L’UPAT intégré dans le projet de Mirail 

Ecriture architecturale

Nous pouvons remarquer que le bâtiment soi-même est un renversement de l’académisme. L’académisme est pour l’ordre, la monumentalité, la composition axial etc… mais ce bâtiment lui en revanche, est pluri-centré, pluri-orienté, il n’existe pas d’axe qui contrôle ; il n’est pas composé des éléments primaires, secondaires, décoratif, tous les éléments ont un statu égaux. ‘…l’architecture de l’UPA se devait de participer à la désacralisation de l’institution : pas d’entrée monumentale mais, sur toute la périphérie, des portes fenêtres coulissantes ; pas de façade principale mais des rythmes binaires de pleins et de vides, d’avancées et de retraits ; surtout pas de composition axiale mais une disposition en trame dites à symétrie rotative, sans début ni fin, aussi bien pour l’élément que pour l’ensemble.’ p286 Toulouse 45-75 ‘Désacraliser veut dire lever le côté cerné, secret, occulte des ateliers où il y a un patron et ses élèves avec interdiction aux élèves d’un autre atelier de venir voir de ce qu’il passait… première chose est d’ouvrir, tout vitrée, plus de secret.’

L’UPAT intégré dans le projet de Mirail UPA et le projet de Mirail : un contexte très particulier 

Le bâtiment initial est intégré dans le grand projet de la ZUP du Mirail. Ce projet est une application des idées urbaines et architecturales du partenaire Candilis-Josic- Woods, et de Team 10. Je pense que les éléments des projets que ce soit les logements, les équipements ou les réseaux, sont tous conçu en ensemble formant un tissue urbain organique qui met en liaisons ces éléments les uns avec les autres.
Une modification d’un élément ferait un effet sur l’autre. Ceci est le cas de l’ENSA de Toulouse. Le projet de la ZUP du Mirail a été seulement partiellement réalisé, cette réalité, entraine en partie évolution de l’école. Le contexte du projet Toulouse connait à l’époque une forte croissance démographique, et l’état a la volonté de rééquilibrer le territoire français en renforçant les métropoles régionales. Sous le mandat de Louis Bazerque, la mairie envisage une opération d’urbanisme moderne par la création en 1960 de la ZUP du Mirail.
« Au début de 1959, la population a plus que doublé. Pour répondre aux besoins de logements, de nombreux promoteurs privés au bénéfice des prêts spéciaux et de primes à la construction, avaient eu l’initiative de construire de très nombreux LOGECOS. Mais, à un tel effort de construction, hélas, n’avait pas correspondu un souci d’urbanisme qui eut empêché cette détérioration du paysage urbain que nous constatons aujourd’hui, et à laquelle nous nous employons par une action commune avec les administrations intéressées à porter remède…et cependant, l’expansion démographique de cette ville, évaluée par les plus modestes, à 5000 habitants par an, par les moins prudents à 8000 à 10000 habitants par an, augmentait encore la demande de cette catégorie de logements sociaux.  » « …elle ne sera pas une ville dortoir, elle ne sera pas davantage une cité Autonome pratiquement coupée de toute relations avec la ville actuelle à laquelle des liens fonctionels doivent au contraire la rattacher… »

L’emplacement de l’UPAT

À la conception de ce bâtiment, il y a une axe qui oriente vers l’université de Mirail d’un côté et des immeubles d’habitation de l’autre côté. Une dalle abritant les équipements longe ces habitats. L’emplacement de l’école suit la même logique que l’ensemble d’aménagement du quartier : participation à la vie du quartier qui s’exprime par la proximité de l’école à la zone de la grande concentration : la rue centre, et les logements. Les conceptions urbaines et architecturales de l’école vont alors côte à côte formant un ensemble cohérent. L’idée d’intégration à l’université issue de la révolution de l’enseignement d’architecture a été aussi présente dans le projet.
Team 10 et CIAM Team 10 est né de CIAM. Ils s’intéressent sur l’urbanisme. Mais ils ont une différente façon de l’interpréter. En plus de cela, team 10 porte plus d’attention sur à l’échelle d’architecture qui seraient considéré en ensemble avec l’urbanisme.  » there was no talk of houses, cities were the issue … It was the reconstruction period in Europe, in the cities destroyed by the war, town plans were drawn up, but the architects and the senior bureaucrats were unable to undertake genuine reconstruction….so they discovered The Athens Charter, which became there lifeline, it was ridiculous to follow the rules that way, without understanding what they were about…it said that ‘ industry must be on the downwind side’– and that’s how they determined where industry was located…’houses have to face the right direction—and so there they are, all facing the same direction… It was a nightmare. »
Une réinterprétation de la rue? -Le concept « stem  » Nous voyons sur le plan initial d’UPAT, conçu par Candilis, une couleur foncé a été adopté pour la circulation centrale: elle relie les deux entrées principales du bâtiment et distribue aux différents endroits. Presque toutes les pièces peuvent être accédées par cette rue « vertébrale « . Cependant cette rue intérieure n’est pas droite, elle est constitué des petits places carrés qui sont reliés entre-eux, une structure vertébrale ponctuée par des espaces. Il y a une place pour chaque entrée, deux sur chaque côté de la cour central, et une devant le laboratoire photo. Ce n’est donc pas seulement une rue de passage, elle est faite pour encourager le rencontre et l’échange, d’ailleurs, elle va parfaitement avec la structure du bâtiment.
Le travail de Candilis-Josic-Woods se concentre sur l’un des principaux éléments structurants du domaine urbain : la rue. Dans le travail de Candilis-Josic-Woods, la rue n’est pas seulement une structure urbaine, mais aussi un endroit d’échange, la rue possède une fonction sociale. Rétablir la notion ‘rue’ disparue des réalisations nouvelles. La Chartes d’Athènes élaborée par les C.I.A.M. a détruit la ‘rue corridor’ périmée, pour la remplacer par de passages, des trajets. Mais la ‘fonction rue’ reste un élément primordial dans la cité. Il faut retrouver la ‘rue-centre linéaire’ comme structure de base d’un plan urbain. Candilis, Georges, ‘A la recherche d’une structure urbaine’.
Dans cette rue, il n’existe pas vraiment une axe, ni une centre prédominent, il y a juste des espaces en séquence. Il y a ici une idée principale de Shadrach Woods, et de Team 10 derrière. Comme l’explique Van Eyck: « Don’t forget that Shad’s philosophy was fanatically anti-theoretical: if you string things along the stem there is no one dominant; in a sequence everything is equally important: it is horizontal, everything is on the same level, and there is no hierarchy. This idea is very human. I think it is absolutely right: there isn’t a single dominant, there is no dominant, or the dominant changes, it all depends on which we focus our attention- if we focus our attention on the next it shifts. This was the strong part of Shad: a democratic, horizontal, humanistic concept ».
Pourquoi une école qui ne aller pas en hauteur? -le « WEB » L’UPAT est conçu en général sur seulement 1 étage. Il y a juste la partie administrations en hauteur. Après plusieurs études, je suppose que l’UPAT a été plus ou moins influencé par ce principe de WEB qui met accentue l’échange et le rencontre. À mon avis, à l’échelle de l’UPAT, ce but a bien été atteint, le croisement des personnes est assez fréquent. On trouve très souvent l’occasion de changer quelques mots avec les autres. WEB: un concept important du partenaire Candilis-Josic-woods Un an après la publication de son article “stem », Shadrach Woods a publié un article sur la périodique avant-garde Le Carré Bleu en introduisant un concept du partenaire Candilis-Josic-Woods dans la sphère urbaine : web. Ce concept est d’abord une critique de la séparation de différentes fonctions urbaines, il propose de créer des liens entre différents parties pour arriver à avoir un tissu urbain en continuité. The proposals we have developed are characterized by the fact that the site is occupied in such a way that the various activities of the public and private domains are housed in what amounts to a continuous building.
Plusieurs essais en concrétisant le concept « web « ont été effectués: compétition de Frankfurt Römerberg; Projet de Free university; Projet de l’université toulouse le mirail. Ce concept initialement urbain est aussi appliquable à l’échelle d’architecture, Prenons l’exemple de Free university comme exemple: Free University competition, Berlin 1963-73 Candilis-Josic-Wood « The web concept is a critique not only of the separation of urban functions but also of the application of high-rise typology for certain programs. In a number of sketches, Woods illustrates that forcing a university into a skyscraper results in ‘planes of isolation’, which abolish contact between separate disciplines, Woods suggest using a low-rise alternative: ‘in a ground scraper organization greater possibilities of communication and exchange are present’. »
L’évolutivité est un phénomène beaucoup étudiée de l’époque, puisque la société étant en plein évolution. Dans le domaine de la pratique d’architecture et de son enseignement, une évolution est aussi très présente. Candilis a donc conçu de faire l’école avec un contenant libre qu’il explique la raison comme suite : « there were ten of us who worked on setting up the tenth CIAM conference — hence, Team 10…we divided up the work…..i worked with woods on the notions of change and permanence: just as the world is undergoing major changes, so is architecture, at the same time, in opposition to change, there is what remains-permanence »

Un contenant libre

‘La profession d’architecture étant en pleine transformation, l’enseignement de l’architecture ne peut que subir une réforme permanente ; en conséquence, il a été décidé de créer un contenant libre, constamment transformable pour que l’enseignement puisse s’adapter à l’évolution de la profession…’ George Candilis revue suisse Architecture, forme, fonctions 1971 Toutefois, la flexibilité ne veut pas dire que ce bâtiment ne prend pas de position.
Elle a en effet une posture très claire et défini depuis le départ. Des modifications qui ne suivent pas à cette idéologie dévaloriseraient la qualité de l’espace. C’est le cas de la première extension.

La trame de Barcarès

Le projet présenté ici est la rue commerciale, réservée aux piétons…seule une structure, la plus neutre possible, pouvait répondre à un tel programme et se glisser entre les immeubles. Elle est composée d’un poteau et de deux poutres (3m et 4.20m). L’introduction de l’élément diagonal permet d’obtenir des espaces variés et de surface de base de 9 ; 17.5et 36m². Des potelets surhaussant les poteaux peuvent créer des volumes plus importants tout en apportant de la lumière.

Structure et construction Contrainte budgétaire

‘Le budget de construction de Bordeaux est de 800 000 : en dur’ ‘Le budget de construction d’Ecole de Toulouse est de 300 000 : préfabriqué’ .‘Le ministère de la culture ne savait pas trop quoi faire devant cette chose nouvelle pour laquelle ils n’avaient pas de référence dans les écoles qui n’avait pas de programmes ou qui avait des programmes complètement innovant, donc temporisé un peu, ils ont dit : aller dans les préfabriqués après on verra. A Toulouse, Candilis et les toulousains ont refusé d’aller dans les préfabriqués : Avec le même argent, nous construirons en dur.’

Une réponse efficace

-Structure poteaux-poutres (poutre préfabriqué, poteau coulé sur place) -Fondation sur terre-plein économiser de la construction.
-Gaines électriques sortant des poteaux et distribué au-dessus des poutres dans les charpentes bois qui sert à la fois le support de la toiture et le conduite des réseaux. -Toiture contreplaqué autoportante vaguement isolés, étanchéité « cocoon “, peinture (pente 0%), défaut dû à la réalisation, pas à la conception origine. -Dalle précontrainte
-Revêtement sol: dalles innovant en caoutchouc?encore en fonctionnement?sauf mal adapté pour le bibliothèque?le chariot fait du bruit.
-Façade: éléments plein de siporex?Performance thermique -Cloisons en brique creuse?Performance phonique.

Fondation sur terre-plein

Devis descriptif 1D-01?dallage sur terre-plein « …Dallage en béton dosé à 300kg de ciment C.P.A.325 de 0.10 d’épaisseur légèrement armé coulé sur forme en tout venant de 0.20 d’épaisseur…Le fond de forme sera préalablement dressé et rendu compact par cylindrage, avec arrosage si besoin est…Une feuille de polyéthylène sera mis en place avant le coulage du béton pour éviter les remontées d’humidité. Cette protection sera complétée sous les murs pleins par un feutre surfacé type 45 S. Le dallage sera parfaitement dressé et comportera une chape incorporée… »

Toiture contreplaqué autoportante

“La couverture consiste en un panneaux de bois, composés d’un contre-plaqué marine en sous face, sur lequel sont fixées des pannes de qui maintiennent un linex faisant support d’isolation thermique et d’étanchéité. L’isolation thermique est assurée par un lino liège de 25mm collé aux panneaux par un intermédiaire d’un bitume. Sur cette isolation est passée une étanchéité multistrat. L’évacuation des eaux pluviales se fait par simple ouverture de rebord de toiture formant gargouille qui déverse l’eau dans les becs de réception…”
Le complexe de toiture décrit ci-après comprend des panneaux en bois contrecollé formant support de couverture associés à une isolation thermique complémentaire à celle des panneaux et recevant un complexe d’étanchéité formé de deux couches de néoprène et d’hypalon. » « Ce complexe de toiture est prévu aussi bien pour couvrir les lanterneaux que pour couvrir l’ensemble des toitures. »

Etanchéité

«L’évacuation des eaux pluviales se fait par simple ouverture du rebord de toiture formant gargouille qui déverse l’eau dans des bacs de réception. Toute la toiture est composée de ces mêmes éléments qui font aussi bien les surfaces planes des toits et les joues des sheds assurant l’éclairage. » Techniques et Architectures n298 Un complexe d’étanchéité formé de deux couches de néoprène et d’hypalon est deux couches de peinture, selon M.Fabre, cette étanchéité est appelé « étanchéité cocoon » à l’époque. Pour assurer l’efficacité de cette étanchéité, on ne doit pas marcher  sur les toitures. Alors que « tout le monde marchaient dessus, même avec les talons « –dis M.fabre. En conséquence, ces couches sont abîmés, l’eau pénètre dans l’espace intérieur, et les panneaux de bois intérieur des lanterneaux sont  abîmés, on est obligé de les peindre. Maintenant seul lanterneaux parti amphi- étudiant garde encore la surface initiale de ces panneaux de bois de très bonne qualité.

Support de couverture

Le support de couverture sera réalisé en panneaux de bois contrecollé .type panneaux d’un monobloc rousseau d’une épaisseur de 40mm raidis par des membrures inférieures de section adéquate pour éviter toute déformation, distantes de 1.00m. Chaque lanterneau comprendra 6 panneaux de 1.00m de large et de 6.00m de long. Le panneau proprement dit sera constitué par trois plis disposés à fils contrarié collé à la résorcine sous presses hydrauliques avec jointoiement de chaque pli, effectué à l’aide d’auto-colleuses à haute fréquence.

Conclusion

La première partie construit en 1970, conçu par Candilis a une grande valeur patrimoniale.
Dans un premier temps, elle est représentative de la culture atypique des années 60 marqué par la liberté et le contre-pouvoir. Cette culture a été traduite architecturalement par l’équipe de Candilis et par Team 10 dont l’architecte fait partie : l’attention porté sur le côté social de l’architecture et de l’urbanisme-le STEM ; l’égalité et l’échange- Le WEB ; la non-monumentalité etc. Dans un deuxième temps, l’UPAT est la concrétisation d’une révolution d’enseignement d’architecture. Sa conception de l’espace est représentative de l’idée et l’aspiration qu’on portait sur le nouvel enseignement. Qu’il soit pluridisciplinaire, transparente et changeante. La construction avec peu de moyen mais des savoirs techniques innovantes est le cas général des UPA de l’époque parmi eux très peu ont pu exister jusqu’à nos jour. Dernièrement, UPAT est née dans un contexte très particulier du projet de Mirail dont. L’école et le Mirail est étroitement lié tant au niveau architectural que social. Pour les raisons précédentes, cette partie de l’école a une statue témoin de son époque, de l’histoire d’enseignement d’architecture et de son quartier le Mirail. Pour cela elle a une grande valeur patrimoniale.

EVOLUTION DE L’ENSA DE TOULOUSE

Introduction 

Les facteurs qui induisent l’évolution de l’école sont multiples. Le besoin fonctionnel du bâtiment dépend d’un côté à l’augmentation du nombre d’effectifs et de l’autre côté à l’évolution d’enseignement d’architecture. Le quartier Mirail qu’est implantée l’école joue aussi un rôle non négligeable. Dans cette partie, les extensions et les différentes interventions seront élaboré en ordre chronologique.

Première extension

En 1973, l’école a eu la première extension par l’agence de Candilis. Dans cet extension , plusieurs ateliers et un amphithéâtre ont été conçu, ils seraient réalisé en plusieurs tranches, mais seulement une tranche a été réalisé pour des raisons financière?cette tranche est au nord-est du bâtiment initial.
Contrairement à l’augmentation incessante du nombre d’étudiant à l’UPAT, le progrès du projet de Mirail n’a pas été réalisé à temps et restaient inachevé à 1972 juste après que Louis Bazerque n’était plus le Maire. La réalisation du projet de Mirail a commencé par les logements de la partie de Bellefontaine. Les équipements sont venus en retard. Les constructions en ensemble devaient faire face à des multiples obstacles économiques réglementaires et politiques.
“Does it all work? There are still less than 15,000 million people living in the Mirail so it is early to make a final judgments…school constructions has kept pace with the population…the housing itself and amenities like the Maison du quartier have been coming along slowly, however, which left the dalle of Bellefontaine a cold and empty island and sea of mud for month that grew into years…a critical article in the influential Parisian daily Le monde in the summer of 1970 called the Mirail ’the city of the future that had forgotten the present’ reports like this the Remy’s made during the following winter helped convince Paris-based planners that this wild concrete dream of architect Candilis was obviously unworkable. But when I saw Le Mirail this earlier this year, it had come to life. The Bellefontaine dalle was filled with people.”
‘there is presently no night life, no places to hang around in Mirail, and the bus to down town Toulouse does not yet run often at night. Movie houses, cafes, teen centers, theaters and hotels are supposed to locate in the regional center, which could be easy enough for everyone in the Mirail to reach, even on foot. But these facilities require private capital, and private developers have been slow to come to Le Mirail because it is lagging behind schedule overall’ ‘Both Candilis and Bazerque have blamed the delays on indifference and even antagonism to the project on the part of the national government. Le Mirail ‘s start was delayed four years by the refusal of Parisian bureaucrats to give the plans various approvals needed even though it was not a national government new town project. By the time the project was ready to go, the economic slowdown of the mid 1960s hit the French building industry and, for a long time, forced Le Mirail to survive on the many low cost housing programs which have financed a major portion of what has been built there so far ’ A study in concrete 1972 Selon cet article écrit en 1972 par LEONARD DOWNIE,Jr. Le projet de Mirail a été ralenti de 4 ans par le gouvernement, et quand le projet se lançait, le ralentissement économique au milieu des années 60 a touché la France. Ce qui est encore défavorable à la réalisation du projet. Le projet de Mirail doit alors commencé par là où on trouve de l’argent, donc les HLM. Le concept du projet de Mirail était initialement pour le mélange de lieux d’habitation avec le lieu de travail et de service, mais le problème financière faisait le Mirail le contraire de ce qu’il aurait dû être. D’ailleurs le concept de la Dalle incorporait la présence des équipements donc de l’activité, alors que les équipements comme le cinéma, l’hôtel ou le centre commercial ont besoins d’investissement privé. Le Mirail n’arrivaient pas à les attirer les investissements privés parce qu’elle a été réalisé beaucoup en retard et était mal desserte par le transport publique.
Le changement contextuel : Le Mirail À la fin des années 1980, les commerces situés sur la dalle piétonne périclitent, les problèmes de vandalisme et d’insécurité dans les parkings vont croissant, le chômage, l’exclusion, et l’insécurité sont les images. Les problèmes qu’on trouvait au Mirail, étroitement liés à la société et l’économie, ne pouvaient être expliqués que par l’urbanisme ou l’architecture. Ils ont cependant rendu le projet de Mirail contestable. Comme le projet reste inachevé, la conception initiale ne pouvait se concrétiser. Le projet de Mirail est devenu une histoire. L’école d’architecture de
Toulouse qui se situe loin des premières réalisations du Projet de Mirail se trouve à la fin des années 80, aux milieux des habitats. Mais ces habitats, soit collectifs ou privée ne font plus partie du dessin initial qui abritait en même temps les logements et les équipements avec la dalle. Je constate donc la conception initial de l’architecte que l’école participe à la vie du quartier n’était plus pris en compte dans la nouvelle conception pour l’extension de 1989. C’est pourquoi dans la nouvelle conception architecturale, la porte d’entrée principale de l’école, au bord de la voie Aristide Maillol et avec celui-ci fait la séparation de l’école avec le reste du quartier. Le courant architectural des années 80-90.
Le high-tech ; la déconstructiviste etc., nous sortons l’ère du postmodernisme qui est marqué par l’attention porté pour la société l’urbain et l’homme, mais dans des courants plus divers.

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Table des matières

REMERCIEMENT
INTRODUCTION 
FICHE D’IDENTITE DE L’ENSA DE TOULOUSE  PARTIE I : LA NAISSANCE DE L’UPAT
1.1 Les années 60
1.2 Le besoin d’une nouvelle école
1.3 L’UPAT intégré dans le projet de Mirail
1.4 Team 10 et l’architecte George Candilis
1.5 La trame de Barcarès
1.6 Structure et construction
1.7 Conclusion
PARTIE II : EVOLUTION DE L’ENSA DE TOULOUSE
2.1 Première extension
2.2 Deuxième extension
2.3 L’évolution d’enseignement à travers le mot atelier
2.4 L’évolution d’enseignement à travers l’utilisation des espaces
2.5 Les valeurs historiques
PARTIE III : L’AVENIR DE L’ENSA DE TOULOUSE
3.1 Etat actuel du bâtiment et son fonctionnement
3.2 Reprendre les débats
3.3 Proposition
3.4 Entretiens et enquêtes
BIBLIOGRAPHIE

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