MANIFESTATIONS PARODONTALES ET CONTRACEPTION

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La rรฉversibilitรฉ

La rรฉversibilitรฉ d’une mรฉthode de contraception se dรฉfinit par la rapiditรฉ du retour ร  la fรฉconditรฉ normale aprรจs l’arrรชt de la mรฉthode. Ce retour ร  la fรฉconditรฉ ne signifie pas qu’une grossesse doit survenir.
Il convient de souligner que la stรฉrilisation tubaire n’est en aucun cas une mรฉthode de contraception puisqu’il s’agit d’une mรฉthode mutilatrice. Il en est de mรชme de la vasectomie.

L’acceptabilitรฉ

L’acceptabilitรฉ d’une mรฉthode de contraception est fonction du nombre de personnes qui la choisissent et la maintiennent. La mรฉthode doit รชtre simple d’utilisation, bien acceptรฉe pour que l’observance soit bonne.
Il est donc indispensable d’รฉtablir la prescription en tenant compte des valeurs morales, de la sexualitรฉ, du profil psychologique et du niveau de comprรฉhension de la femme.

Le coรปt

Le coรปt doit รชtre raisonnable pour l’individu et la collectivitรฉ ; malheureusement il n’est pas toujours pris en compte.

LES DIFFERENTES METHODES CONTRACEPTIVES [10,29,51]

Les mรฉthodes anticonceptionnelles peuvent รชtre classรฉes en deux groupes : les mรฉthodes hormonales et les mรฉthodes non hormonales.

Les mรฉthodes non hormonales

Le principe commun ร  ces mรฉthodes est l’abstinence sexuelle au cours de la pรฉriode fertile du cycle menstruel. Il est basรฉ sur l’auto-observation de phรฉnomรจnes permettant de prรฉdire la date de l’ovulation.

Les mรฉthodes dites d’auto -observation

โ– Mรฉthode du calendrier (Ogino-Knauss)
La mรฉthode Ogino-Knauss repose sur l’abstinence lors des jours de fรฉcondabilitรฉ thรฉorique (7 au 21 รจme jour du cycle). Le taux d’รฉchec est de 15% annรฉes / femmes.
โ– Mรฉthode des tempรฉratures
Elle repose sur l’observation du dรฉcalage thermique progestรฉronique qui suit l’ovulation. C’est une mรฉthode qui nรฉcessite le contrรดle de la tempรฉrature basale du corps tous les jours au mรชme moment et dans des conditions identiques. Il faut rรฉaliser ensuite une courbe thermique.
Thรฉoriquement, les rapports ne sont possibles qu’aprรจs 3 jours de plateau thermique donc, seront limitรฉs aux 10 derniers jours du cycle. L’indice de PEARL est de 2 ร  6 % annรฉes-femmes, mais la mรฉthode est astreignante et entachรฉe de sources d’erreurs. Son inefficacitรฉ augmente avec le temps et la lassitude des couples.
โ€ข Mรฉthode de la glaire cervicale (Billings)
Elle est basรฉe sur l’auto-observation de la glaire cervicale. L’abstinence est ร  observer pendant les 4 jours qui suivent le jour ยซ sommet ยป d’une glaire brillante, รฉlastique et filante. Lร  encore, c’est une mรฉthode trรจs astreignante avec des sources d’erreurs importantes. Le taux d’รฉchec varie de 1 ร  40% annรฉes / femmes.
โ€ข Mรฉthode symptothermique
Elle nรฉcessite l’observation de tous les indices de fertilitรฉ fรฉminine ร  savoir la tempรฉrature basale du corps, l’aspect de la glaire cervicale, la sensibilitรฉ mammaire, la douleur pelvienne, etc.
La femme qui utilise cette mรฉthode doit observer les changements de la glaire cervicale et noter les variations de la tempรฉrature ainsi que d’autres signes qui peuvent l’aider ร  dรฉtecter la pรฉriode de la fertilitรฉ.

Les mรฉthodes dites ยซ barriรจres ยป

Elle comprennent les mรฉthodes mรฉcaniques (diaphragmes, capes cervicales, prรฉservatifs masculins) et la mรฉthode chimique (spermicides) ร  employer sรฉparรฉment ou en association. Cette contraception est inoffensive et peu astreignante si elle est correctement utilisรฉe.

Le dispositif intra – utรฉrin (DIU) [29]

Le DIU reprรฉsente la deuxiรจme mรฉthode de contraception en France. Il concerne 17, 3% des femmes de 18 ร  49 ans soit plus de 2 millions d’utilisatrices. L’indice de PEARL est de 1% annรฉes-femmes. Il existe plusieurs types deย  stรฉrilets qui peuvent รชtre regroupรฉs en DIU inertes et en DIU bioactifs.
La contraception par le DIU est donc assurรฉe par un effet antinidatoire, mais aussi par un effet anticonceptionnel. Il n’existe aucun passage de la progestรฉrone par voie systรฉmique donc pas d’action mรฉtabolique ou d’interaction hypotalomo-hypophysaire

La contraception hormonale [37,22]

La contraception orale cestroprogestative

La contraception orale oestroprogestative est la mรฉthode contraceptive la plus efficace (indice de Pearl < 0,5) lorsqu’elle est correctement utilisรฉe. L’actualitรฉ de la contraception orale oestroprogestative tient surtout ร  trois facteurs :
une introduction rรฉcente de pilules plus faiblement dosรฉe en รฉthinyl-oestradiol et contenant un progestatif peu ou pas androgรฉnique ; une meilleure comprรฉhension du risque thromboembolique et des ses moyens de prรฉvention ;
une controverse interminable sur le risque relatif de cancer du sein chez les utilisatrices.
โ€ข Composition
L’cestrogรจne de synthรจse : le 17-alpha-รฉthinyl oestradiol est le plus utilisรฉ. Il n’est pas dรฉtruit par les enzymes digestives ni transformรฉ lors du passage hรฉpatique .
Les progestatifs de synthรจse : ils ont des propriรฉtรฉs assez voisines de la progestรฉrone naturelle. Parmi eux on distingue les dรฉrivรฉs nortestostรฉrone (norรฉthistรฉrone, lynestrรฉnol), les dรฉrivรฉs gonanes avec des effets androgรฉniques possibles (norgestrel, lรฉvonorgestrel, norgestriรฉnone), les dรฉrivรฉs gonane sans effet androgรฉnique (dรฉsogestrel, gestodรจne, norgestimate), les dรฉrivรฉs norprogestรฉrone (nomรฉgestrol, promรฉgestone), un dรฉrivรฉ hydroxyprogestรฉrone (acรฉtate de cyprotรฉrone).
Les modalitรฉs d’association des oestroprogestatifs sont nombreuses et varient en fonction de la quantitรฉ d’oestrogรจne, du type de progestatif, de la prรฉdominance de l’effet oestrogรฉnique ou de l’effet progestatif [37]. On distingue les cestroprogestatifs combinรฉs et les oestroprogestatifs sรฉquentiels.

Les oestroprogestatifs combinรฉs

Le dosage de l’รฉthinyl-oestradiol dรฉtermine la classification de l’ cestroprogestatif en normodosรฉ (50gg) et minidosรฉ (535p.g). La combinaison de l’รฉthinyl-oestradiol et du progestatif peut รชtre soit monophasique (tous les comprimรฉs de la plaquette sont identiques), soit biphasiquรฉ (deux sรฉquences correspondant ร  deux dosages diffรฉrents d’ cestroprogestatif), soit triphasique (trois paliers de dosage diffรฉrents).

Les oestroprogestatifs sรฉquentiels

lls sont peu nombreux et sont prรฉsentรฉs en plaquettes de 22 pilules. Les 7 ou 15 premiรจres pilules contiennent uniquement 50gg d’รฉthinyl-oestradiol, elles sont suivies d’une association d’รฉthinyl-oestradiol et de progestatif de premiรจre gรฉnรฉration.
โ€ข Mode d’action
L’efficacitรฉ contraceptive des pilules combinรฉes est assurรฉe par trois verrous principaux : le blocage de l’ovulation est contrรดlรฉ par l’effet antigonadotrope du progestatif essentiellement et, dans une moindre mesure de l’รฉthinyl-oestradiol. La prise hormonale exogรจne assure un rรฉtrocontrรดle nรฉgatif sur l’hypothalamus, l’hypophyse et enfin l’ovaire ;
l’atrophie endomรฉtriale rend l’endomรจtre impropre ร  la nidation ; la modification du mucus cervical rend la glaire cervicale inapte ร  l’ascension des spermatozoรฏdes dans le canal cervical.
Les pilules sรฉquentielles agissent plus sur le blocage de l’ovulation et moins sur la glaire cervicale et l’endomรจtre.
โ€ข Effets secondaires [7, 13, 16]
Les cestroprogestatifs provoquent une hypercoagulabilitรฉ par action de l’รฉthinyl-oestradiol, une diminution de la tolรฉrance au glucose et une รฉlรฉvation des insulinรฉmies par le biais d’une rรฉduction de la glycogรฉnolyse et d’une insulinorรฉsistance pรฉriphรฉrique. L’รฉthinyl-oestradiol augmente tous les paramรจtres lipidiques (triglycรฉrides, cholestรฉrol total, HDL, LDL, VLDL, avec un rapport CT/HDL conservรฉ) ร  l’inverse des oestrogรจnes naturels. On observe une hypertension artรฉrielle et, l’รฉthinyl-oestradiol en est le principal responsable mais le progestatif semble jouer lui aussi un rรดle.
Les accidents trombo-emboliques veineux reprรฉsentent un risque relatif de complications mortelles multipliรฉ par 3 ร  5 par action de l’รฉthinyl-oestradiol sur l’hรฉmostase. L’utilisation de pilules faiblement dosรฉes en oestradiol (< 30gg) chez des femmes ne prรฉsentant aucun antรฉcรฉdent de thrombose pourrait rรฉduire ce risque [13].
Les accidents artรฉriels reprรฉsentent un risque relatif de 3 ร  4 pour les accidents coronariens et de 4 ร  9 pour les accidents vasculaires cรฉrรฉbraux. L’รฉthinyl-oestradiol et les progestatifs en sont responsables mais leurs frรฉquences sont considรฉrablement augmentรฉes par les facteurs de risque classiques des maladies vasculaires (tabac, dyslipidรฉmie, HTA, diabรจte, obรฉsitรฉ et รขge).
Les oestroprogestatifs peuvent prรฉsenter un risque hรฉpatique, mais il n’existe pas d’augmentation de l’incidence du cancer du sein chez les utilisatrices hormis chez celles qui prรฉsentent une mastopathie bรฉnigne ร  risque.
Une prise de poids, des mรฉtrorragies, des douleurs pelviennes, des cรฉphalรฉes, des lourdeurs dans les jambes et des modifications psychologiques peuvent รชtre observรฉes. Ces troubles sont peu frรฉquents avec les pilules cestroprogestatives minidosรฉes.

Les progestatifs injectables

โ€ข Composition
Il s’agit en gรฉnรฉral de progestatifs ร  effets retard, utilisรฉs en injection intramusculaire. Les plus connus sont :
l’acรฉtate de mรฉdroxy-progestรฉrone (DEPO-PROVERA*) qui est administrรฉ ร  raison de 150 mg tous les 3 mois ;
l’รฉnanthate de norรฉthistรฉrone (NORISTERAT*) administrรฉ ร  raison de 200mg tous les 2 mois pendant les 6 premiers mois, puis tous les 3 mois.
Les contraceptifs injectables ont un taux d’รฉchec trรจs faible (1% annรฉes/femmes) si les injections sont faites ร  temps.
โ€ข Mode d’action
Le mode d’action des progestatifs injectables est pratiquement identique ร  celui des contraceptifs oraux : l’ovulation est supprimรฉe par inhibition de la sรฉcrรฉtion de gonadotrophines au niveau hypophysaire et par le blocage de l’axe hypotalamo-hypophyso-gonadique ;
l’endomรจtre est rendu impropre ร  la nidation ;
la glaire cervicale devient impermรฉable aux spermatozoรฏdes.
โ€ข Effets secondaires [22]
Les troubles du cycle constituent le principal inconvรฉnient de cette mรฉthode. L’amรฉnorrhรฉe est frรฉquente (80% des femmes au bout d’un an). Des saignements (spotting ou hรฉmorragie) s’observent toujours en dรฉbut du traitement. Aprรจs arrรชt de la mรฉthode, le retour รข la fรฉconditรฉ se fait plus tardivement qu’avec les autres mรฉthodes.
La prise de poids, les maux de tรชte, la nervositรฉ et les changements d’humeur peuvent รฉgalement รชtre observรฉs.

PREVALENCE DE LA CONTRACEPTION AU SENEGAL [12]

Malgrรฉ une รฉvolution positive, l’utilisation des mรฉthodes contraceptives au sein des couples est faible. En effet, seulement douze femmes en union sur cent (11,8%) utilisent actuellement une mรฉthode contraceptive quelconque (mรฉthode moderne ou mรฉthode traditionnelle). La prรฉvalence contraceptive moderne est encore plus faible (10,3%), bien que l’on ait pu constater une รฉvolution au cours des vingt derniรจres annรฉes : 2,4% en 1986, 4, 8% en 1992, 8,1% 1997 et 10, 3% en 2005. Parmi les mรฉthodes modernes les plus couramment utilisรฉes, on note : la pilule (3,6%), l’injection (3,2%), le condom masculin (1,5%). Les autres mรฉthodes modernes interviennent chacune pour moins de 1%. S’agissant des mรฉthodes traditionnelles, la prรฉvalence est faible (1,5%) et concerne essentiellement l’abstinence pรฉriodique (0,6%).
Malgrรฉ les faibles niveaux de prรฉvalence observรฉs, l’utilisation de la contraception est relativement frรฉquente en milieu urbain (18% des femmes utilisent actuellement une mรฉthode moderne). La prรฉvalence de la pilule y atteint 7% et celle de l’injection dรฉpasse 5%.
Des rรฉsultats similaires sont retrouvรฉs dans les rรฉgions les plus urbanisรฉes du Sรฉnรฉgal, ร  savoir Dakar (19%), Ziguinchor (21%), Thiรจs (15%), et Saint-Louis (10%). Le niveau de scolarisation a รฉgalement un effet trรจs positif sur la prรฉvalence contraceptive. Par ailleurs l’enquรชte dรฉmographique et de santรฉ 2005 a montrรฉ que la prรฉvalence de la contraception moderne variait selon les groupes d’รขges et que, les plus grandes utilisatrices (taux de 13 ร 15%) avaient entre 30 et 40 ans. Enfin, le nombre d’enfants vivants de la femme semble รชtre aussi un facteur dรฉterminant de l’utilisation de la contraception moderne.

ARODOM MALA Dile OUJUALES

Le parodonte (de para ยซ ร  cotรฉ de ยป et odontos ยซ dent ยป) dรฉsigne l’ensemble des tissus qui soutiennent et entourent les dents. Il comprend la gencive, le desmodonte ou ligament parodontal, le cรฉment et l’os alvรฉolaire [32, 54, 04].

ANATOMIE [33]

LA GENCIVE

La gencive fait partie des tissus mous de revรชtement de la cavitรฉ buccale. Elle entoรน re les collets des dents, assurant la continuitรฉ de l’รฉpithรฉlium buccal au-dessus du ligament parodontal et de l’os alvรฉolaire. De couleur rose pรขle, elle peut รชtre dans certains cas pigmentรฉe. La gencive se divise en trois parties :
la gencive libre ou marginale,
la gencive attachรฉe,
la gencive papillaire ou interdentaire.
La gencive libre ou marginale entoure le collet des dents. Sa hauteur variable selon les individus se situe entre 0,7 ร  2 mm environ et se trouve limitรฉe par la prรฉsence d’un sillon marginal qui marque รฉgalement le dรฉbut de la gencive attachรฉe. Elle reste sรฉparรฉe de la dent par le sillon gingivo-dentaire qui a une profondeur moyenne de 0,3 ร  3 mm. [54]
La gencive attachรฉe est apicale par rapport ร  la gencive marginale. Elle est fermement attachรฉe ร  la dent et l’os alvรฉolaire sous-jacent. De hauteur trรจs variable, pouvant aller de 0 ร  7 mm environ, elle est gรฉnรฉralement plus haute au niveau des dents antรฉrieures et plus mince au niveau des prรฉmolaires. Contrairement ร  la gencive libre, elle se prรฉsente sous la forme d’un tissu granitรฉ ยซ en peau d’orange ยป dont l’รฉpithรฉlium est kรฉratinisรฉ.
La gencive papillaire est situรฉe sous les points de contact dentaires. Elle est constituรฉe par deux protubรฉrances triangulaires, les papilles linguales et vestibulaires. Entre ces deux . papilles, il existe une zone de dรฉpression : le col.

L’OS ALVEOLAIRE [20,40]

L’os alvรฉolaire est dรฉfini comme la partie du maxillaire et de la mandibule qui forme et supporte les alvรฉoles dentaires. Il est formรฉ par la rรฉunion de deux corticales vestibulaires et linguales et sa morphologie varie en fonction des formes et des positions des racines. Il se dรฉveloppe avec les dents et s’efface presque totalement aprรจs leur disparition. Il se prรฉsente sous la forme d’une enveloppe d’os compact dense entourant un os spongieux ร  grands espaces mรฉdullaires assurant une vascularisation trรจs importante. On distingue de l’extรฉrieur vers l’intรฉrieur le pรฉrioste, fine membrane jaunรขtre trรจs fibreuse adhรฉrant sur la surface osseuse, la corticale pรฉriphรฉrique vestibulaire, constituรฉe par un os compact continu, la paroi alvรฉolaire interne, constituรฉe par une lame criblรฉe de pertuis permettant le passage de structures vasculaires et nerveuses entre les espaces mรฉdullaires et le ligament parodontal (on l’appelle รฉgalement la lamina dura car, elle apparaรฎt ร  la radio autour de la dent comme une ligne dense), la corticale pรฉriphรฉrique linguale, identique ร  la vestibulaire.

LE DESMODONTE OU LIGAMENT PARODONTAL [20]

Le desmodonte est un tissu conjonctif non minรฉralisรฉ situรฉ entre le cรฉment et l’os alvรฉolaire. C’est la structure qui permet le lien entre la dent et son alvรฉole. Le desmodonte aussi connu comme systรจme d’attache est richement vascularisรฉ et contient des mรฉcano-rรฉcepteurs sensoriels et des propriocepteurs. Il est en continuitรฉ avec la lamina propria de la gencive mais limitรฉ par les fibres crestales. Les fibres’ de collagรจne constituent 50 ร  70% du desmodonte. En forme de sablier, son รฉpaisseur varie en fonction de la rรฉgion de la racine et en gรฉnรฉral, diminue avec l’รขge.

LE CEMENT [20]

C’est un tissu calcifiรฉ et minรฉralisรฉ, semblable ร  l’os. Il recouvre toute la dentine radiculaire. Il est ni vascularisรฉ ni innervรฉ. On distingue 4 types de cรฉments :
le cรฉment acellulaire afibrillaire,
le cรฉment acellulaire ร  fibres extrinsรจques, le cรฉment cellulaire ร  fibres intrinsรจques, le cรฉment cellulaire ร  fibres extrinsรจques.

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Table des matiรจres

INTRODUNTION 1
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA CONTRACEPTION
1- Dรฉfinition
2- Historique
3- Les diffรฉrentes mรฉthodes contraceptives
3.1- Les critรจres de qualitรฉ d’une mรฉthode contraceptive
3.2- Les diffรฉrentes mรฉthodes contraceptives
3.2.1- Les mรฉthodes non hormonales
3.2.1.1- Les mรฉthodes dites d’auto-observation
3.2.1.2- Les mรฉthodes dites ยซ barriรจres ยป
3.2.1.3- Le dispositif intra-utรฉrin (DIU)
3.2.2- La contraception hormonale
3.2.2.1- La contraception orale oestroprogestative
3.2.2.2- Les progestatifs injectables
3.2.2.3 Les implants contraceptifs
4 – La prรฉvalence de la contraception au Sรฉnรฉgal
CHAPITRE II : LE PARODONTE ET LES MALADIES PARODONTALES
1- Anatomie
1.1- La gencive
1.2- L’os alvรฉolaire
1.3- Le desmodonte ou ligament parodontal
1.4- Le cรฉment
2- Physiologie du parodonte
3 Les maladies parodontales
3.1 Etiologie des maladies parodontales
3.2 Classification des maladies parodontales
4- Contraception et Parodonte
4.1- Modification du conjonctif et de l’รฉpithรฉlium gingival
4.2- Modification salivaire
4.3- Modification du fluide gingival
4.4- Modification bactรฉriologique
4.5- Modification parodontale
4.5.1- Le parodonte superficielle
4.5.2- Le parodonte profond
CHAPITRE III : MANIFESTATIONS PARODONTALES ET CONTRACEPTION
1- Justification de l’รฉtude
2- Objectifs
3- Matรฉriel et mรฉthode
3.1- Type d’รฉtude
3.2- Cadre d’รฉtude
3.3- Population d’รฉtude
3.3.1- Critรจres d’inclusion
3.3.2- Critรจres de non inclusion
3.4- Matรฉriel
3.5- Mรฉthodologie
3.5.1- Donnรฉes de l’interrogatoire
3.5.2- Donnรฉes de l’examen parodontal
3.5.3- Exploitation des rรฉsultats
4- Rรฉsultats
4.1- Centres de recrutement
4.2- Caractรฉristiques socio- dรฉmographiques
4.2.1- Age
4.2.2- Ethnie
4.2.3- Profession
4.2.4- Niveau d’รฉtude
4.2.5- Lieu de rรฉsidence
5.2.6- Situation matrimoniale
4.3- Antรฉcรฉdents obstรฉtricaux
4.3.1- Nombre d’enfants
4.3.2- Paritรฉ
4.4- Contraception
4.4.1- Durรฉe de la contraception
4.4.2- Type de contraception
4.5- Etat parodontale
4.5.1- Habitudes d’hygiรจne bucco-dentaire
4.5.2- Frรฉquence de brossage
4.5.3- Indice de plaque
4.5.4- Indice gingival
4.5.5- Saignement gingivale
4.6- Corrรฉlation entre la variable contraception et les diffรฉrents indices
4.6.1- Indice de plaque/ indice gingival et durรฉe de la contraception
4.6.2- Indice gingival moyen et type de contraception
4.6.3- Perte d’attache et profondeur de poche
4.6.4- Rรฉcession et mobilitรฉ
5- Commentaire
5.1- Mรฉthodologie
5.2- Caractรฉristiques socio-dรฉmographiques
5.3- Contraception
5.4- Etat parodontal
Recommandationย 
CONCLUSIONย 
BIBLIOGRAPHIEย 

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