REGULATION DE LA CROISSANCE
La croissance chez le poulet de chair est contrôlée comme chez les autres mammifères par les facteurs hormonaux et métaboliques.
ROLE DES FACTEURS HORMONAUX
Rôle de l’hormone de croissance ou hormone somatotrope
L’hormone somatotrope d’origine adénohypophysaire stimule sur le plan biologique la croissance des os en longueur et en épaisseur en synergie avec d’autres hormones dont l’hormone thyroïdienne. Cette action est plus marquée chez les jeunes poulets, se traduisant par une activation spécifique des cartilages de conjugaison qui s’hypertrophient de façon considérable. Une synthèse insuffisante de l’hormone de croissance entraîne le nanisme (33) .
Mais l’hormone somatotrope agit aussi sur la croissance des cellules, les cellules cartilagineuses qui semultiplient activement, augmentent de taille. Ainsi, l’injection d’hormone de croissance permet de corriger une diminution du nombre de noyaux dans la masse musculaire, suite à l’hypophysectomie pratiquée sur des rats de 21 jours.
L’hormone de croissance ou somatotrope stimule principalement le chondrogène et accessoirement l’ostéogenèse. De plus cette hormone a un pouvoir anabolisant très marqué (32).
Rôle des hormones thyroïdiennes
La thyroïde par ses hormones que sont la triiodo thyronine ou thyroxine et la tétra iodo thyronine, règle la croissance osseuse comme l’ont montré les travaux de Winchester cité par Kayser (32). En effet, ce dernier a montré que les poulets de 7 semaines ayant subi une thyroïdectomie n’avaient pas augmenté de taille et de conclure que l’impact d’hormones thyroïdiennes sur la croissance est la résultante de son action sur un très grand nombre deprocessus biochimiques nécessaires à un développement statural et pondéral normal.
En absence de thyroïde, la croissance est arrêtée dans toutes les espèces.
L’insuffisance thyroïdienne entraîne une croissance dysharmonieuse, les noyaux d’ossification épiphysaire demeurent fragmentaires et ne parviennent pas à se souder. Par contre, une hyperthyroïdie modérée peut entraîner une certaine accélération de la croissance,mais pas de gigantisme. En conclusion, les hormones thyroïdiennes agissent en union avec l’hormone de croissance, notamment en favorisant le développement du cartilage sérié, l’apparition des points d’ossification et la pénétration du cartilage hypertrophique par les axes conjonctivo-vasculaires (35).
Rôle des hormones gonadiques
Selon Lapras (35), elles ont dans l’ensemble, un effet positif sur la croissance osseuse.
Les oestrogènes provoquent une ostéoblastose et s’opposent à l’ostéolyse.
Les androgènes augmentent l’anabolismeprotidique, diminuent la résorption osseuse et favorisent la rétention du calcium dans l’organisme (14).
Une carence en oestrogènes se produisant avant lafin de la puberté peut empêcher la soudure des épiphyses. Aussi une carence en androgènes pendant la phase de croissance pré-pubertaire peut provoquer un arrêt de la croissance (59).
Rôle de la Parathormone
Sécrété par les glandes parathyroïdes, son effet sur le squelette vise à une stimulation de l’ostéolyse et, une inhibition de l’ostéogenèse. Cet effet aboutit à une déminéralisation de la matrice osseuse (59). Paradoxalement, l’addition de la parathormone à une culture cellulaire des os d’un embryon de poulet aiguillonne la formation osseuse.
En outre, on a observé un développement du tissu osseux chez les patients atteints d’hyperparathyroïdie primaire (28).
Rôle de la Calcitonine
C’est un peptide de 32 acides aminés, sécrété chez les poulets par le corps ultimo branchial (28). Elle agit sur la croissance en éliminant l’action des enzymes collagénolytiques, ce qui conduit à inhiber larésorption de la matrice de l’os et donc favorise la croissance.
A ces facteurs hormonaux s’associent les facteurs métaboliques dans la régulation de la croissance.‘
ROLE DES FACTEURS METABOLIQUES
A l’instar des vitamines qui jouent unrôle primordial dans la croissance osseuse, tous les autres minéraux contribuent pour une part importante à l’édification osseuse. Les oligo-éléments n’en sont pas moins indispensables. Le calcium et le phosphore sont les éléments les plus importants (40).
Apportée par l’alimentation ou synthétisée au niveau de lapeau à partir du cholestérol, sous l’action des radiations ultraviolettes du soleil, la vitamine D sous sa forme active 1, 25(OH)2D3 obtenue suite à une double hydroxylation dans le foie puis dans les reins, agit sur l’os pour permettre la fixation du calcium. Sa carence entraîne le rachitisme avec des anomalies d’ossification remarquable chez les jeunes en croissance. Elle a donc une influence positive sur la croissance (44).
D’une manière générale la 1,25(OH)2D3 stimule l’absorption digestive du calcium. Sa synthèse chez certaines espèces animales dont les volailles est stimulée par l’hormone de croissance (26).
En plus de ces facteurs hormonaux et métaboliques qui régulent la croissance, il existe d’autres facteurs liés à l’animalet à son environnement qui interviennent pour modifier ou accélérer la croissance des poulets de chair.
Influence des facteurs génétiques
Giodani cité par Ndiagne(48 ) a montré, en faisant une comparaison de trois souches de poules commerciales à savoir Cobb 500, Ross 208 et Ross 308, qu’il y a des différences non négligeables de poids à 8 semaines d’âge. Cela témoigne de l’influence des facteurs génétiques et plus précisément des gènes sur la croissance du poulet de chair.
A ces facteurs viennent s’ajouter des facteurs environnementaux et alimentaires, c’est à dire des facteurs extrinsèques.
FACTEURS EXTRINSEQUES
Facteurs environnementaux
Il s’agit des facteurs d’ambiance, physiques et sanitaires qui peuvent compromettre la croissance.
Facteurs d’ambiance
La température
Chez les volailles en croissance, la température est capable de modifier en même temps la vitesse de croissance, la consommation alimentaire et l’état d’engraissement des oiseaux. Une température supérieure à 25°C compromet la prise de poids par réduction de la consommation alimentaire (33); ceci est d’autant plus marqué lorsque la température passe de 32°C à 36°C : il y a une diminution de l’ingéré alimentaire d’environ 4,2 g/ adulte/jour (57) ce qui évidemment entraîne une chute de production (17).
En climat chaud et hygrométrie élevée, les performances des animaux sont inférieures à celles des animaux en climat chaud et hygrométrie modérée.
La densité
C’est l’un des principaux facteurs de l’intensification de la production avicole car elle permet d’apprécier laquantité de viandeproduite par m 2 de poulailler (27) . Au démarrage, la densité est de 40 à 50 poussins / m 2 . Elle ne dépasse pas 10 à12 oiseaux / m 2 pendant la phase de croissance – finition (29).
D’après les travaux de Ricard (53), les poulets élevés à forte densité ont une vitesse de croissance et un angle de poitrine significativement plus faible que ceux élevés à faible densité. En plus, la faible densité s’accompagne d’un plus fort pourcentage de carcasses classées en première catégorie(53), et d’une faible fréquence des anomalies des pattes (15). L’influence des densités élevées sur les performances de croissance est d’autant plusmarquée que la température est élevée (10).
A ces effets qui sont des contraintes majeures en élevage en raison des pertes économiques considérables qu’ils engendrent enterme de mortalité et de baisse de production ( croissance), viennent s’ajouter des facteurs physiques.
Facteurs physiques
Ils sont constitués par les manifestations d’animaux pendant le transport, la vaccination, une forte densité et des bruits brusques qui engendrent le stress des animaux.
Ces facteurs peuvent entraîner à la longue l’épuisement et un effet immunodépresseur des animaux qui y sont exposés, la conséquence étant une diminution de l’ingéré alimentaire (6).
En transportant des poulets de chair en croissance – finition d’un bâtiment à l’autre, Tanko (58) a observé une diminution significative de la consommation alimentaire liée au stress.
Facteurs sanitaires
Ce sont des pathologies d’origine parasitaire ou infectieuse de loin les plus agressives, responsables dela mortalité ou du retard de croissance dans les élevages (34). Suivant la virulence des germes, la pression d’infestation parasitaire et l’état de réceptivité du sujet, l’affection peut se traduire par un simple retard de croissance ou la mort par suite de l’expression des signes cliniques.
En dehors de ces facteurs environnementaux, la croissance des poulets de chair est influencée par d’autres facteurs qui peuvent être alimentaires.
Facteurs alimentaires
La croissance et le rendement musculaire accrus des poulets de chair, sont valorisés par une alimentation plus concentrée en énergie métabolisable et en acides aminés disponibles pour la synthèse protéique (31).
Ces facteurs sont en relation avec l’eau, principal facteur limitant de toute production et à la consommation d’aliment, qui sont étroitement liées.
L’eau
Les effets de la privation d’eau se répercutent plus rapidement sur la croissance et sur la ponte que le manque d’aliment. La privation d’eau gêne en tout cas la consommation d’aliment. Le sous-abreuvement entraîne peu de mortalité mais affecte la croissance, l’état général (24).
L’aliment
L’aliment intervient pour influencer lacroissance par sa composition et par sa présentation physique.
La composition de l’aliment
L’aliment, doit fournir aux volailles etdonc les poulets de chair tous les constituants permettant le renouvellement de la matière vivante, son accroissement éventuel (croissance) pour pouvoir transformer l’aliment en viande avec la meilleure efficacité ; l’animal a besoin des glucides, lipides et des protéines, qui lui apportent l’énergie et la matière pour sa croissance.
Constituants Energétiques
L’accroissement de la concentration énergétique de l’aliment entraîne toujours une amélioration de l’indice de consommation (30). Telle est l’observation faite par D’alfonso (19) envariant le taux d’énergie de 2530 à 2814 puis 3009 Kcal / Kg d’aliment.
La recommandation classique est de 3200 Kcal/Kg d’aliment aussi bien en phase de croissance qu’en finition chez le poulet de chair.
ANATOMIE DU TUBE DIGESTIF DES OISEAUX
Les dimensions des diverses parties du tractus digestif varient avec la taille de l’oiseau, la nature du régime alimentaire et autres facteurs. Les oiseaux mangeant une nourriture grossière, fibreuse, ont tendance à avoir un tube digestif plus développé, ainsi que les oiseaux granivores.
BOUCHE ET PHARYNX
Les oiseaux ne possèdent pas de dentition et la plupart d’entre eux ne possèdent pas de palais mou, cette absence les obligeant à relever la tête pour faciliter la déglutition. Leurs glandes salivaires sont d’importance variable suivant les espèces : faiblement développées chez les espèces aquatiques par exemple.
OESOPHAGE ET JABOT
L’œsophage de la majorité des oiseaux est relativement long : 15 – 20 cm chez la poule adulte. Son diamètre dépend du régime alimentaire de l’oiseau : faible diamètre chez les insectivores et les granivores.
La taille et la forme du jabot varient suivant les habitudes alimentaires. Cet organe peut être unilobulaire, bilobé ou fusiforme. Lejabot de certains oiseaux granivores est bilobé et large, voire très large : chez d’autres, comme les insectivores, il est rudimentaire ou absent. Le jabot joue un rôle non négligeable dans la régularisation du transit alimentaire par sa fonction de stockage des aliments ingérés.
PROVENTRICULE OU VENTRICULE SUCCENTURIE
Le proventricule ou estomac glandulaire est un organe fusiforme dont la taille varie suivant les espèces : il est relativement petit chez beaucoup d’espèces, mais devient large et distensible chez les oiseaux marins. Sa muqueuse contient les glandes gastriques souvent unicellulaires, sécrétant l’acide chlorhydrique et la pepsine.
GESIER
Le gésier ou estomac musculaire, dans lequel le bol alimentaire est broyé et macéré, est caractérisé par un développement musculaire massif chez les granivores. La présence de petits cailloux dans cette poche permet à l’oiseau d’y broyer des graines. L’action du gésier est très réduite lorsque les volailles sont nourries avec des farines. Chez d’autres espèces, le gésier est moins musculeux et peut être long, sacculaire et distensible.
INTESTIN GRELE
Comparativement, l’intestin grêle des oiseaux est moins long que celui des mammifères : il est plus long chez les oiseaux herbivores et granivores que chez les oiseaux carnivores. L’essentiel de la digestion des aliments se déroule dans cette partie du tube digestif.
GROS INTESTIN, CÆCUM ET CLOAQUE
Les cæca sont situés à la jonction de l’intestin grêle et du gros intestin. Chez les granivores, ils sont au nombre de deux et spécialement gros et proéminents, alors que chez d’autres oiseaux, ils peuvent être unique, rudimentaires, voire absents.
Le gros intestin est relativement- court chez la plupart des espèces. Il n’ y a pas de ligne marquée de démarcation entre celui – ci et le rectum. Au point de vue biochimique, il se produit dans le gros intestin certaines synthèses, comme celle de la vitamine B12, qui peuvent profiter par la suite à l’oiseau qui est coprophage.
Le cloaque est la formation communedans laquelle débouchent le gros intestin, les voies urinaires et le tractus génital.
MECANISMES GENERAUX DUCONTROLE DE LA PRISE DE NOURRITURE.
LES CENTRES DE REGULATION DE LA PRISE DE NOURRITURE
Les différents centres intervenant dans le contrôle de la prise de nourriture sont présentés dans la figure 3. D’une manière classique, deux centres jouent un rôle important :
9 Les noyaux ventro-médians ( N.V.M ) del’hypothalamus considérés comme centre de la satiété ;
9 L’hypothalamus latéral ( H.L ) impliqué dans le contrôle de l’appétit ou de la faim.
FONCTIONNEMENT DES CENTRES DE LA PRISE DE NOURRITURE
Les noyaux ventro-médians de l’hypothalamus ( N.V.M ), centre de la satiété, inhibent l’hypothalamus latéral ( H.L ) qui est lecentre de l’appétit. Entre ces deux centres, les informations nerveuses sont transmises par des neuromédiateurs spécifiques dont leur connaissance a permis de développer un certain nombre de drogues à effet anorexiqueou, au contraire, stimulant l’appétit ( figure 3 ). Les noyaux ventro-médians ( N.V.M ) sont sensibles aux αagonistes ( présence de récepteurs adrénergiques ) quiréduisent son activité donc stimulent l’appétit. L’hypothalamus latéral ( H.L ) renferme des récepteurs βadrénergiques dont la stimulation réduit l’activité donc l’appétit.
A côté de ce premier contrôle adrénergique existe un contrôle par la sérotonine. Ce neuromédiateur stimule les N.V.M de l’hypothalamus et exerce donc un effet anorexique. Son action passerait par la médiation de la cholécystokinine CCK qui, elle, réduirait l’activité de H.L. Les βagonistes euxmêmes, agiraient parl’intermédiaire du T.R.H ( Thyrotropin Releasing Hormone ) qui inhiberait le H.L. Ce dernier centre est en outre sous contrôle dopaminergique.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I :GENERALITES SUR LAPHYSIOLOGIE DE LACROISSANCE DU POULET DE CHAIR
I-1- MECANISME DE LA CROISSANCE
I-1-1- LA CROISSANCE MUSCULAIRE
I-1-1-1- La Myogenèse embryonnaire
I-1-1-2 – La croissance post – natale du muscle strié squelettique
I-1-2- LA CROISSANCE OSSEUSE
I-1-2-1- Ossification de membrane ou endoconjonctive
I-1-2-2- Ossification endochondrale
I-2- REGULATION DE LA CROISSANCE
I-2-1- Rôle des facteurs hormonaux
I-2 1-1- Rôle de l’hormone de croissance ou hormone somatotrope
I-2-1-2- Rôle des hormones thyroïdiennes
I-2-1-3- Rôle des hormones gonadiques
I-2-1-4- Rôle de la Parathormone
I-2-1-5- Rôle de la Calcitonine
I-2-2- Rôle des facteurs métaboliques
I-3- FACTEURS INFLUENÇANT LA CROISSANCE DU POULET DE CHAIR
I-3-1- Facteurs intrinsèques
I-3-1-1- Influence de l’âge
I-3-1-2- Influence du sexe
I-3-1-3- Influence des facteurs génétiques
I-3-2- Facteurs extrinsèques
I-3-2-1- Facteurs environnementaux
I-3-2-1-1- Facteurs d’ambiance
I-3-2-1-1-1- La température
I-3-2-1-1-2- La densité
I-3-2-1-2- Facteurs physiques
I-3-2-1-3- Facteurs sanitaires
I-3-2-2- Facteurs alimentaires
I-3-2-2-1- L’eau
I-3-2-2-2- L’aliment
I-3-2-2-2-1- La composition de l’aliment
Constituants Energétiques
Constituants protéiques et acides aminés indispensables
Constituants minéraux
I-3-2-2-2-2- La présentation physique de l’aliment
CHAPITRE II : REGULATION PHYSIOLOGIQUE DE LA PRISE DE NOURRITURE CHEZ LE POULET DE CHAIR
II-1- ANATOMIE DU TUBE DIGESTIF DES OISEAUX
II-1-1- Bouche et Pharynx
II-1-2- Oesophage et Jabot
II-1-3- Proventricule ou ventricule succenturié
II-1-4- Gésier
II-1-5- Intestin grêle
II-1-6- Gros intestin, cæcum et cloaque
II-2- MECANISMES GENERAUXDU CONTROLE DE LA PRISE DE NOURRITURE
II-2-1- Les centres de régulation dela prise de nourriture
II-2-2- Fonctionnement des centres de la prise de nourriture
II-2-3- Mise en jeu des centres régulateurs de la prise de nourriture
II-2-3-1- Rôle des facteurs nerveux
II-2-3-2- Rôle des facteurs métaboliques
II-2-3-3- Rôle des facteurs humoraux
II-3- PARTICULARITE DE LA REGILATIONDE LA PRISE DE NOURRITURE CHEZ
LE POULET DE CHAIR
II-3-1- Le comportement alimentaire
II-3-2- Facteurs déterminant l’appétit
II-3-2-1- Facteurs nerveux
II-3-2-2- Facteurs climatiques
II-3-2-3- Facteurs métaboliques
II-3-2-3-1 La concentration énergétique de l’aliment
II-3-2-3-2 – La teneur en protéines de l’aliment
II-3-2-3-3- La teneur en minéraux de l’aliment
II-3-2-3-4- Les constituants pariétaux (cellulose )
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I: MATERIEL ET METHODES
I-1- MATERIEL
I-1-1- Matériel animal
I-1-2- Matériel d’élevage
I-1-2-1- Le bâtiment
I-2-2-2- Matériel d’alimentation
I-2-METHODES
I-2-1- Objectifs
I-2-2- Répartition des oiseaux en lots
I-2-3- Evaluation de la consommation alimentaire
I-2-4 – Evaluation des performances de croissance
I-2-5- Analyse économique
I-2-6- Analyse statistique des résultats
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II-1- RESULTATS
II-1-1-Influence de la nature physique de l’aliment sur la consommation alimentaire
II-1-2- Influence de la nature physique de l’aliment sur les performances de croissance des poulets de chair
II-1-2-1- Evolution pondérale et GMQ
II-1-2-1-1- Evolution pondérale
II-1-2-1-2- GMQ
II-1-2-2- Indice de consommation cumulé des poulets de chair
II-1-2-3- Influence de l’aspect physique de l’aliment sur le poids vif, le poids des viscères, des graisses et de la carcasse
II-1-2-4- Taux de mortalité
II-1-3- Rentabilité des différents types d’aliment
II-2-DISCUSSION
II-2-1- La méthodologie
II-2-2- l’influence de la nature physique de l’aliment sur la consommation alimentaire du poulet de chair
II-2-3- Influence de la nature physique de l’aliment sur les performances de Croissance
II-2-3-1- L’évolution pondérale
II-2-3-2- Le GMQ
II-2-3-3- L’indice de consommation
II-2-3-4- Taux de mortalité
II-2-3-5- Rentabilité des types d’aliments
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE