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Travaux effectués sur cet aménagement du sol
L’aménagement du sol est un des sujets déjà traitésdepuis longtemps par beaucoup de chercheurs. A titre d’exemple, à Madagascar, il con vient de citer les travaux de VERGNETTE et DE COIGNAC B. 1967, RANDRIAMBOAVONJY J. C. 1996, RAKOTONDRAMANANA J. L. 1997, ANDRITIANA R. M. 2001, RAZAFINDRAKOTO D. J. 2002, ANDRIANJANAHARY J. T. H. 2002, …dont les objectifs sont concentrés sur l’enrichissement en éléments fertilisants et sur la lutte contre l’érosion.
Prenons par exemple le cas de Hautes terres dont la fertilité de sols dépend essentiellement à leurs caractéristiques physiques. Leur potentialité est liée à l’épaisseur de l’horizon humifère, à la bonne minéralisation de la matière organique età la bonne structure des différents horizons du profil. Situés en pentes fortes, ces sols généralement limoneux sont instables et très sensibles à l’érosion, surtout pour les sols à structure dégradée qui sont les plus défavorables. De plus, la richesse en minéraux altérables situés en faible profondeur peut être aussi une source de cations pour les plantes. Mais, ces zones de source anciennes et profondément altérées, issues de roches métamorphiques facilement décomposables, ont perduleurs cations par lessivage.
Ces sols ont besoin de fumure minérale (par apports de P, K, et Ca) pour corriger les carences chimiques et des fumures organiques pour améliorer les structures.
Différents types d’aménagement du sol
Selon les moyens d’aménagement, on distingue : l’aménagement mécanique ou physique qui utilise généralement de matériaux de construction (construction de barrage, terrasse, canaux, …) .
l’aménagement biologique qui utilise les êtres vivants ou leurs produits (mise en culture, enfouissement de paille,…) .
l’aménagement chimique qui consiste à l’utilisation des produits chimiques (utilisation des engrais et amendements chimiques, …).
Présentation de la commune rurale de Miantsoarivo
Des descendants des seigneurs du Vonijongo Ankazobe avaient cherché de vaste terrain pour s’installer. Du village de Mamiomby à Vonijongo se trouvant à Anosizato, où ils n’arrivaient pas à s’installer longtemps. Ils se déplaçaient alors vers le Sud, à Ambohimanazaka se trouvant à 5 km au Sud de Behenjy (traversé par RN7) ; puis à Ankadifotsy, à 12 km du village précédent vers l’Ouest où ils trouvaient unvaste terrain fertile. Ils appelaient un millier d’hommes pour résider avec eux. C’est pourquoi, Ankadifotsy devient nommé Miantsoarivo.
Cette brève historique ne permet guère de bien localiser cette commune rurale de Miantsoarivo, d’où la description de sa situation géographique.
Situation géographique
La commune rurale de Miantsoarivo se trouve dans les coordonnées géographiques suivantes : latitude 19°12’ Sud, longitude 47°24’Est et altitude 1395 m.
Pour parvenir à Miantsoarivo, deux possibilités se présentent : soit à partir de RN1, il est à 40 km de l’Imerintsi atosika suivant la route d’intérêt provincial (RIP) reliant Imerintsiatosika et Behenjy en passant par les deux communes rurales, Ambohimandry et Ambohimpandrano.
soit à partir de RN7, il est à 12 km de Behenjy vers l’Ouest. Miantsoarivo vers le chef lieu du district, Arivonimamo, en passant par la ville d’Antananarivo et Imerintsiatosika se trouve à 103 km.
La commune rurale de Miantsoarivo se trouve donc à l’extrême Est du district d’Arivonimamo (86 km à vol d’oiseau). Elle est limi tée à l’Est par la CR de Behenjy, au Sud par la CR de Sabotsy-Namatoana, au Sud-Est par les CR d’Andriambilany et de Manjakatompo,du district d’Ambatolampy, de la Région de Vakinankaratra, à l’Ouest par les CR de Mahatsinjo-est, de Miandrandra et d’Ambohimpandrano, au Nord par les CR d’Ambohimandrydu même district à la commune étudiée, et d’Antanetikely du district d’Atsimondrano, de la région d’Analamanga.
Pour bien distinguer cette commune étudiée des autres communes du district d’Arivonimamo, il est nécessaire de parler brièvement de ses caractéristiques administratives.
Caractéristiques administratives
La CR de Miantsoarivo est composée de 16 fokontany à savoir : Miantsoarivo, Ambatofanekena, Miakotsorano, Anosikely, Mamory, Ambohimidasy, Manerinerina, Manjaka, Ankadilalana-Est, Ambohimahatsinjo, Anjanamahasoa, Antanimandeha, Maridaza-Sud, Andavabato, Tsarasaotra et Ankafanana.
La connaissance de ces différentes divisions permet de bien étudier l’écosystème de Miantsoarivo en analysant les facteurs physiques et les facteurs vivants.
Topographie
Dans l’ensemble, Miantsoarivo présente un relief peu accidenté, généralement caractérisé par une série de basses collines ou de croupes convexes plus ou moins arrondies et bien disséquées, dont les réseaux hydrographiques sont rèst marqués et bien hiérarchisés. En revanche, les vallées sont étroites, dont le plus ouvent,s les versants se caractérisent par des pentes plus ou moins fortes (supérieure à 15%).
A partir des études faites par BOURGEAT F. et PETITM. 1969, concernant les niveaux d’érosion à Madagascar, Miantsoarivo fait partie dans la surface fini-tertiaire ou niveau III. Dans lequel, les niveaux locaux d’aplanissement forment des bassins déprimés plus ou moins fermés situés en altitudes variables et délimités par desaffleurements dominants des roches de type de granites migmatitiques. Cet aplanissement forme des alvéoles dégagés dans la zone d’affleurements de ces roches facilement altérables. Cette surface se compose d’une série de basses collines et de croupes convexes d’interfluves plus ou moins disséquées culminant entre 1350 et 1400 m d’altitude [10], [11], [27].
Remarquons que ce relief peut varier d’un endroit à un autre dans la commune :
· La partie Nord vers Nord-est est caractérisée par esd collines ou des croupes à altitudes subégales, mais plus ou moins élevées parrapport à celles d’autres endroits de la commune. Ces croupes ont de pente longitudinale faible mais de pente latérale plus marquée à cause de la dissection plus poussée [27].
Ces collines ou croupes présentent de versants en érosion d’où on parle de relief de dissection, parfois criblées de « lavaka» et noyautées de roches dures de granites migmatitiques étant facilement altérables. C’est le cas d’Ambohitrandriana vers Ambohinonoka jusqu’à Ambari hova et Ankady. Les produits de l’érosion de ces collines alimentent les bas fonds, généralement étroits et bien drainés comme à Mamory, Ankady, Ambarihova, Antokomaro jusqu’à Manerinerina. Ces quatre derniers lieux son t traversés par la rivière de Berimo, donc destinés à la riziculture.
· Au centre, aux alentours du chef lieu de la commune, les collines ou les croupes sont à partie sommitale aplanie dont la pen te de versant est parfois faible que celle des autres endroits. Cela favorise donc la mise en culture sur tanety. Dans ce cas, des vallons prédominent sauf la vallée de l’Est du chef lieu, traversant par Ambohitraza, Ambohitrandriambola, Ilona, Ambodisaha, Tsaramiasà, Ambohinimehy vers Manerinerina, et la v allée de l’Ouest, passant par Ambalamanga, Ambohinindriana , Masindray vers Manerinerina, drainée par la rivière de Kelilalina. Ces deux vallées ontune largeur modérée assurant une grande production de riz.
· Au Sud, plus précisément Amboara vers Ankafanàna, ’altitude de collines s’accroit progressivement dont le sommet forme parfois un petit plateau favorisant la culture sur tanety. Les bassins versants sont généralement étroits, mais très concaves, c’est-à-dire, la pente de versants peut être élevée. Ce dernier type de relief constitue la base du massif d’Ankaratra.
Vu que l’hydrographie dépend beaucoup de la structure topographique, c’est-à-dire, plus le relief est accidenté, plus les réseaux hydrographiques sont très importants.
Hydrologie
Miantsoarivo est très drainé par des réseaux hydrographiques hiérarchisés. Cette commune est traversée par deux rivières importantes:
– A l’Est, la rivière de Berimo via Ambarihova.
– A l’Ouest, la rivière de Kelilalina via Ambatomisakana et Ambonindriana.
La direction de ces rivières s’oriente de Sud-Est vers Nord-Ouest dont elles affluent à Manerinerina pour former la rivière de Katsaoka, puis vers Ifarahantsana à Betsiboka.
Ces cours d’eau de Miantsoarivo sont caractériséspar leur débit très variable selon la saison : Pendant l’été (chaud et humide), lors de la tombéedes pluies, ces cours d’eau sont facilement inondés ; mais après quelques heures, le débit diminue considérablement. Et la couleur de l’eau en rouge jaunâtre est très caractéristique, tout cela à cause de la moindre couverture végétale.
Ce débordement de cours d’eau provoque des grands dégâts difficiles à restaurer ; signalons le cas de l’année 2010 et celui de 2014, avec la destruction des digues entraînant l’ensablement de grandes surf aces de riziculture dans les bas-fonds presque dans toute la commune.
Durant l’hiver (froid et sec), certaines sources ont tari, d’où les cours d’eau ont presque tari également ; une charrette peut traverser dans leur lit. Cela est à cause de la diminution de niveau de la nappe phréatique.
La commune dispose déjà de quelques citernes et de bornes fontaines d’eau potable dans certains fokontany pour alléger la vie de la population.
Le système de barrages et de canaux d’irrigation est encore insuffisant et mal fait, ainsi que facilement détruit à cause de relief accidenté, dela nature de sol et le manque de technique. Tous ces problèmes relatifs en eau constituent un grand obstacle pour le développement agricole de cette commune ; par exemple, le retard du calendrier de riziculture pour certaines surfaces cultivables dites au nom vernaculaire « sakamaina ».
La connaissance en cette hydrologie permet l’étude de la nature des substrats à savoir les roches et ensuite le sol puisque l’eau est le principal facteur de leur érosion, permettant par exemple l’affleurement des roches et leur évolution jusqu’au sol cultivable.
Géologie
Pétrologiquement, Miantsoarivo présente différentstypes de roches qui sont affleurées fréquemment. En plus des roches sédimentaires, lesmigmatites granitoïdes et l’Ankaratrite sont caractéristiques (Figure 3).
Selon la classification tectonique de COLLINS et WINDLEY. 2002, qui consiste aux événements tectono-métamorphiques successifs, subdiv sant le socle précambrien malgache en neuf (09) unités tectoniques, Miantsoarivo fait partie dans le bloc d’Antananarivo. Ce dernier est la plus grande unité centrale tectonique pré-paléoïquez de Madagascar. Il constitue l’ossature centrale de Madagascar avec la dominance de migmatites granitoïdes [28].
Mais, selon les concepts actuels sur le précambrienmalgache d’après le résultat final de symposium de Projet de Gouvernance de Ressources Minérales (P.G.R.M.) du 17 juillet 2008, qui consiste à la géochronologie rattachée aux événements tectono-métamorphiques successifs, Miantsoarivo se trouve dans le domaine d’Antananarivo qui forme la majorité des terrains archéens [28]
L’affleurement de roches de nature migmatitique dans la commune de Miantsoarivo, permet de dire qu’elle fait partie dans le groupe d’Ambatolampy et dans la deuxième dorsale qui se trouve au sud de Fianarantsoa jusqu’à Famoizanko va allant jusqu’à Mampikony dans la direction subméridienne (c.à.d. Sud vers Nord).
Cet affleurement de migmatites granitoïdes est caractéristique pour la partie nord de Miantsoarivo, mais remarquons que dans sa partie sud, on a de massif volcanique d’Ankaratra.
Le massif d’Ankaratra est le plus important et plus varié de tous les massifs volcaniques de Madagascar. Il s’allonge sur une centaine de km entre Antsirabe et Arivonimamo. Les éruptions ont débuté vers la fin de Miocène et seonts poursuivies jusqu’au quaternaire récent.
D’après la chronologie des émissions, on a constatéque Miantsoarivo fait partie dans la phase basique intermédiaire caractérisée par des émissiond’Ankaratrite (Basanite à néphélines) qui sont poursuivies très tardivement vers le nord (région d’Arivonimamo) [28].
Végétation et flores remarquées
Miantsoarivo est caractérisée par sa végétation strèpauvre, représentée en général par de steppes arbustives ou arborées ou non. Mais, dans certains endroits comme la partie nord-est de la commune, nous avons observé de savanes.
Cette végétation herbacée très pauvre est due principalement à la modification provoquée par les fortes densités de population dans ce milieu.
Ces steppes sont constituées essentiellement par ces flores caractéristiques suivantes :
« horona » (Aristida rufenscens), « aravola » (Lasiorrhachis sp), « tsivongo » (Ctenium sp).
« danga » (Heteropogon contortus), bruyères (Philippia sp), « rambiazina » (Helichrysum sp), Acacia sp, Eucalyptus sp, Pinus sp.
Faunes remarquées
La formation végétale dégradée, la forte érosion soldu et la perturbation climatique dans la commune de Miantsoarivo sont les causes majeures de disparition progressive ou migration vers les autres endroits de certaines espèces animales. Par exemple, dès années de l’enfance, environ 1993, nous avons observé fréquemment de cailles (Coturnix coturnix africana) et de perdrix (Margaroperdrix madagascariensis) ; or maintenant, ce n’est pas le cas. De même, nous avons observé que l’élevage des abeilles décroît fortement surtout depuis la présence de maladie d’ Eucalyptus, c.-à-d. depuis environ 2009. Il ne reste donc que certains représentants faunistiques. Sachant que l’abondance est le degré de présence d’une espèce par unité de surface, en utilisant le chiffre : 1 pour les espèces très rares ; 2 pour les espèces rares ; 3 pour les espèces assez fréquentes ; 4 pour les espèces fréquentes et; 5 pour les espèces très fréquentes.
Nous observons que dans l’embranchement des Invertébrés, les espèces plus fréquentes sont les criquets ou locustes (Locusta sp), les papillons (Papilio sp), les drosophiles (Drosophila sp), et les fourmis. Ces espèces citées sont caractérisées par leur faculté de reproduction élevée. Et dans celui de Vertébrés, les espèces plus fréquentes sont Tilapia sp, Grénouilles, Gallus gallus, les porcs (Sus sp), les zébus (Zebu sp), les souris (Mus musculus) et les rats (Rattus rattus) (ANNEXE VIII).Cela est du à l’intervention de l’hom me par leur élevage et l’inconscience face à la lutte contre ces rongeurs ravageurs.
Population humaine locale
La commune rurale de Miantsoarivo présente 20457 d’habitants dont la densité moyenne est de 142 habitants par km2. Le fokontany le plus peuplé, c’est celui de Miantsoarivo.
Les 77% de la population n’ont pas encore de droit d’électeurs (moins de 18 ans). Ce qui confirme davantage le caractère jeune de la population. La population est entièrement constituée par des Merina, c’est-à-dire aucun étranger n’y réside.
Depuis longtemps, une vague de population s’est émigrée vers les régions de Soavinandriana Itasy et de Sakay à cause de problèmes fonciers et de la baisse de fertilité du sol de culture. Nous signalons également la présence d’exode rurale vers la ville d’Antananarivo ou d’autres, dans le but d’améliorer les conditions de vie, surtout économiquement.
Potentialités socio-économiques de la commune de Miantsoarivo
Depuis 1956, un poste sanitaire existe à Miantsoari vo. Aujourd’hui, cette commune dispose d’un Centre de Santé de Base niveau II (CSBII) qui est pourvu d’un médecin, d’une sage-femme, d’un dispensateur et d’un gardien. La m aternité est intégrée dans le CSBII.
Des problèmes sont remarqués concernant les conditions sanitaires de masse comme :
– L’insuffisance d’eau potable.
La majorité de la population s’approvisionne en eau soit au puits dont l’hygiène est mal assurée, soit à des sources étant parfois mal entretenues.
– La prévalence de paludisme, de diarrhée et d’autres maladies.
Le nombre de cas des infections respiratoires aigues, du paludisme, de la diarrhée, de l’helminthiase et de l’infection bucco-dentaire prédomine dans les consultations médicales.
– Accès limités au service de santé.
Seul le chef lieu de la commune présente une infrastructure hospitalière (CSBII), donc pour les fokontany éloignés comme Ankafanana, Anjanamahasoa, …, il faut marcher plusieurs kilomètres pour y atteindre. En plus, le prix de médicaments est inaccessible par les patients.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LE THEME
I.1. Notion sur le sol
I.1.1. Définition
I.1.2. Différents types du sol
a- Caractéristiques de sols ferrallitiques
b- Les sols de Hautes Terres
I.2. Concept sur l’aménagement du sol
I.2.1. Définition
I.2.2. Techniques d’aménagement du sol
a- Objectifs de l’aménagement du sol
b- Conditions nécessaires pour l’aménagement du sol
c- Travaux effectués sur cet aménagement du sol
d- Différents types d’aménagement du sol
DEUXIEME PARTIE : SITE D’ETUDE ET METHODOLOGIE
II.1. Présentation de la commune rurale de Miantsoarivo
II.1.1. Identification
a- Historique
b- Situation géographique
c- Caractéristiques administratives
d- Milieu abiotique
d1- Superficie
d2- Climat
d3- Topographie
d4- Hydrologie
d5- Géologie
e- Milieu biotique
e1-Végétation et flores remarquées
e2- Faunes remarquées
e3- Population humaine locale
II.1.2. Potentialités socio-économiques de la commune de Miantsoarivo
a- Santé
b- Education
c- Communication
d- Agriculture
e- Elevage
f- Commerce
g- Artisanat
II.1.3. Valeurs culturelles et sportives
a- Cérémonies traditionnelles
b- Fady et religions
c- Sports et loisirs
II.1.4. Secteurs environnementaux et touristiques
II.2. Méthodologie et matériels
II.2.1. Méthodologie
a- Etude bibliographique
b- Etude sur terrain
b1- Choix du site ou zone d’étude
b2- Principaux travaux pour l’étude sur terrain
c- Etude en laboratoire
c1- Préparation d’échantillon de sol
c2- Etude de la perméabilité
c3- Etude de la texture
c4- Etude de potentiel d’hydrogène (pH)
c5- Mise en évidence de matières organiques
c6- Mise en évidence de certaines bases échangeables
c7- Mise en évidence de l’azote total
c8- Mise en évidence de phosphore assimilable
II.2.2. Matériels
TROISIEME PARTIE : RESULTATS, INTERPRETATIONS ET DISCUSSIONS
III.1. Résultats et interprétations de pédologie de Miantsoarivo
III.1.1. Résultats et interprétations d’étude descriptive de profils pédologiques
III.1.2. Résultats et interprétations d’étude en laboratoire
a- Texture du sol et sa perméabilité
b- Matières organiques, potentiel d’hydrogène du sol (pH), bases échangeables et capacité d’échange cationique du sol
c- Le rapport C/N
III.2. Résultats et interprétations d’observations des réalités locales et d’enquêtes relatives aux activités agricoles
III.2.1. Le rapport entre le relief et le sol de Miantsoarivo
III.2.2. Systèmes agraires adoptés à Miantsoarivo
a- Labour du sol
b- Calendrier et différentes méthodes culturales existantes
b1- Culture pure ou monoculture
b2- Culture multiple
b3- Rotations culturales et jachères
c- Utilisation des engrais et amendements
d- Choix des cultures appropriées au sol
e- Système d’évacuation et d’infiltration
f- Canaux d’irrigation
g- Autres moyens de protection et de conservation du sol pris par les gens locaux
g1- Le reboisement à Miantsoarivo
g2- Le paillage
QUATRIEME PARTIE : INTERETS PEDAGOGIQUES DE L’ETUDE .
IV.1. Au niveau du CEG
IV.2. Au niveau du Lycée
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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