Matériel pour le comptage de cellules somatiques au microscope

Contraintes sanitaires

La situation zoo-sanitaire est relativement satisfaisante en ce qui concerne la maîtrise des grandes épizooties (KEITA, 2005). C’est dans cette optique que la vaccination contre la peste bovine a été arrêtée, et le Sénégal est actuellement déclaré paysindemne de cette affection .
Cependant, l’élevage traditionnel continue de payer un lourd tribut à un certain nombre de pathologies comme les maladies telluriques (botulisme, charbons, tétanos), la fièvre aphteuse et le parasitisme interne.
En revanche, dans les systèmes d’élevage intensif et semi-intensif, les problèmes sanitaires les plus fréquents restent les pathologies podales (le piétin), la dermatose nodulaire, la fièvre aphteuse ainsi qu’une mortalité embryonnaire ou juvénile élevée due au manque d’adaptation climatique et pathologique des femelles exploitées.
A ces maladies s’ajoutent les mammites. En effet, ces dernières sont plus fréquemment rencontrées chez les races hautes productrices de lait et constituent un handicap majeur pour le développement de la filière laitière au Sénégal.

MAMMITES BOVINES EN ELEVAGE LAITIER

DEFINITIONS

Une mammite désigne une inflammation d’un ou de plusieurs quartiers de la mamelle due généralement à une infection bactérienne. Des mammites dites « aseptiques » existent, cellesci peuvent être dues à des désordres physiologiques ou à des traumatismes locaux mais elles restent beaucoup plus rares. Les infections mammaires peuvent être ou non associées à des signes cliniques ; c’est pourquoi on distingue les mammites cliniques et les mammites subcliniques (POUTREL, 1985 ; SEEGERS et al., 1997).
9 La mammite clinique est caractérisée par la présence de symptômes fonctionnels (modifications macroscopiquement visibles de la quantité et de la qualité du lait), de symptômes locaux inflammatoires observés au niveau de la mamelle(douleur, chaleur, tuméfaction, etc.) et de symptômes généraux (hyperthermie, anorexie, arumination, abattement). En pratique, on considère qu’il y a mammite clinique dès qu’il y a une modification de l’aspect du lait ou de la sécrétion de la mamelle (critère le plus précoce et le plus constant). Enfin, selon la gravité et la simultanéité des symptômes, on distingue, par ordre décroissant de gravité, les mammites cliniques suraiguës, aiguës et subaiguës (POUTREL, 1985).
9 Contrairement aux mammites cliniques, les mammites subcliniques ne s’accompagnent d’aucun symptôme, ni général, ni local, ni fonctionnel. Elles ne sont diagnostiquées qu’à l’aide d’examens complémentaires qui mettenten évidence une augmentation du tauxcellulaire du lait ou de la conductivité du lait (POUTREL, 1985).

IMPORTANCE DES MAMMITES

Médicale

Les mammites sont responsables d’une morbiditétrès grande dans les troupeaux laitiers.
Selon CHAUFFAUD 1986, en France,toutes les étables étaient touchées par l’infection mammaire. Selon les troupeaux, 5 à 70 % des vaches étaient atteintes de mammites et 10 % des vaches présentaient chaque année, au moins une fois, une mammite clinique.
De plus, certaines mammites sont mortelles,c’est le cas des mammites gangréneuses à Nocardia, ou des mammites colibacillaires (POUTREL B., 1985).

Hygiénique

Les mammites portent atteinte à l’hygiène animale et potentiellement à la santé publique.
Le risque zoonotique lié à la contamination dulait par certains germes fait l’objet de préoccupations de santé publique(BRADLEY, 2002 ; SEEGERS et al., 1997).
En effet, selon POUTREL, 1985, le lait « mammiteux » peut être vecteur d’agents responsables de toxi-infections alimentaires (Salmonella, Listeria,etc.).
D’après les études réalisées par LE ROUX (1999), parmi les bactéries les plus impliquées dans les intoxications alimentaires par ingestion des produits laitiers, on peut noter :
• Staphylocoques dorés (toxines) : Les toxines se trouvent dans les laits crus et pâte molle au lait cru et peuvent entraîner des troubles digestifs graves. Environ 38% des toxiinfections alimentaires présumées à S.doré sont dues à des produits laitiers.
• Listeria: Les formes graves de listériose peuvent entraîner des avortements, méningites, et sont parfois mortelles chez l’Homme.
• Coliformes et Salmonelles : Ils entraînent des troubles digestifs.
En dehors de l’interférence dans la transformation de certains produits laitiers, les résidus d’antibiotiques dans le lait sontpotentiellement néfastes pour la santé humaine. C’est le cas de résidus de Pénicilline qui peuvent entraîner des réactions cutanées chez des sujets qui lui sont allergiques (LEBRET et al., 2002).
De fait, en l’absence de pasteurisation, des germes pathogènes pour l’Homme provenant de quartiers infectés peuvent contaminer les produits laitiers (BRADLEY, 2002 ; SEEGERS et al.,1997).

Technologique

Lors de mammites, les modifications physico-chimiques et biologiques du lait diminuent sa qualité technologique et perturbent les processus de sa transformation. Ceci a pour conséquence, une diminution du rendement fromager, une modification dela texture, du goût et de l’odeur (SERIEYS, 1985b). De même, la persistance des antibiotiques dans le lait après le traitement des mammites, provoque une inhibition de la flore lactique entraînant un mauvais égouttage et l’envahissement par la flore colibacillaire et par les moisissures.

Economique

Les mammites constituent le trouble sanitaire le plus fréquent et aux plusfortes répercussions économiques en élevage bovins laitiers (POUTREL, 1985, SEEGERS et al., 1997). Ceci tient principalement du fait de leur fréquence, des frais vétérinaires qu’elles entraînent (honoraires, coût des traitements) et de leurs répercussions néfastes tant qualitatives que quantitatives sur la production laitière. En effet,celle-ci s’en trouve réduite tandis que l’altération de la composition du lait qui en résulte(baisse du lactose, des caséines, de certains minéraux tels que le calcium et le phosphore, augmentation des protéines solubles inutilisables pour la fabrication de fromages) se répercute sur les aptitudes technologiques du lait (baisse des rendements fromagers, etc.). Ceci entraîne donc des pénalités de paiement du lait et une moindre rémunération de l’éleveur (POUTREL, 1985).
La mammite subclinique est encoreplus coûteuse. En effet, elle s’installe de façon plus silencieuse, avec des infections chroniques au sein du troupeau. Elle contamine d’autres sujets, augmente le risque de mammites cliniques, cause une diminution de la production et finalement engendre des pertes monétaires directes liées aux pénalités et à l’augmentation de la réforme involontaire.
Enfin, l’impact économique résulte de la somme des coûts des actions de maîtrise (traitements et préventions) et des pertes (réductions de production, lait non commercialisé, pénalités sur le prix de vente, mortalités et réformes anticipées) (COULON, LESCOURRET, 1997 ; SEEGERS etal., 1997).

ETIOLOGIE

De très nombreux micro-organismes sont susceptibles de franchir la barrière constituée par le canal du trayon et de se multiplier dans la mamelle; c’est le cas des bactéries, virus, levures, et algues qui peuvent être lacause d’infections mammaires et de mammites (HANZEN, 2006). Cependant, ce sont les bactéries qui sont responsables de la très grande majorité des mammites (POUTREL, 1985). La multiplicité des germesen cause et la résistance de certains d’entre eux aux traitements mis en œuvre rendent l’approche thérapeutique complexe.
De ce fait, la connaissance des principaux agents pathogènes responsables de mammites, représente un intérêt réel pour aider le praticien dans ses choix thérapeutiques en les adaptant au contexte épidémiologique propre à chaque élevage (BOUVERON, 2001, FABRE et al., 1997).
Traditionnellement on classe les espèces bactériennes responsables de mammites en deux groupes (Tableau IV) :
# Les espèces pathogènes majeuresqui sont potentiellement responsables de mammites cliniques et regroupent les streptocoques (Streptococcus uberis, Streptococcus Dysgalactiae subsp. dysgalactiae1, Streptococcus agalactiae), les entérocoques (Enterococcus faecalis…), les staphylocoques à coagulase positive (CPS) (Staphylococcus aureus subsp. aureus), ainsi que les entérobactéries (Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae subsp. pneumoniae, Enterobacter aerogenes…). Ces trois familles de germes sont responsables de la majorité des mammites cliniques, à hauteur de 80-90 p. cent (ARGENTE et al 2005, FABRE et al 1997). D’autres germes tels que Arcanobacterium pyogenes, Pseudomonas aeruginosa, des mycoplasmes et des bactéries anaérobies sont plus rarement isolés.
# Les espèces pathogènes mineuressont exceptionnellement responsables de mammites cliniques, mais plutôt de mammites sub-cliniques. On trouve dans ce groupe les staphylocoques coagulase négative et les Corynébactéries.
Ces germes sont également classés en germescontagieux et en germes d’environnement.

Facteurs de variations

Facteurs liés à l’animal

Stade de lactation

La plupart des nouvelles infections ont lieu pendant les trois premiers mois de lactation (figure 3).
Parmi celles-ci et les infections ultérieures, 80 % persistent jusqu’au tarissement. De plus, la moitié des quartiers assainis se réinfecte pendant la même lactation, donc seulement 10 % des quartiers nouvellement infectés pendant la lactation considérée seront réellement assainis avant le tarissement. Cette persistance des infections sub-cliniques explique leur importance économique.
Ensuite pendant la période sèche (entre tarissement et vêlage), on observe de nouvelles infections (15-20%) pendant les trois premières semaines du tarissement, ainsi que dans les quinze jours précédant le vêlage. Entre ces deuxpériodes, la mamelle complètement involuée semble résistante aux infections hormis celles dues à Arcanobacterium pyogenes (figure 1).
Enfin en l’absence de traitement au tarissement, 80% des infections persistent jusqu’au vêlage.

Facteurs liés à l’espèce bactérienne

L’espèce bactérienne en cause joue surtout un rôledans la persistance de l’infection de la glande mammaire. Les mammites à staphylocoques sont les plus persistantes car ces derniers forment des micro-abcès dans le parenchyme mammaire où ils sont inaccessibles pour les antibiotiques. La prévalence des différentes bactéries est différente selon la période de lactation : E. coli est surtout rencontré dans les semaines suivant le vêlage, Arcanobacterium pyogenes est plus courant chez les vaches taries et les génisses, par contre S. aureus peut être rencontré à tout moment de la lactation.
Lors de mammites à S. aureus dans un élevage, on n’isole sur les différents laits de mammites qu’une seule et même souche qui prédomine largement ; ce qui tend à prouver que l’infection s’étend des quartiers infectés vers les quartiers sains lors de la traite (GUERIN, 1998). Ce caractère monoclonal ou oligo-clonal des infections à S. aureus dans un élevage était classiquement admis jusqu’à présent (SERIEYS et GICQUEL-BRUNEAU, 2005), même s’il est controversé par certains auteurs. A l’opposé, lors des mammites à E. coli, on isole différents génotypes dans le même élevage : dans ce cas, l’infection se fait plutôt à partir du milieu, le réservoir de la bactérie étant environnemental.

Facteurs liés à la traite

La technique de traite et le fonctionnement de la machine à traire sont impliqués dans les mammites par deux mécanismes : les lésions du trayon et les phénomènes de reflux de lait ou phénomènes d’impact.
Comme signalé plus haut, les lésions du trayon affaiblissent son rôle de barrière vis-à-vis des micro-organismes. Parmi les défauts de fonctionnement de la machine en cause, on peut citer un niveau de vide excessif qui entraîne l’éversion du canal du trayon et un pulsateur défectueux. Pour ce qui est de la technique de traite, toute sur-traite, ou défaut d’arrachage des griffes peuvent occasionner des lésions du trayon.
Le phénomène de reflux (figure 2) est dû à des entrées d’air intempestives au niveau d’un manchon trayeur. Ces entrées vont occasionner une baisse du niveau de vide dans ce manchon trayeur et un reflux du lait de ce trayon vers les autres faisceaux trayeurs où le niveau de vide est plus élevé. Ce reflux de lait peut être le vecteur de germes.

Le modèle mammites de traite

La transmission des germes, de quartiers infectés à quartiers sains a lieu pendant la traite.
Les bactéries en cause sont les germes à réservoir intra-mammaire ou mammaire, à savoir principalement S. aureus, Str. agalactiae et Str. dysgalactiae.
Souvent, le même germe et la même souche sont retrouvés dans différents quartiers infectés d’un même troupeau. Cela montreque la transmission a lieu, leplus souvent, d’un quartier infecté à un autre lors de la traite.
Les sources primaires des germes sont intra-mammaires ou situées au niveau des lésions des trayons. Comme le type cliniquele plus souvent rencontré est chronique, voire sub-clinique, les germes persistent longtemps dans la mamelle. De plus, toute politique de réforme insuffisante et tout traitement antibiotiquemal conduit augmentent cette persistance.
Des réservoirs relais, difficilement nettoyables, comme les manchonsfissurés, la tuyauterie et les recoins de la machine à traire interviennent également.

Le modèle mammites d’environnement

La transmission des germes a lieu essentiellement en dehors des traites, par contact du trayon avec la litière souillée lors du décubitus. L’infection se fait par multiplication active des germes au niveau du trayon puis la remontée du canal du trayon. La période la plus favorable pour l’infection se situe juste après la traite, lorsque le sphincter du trayon est encore ouvert, surtout s’il n’y a pas de trempageou si le produit de trempage est inactivé par de la matière organique. En dehors de cette période, la contamination peut se faire lorsque les germes pullulent dans les litières ou sile temps de couchage est plus long, lors du post-partum par exemple.
Ces mammites sont le plus souvent aiguës avec une inflammation sévère du quartier. Elles sont aussi plus brèves que les mammites detraite. Les germes en cause sont les entérobactéries, Str. uberis, et les entérocoques. Dans un même troupeau, on retrouve, rarement plusieurs fois, les mêmes sérotypes d’E. coli, ;par conséquent, la transmission se fait rarement de quartiers infectés à quartiers sains.

DIAGNOSTIC DES MAMMITES

Diagnostic épidémiologique

L’approche des infections mammaires à l’échelle du troupeau est un compromis entre l’approche où on se contenterait de traiter toutes les formes demammites de la même façon et celle où on adapterait le traitement au cas par cas. Certes, dans le premier cas, les besoins de diagnostic seraient réduits au minimum mais impliquerait l’existence despécialités permettant de faire face à toutes les situations ; ce qui n’est pas réaliste. Dans le deuxième cas, il faudrait disposer de tests fiables de diagnostic au pied de la vache, lesquels tests n’existent pas actuellement.
Ainsi, pour être opérationnelle, cette démarche de diagnostic à l’échelle du troupeau ne peut être que partielle et probabiliste compte tenu des limites des moyens de diagnostic et de traitement (SERIEYS, 2004).
L’objectif est de caractériser la situation épidémiologique et les grands types d’infections présentes à partir de données accessibles dans l’élevage (SERIEYS, 2004). Il est connu sur le plan épidémiologique qu’en général, une ou deux espèces bactériennes sont responsables de la grande majorité des infections du troupeau. Pour parvenir à ce diagnostic de suspicion épidémiologique, il convient de confronter les différents indicateurs épidémiologiques accessibles dans l’élevage afin d’élaborer un faisceau de présomptionsdestiné à cerner le profil épidémiologique de l’exploitation et de l’orienter ainsi vers un modèle contagieux ou plutôt un modèle environnemental.
Des observations sur les comptages cellulaires individuels, les comptages cellulaires de tank, l’aspect des mamelles et des trayons, les conditions de traite, lasévérité des cas cliniques, permettent d’affiner la suspicion et de suspecter la présence d’un germe pathogène majeur (FAROULT et al., 2003). Les tableaux VI, VII et VIII ci-dessous résument les différents critères permettant de poser les suspicionsépidémiologiques au sein d’un élevage.
Ces critères reposent sur les connaissances de la pathogénie et de l’épidémiologie actuelles des principaux germes de mammites touchant les élevages laitiers.
Une réévaluation régulière de ces critères au sein de chaque élevage est cependant indispensable étant donné que le modèle épidémiologique ainsi diagnostiqué à un moment donné n’est pas immuable.

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Table des matières
INTRODUCTION 
CHAPITRE I : PRODUCTION LAITIERE BOVINE AU SENEGAL 
I.1. TYPOLOGIE DES STSYEMES DE PRODUCTION
I.1.1. Le système pastoral
I.1.1.1. Localisation
I.1.1.2. Races exploitées
I.1.1.3. Caractéristiques du système
I.1.2. Le système agro-pastoral ou pastoral semi-intensif
I.1.2.1. Localisation
1.1.2.2. Races exploitées
1.1.2.3. Caractéristiques du système
I.1.3. Le système intensif
I.1.3.1. Localisation
I.1.3.2. Races exploitées
I.1.3.3. Caractéristiques
I.2. IMPACT ECONOMIQUE DE LA PRODUCTION LAITIERE ACTUELLE
I.2.1. Apport du système pastoral
I.2.2. Apport des systèmes semi-intensif et intensif
I.2.3. Projets de développement etavenir de la filière laitière
I.3. CONTRAINTES DE PRODUCTION RENCONTREES
I.3.1. Contraintes génétiques
I.3.2. Contraintes climatiques
I.3.3. Contraintes alimentaires et d’abreuvement du troupeau
I.3.4. Contraintes socio-économiques
I.3.5. Contraintes liées au marché du lait
I.3.6. Contraintes sanitaires
CHAPITRE II : MAMMITES BOVINES EN ELEVAGE LAITIER 
II.1. IMPORTANCE DES MAMMITES
II.1.1.Médicale
II.1.2. Hygiénique
II.1.3. Technologique
II.1.4. Economique
II.2. ETIOLOGIE
II.3. ETUDE CLINIQUE DES MAMMITES
II.3.1. Mammites cliniques
II.3.1.1. Mammite suraiguë
II.3.1.2. Mammite aiguë
II.3.1.3. Mammite chronique
II.3.2. Mammites sub-cliniques
II.3. EPIDEMIOLOGIE
II.3.1. Epidémiologie descriptive
II.3.1.1. Paramètres indicateurs
II.3.1.2. Facteurs de variations
II.3.1.2.1. Facteurs liés à l’animal
II.3.1.2.2. Facteurs liés à l’espèce bactérienne
II.3.1.2.3. Facteurs liés au logement
II.3.1.2.4. Facteurs liés à la traite
II.3.2. Epidémiologie synthétique
II.3.2.1. Le modèle mammites de traite
II.3.2.2. Le modèle mammites d’environnement
II.4. DIAGNOSTIC DES MAMMITES
II.4.1. Diagnostic épidémiologique
II.4.2. Diagnostic clinique
II.4.3. Diagnostic expérimental
II.4.3.1. Comptage avec le fossomatic
II.4.3.2. Comptage avec le Coulter-Counter
II.4.3.3. Comptage par la méthode microscopique directe
II.4.3.4. Le « Californian Mastitis Test » (CMT)
II.4.3.5. Le détecteur de mammites
II.4.3.6. Diagnostic bactériologique
II.4.3.6.1. Bactériologie classique
II.4.3.6.2. Kit de diagnostic bactériologique « Speed® Mam Color »
II.5. MESURES THERAPEUTIQUES ET PROPHYLACTIQUES
II.5.1. Mesures thérapeutiques
II.5.1.1. Médicaments et voies d’administration
II.5.1.1.1. Etats des lieux des spécialités disponibles
II.5.1.1.2. Voies d’administration
II.5.1.1.2.1. Traitement par voie générale
II.5.1.1.2.2. Traitement par voie galactophore
II.5.1.2. Suivi du traitement
II.5.1.2.1. Critères d’évaluation de l’efficacité du traitement antibiotique d’une mammite clinique
II.5.1.2.2. Echec thérapeutique
II.5.1.2.2.1. Causes possibles de l’échec thérapeutique
II.5.1.2.2.2. Conduite à tenir en cas d’échec
II.5.2. Mesures prophylactiques
II.5.2.1. Diagnostic continuel à l’échelle du troupeau
II.5.2.2. Hygiène de la traite
II.5.2.3. Traitement au tarissement
II.5.2.5. Autres mesures
CHAPITRE I. CADRE D’ETUDE 
I.2. LIEU D’ETUDE
I.2.1. Présentation de la ferme de Wayembam
I.2.1.1. Production animale
I.2.1.1.1. Bovins
I.2.1.1.1.1. Races exploitées
I.2.1.1.1.2. Alimentation et prophylaxie sanitaire
I.2.1.1.1.3. La production laitière et sa destination
I.2.1.1.2. Petits ruminants
I.2.1.2. Production végétale
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODE 
II.1. ETUDE SUR LE TERRAIN
II.1.1. Matériel
II.1.1.1. Matériel animal
II.1.1.2. Autre matériel
II.1.2. Méthodes d’étude
II.1.2.1. Echantillonnage
II.1.2.2. Collecte des informations
II.1.2.3. Dépistage des mammites subcliniques
II.1.2.3.1. Californian Mastitis Test (CMT)
II.1.2.3.1.1. Principe et technique de réalisation
II.1.2.3.1.2. Lecture et interprétation
II.1.2.4. Prélèvement de lait
II.1.2.4.1. Moment du prélèvement
II.1.2.4.2. Réalisation du prélèvement
II.2. ANALYSE DE LABORATOIRE
II.2.1. Matériel
II.2.1.1. Matériel pour le comptage de cellules somatiques au microscope
II.2.1.2. Matériel de Bactériologie
II.2.1.2.1. Matériel courant de bactériologie
II.2.1.2.2. Kit de diagnostic bactériologique « Speed® Mam Color »
II.2.1.2.2.1. Présentation du Kit
II.2.1.2.2.2. Description du test
II.2.1.2.2.2.1. Puits témoins
II.2.1.2.2.2.2. Puits d’identification
II.2.1.2.2.2.3. Puits d’antibiosensibilité
II.2.2. Méthode d’étude
II.2.2.1. Comptage des cellules somatiques au microscope
II.2.2.1.1. Préparation du liquide de dilution
II.2.2.1.2. Techniques de réalisation
II.2.2.1.3. Lecture et interprétation
II.2.2.2. Kit de diagnostic bactériologique « Speed® Mam Color »
II.2.2.2.1. Technique de réalisation
II.2.2.2.1.1. Isolement
II.2.2.2.1.2. Lecture et interprétation
II.2.2.3. Analyse bactériologique
II.2.2.3.1 La préparation des milieux de culture
II.2.2.3.2. Isolement des germes
II.2.2.3.3. Identification des germes
II.2.3.4. Antibiogramme
CHAPITRE III. RESULTATS ET DISCUSSION 
III.1. RESULTATS
III.1.1. Caractéristiques de l’échantillon
III.1.1.1. Les vaches sans mammites apparentes
III.1.1.2. Les vaches à mammites cliniques
III.1.2. Principaux facteurs de risques identifiés
III.1.3. Mammites subcliniques
III.1.3.1. Résultats des tests de dépistage
III.1.3.1.1.1. CMT
I.1.2.1. Résultats du CMT par rapport au stade de lactation
I.1.2.2. Résultat du CMT par rapport au rang de lactation
I.1.2.3. Résultat du CMT par rapports aux races
III.1.3.1.1.2. Comptage des cellules somatiques
III.1.3.1.1.2.1. Comptage des cellules somatiques du lait de Tank
III.1.3.1.1.2.2. Comptage des cellules somatiques du lait individuel
III.1.4. Résultats bactériologiques
III.1.4.1. Laits de Mammites subcliniques
III.1.4. Laits de mammites cliniques
III.1.4.1. Résultats bactériologiques
III.1.4.1.2. Kit Speed® Mam color
II.1.4.1.2.3. Comparaison des deux méthodes
III.2. DISCUSSION
III.2.1. Matériel et méthodes
III.2.1.1. Sur le terrain
III.2.1.2. Au laboratoire
III.2.2. Résultats
III.2.2.1. Résultats du CMT
III.2.2.2. Résultats du CCS
III.2.2.3. Résultats bactériologiques
III.2.3. Recommandations
III.2.3.1. Techniques d’élevage
III.2.3.2. Pratique de la traite
III.2.3.3. Médication.
CONCLUSION GENERALE

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