Matériel utilisé pour les études chimiques et pharmacologiques

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Pharmacologie

Les organes

Les extraits de tous les organes de la plante étaient actifs contre Escherichia coli et Staphylococcus aureus. La racine est le premier antibiotique actif sur les bacilles Gram + et –.
La recherche du pouvoir antipaludique de l’écorce, ainsi que celle de l’action insecticide des écorces de tige, des branches des graines, et des feuilles n’a pas donné de résultats significatifs. De même l’action anticancéreuse et contraceptive à été montrée.

Athomine

L’athomine est le deuxième antibiotique isolé des racines. Elle n’est pas toxique pour le lapin. Chez le rat intact elle produit une très légère baisse de la pression sanguine attribuée à la dépression des terminaisons du nerf moteur sympathique et à une forte inhibition du péristaltisme intestinal. L’athomine est surtout active vis- à vis du vibrion cholérique, son effet se situant entre celui de la chloromycétine et celui de la streptomycine.

Spirochine

Le troisième antibiotique retiré des racines, la spirochine n’est pas toxique pour les animaux. Elle agit directement sur le myocarde : A la dilution de 1/ 10.000 elle augmente l’amplitude et le nombre des contractions et les ralentit à la concentration de 1/1000. A des doses fortes elle paralyse le vague tandis qu’à petites doses elle fait chuter légèrement la pression sanguine. Par voie intraveineuse les doses supérieures à 0, 35g / kg arrêtent la respiration et le cœur, dépriment les mouvements péristaltiques de l’intestin, augmentent le tonus de l’utérus et inhibent ses mouvements rythmiques.
La spirochine, est par voie interne (intra- musculaire) et externe un antiseptique et un agent prophylactique des blessures infectées. Elle agit efficacement contre les infections à bacteries Gram+, particulièrement staphylococcies et streptococcies, hâte la maturation de l’épithélium et montre en outre une certaine action analgésique et antipyrétique.

Moringine et Moringinine

La pharmacologie des bases de l’écorce, moringine et moringinine a été étudiée. Comme il fallait s’y attendre, la moringine qui est la benzylamine n’a pas ou peu d’action. Par contre la base, amorphe moringine montre une activité marquée et ressemble, par ses effets, à l’adrénaline et à l’éphédrine. Elle appartient au groupe des sympathomimétiques agissant sur les terminaisons nerveuses du système sympathique en produisant l’élévation de la pression sanguine, accélération des battements du cœur et contraction des vaisseaux sanguins. Elle inhibe aussi les tonus et le mouvement des muscles lisses. Par voie intraveineuse, elle déclenche chez l’animal une légère diurèse, de la mydriase et est détoxiquée par le foie. Les fortes doses dépriment les terminaisons nerveuses vasomotrices.

Emplois 

Les feuilles

Les feuilles sont utilisées par les populations villageoises comme condiment dans le couscous. Les feuilles diurétiques, sont recommandées dans les cas de blennorragie (leur suc mélangé avec du citron est prescrit contre l’hydropisie). Elles entrent dans une préparation que l’on absorbe en cas de digestion pénible.
Les feuilles en friction sur les seins, servent à arrêter l’écoulement du lait ou en réduire la sécrétion très abondante.
Les feuilles chauffées et appliquées sur les tumeurs, mêmes syphilitiques, en amèneraient la résolution.
Le suc des feuilles est estimé comme détersif et antiscorbutique ; en frictions sur les temps, il soulage les convulsions des enfants.
La décoction d’une poignée de feuilles dans un demi-litre d’eau est laxative. Les feuilles sont d’une valeur nutritive extrêmement importante pour les personnes de tous les âges.

L’écorce

Les écorces du tronc ont la saveur du cresson, ce qui les fait employer comme condiment, une fois râpées.
Les écorces ont une action vésicante. Elles seraient antiscorbutiques.
L’écorce rubéfiante sert de médicament. En tisane, elle est utilisée pour ses propriétés apéritives et digestives. Le tronc de l’arbre exsude une gomme blanche et opaque qui au soleil, devient rouge foncé à la surface, elle donne, au contact de l’eau, une gelée ferme, rosée et astringente ; elle est antidysentérique et aurait des propriétés abortives.

Les graines

Les graines donnent une huile très fine jaune claire, inodore, de saveur douce, rancissant difficilement : C’est l’huile de ben, qui est comestible. Elle est recherchée pour le graissage et par les horlogers. Elle est employée en parfumerie pour fixer les parfums fugaces de certaines fleurs. Les graines sont consommées après séchage ; elles ont le goût de cacahuètes.

Les racines

La racine est souvent utilisée comme raifort : elle stimule la digestion.
Fraîche, elle est rubéfiante.
Les racines pillées donnent un bon sinapisme : Mélangées avec un peu de sel, elles donnent un cataplasme qui fait mûrir les tumeurs. Appliqué sur la tête, elle guérit les maux de tête.
Les massages, à base de racines pilées, ont une action bienfaisante dans les rhumatismes et les douleurs articulaires.
L’écorce de la racine, les feuilles et les fruits sont considérées comme antispasmodiques.

Toxicité 

Diverses études ont montré qu’il s’agit d’une plante qui ne contient aucune substance toxique.

GENERALITES SUR LES ANTALGIQUES

Définition de la douleur 

La douleur est une sensation d’inconfort et de malaise qui entraîne l’éveil et la focalisation de l’attention sur le point algogène. Elle peut apparaître à la suite d’une inflammation, d’une infection locale, d’une contracture musculaire, d’un spasme vasculaire ou d’une atteinte cancéreuse.
Selon la définition de l’international Association for the study of pain (IASP), la douleur est « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable liée à des lésions tissulaires réelles ou potentielles ou décrite en des termes évoquant de telles lésions ». La douleur est un symptôme subjectif commun à de nombreuses pathologies. La subjectivité de ce symptôme le rend inaccessible à une évaluation directe par autrui et est donc difficile à appréhender et à quantifier par le thérapeute.

RAPPELS ANATOMO- PHYSIOLOGIQUES

Différents types de douleurs

La douleur peut être caractérisée en fonction de son profil évolutif.
Nous distinguons :
• La douleur aiguë. C’est un symptôme, une sensation déclenchée par le système nerveux pour alerter l’ensemble de l’organisme et évoluant sur une durée inférieure à trois mois.
• La douleur chronique : Sur une période allant de trois à six mois, la douleur persistante ou rebelle aux traitements usuels est dite chronique. Pour conduire son traitement, la douleur doit être considérée comme un phénomène complexe revêtant un aspect multidimensionnel (sensoriel, affectif, émotionnel, cognitif et comportemental). La douleur peut aussi être classée selon la neurophysiologique en :
• Douleur par excès de nociception ou douleurs nociceptives : [5]
La douleur nociceptive tire son nom du fait qu’elle a pour origine la stimulation d’un récepteur qui transmet au cerveau un message interprété comme étant une sensation de douloureuse.
Ce récepteur peut être de deux types :
• Nocicepteur (d’où le nom de douleur nociceptive)
• Récepteur de l’étirement qui, soumis à une certaine tension d’étirement,
envoie au cerveau un message de douleur.
En effet, ce sont les douleurs les plus fréquemment ressenties dans la vie quotidienne et dans la plupart des pathologies d’origine somatique. Elles constituent un signal d’alarme utile qui amène le patient a adopté une attitude de protection de son corps vis à vis d’une stimulation externe ou à consulter un médecin pour objectiver la cause de cette douleur et pouvoir ainsi la traiter. C’est parfois un moyen de défense pour soustraire l’individu d’un danger.
Il apparaîtra cependant que certaines pathologies somatiques (cancer du poumon) peuvent dans leur début s’installer et se développer sans que les nocicepteurs ne signalent l’altération tissulaire et que le patient ne ressente une douleur.
Si la topographie correspond fréquemment à la localisation de la lésion, il existe certaines pathologies où l’on constate une dissociation topographique entre lésion et douleur : Ceci peut constituer un piège diagnostic.
• Douleurs psychogènes [22]
Ces douleurs sont évoquées le plus souvent sous un mode majeur que les examens cliniques et para cliniques ne permettent pas de rattacher à une cause évidente.
Ces douleurs sont dues le plus souvent à des drames affectifs (divorce, deuil) ou socio- professionnels (chômage, reclassement non accepté).
Le patient est souvent anxieux, irritable, voir agressif.
Il a des troubles de sommeil fréquents.
Plusieurs points communs le caractérisent :
. Le territoire douloureux ne correspond à aucune topographie nerveuse. .La description est variée dans le temps, d’un moment à l’autre et entre
deux consultations différentes.
• Douleurs neurogènes [4]
Ces douleurs sont liées à la destruction ou à la lésion de structure nerveuse périphérique « nerf » ou centrale « tissu médullaire ou tronc cérébral ».
Les douleurs neurogènes périphériques ou centrales ont des caractéristiques sémiologiques communes.
Typiquement, la douleur est présente dés le réveil, persistant toute la journée avec renforcement éventuel le soir lors d’une fatigue. Paradoxalement, le patient dort parfaitement la nuit et n’est jamais réveillé par un accès de nociception et en dehors de tout problème psychologique associé.
Fréquemment il existe des paroxysmes de forte intensité et de courte durée « décharges électriques, élancements » qui peuvent prostrer le patient, celui-ci connaît des manœuvres de contre stimulation qui améliorent voire suppriment transitoirement ses douleurs.
Contrairement aux douleurs par excès de nociception, les douleurs neurogènes sont peu sensibles voire insensibles, aux antalgiques périphériques et centraux et aux blocs anesthésiques.

Transmission de la douleur

Le trajet parcouru pour l’information sensorielle nociceptive commence à la périphérie de l’organisme, au niveau des nocicepteurs. Ces derniers sont constitués par les terminaisons libres situées dans la peau ou les viscères, des fibres nerveuses sensorielles fines.
L’information nerveuse nociceptive est propagée jusqu’à la moelle épinière par l’intermédiaire des fibres fines (appelées fibres Aδ, si elles sont entourées d’une gaine de myéline, fibres C, si elles sont amyéliniques) des nerfs sensoriels.
Ces fibres sont les axones des neurones nociceptifs de premier ordre dont les corps cellulaires sont rassemblés au sein des ganglions rachidiens. Elles pénètrent dans la moelle épinière par la racine dorsale, jusqu’aux couches superficielles de la corne dorsale.
Les terminaisons des fibres fines viennent établir une liaison synaptique avec les neurones nociceptifs de deuxième ordre dont les corps cellulaires sont situés plus ou moins dans la corne dorsale. Ces neurones que l’on rencontre dans tous les segments de la moelle épinière sont présents dans le système trigéminal (au niveau du bulbe) lequel intervient dans la nociception de la face et de la cavité buccale.

Voies de la douleur

Elles assurent la transmission de l’influx nociceptif à partir des nocicepteurs, jusqu’à l’intégration du message au niveau cérébral (figure 2). Les fibres nociceptives convergent vers la moelle par les racines antérieures et postérieures.
On distingue jusqu’à trois types de voies :

Voie Lemniscale 

Support de la sensibilité discriminatoire de la douleur épicritique, elle met en jeu les fibres myéliniques Aδ de gros calibre. Au niveau de ces fibres trois neurones sont impliqués dans la transmission du message nociceptif :
– Le neurone périphérique dont le corps cellulaire est situé dans le bulbe rachidien. Il conduit le message dans les couches postérieures de la moelle épinière où les fibres A forment le faisceau de GOLL et BURDACH dont le premier relais est localisé au niveau du bulbe rachidien :
– Le second neurone se projette dans le noyau thalamique et gagne ensuite le noyau ventro-postéro-latéral du thalamus où il y’a un relais avec le troisième neurone.
– Le troisième neurone permet la projection d’influx vers les aires corticales somesthésiques S1 et S2.

Voie extralemniscale 

Support de la sensibilité non discriminative chez la plupart des mammifères, c’est une voie multisynaptique, lente.
La transmission des influx (tactiles grossiers, thermiques et douloureux) est assurée par les fibres Aδ et C qui représentent les protoneurones. Ces dites fibres transmettent les afférences nociceptives thermiques issues des terminaisons nerveuses libres et des thermorécepteurs jusqu’au niveau des noyaux de la corne dorsale de la moelle épinière où ils font relais avec d’autres neurones qui se projettent dans les centres supra médullaires.
Elle est le prolongement des terminaisons nerveuses libres et des thermorécepteurs, elle conduit une sensibilité grossière tactile ou thermique. Après le relais au niveau de la moelle, les fibres ascendantes par le cadran antérolatéral se projettent dans les centres supra médullaires.

Voies ascendantes 

9 Voie spinoréticulaire
C’est la voie qui fait intervenir la formation réticulaire, bulbaire, pratique et mésencéphalique. Elle est relayée dans ces structures par la voie spinoréticulothalamique, qui projette vers la thalamus, l’hypo thalamus et le système limbique.
9 Voie spinocervicothalamique
Elle est le prolongement de la voie lemniscale. Elle emprunte les neurones ascendants, atteints le noyau cervical latéral, les structures thalamiques et se projette dans les aires corticales S1 et S2.
9 Voie spinothalamique
C’est une voie qui sollicite le complexe ventro- basal postérieur et les noyaux intra-laminaires médians du thalamus avant de se projeter au niveau de l’air corticale.

Centre de la douleur 

Les structures de mises en jeu dans la physiologie de la nociception sont nombreuses et il est impossible de privilégier le rôle de l’un ou de l’autre. Les plus étudiées sont les sites de projection des voies ascendantes qui sont.
– L’aire sensorielle du cortex cérébral : C’est le site de la projection d’une grande quantité de neurones nociceptifs de quatrième ordre qui répondent aux mêmes types de propriété que les neurones thalamiques.
– Le complexe ventro-basal du thalamus latéral : Renfermant une grande quantité de neurones nociceptiques impliqués dans la discrimination de la douleur.
– L’hypothalamus : Certaines structures de l’hypothalamus interviennent dans la composante neurovégétative de la douleur (pression artérielle, fréquence cardiaque, sudation).
– Le système limbique : Il intervient dans la composante émotive de la douleur.

Contrôle de la douleur

Ce contrôle s’exerce à trois niveaux de trajet de l’influx :
– Contrôle médullaire
– Contrôle supra médullaire
– Système enképhalinergique médullaire endogène

Contrôle médullaire

La propagation des messages de la moelle vers les centres supérieurs est éventuellement modulée, voire inhibée par des mécanismes segmentaires ou « guichets de contrôle »
En 1965 MELZACK et WALL exposent dans la théorie du « Gate control » les différentes influences inhibitrices exercées sur des neurones, relais de la moelle. (figure3)

contrôle supra médullaire

Plusieurs régions du cerveau sont impliquées dans le contrôle de la douleur : Il s’agit de la substance grise autour de l’aqueduc, l’hypo thalamus, le thalamus et certains noyaux bulbaires, en particulier le noyau du raphé. Une stimulation de ces noyaux provoque une analgésie.

Contrôle enképhalinergique médullaire endogène 

Dans la corne dorsale de la moelle, au niveau de la substance de Rolando, les terminaisons des neurones sont riches en un polypeptide formé de onze acides aminés appelés : Substance P.
La substance P est un neuromédiateur libéré au niveau des terminaisons de fibres fines ; Elle a pour rôle de transmettre l’influx aux neurones post synaptiques qui conduisent l’influx vers les centres supérieurs.

LES MEDICAMENTS ANTALGIQUES

Introduction et définition 

Les origines et les manifestations de la douleur étant multiples, il n’est pas étonnant que les médicaments reconnus capable de l’atténuer soient également très divers. Certains s’attaquent à sa cause même d’autres sont purement symptomatiques et n’agissent que transitoirement. On peut les définir comme des médicaments capables de diminuer ou d’abolir la perception des sensations douloureuses sans entraîner la perte de conscience.

Les paliers de l’organisation mondiale de la santé (OMS)

L’OMS a proposé de classer les antalgiques en trois paliers ou niveaux. Cette échelle permet une hiérarchie des analgésiques en fonction de leur niveau de puissance et de leurs rapports avantages inconvénients.
• Niveau 1 : Analgésiques non morphiniques appelés aussi, à tort, analgésiques périphériques ou mineurs. Ils sont représentés par le paracétamol, l’Aspirine et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
• Niveau 2 : Agonistes morphiniques faibles. Le niveau 2 est constitué par les associations entre analgésiques de niveau1 et analgésiques morphiniques faibles : dextropropoxyphène et codéine.
• Niveau 3 Regroupement des agonistes morphiniques forts (morphine, péthidine, dextromoramide) et des agonistes antagonistes (pentazocine et nalbuphine). On distingue le niveau 3a quand les agonistes morphiniques forts sont administrés par voie orale et le niveau 3b quand ils le sont par voie parentérale ou centrale.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I-PRESENTATION DE Moringa oleifera
I-1 Description botanique et répartition géographique
I-1-1- Nom scientifique
I-1-2- Synonyme
I-1-3- Noms vernaculaires
I-1-4- Répartition géographique et habitat
I-1-5 Caractères botaniques
I-2- Chimie
I-2-1- Composition chimique des feuilles
I-2-2- Composition chimique de l’écorce
I-2-3- Composition chimique des graines
I-3- Pharmacologie
I-3-1- Les organes
I-3-2- Athomine
I-3-3- Spirochine
I-3-4- Moringine et Moringinine
I-4- Emplois
I-4-1-Les feuilles
I-4-2- L’écorce
I-4-3- Les graines
I-4-4- Les racines
I-5- Toxicité
II-1 Définition de la douleur
II-2- Rappels anatomo-physiologiques
II-2-1- Différents types de douleurs
II-2-2- Transmission de la douleur
II-2-3- Voies de la douleur
II-2-4- Centre de la douleur
II-2-5- Contrôle de la douleur
III-1- Introduction et définition
III-2- Les paliers de l’organisation Mondiale de la Santé (O.M.S)
III-3- Les antalgiques de niveau 1
III-3-1- Mécanisme d’action
III-3-2- L’Aspirine
III-3-3- Les autres A.I.N.S employés comme analgésique
III-3-4- Les effets indésirables des A.I.N.S
III-3-5- Le paracétamol
III-3-6- Effets indésirables du paracétamol
III-4- Les antalgiques de niveau 2
III-4-1- La codéine
III-4-2- Le dextropropoxyphéne
III-5- Les antalgiques de niveau 3
III-5-1- Agonistes purs et complets
III-5-1-1- La morphine
III-5-1-2- Autres Agonistes purs complets
III-5-1-3- Agoniste partiel : La buprémorphine
III-5-1-4- Les agonistes antagonistes
III-5-1-5- Antagoniste pur
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX PERSONNELS
I- Objectifs
II-Matériel et méthodes
II-1 Matériels
II-1-1- Matériel végétal
II-1-2- Matériel biologique
II-1-3- Matériel utilisé pour les études chimiques et pharmacologiques
II-1-3-1- Matériel utilisé pour l’extraction et l’étude chimique
II-1-3-2- Matériel et réactifs utilisés pour l’étude de l’activité analgésique
II-2- Méthodes d’étude
II-2-1- Etude phytochimique des feuilles
II-2-1-1- Extraction
II-2-1-2- Etude chimique des feuilles de Moringa oleifera
II-2-1-2-1- Recherche des flavonoïdes
II-2-1-2-2- Recherche des Tanins
II-2-1-2-3- Recherche des alcaloïdes
II-2-1-3- Séparation et identification par chromatographie sur couches mince (C.C.M.)
II-2-2- Essais pharmacologiques
II-2-2-1- Etude de l’activité analgésique
II-2-2-2- Principe du test à l’acide acétique
II-2-2-3- répartition des souris
III- RESULTATS
III-1- Extraction
III-2- Etude chimique
III-2-1- Essais de caractérisation
III-2-1-1- Les hétérosides flavoniques
III-2-1-3- Les alcaloïdes
III-2-2- Chromatographie sur couche mince (CCM)
III-2-2-1- CCM des flavonoïdes
III-2-2-2- CCM des Tanins
III-2-2-3- CCM des alcaloïdes
III-3- Résultats des essais pharmacologiques de l’activité analgésique
IV-DISCUSSION
V-CONCLUSION
VI-REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
VII-ANNEXES

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