dose usuelle par voie IV: perfusion à la dose de 12 mg et demi à 25 mg/H.
Chez l’insuffisant rénal: espacer les prises.
ANTIARYTHMIQUES
Ce sont des médicaments qui modifient les propriétés électrophysiologiques cardiaques en agissant sur la cinétique transmembranaires des ions.
Les antiarythmiques sont destinés à prévenir ou à traiter les troubles du rythme cardiaque qui constituent un ensemble de symptômes divers.
En fonction du mode d’action, on a 4 classes:
Classe I; inhibe le canal sodique entrant : quinidine, disopyramide, procaïnamide, lidocaïne, diphénylhydantoïne, flécaïne, cibenzoline, propafénone.
Classe II; bêta bloquants, inhibe l’action des catécholamines : ß-bloquants = Esmolol, aténolol, propanolol…
Classe III; inhibe le canal potassique sortant : amiodarone, Sotalol, ibutilide, dofétilide, azimilide.
Classe IV; inhibe le canal calcique lent : inhibiteurs calciques = Diltiazem, vérapamil, bépridil.
Antiarythmiques de classe I a
Définition
Les agents de ce groupe prolongent la durée du potentiel d’action, ce qui se manifeste dans l’ECG par un allongement de l’intervalle QT.
Mécanisme d’action
Ils agissent en bloquant les canaux Na+voltage dépendants (ouverts), ralentissent la phase 0 et allongent la période réfractaire effective. Les médicaments de cette classe induisent un blocage dépendant de la fréquence d’utilisation, au cours de la diastole, lorsque les canaux Na+ sont fermés. Ils se dissocient relativement lentement.
Spécialités utilisées en urgence
Disopiramide RYTHMODAN*
Indications
Traitement des crises de tachycardie paroxystique supra ventriculaire, rechutes de flutter ou FA, troubles du rythme ventriculaires au cour de l’infarctus du myocarde en dehors de la phase aiguë.
Traitement curatif des extrasystoles auriculaires ou ventriculaires.
Traitement des fibrillations et flutter auriculaires.
Effets indésirables
Augmentation du QRS et QT (bloc sino-auriculaire, blocs auriculoventriculaires et/ou intraventriculaires)
Aggravation ou apparition de troubles du rythme ventriculaire lors de flutter (tachycardie ventriculaire, fibrillation ventriculaire, torsades de pointes).
Hypotension; effets anticholinergiques (œil; sécrétion; sphincters)
Epigastralgies, nausées, vomissements, anorexie, diarrhée, Impuissance.
Contre indications
Hypersensibilité au disopyramide.
Insuffisance cardiaque, BAV.
Associations avec d’autres antiarythmiques de même classe.
Présentations
. Gélules 100 mg.
. Ampoules injectables 50 mg = 5 ml
Posologie
300 à 600 mg/J pour gélules.
1,5 mg /kg en 10 min ou 100 mg en une H puis relais par perfusion IV lente (25 mg/H).
Cibenzoline CIPRALAN*
Indications
Formes orales: prévention des récidives des tachycardies ventriculaires menaçant le pronostic vital, des récidives des tachycardies ventriculaires symptomatiques et invalidantes et des tachycardies supra ventriculaires en l’absence d’altération de la fonction ventriculaire gauche.
Formes injectables : tachycardies ventriculaires, tachycardies ventriculaires symptomatiques et invalidantes et tachycardies supra ventriculaire en l’absence d’altération de la fonction ventriculaire gauche.
Effets indésirables
Ralentissement de la conduction cardiaque, variations modérées de la FC, baisse tensionnelle modérée, poussées d’insuffisance cardiaque en cas de cardiopathies sévères.
Gastralgies, nausées, vomissements, diarrhée, tremblement, vertiges, asthénie, troubles de la vue.
Contre indications
Infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, BAV, dysfonctionnement sinusal et maladie de l’oreillette.
Hypersensibilité connue à la cibenzoline, grossesse.
Association aux bêtabloquants utilisés dans l’insuffisance cardiaque ou association aux anti-arythmiques de classe I.
Présentations
. Capsules 130 mg.
. Ampoules injectables 10 ml = 100 mg
Posologies
Deux capsules (260 mg) en 24 H.
Injection IV initiale de 1mg/kg en 2 min, puis relais par une perfusion IV de 8 mg/kg sur une durée de 24 H.
Antiarythmiques de classe I b
Définition
Les antiarythmiques de ce groupe réduisent la durée du potentiel d’action et la période réfractaire.
Mécanisme d’action
Augmentation du seuil de fibrillation, raccourcissement de la repolarisation agissant surtout à l’étage ventriculaire particulièrement sur les fibres de Purkinje.
Spécialité utilisée en urgence
Lidocaine LIDOCAINE1%* LIDOCAINE2%* Lidocaine ADRENALINE2 % *
Indications
Prévention et traitement du rythme ventriculaire à la phase aiguë de l’infarctus myocardique, au cours de la chirurgie cardiaque ou générale, des explorations cardiaques intra cavitaires, des traitements digitaliques.
Effets indésirables
Réactions allergiques: urticaire ; oedème sous cutané, toux, bronchospasme, oedème laryngé, chute tensionelle.
Contre indications
Allergie à la lidocaine, choc cardiogenique, troubles permanents de la conduction intracardiaque notamment BAV complet en l’absence d’entraînement éléctrosystolique, antécédents neuropsychiques graves notamment convulsifs; troubles hépatiques graves.
Présentation
. Solution injectable 200 mg/20 ml=lidocaine 1%
. Solution injectable 400 mg/20 ml=lidocaine 2%
. Solution injectable ampoule de 10 ml = lidocaine adrénaline 2%.
Posologie
. 100 mg IV lente à répéter 1 à 2 fois (attendre 10 à 15 min).
. Nourisson et enfant : dose maximale : 3 à 10mg/kg.
. Perfusion 1 – 4 mg/min.
Antiarythmiques de classe I c
Définition
Les médicaments de ce groupe ont des effets sur la durée du potentiel d’action puisqu’ ils peuvent la diminuer dans les fibres de Purkinje ou l’influencer dans les 2sens ou pas du tout dans les muscles ventriculaires.
Mécanisme d’action
Dépression de la phase 0 du potentiel d’action, ralentissement de la conduction, effet minimal sur la repolarisation agissant au niveau ventriculaire et supra ventriculaire, ayant un effet inotrope négatif modéré ne modifiant pas la FC et la tension artérielle.
Spécialité utilisée en urgences
Flecanide FLECAINE* a- Indications [31]
Troubles du rythme ventriculaire mettant en jeu le pronostic vital immédiat, notamment les tachycardies ventriculaires et supraventriculaires.
Effets indésirables
Possibilités de poussées d’insuffisance cardiaque sévère voire de choc cardiogenique dans les cardiopathies sévères et d’aggravation des troubles de la conduction, ralentissement de la conduction cardiaque.
Nausées, céphalées, asthénie, troubles digestifs, troubles neuro sensoriels.
Contre indications
BAV; Bloc de branche gauche complet ; infarctus du myocarde aigu ou ancien sauf en cas d’arythmie ventriculaire mettant en jeu le pronostic vital, insuffisance cardiaque sévère, grossesse ou allaitement.
Association aux bêtabloquants utilisés dans l’insuffisance cardiaque ou association aux anti-arythmiques de classe I.
Antiarythmiques de classe II
Ce sont les bêtas bloquants qui, à l’exception du sotalol, appartiennent
cette classe. Ils jouent un rôle important dans la prévention primaire et secondaire de la mort subite en cas d’affections cardiaques graves sous-jacentes.
Définition
Les bêtabloquants sont des inhibiteurs compétitifs spécifiques mais réversibles des effets des catécholamines sur les récepteurs bêta adrénergiques. Ils sont considérés comme des antagonistes de la noradrénaline.
Mécanisme d’action
Les bêtabloquants sont des antagonistes spécifiques des effets β-adrénergiques des catécholamines au niveau des récepteurs du cœur et des vaisseaux.
L’ensemble des effets pharmacologiques et thérapeutiques résulte de l’inhibition des récepteurs bêta localisés sur les cellules des muscles lisses (vaisseaux bronches) ce qui provoque une diminution, voire une suppression des effets dus à leur stimulation par les catécholamines endogènes. A noter que plus la stimulation endogène est forte plus les effets sont importants.
Le blocage des récepteurs bêta entraîne une abolition du tonus sympathique au niveau des organes intéressés. Le blocage est réversible en fonction du composé utilisé et du malade.
Leur action antihypertensive proviendrait de la diminution du débit cardiaque par baisse de la force de contraction et de la fréquence cardiaque.
Une action au niveau du système nerveux central plus exactement au niveau présynaptique, doit être prise en compte. Le mécanisme consisterait en une inhibition de la libération de la noradrénaline. En fait il semblerait que l’activité antihypertensive soit liée à plusieurs mécanismes mis en jeu simultanément ou successivement. Aussi, quelle que soit la physiopathologie de l’hypertension, les bêtas bloquants sont très efficaces. Ils ont une action bathmotrope, dromotrope, inotrope et chronotrope négative.
Mécanisme d’action
Ces composés augmentent fortement l’excrétion urinaire d’eau et de nombreux électrolytes: Na+, K+, Cl-, Ca2+, Mg2+, PO4-, NH4+, HCO3-.
On distingue trois catégories principales de diurétiques en fonction des sites d’action au niveau du tubule rénal :
Ceux qui inhibent la réabsorption du sodium au niveau de la branche ascendante de l’anse de Henlé : diurétiques de l’anse : principalement représentés par le furosémide (Lasilix*) et le bumétanide (Burinex*).
Ceux qui inhibent la réabsorption de sodium au niveau du tube contourné distal : les thiazides et apparentés.
Ceux qui inhibent la réabsorption de sodium au niveau du tube contourné distal et surtout du tube collecteur (diurétiques distaux).
Les diurétiques de l’anse abolissent l’hyperosmolarité interstitielle de la médullaire rénale et suppriment ainsi la capacité de concentration maximale des urines, ils exercent leur effet principalement du coté luminal; par une inhibition du cotransporteur NA+K+/2Cl-. L’inhibition du cotransport provoque une diminution de réabsorption nette et de la concentration intracellulaire de NaCl ainsi qu’une atténuation marquée du potentiel transepithelial, la réabsorption de K+ est fortement diminuée, une sécrétion nette pouvant même être observée, cet effet rend compte en partie de la kaliurese induite par ce groupe de diurétiques, l’excrétion urinaire de K+ est par ailleurs fortement accrue par l’augmentation de la quantité d’urine
tubulaire entrant dans le néphron distal, à la suite de l’inhibition de réabsorption distale dans la branche ascendante de l’anse.
Spécialité utilisée en urgence
Furosemide LASILIX* a- Indications [31]
HTA, oedèmes rénaux, hépatiques, ou au cours de l’insuffisance cardiaque congestive, insuffisance rénale aigue, hypercalcemie.
OAP, asystolie; rétentions sodées sévères d’origine cardiaque rénale ou cirrhotiques.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE I : RAPPELS SUR L’URGENCE MEDICALE
1‐ Définition de l’urgence
2‐ Importance du facteur temps
3‐ Bilan de gravité
3‐1‐ Signes de gravité neurologique et neuropsychique
3‐1‐1‐ Troubles de la conscience
3‐1‐2‐ Convulsions
3‐1‐3‐ Troubles pupillaires
3‐2‐ Signes de gravité respiratoire
3‐3‐ Signes de gravité cardio‐vasculaire
3‐3‐1‐ Etat du pouls
3‐3‐2‐ Pression artérielle
3‐3‐3‐ Coloration
CHAPITRE II : MEDICAMENTS D’URGENCE DU SYSTEME CARDIOVASCULAIRE
1‐ MEDICAMENTS CARDIOTONIQUES
1‐1‐ Digitaliques cardiotoniques
1‐1‐1‐ Définition
1‐1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐ Catécholamines
2‐1‐ Adrénaline
2‐1‐1‐ Définition
2‐1‐2‐ Mécanisme d’action
2‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐2‐ Noradrénaline
2‐2‐1‐ Définition
2‐2‐2‐ Mécanisme d’action
2‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐3‐ Dopamine
2‐3‐1‐ Définition
2‐3‐2‐ Mécanisme d’action
2‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐4‐ Dobutamine
2‐4‐1‐ Définition
2‐4‐2‐ Mécanisme d’action
2‐4‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ ANTAGONISTES DES RECEPTEURS MUSCARINIQUES
3‐1‐ Atropine
3‐1‐1‐Définition
3‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
4‐ VASODILATATEURS
4‐1‐ Dérivés nitrés
4‐1‐1‐ Définition
4‐1‐2‐ Mécanisme d’action
4‐1‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
4‐1‐3‐1‐ Trinitrine SUBLINGUALE TRINITRINE*
4‐1‐3‐2‐Trinitrine NATISPRAY FORT * (ou NATISPRAX*)
4‐1‐3‐3‐Trinitrine LENITRAL*
4‐1‐3‐4‐Isosorbide Dinitrate RISORDAN*
5‐ ANTIHYPERTENSEURS
5‐1‐ Antihypertenseurs à action centrale
5‐1‐1‐ Définition
5‐1‐2‐ Mécanisme d’action
5‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
5‐2‐ Inhibiteurs calciques
5‐2‐1‐ Définition
5‐2‐2‐ Mécanisme d’action
5‐2‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
5‐2‐3‐1‐Nicardipine LOXEN*
5‐2‐3‐2‐Nifedipine ADALATE*
5‐3‐1‐ Définition
5‐3‐2‐ Mécanisme d’action
5‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
5‐4‐ Antihypertenseurs vasodilatateurs
5‐4‐1‐ Définition
5‐4‐2‐ Mécanisme d’action
5‐4‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
6‐ ANTIARYTHMIQUES
6‐1‐ Antiarythmiques de classe I
6‐1‐1‐ Anti‐ arythmiques de classe Ia
6‐1‐1‐1‐Définition
6‐1‐1‐2‐ Mécanisme d’action
6‐1‐1‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
6‐1‐1‐3‐1‐ Disopiramide RYTHMODAN*
6‐1‐1‐3‐2‐ Cibenzoline CIPRALAN*
6‐1‐2‐ Anti‐ arythmiques de classe Ib
6‐1‐2‐1‐Définition
6‐1‐2‐2‐ Mécanisme d’action
6‐1‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
6‐1‐3‐ Anti‐ arythmiques de classe Ic
6‐1‐3‐1‐Définition
6‐1‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
6‐2‐ Antiarythmiques de classe II
6‐2‐1‐ Définition
6‐2‐2‐ Mécanisme d’action
6‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
6‐3‐ Antiarythmiques de classe III
6‐3‐1‐ Définition
6‐3‐2‐ Mécanisme d’action
6‐3‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
6‐3‐3‐1‐Sotalol SOTALEX*
6‐3‐3‐2‐Amiodarone CORDARONE*
6‐4‐ Antiarythmiques de classe IV
7‐ DIURETIQUES
7‐1‐ Définition
7‐2‐ Mécanisme d’action
7‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
8‐ ANTICOAGULANTS
8‐1‐ Héparine standard
8‐1‐1‐ Définition
8‐1‐2‐ Mécanisme d’action
8‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
8‐2‐1‐ Définition
8‐2‐2‐ Mécanisme d’action
8‐2‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
8‐2‐3‐1‐Enoxaparine LOVENOX*
8‐2‐3‐2‐ Dalteparine FRAGMIN*
8‐3‐ Anti vitamines K (AVK)
8‐3‐1‐ Définition
8‐3‐2‐ Mécanisme d’action
8‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
CHAPITRE III : MEDICAMENTS D’URGENCE DU SYSTEME NERVEUX
1‐ NEUROLEPTIQUES
1‐1‐ Définition
1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
1‐3‐1‐ Phénothiazines vraies
1‐3‐1‐1‐ Chlorpromazine LARGACTIL *
1‐3‐1‐2‐ Levopromazine NOZINAN*
1‐3‐2‐ Butyrophénones
2‐ ANTIEPILEPTIQUES
2‐1‐ Définition
2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ ANXIOLYTIQUES
3‐1‐ Définition
3‐2‐ Mécanisme d’action
3‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
3‐3‐1‐ Benzodiazépines
3‐3‐1‐1‐Diazepam. VALIUM*
3‐3‐1‐2‐ Clorazepate TRANXENE*
3‐3‐2‐ Hydroxyzine
CHAPITRE IV : MEDICAMENTS DE L’URGENCE RESPIRATOIRE
1‐ BETA 2 MIMETIQUES A ACTION RAPIDE
1‐1‐ Définition
1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
1‐3‐1‐Terbutaline BRICANYL*
1‐3‐2‐ Salbutamol VENTOLINE*
2‐ CORTICOÏDES
2‐1‐ Définition
2‐2‐ Mécanisme d’action
2‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
2‐3‐1‐ Hemisuccinate HYDROCORTISONE HYDROCORTISONE*
2‐3‐3‐ Dexaméthasone SOLUDECADRON*
2‐3‐4‐ Methyl Prednisolone SOLUMEDROL *
3‐ OXYGENOTHERAPIE
CHAPITRE V : ANTIBIOTIQUES EN URGENCE
1‐ BETALACTAMINES
1‐1‐ Définition
1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐ Pénicilline
1‐3‐1‐ Pénicilline du groupe G
1‐3‐1‐1‐ Définition
1‐3‐1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐3‐2‐ Pénicilline A
1‐3‐2‐1‐ Définition
1‐3‐2‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐2‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
A‐ Ampicilline TOTAPEN*
B‐ Amoxicilline AXYMICINE * AMOXYL *
1‐3‐3‐ Associations avec les bêtalactamases
1‐3‐3‐1‐ Définition
1‐3‐3‐2‐ Mécanisme d’action
A‐ Amoxicilline + Acide Clavulanique AUGMENTIN*
CLAVULIN*
B‐ Ampicilline + Sulbactam UNASYN*
1‐3‐4‐ Pénicilline M
1‐3‐4‐1‐ Définition
1‐3‐4‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐4‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐4‐ Céphalosporines
1‐4‐1‐ Céphalosporines de 1ère génération
1‐4‐1‐1‐ Définition
1‐4‐1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐4‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐4‐2‐ Céphalosporines de 2ème génération
1‐4‐2‐1‐ Définition
1‐4‐2‐2‐ Mécanisme d’action
1‐4‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐4‐3‐ Céphalosporines de 3ème génération
1‐4‐3‐1‐ Définition
1‐4‐3‐2‐ Mécanisme d’action
1‐4‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐ AMINOSIDES
2‐2‐ Mécanisme d’action
2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ QUINOLONES
3‐1‐ Définition
3‐2‐ Mécanisme d’action
3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
4‐ ANTIAMIBIENS
4‐1‐ Définition
4‐2‐ Mécanisme d’action
4‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
CHAPITRE VI : ANTALGIQUES
1‐ ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES
1‐1‐ Paracétamol
1‐1‐1‐ Définition
1‐1‐2‐ Mécanisme d’action
1‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐2‐ Acétyl salicylate de lysine
1‐2‐1‐ Définition
1‐2‐2‐ Mécanisme d’action
1‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
1‐3‐ Anti‐inflammatoires non stéroïdiens
1‐3‐2‐ Mécanisme d’action
1‐3‐3‐ Spécialités utilisées en urgence
1‐3‐3‐1‐ Ketoproféne PROFENID*
1‐3‐3‐2‐ Diclofénac VOLTARENE*
1‐3‐3‐3‐ Piroxicam FELDENE*
2‐ ANTALGIQUES PERIPHERIQUES DU PALLIER II
2‐1‐ Codéine
2‐1‐1‐ Définition
2‐1‐2‐ Mécanisme d’action
2‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐2‐ Dextropropoxyphène
2‐2‐1‐ Définition
2‐2‐2‐ Mécanisme d’action
2‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ ANTALGIQUES DU PALLIER III OU ANTALGIQUES MORPHINIQUES
3‐1‐ Morphine
3‐1‐1‐ Définition
3‐1‐2‐ Mécanisme d’action
3‐1‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐2‐ Pethidine
3‐2‐2‐ Mécanisme d’action
3‐2‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐3‐ Buprénorphine
3‐3‐1‐ Définition
3‐3‐2‐ Mécanisme d’action
3‐3‐3‐ Spécialité utilisée en urgence
CHAPITRE VII : ANTISPASMODIQUES
1‐ Définition
2‐ Antispasmodiques anticholinergiques
2‐1‐ Mécanisme d’action
2‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ Antispasmodiques musculotropes
3‐1‐ Mécanisme d’action
3‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
CHAPITRE VIII : ANTIEMETIQUES
1‐ Définition
2‐ Antiémétiques antidopaminérgiques
2‐1‐ Métoclopramide
2‐1‐1‐ Mécanisme d’action
2‐1‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐2‐ Métopimazine
2‐2‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
2‐3‐ Dompéridone
2‐3‐1‐ Mécanisme d’action
2‐3‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
3‐ Antagonistes des récepteurs 5‐HT3
3‐1‐ Ondansétron
3‐1‐1‐ Mécanisme d’action
3‐1‐2‐ Spécialité utilisée en urgence
4‐ Antihistaminiques et anticholinergiques
5 ‐ Stéroïdes
CHAPITRE IX : INHIBITEURS DE LA POMPE A PROTONS
1‐ Définition
2‐ Mécanisme d’action
3‐ Spécialité utilisée en urgence
CHAPITRE X : ANTIDOTES
1‐ Définition
2‐ Mécanisme d’action
3‐ Intoxication par les organophosphorés
3‐1‐ Définition
3‐2‐ Symptômes d’intoxications
3‐2‐1‐ Intoxication légère
3‐2‐3‐ Intoxication grave
3‐3‐ Traitement
4‐ intoxication par AVK
CHAPITRE XI : SOLUTES MASSIFS
1‐ BICARBONATE DE NA 1.4% solution isotonique
2‐ Chlorure de sodium (NACL) 0.9% solution isotonique
3‐ Chlorure de sodium (NACL) 0.9% solution hypertonique
4‐ Mannitol
5‐ Sérum glucosé isotonique 5%
6‐ Sérum glucosé hypertonique 10%
7‐ Sérum glucosé hypertonique 15%
8‐ Sérum glucosé hypertonique 30%
CHAPITRE XII : SERUM ANTITETANIQUE ET SERUM ANTIRABIQUE
1‐ SERUM ANTITETANIQUE
2‐ SERUM ANTIRABIQUE
CHAPITRE XIII : ANTIPALUDEENS
1‐ Définition
2‐ Mécanisme d’action
3‐ Spécialité utilisée en urgence
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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