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Sous-produits des céréales
Il s’agit des sons dont l’utilisation en aviculture tient de leur coût faible et de leur importance dans la régulation du transit digestif dont ils empêchent les perturbations à l’origine de diarrhées et constipation (Parigi-Bini, 1986). De plus, leurs protéines sont disponibles. Les farines basses de riz présentent l’avantage d’avoir une valeur élevée en minéraux, en oligo-éléments et en énergie (Larbier et al., 1991).
Matières grasses
Elles sont issues des huileries (huiles végétales) ou des abattoirs (suif, graisse, saindoux). Ce sont des sources importantes d’énergie métabolisable pour l’alimentation des volailles (Scott, 1976). Elles permettent d’accroître la valeur énergétique des rations tout en diminuant les indices de consommation. Les lipides facilitent l’utilisation de matières premières riches en protéines (tourteaux) mais présentant des niveaux d’énergie relativement bas (Sakandé, 1993).
Des travaux de Polin et Hussein (1982) montrent que les poussins âgés d’une semaine retiennent 25 % de lipides de moins que ceux âgés de 2 à 3 semaines, ceci du fait que les sels biliaires impliqués dans la digestion des lipides ne sont pas produits en quantité suffisante chez le poussin, puisque la sécrétion biliaire augmente avec l’âge de la volaille.
Selon l’ISA (1985) cité par Sakandé (1993), l’utilisation de matières grasses d’origine animale, donc riches en acides gras saturés peut entraîner la formation de savons mal absorbés par les poussins et occasionner une mauvaise utilisation du calcium et par, conséquent, une augmentation de l’incidence de la dyschondroplasie tibiale.
Gab-wé (1992) estime que l’huile d’arachide incorporée au taux de 4 % dans la ration du poulet de chair de 6 semaines d’âge donne de meilleurs résultats de croissance.
SOURCES DE PROTEINES
Sources de protéines végétales
Tourteau de soja
Il est le plus utilisé dans les rations pour volailles. C’est le «prince» des tourteaux de par sa richesse en protéines et l’équilibre de ses acides aminés. En effet, ses protéines sont très digestibles et conviennent aux besoins de croissance des oiseaux, quoique déficitaires en acides aminés soufrés (Kébé, 1989). Cependant, on retrouve des substances antitrypsiques qui constituent ainsi le facteur limitant. Larbier montrent qu’une cuisson correcte élimine plus de 90 % de l’activité antitrypsique.
Tourteaux d’arachide et de coton
Ils sont issus des huileries. Ce sont des sous-produits qui selon la technique d’extraction (par des solvants organiques comme l’hexane), sont pauvres en matières grasses. Par contre, ce sont de véritables sources de protéines. Ils sont les tourteaux les plus disponibles, malgré la présence de facteurs anti-nutritionnels tels que l’aflatoxine dans les tourteaux d’arachide et le gossypol dans le coton ; ceci impose des limites à leur utilisation en alimentation. Tacher et al. (1971) montrent que l’action toxique du gossypol libre se manifeste à des teneurs de 0,012 % et que la mortalité apparaît à partir de 0,16 %. Outre la présence de gossypol, les protéines du tourteau de coton sont de qualité moyenne à cause de la faible teneur en lysine et en acides aminés soufrés. Cependant, on peut utiliser ce tourteau dans les rations pour volailles à des taux variant de 5 à 10 % (Angulo-Chacon, 1986). Toutefois, la tendance est à la production de coton « glandless » dépourvu de substances toxiques.
Cet auteur trouve que lorsque la teneur en aflatoxine est inférieure à 1,25 p.p.m., l’utilisation des tourteaux d’arachide dans les limites de 30 % chez les poulets en croissance et de 20 % dans la ration des poulets adultes ne pose pas beaucoup de problèmes.
Selon Anselme (1987), le tourteau d’arachide du Sénégal qui contient jusqu’à 0,4 p.p.m. d’aflatoxine peut être utilisé pour couvrir les besoins en protéines lorsque la ration est supplémentée en acides aminés essentiels comme la lysine, la méthionine et le tryptophane.
Levures
Elles sont incorporables dans les rations pour volailles à des taux allant de 2 à 4 % (Ferrando, 1969), voire jusqu’à 10 % pour les poules pondeuses (Larbier et al., 1991). Les levures sont des sources riches en protéines de très bonne qualité (riches en lysine, tryptophane, thréonine…, mais pauvres en acides aminés soufrés), et en vitamines du groupe B (Scott, 1976). Le facteur limitant est leur prix qui est toujours élevé.
Sources de protéines animales
Elles sont intéressantes à cause de leur richesse en protéines de très bonne qualité biologique. On recommande une quantité qui équivaut au tiers de la ration chez la volaille.
Selon Olivetti cité par Sakandé (1993), la supériorité de la qualité des matières premières d’origine animale se situerait à quatre niveaux :
¾ leur taux élevé en calcium, phosphore et vitamines du groupe B, en particulier en riboflavine ;
¾ la présence de vitamine B12 (cyanocobalamine), qui est presque absente des aliments d’origine végétale, à l’exception des levures ;
¾ leur teneur énergétique assez élevée du fait de leur plus grande richesse en matières grasses ;
¾ leur meilleur équilibre en acides aminés essentiels.
REGULATION THERMIQUE ET SES FACTEURS
Les températures ambiantes élevées réduisent la croissance des poulets et ceci quelle que soit l’origine génétique des animaux (Washburn et Eberhart, 1988). La zone de bien-être thermique se situe entre 16 et 20° C. Au delà et en dessous de ces limites, le métabolisme s’accroît sensiblement et traduit une perte d’énergie pour lutter contre la chaleur ou contre le froid, par une série de moyens constituant la régulation thermique.
Les oiseaux sont des êtres vivants capables de maintenir leur température interne quasi – constante. Leur corps est recouvert de plumes et dépourvu de glandes sudoripares. Ils ont, en général, une température plus élevée que les mammifères (41-42° C pour un coq adulte), ce qui les rendrait comparativement moins sensibles au stress thermique (Meltzer, 1983). Chez le poussin d’un jour, la température rectale est de 39,5° C. On comprend donc la nécessité pour la volaille de vivre dans des conditions idéales (température ambiante, vitesse et humidité de l’air, état de la litière) depuis le stade du poussin jusqu’au stade du poulet. Ce d’autant plus que l’écart thermique maximal toléré chez le poussin est de 0,5°C.
Toutefois, le maintien de l’homéothermie impose que la production de chaleur générée par le métabolisme soit exactement en équilibre avec les pertes de chaleur. La température ambiante au-dessus de laquelle il n’y a plus d’équilibre entre productions et pertes entraînant une augmentation significative de la température rectale semble se situer autour de 32° C chez les volailles domestiques 1971).
PRODUCTION DE CHALEUR OU THERMOGENESE CHEZ LE POULET DE CHAIR
L’ensemble des synthèses et dégradations nécessaires au maintien des fonctions vitales (métabolisme) est à l’origine de la grande partie de la chaleur produite par l’organisme.
Le bilan énergétique représentant les différentes composantes de la dépense énergétique est présenté par la figure 3.
Il ressort de cette figure que la thermogenèse fait intervenir un certain nombre de mécanismes représentés par le métabolisme basal, l’activité physique, la thermogenèse de thermorégulation et la thermogenèse alimentaire ou extrachaleur.
METABOLISME BASAL
C’est la production de chaleur au repos en état de jeûne postprandial et dans la zone de neutralité thermique. Chez les oiseaux, on l’estime par la production de chaleur à jeun. Farrel (1988) montre que l’augmentation de la température ambiante entraîne une diminution de la chaleur produite à jeun, et par conséquent, du Mtabolisme basal. Selon Sykes (1977), il y aurait aussi réduction du besoin énergétique d’entretien (métabolisme de base + activité physique + utilisation alimentaire), rendant ainsi disponible plus d’énergie pour la production à condition que les besoins en d’autres nutriments soient couverts.
Le métabolisme basal varie aussi en fonction d’autres facteurs. Ainsi, (1984) montre que la sélection génétique réduit le métabolisme basal. En effet, les souches qui ont une masse corporelle faible, de même que des appendices développés tolèrent mieux la chaleur que les autres. Cependant, les génotypes de volailles maigres ou gras ne présentent pas de différence significative de production de chaleur à jeun mais l’excès de gras pourrait entraver la thermolyse.
ACTIVITE PHYSIQUE
Van Kampen (1976) constate que chez les pondeuses, la station debout accroît la production de chaleur de 25 % par rapport à la position de repos. Mac Leod et al. (1982) considèrent qu’au maximum 15 % de production de chaleur journalière proviennent de l’activité physique des pondeuses et que ce taux peut descendre jusqu’à 6% selon les génotypes. Dans leurs travaux, Murphy et Preston (1988), remarquent que les poulets passent 65% de leur temps couchés avec de fréquentes interruptions pour manger, boire ou se déplacer. Geraert (1991) explique le phénomène en disant qu’au moment de la station debout, les oiseaux produisent un bref efflux de chaleur et augmenteraient la surface corporelle disponible pour la perte de chaleur par diminution du contact avec les voisins ou le sol. Chez les poulets en croissance, 7 % de l’EM ingérée est utilisée pour l’activité physique, mais le rationnement alimentaire pourrait augmenter cette proportion jusqu’à 15 %, estiment Wenk et Van Es (1976). Ceci montre toute l’importance qu’il y a de bien formuler les rations pour cette catégorie d’animaux.
Outre le déplacement, le halètement fait partie de l’activité physique. Ainsi, chez le poulet exposé à des températures élevées, la production de chaleur est supérieure à la quantité dégagée dans la zone de neutralité thermique. En fait, le halètement a un coût énergétique puisqu’il contribue à augmenter la fréquence cardiaque, mettant ainsi en jeu une participation active des muscles cardiaques. Geraert (1991) estime que sous une température ambiante de 35 à 40° C, le halètement représente 12 % de l’augmentation de la thermogenèse, alors que la fréquence respiratoire passe de 30 à 150/minute. Il suffirait de réduire la demande des autres tissus pour compenser cette augmentation de la demande énergétique due à la respiration, ceci maintiendrait constante la production de chaleur (Hillman et al., 1985).
EXTRACHALEUR OU THERMOGENESE ALIMENTAIRE
L’extrachaleur peut se définir comme étant l’énergie produite lors de l’ingestion et de la digestion de l’aliment ainsi que lors de l’utilisation métabolique des nutriments résultant de cette digestion. On l’estime à 15-30 % de l’EM pour les aliments complets. Elle dépend de la composition de l’aliment. Ainsi, les rations qui présentent une extrachaleur élevée sont déconseillées en période de chaleur. (1979) montrent que les protéines présentent la plus forte contribution à la thermogenèse alimentaire par rapport aux glucides et aux lipides. De plus, tout apport d’acides aminés en excès par rapport aux besoins entraîne un catabolisme accru et une production de chaleur augmentée. Dès lors, tout retard de croissance ne saurait être comblé par un réajustement du niveau des protéines alimentaires. Des travaux de Husseini et al. (1987) ont montré que les meilleurs gains de poids des poulets étaient obtenus pour les régimes renfermant 20 % de protéines et 14,27 MJ/kg..
Waldroup (1982) suggère qu’une réduction de l’apport alimentaire d’acides aminés pourrait se faire si on utilisait des protéines de base supplémentées en acides aminés de synthèse. Toutefois, une légère augmentation de la fourniture en lysine s’avère bénéfique lorsque la température devient légèrement élevée 1983).
L’énergie des aliments se trouve en grande partie dans les glucides et les lipides. Leur utilisation va dépendre de la température ambiante. Des trois groupes de nutriments, les lipides ont l’extrachaleur la plus basse. Mac Leod (1985), montre que pour 100 kJ d’énergie nette obtenue à partir des graisses, seulement 5 kJ sont perdus sous forme de chaleur, contre 25 avec les glucides. Par ailleurs, les régimes contenant des graisses ont souvent une valeur énergétique plus élevée que la valeur EM calculée (Mateos et Sell, 1980) s’expliquant par un ralentissement du transit digestif et une amélioration de la digestibilité de l’amidon. D’après Fuller (1981), quelle que soit la forme de présentation de l’aliment, farine ou granulés, les régimes riches en lipides sont toujours préférés par les poulets en croissance.
Des travaux dirigés par Mac Leod (1985) attestent que l’ingéré alimentaire est réduit lors d’un stress thermique pour diminuer la composante « thermogenèse alimentaire » de la production de chaleur. De plus, l’extrachaleur correspond à 10 % de l’EM pour les régimes riches en graisse, contre 30 % pour les régimes riches en fibres. Ainsi, le contenu énergétique net supérieur des régimes riches en graisses permettrait des ingérés énergétiques plus importants. Toutefois, une amélioration de l’efficacité alimentaire et des gains de poids plus faibles avec les régimes riches en fibres chez le poulet en croissance dans les régions chaudes a également été observée par Abdelsamie et al. (1983).
Une expérimentation de Aïn Baziz et al. (1990) montre que seule la quantité d’énergie déposée sous forme de lipides varie en fonction de la composition du régime, quelle que soit la température. Geraert (1991) conclut en disant que la seule modification de la composition alimentaire ne permet pas d’améliorer la croissance chez le poulet de chair élevé au chaud. Une solution serait de réduire le stress thermique d’origine alimentaire en supprimant la distribution de l’aliment aux heures chaudes. Ainsi, la température rectale augmente moins et moins vite qu’en présence de l’aliment (Francis et al., 1991).
Charles et al. (1981) écrivent que l’absence d’interaction entre la température ambiante et la composition de l’aliment chez le poulet permet de penser que les effets des températures élevées sont spécifiques et n’agissent pas seulement par le biais de l’alimentation, mais aussi seraient sous la dépendance d’un contrôle hormonal.
CONTROLE HORMONAL DE LA THERMOGENESE
L’énergie est stockée dans l’organisme sous forme d’ATP (Adénosine Triphosphate). De nombreuses réactions biochimiques d’oxydoréduction aboutissent à la libération de l’énergie ainsi stockée. Tous ces processus sont régulés par les sécrétions hormonales. Il s’avère donc utile de connaître les glandes dont les hormones sont impliquées dans la thermogenèse.
Thyroïde
Chez la plupart des espèces animales, elle est impliquée dans le contrôle de la thermogenèse. Les principales hormones sécrétées sont la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4). En 1980, Davison et al. montrent que l’absence de thyroïde entraîne un défaut de thermorégulation et une baisse de la thermogenèse chez le poussin. D’après Rudas et Pethes (1982), la réponse de la thyroïde aux températures élevées serait décomposée en deux phases : d’abord, une phase rapide qui est la phase d’adaptation précoce pendant laquelle il y aurait un changement rapide de la conversion de T3 en T4 au niveau du foie et ensuite, une phase lente. Les deux hormones thyroïdiennes n’ont pas la même efficacité dans la régulation de la production de chaleur, note Geraert (1991) ; la T3 étant la plus active. Rosebrough et al. (1989) estiment que c’est l’ingéré énergétique qui serait seul responsable de la variation du taux plasmatique des hormones thyroïdiennes.
Les concentrations plasmatiques de ces hormones seraient plutôt en relation avec le bilan énergétique (ingéré et dépense énergétique) suggèrent (1989). En effet, s’il y a réduction de l’ingéré sans diminution de la dépense (bilan énergétique négatif), la concentration circulante de T3 diminue. Ceci rejoint les conclusions présentées dans le tableau VI de Mitchell et Goddard (1990); ces auteurs observent une diminution de T3 chez des poulets élevés au chaud (35° C) comparés à d’autres maintenus à 22° C et ingérant la même quantité d’aliment. Ainsi, lorsque les poulets sont élevés en période de chaleur, leurs performances de croissance sont inférieures à celles obtenues avec des poulets élevés à des températures plus basses, même lorsqu’ils consomment la même quantité d’aliment.
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Table des matières
Liste des photos
Table des matières
Introduction
Partie 1 : Partie bibliographique
Chapitre 1 : Alimentation du poulet de chair
1.1 – Généralités sur l’alimentation
1.2 – Besoins alimentaires du poulet de chair
1.2.1 – Différents types de besoins
1.2.1.1 – Besoins en eau
1.2.1.2 – Besoins en énergie
1.2.1.3 – Besoins en protéines
1.2.1.4 – Besoins en minéraux
1.2.1.5 – Besoins en oligo-éléments
1.2.1.6 – Besoins en vitamines
1.2.1.7 – Besoins en cellulose
1.3 – Facteurs de variation des besoins
1.3.1 – Age
1.3.2 – Souche
1.3.3 – Conditions d’ambiance
1.4 – Matières premières couramment utilisées et leurs apports
1.4.1 – Sources d’énergie
1.4.1.1 – Céréales
1.4.1.2 – Sous-produits des céréales
1.4.1.3 – Matières grasses
1.4.2 – Sources de protéines
1.4.2.1 – Sources de protéines végétales
1.4.2.1.1 – Tourteau de soja
1.4.2.1.2 – Tourteaux d’arachide et de coton
1.4.2.1.3 – Levures
1.4.2.2 – Sources de protéines animales
1.4.2.2.1 – Farines de poisson
1.4.2.2.2 – Farine de sang
1.4.3 – Sources de minéraux et de vitamines
1.5 – Différentes présentations des aliments pour volailles
Chapitre 2 : Régulation thermique et ses facteurs
2.1 – Production de chaleur ou thermogenese chez le poulet de chair
2.1.1 – Métabolisme basal
2.1.2 – Activité physique
2.1.3 – Extrachaleur ou thermogenèse alimentaire
2.1.4 – Contrôle hormonal de la thermogenèse
2.1.4.1 – Thyroïde
2.1.4.2 – Glandes surrénales
2.2 – Thermolyse ou perte de chaleur chez le poulet de chair
2.2.1 – Thermolyse par chaleur sensible
2.2.2 – Thermolyse par chaleur latente
2.3 – Réaction des volailles en fonction de la température
2.3.1 – Régulation thermique en zone de neutralité thermique
2.3.2 – Régulation thermique sous la zone de neutralité thermique
2.3.3 – Régulation thermique au-delà de la zone de neutralité thermique
2.3.3.1 – Au plan comportement
2.3.3.2 – Au plan de son aspect
2.3.3.3 – Au plan respiratoire
2.3.3.4 – Au plan alimentaire
Chapitre 3 : Matières grasses alimentaires et productivité du poulet de chair
3.1 – Généralités sur la productivité
3.1.1 – Croissance
3.1.2 – Facteurs de variation de la croissance
3.1.2.1 – Facteurs intrinsèques
3.1.2.1.1 – Génotype
3.1.2.1.2 – Sexe
3.1.2.1.3 – Age
3.2 – Facteurs extrinsèques
3.2.1.1.1 – Conduite de l’élevage
3.2.1.1.2 – Aliment
3.2.2 – Autres composantes de la productivté du poulet de chair
3.2.2.1 – Consommation et indice de consommation
3.2.2.2 – La mortalité
3.3 – Effets de la matière grasse sur la productivité du poulet de chair
3.3.1 – Effets du niveau et de la nature de la matière grasse alimentaire
3.3.1.1 – Effets du niveau des lipides alimentaires
3.3.1.1.1 – Niveau des lipides alimentaires et gain de poids
3.3.1.1.2 – Niveau des lipides et carcasse
3.3.1.1.3 – Niveau des lipides et qualité de la viande
3.3.1.1.4 – Niveau des lipides, développement du squelette et besoins en sels minéraux et en vitamines.
3.3.1.2 – Effets de la nature des lipides
3.3.1.2.1 – Nature des lipides et croissance
3.3.1.2.2 – Nature des lipides et besoins en sels minéraux et en vitamines
3.3.1.2.3 – Nature des lipides et qualité de la viande
3.3.1.2.4 – Nature des lipides et qualité de la carcasse
Partie 2 : Evaluation de l’effet de la nature et du niveau de la matière grasse alimentaire sur la productivité du poulet de chair
Chapitre 1 : Matériel et méthode
1.1 – Objectifs de l’étude
1.2 – Site du travail et période d’étude
1.3 – Cheptel expérimental
1.4 – Autres matériels
1.5 – Rations alimentaires
1.6 – Méthode
1.6.1 – Conduite des oiseaux
1.6.1.1 – Préparation du local
1.6.1.2 – Arrivée des poussins et démarrage (photo 1)
1.6.1.3 – Croissance et finition : Conduite de l’essai à proprement parlé
1.6.2 – abattage des animaux
1.6.3 – calcul des variables zootechniques
1.6.4 – analyse statistique des resultats
1.7 – Analyse chimique des aliments
Chapitre 2 : Résultats et discussions
2.1 – Résultats
2.1.1 – Effets de la nature de la matière grasse sur les performances zootechniques
2.1.1.1 – Effets de la nature de la matière grasse sur la Croissance (tableau XV)
2.1.1.1.1 – Effets de la nature de la matière grasse sur le poids
2.1.1.1.2 – Vitesse de croissance
2.1.1.2 – Effet de la nature et du niveau de la matière grasse sur la carcasse (tableau XVI)
2.1.1.3 – Effet de la nature et du niveau de la matière grasse sur la consommation et l’efficacité alimentaires
2.1.1.4 – Taux de mortalité
2.1.2 – Relations performances en vif et performances en carcasse
2.1.2.1 – Coefficient de corrélation
2.1.2.2 – Droites de régression
2.1.3 – Données économiques
2.2 – Discussion
2.2.1 – Effet de la nature et du niveau de la matiere grasse alimentaire
2.2.1.1 – Effet du niveau et de la nature de la matière grasse sur les performances de croissance et de carcasse
2.2.1.2 – Effet du niveau et de la nature de la matière grasse sur la consommation sur la consommation alimentaire et les résultats économiques
2.2.1.3 – Effets du niveau et de la nature de la matière grasse sur les caractéristiques de carcasse
2.2.1.4 – Effet de la nature et du niveau de la matière grasse sur la mortalité
Conclusion
Références bibliographiques
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