L’orientation dans la société post–moderne

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La notion de créativité

Introduction

Le premier chapitre a été consacré à l’analyse des changements dans les modes d’organisation du travail et leurs effets sur des parcours d’orientation. Dans le deuxième chapitre, nous avons clarifié les notions de parcours protéiformes et de compétences ainsi que différentes facettes de ce dernier. Ce chapitre aborde le concept de créativité travaillé en psychologie et des éléments théoriques permettant l’élaboration de notre hypothèse de travail.
Dans un premier temps, nous examinons la créativité sous des rubriques différentes : a/ l’évolution historique de l’étude de la créativité, b/ les différentes définitions de la créativité et les méthodes d’investigation, c/ les processus créatifs et enfin d/ l’approche multivariée de la créativité, notre modèle théorique de référence, ainsi que la définition consensuelle à laquelle nous adhérons. Et enfin, en référence au modèle multivarié de la créativité, nous ouvrons une rubrique pour étayer la façon dont la créativité peut être pensée au regard des contextes spécifiques à l’orientation.
A partir de ce cadre théorique, nous réalisons une revue de littérature de la créativité en nous focalisant sur les relations entre la créativité et d’autres ressources individuelles telles que la personnalité, la motivation et l’intelligence logique. Enfin, nous tenterons de clarifier deux principales dimensions opérationnelles de la créativité : la pensée divergente et la pensée intégrative considérées comme deux mesures pures du potentiel créatif.
Cette section théorique se termine pour laisser la place à une deuxième revue théorique relative au second registre de compétences à s’orienter investigué dans cette étude : les compétences adaptatives en orientation définies par Ployhart et par Savickas.

Différentes conceptions de la créativité de l’antiquité à notre époque

Dans un article intitulé « Definitions of creativity », Cropley (1999) présente l’évolution épistémologique de ce concept. D’après cet auteur, dans l’Antiquité, la créativité est associée à un don divin. Platon utilisait des muses pour servir de médiatrices entre le dieu et le poète ou tout autre créateur intellectuel. Sans elles, il n’y avait pas de création possible. L’être créatif était mis en communication avec des divinités ou des esprits pour être guidé durant ses inspirations créatives. Durant le XVIIIème siècle, apparaissent des débats philosophiques sur le génie et notamment sur les fondements du génie créatif sans distinction entre ce dernier et le talent. Le génie créatif résulterait d’une capacité innée impliquant l’imagination associative qui permet de combiner les idées, le jugement et l’évaluation des idées produites ainsi que les valeurs esthétiques qui guident la recherche d’idées. Au XIXème siècle, la créativité se référe principalement aux arts avec l’idée qu’il existe un lien très proche entre créativité et le désordre mental.
Après la seconde guerre mondiale, la créativité a une forte connotation esthétique, l’aspect mystique s’effaçant peu à peu. La créativité est considérée alors comme un médium pour la beauté, une forme d’expression de soi, la communication ou encore la capacité à faire face à l’inconnu ou à s’adapter aux situations nouvelles. Vers les années cinquante, durant la guerre froide avec l’ex-union soviétique, la notion de créativité est associée à la notion de compétition vis- à-vis de l’ennemi. Puis doucement, le concept de créativité se glisse dans le domaine du management, l’accent y est mis sur le management créatif, spécialement sur le leadership et sur l’innovation avec un focus sur la productivité et sur l’efficacité permettant de répondre aux exigences de performances économiques.
Plus récemment, à un âge où les machines et spécialement les ordinateurs ont réussi à se montrer compétents à peu près pour toutes les tâches, la créativité est vue comme un « dernier bastion de la dignité humaine » au sens où elle constitue la capacité qui caractérise l’être humain et qui le distingue des animaux. En effet, dans cette conception, la créativité permet le développement du langage et de la culture d’une société. Par extension, elle est perçue comme un des éléments lié à la santé mentale et au bien-être. Puis, dans la même perspective individuelle, elle est liée à la flexibilité, à l’ouverture, au courage et aux autres qualités qui sont considérées à la fois comme des pré requis et des résultats d’une personnalité en « bonne santé ». Autrement dit, la créativité est reconnue comme un élément qui facilite le développement de la vie d’une personne. Dans le domaine de l’éducation, la créativité est vue comme une perspective éducative spéciale. Les stratégies créatives s’appliquent à la fois à la pédagogie (creative teaching) et aux stratégies d’apprentissage (creative learning). On peut citer l’usage très répandu de la créativité dans le domaine de la thérapie où l’art est employé comme une méthode thérapeutique à part entière favorisant le développement personnel des patients.
Ainsi, de nos jours, la créativité paraît être plébiscitée dans tous les domaines. Elle ne permet pas seulement des gains en productivité mais aussi des gains en termes de reconnaissance sociale comme l’a signalé Rouquette (2007). Pour cet auteur, la créativité, en tant qu’attribut social, joue un rôle de différenciation des individus et en tant que tel, elle sert de critère indiquant l’appartenance d’un individu à un certain milieu ou à un certain niveau de prestige social. Rouquette souligne aussi l’aspect militant de la créativité lorsqu’elle se trouve associée à des investigations menées auprès des enfants dans une perspective éducative pour une meilleure prise en charge. Il a écrit : « […] La créativité offrait en somme une nouvelle source de légitimité pour certains enfants déviants et pour des pédagogies alternatives. Surtout, être en mesure de reconnaitre l’enfant doué, c’est être en mesure de reconnaitre à la fois la juste valeur de la personne et celle de l’apport futur qui peut être le sien dans le champ de l’intérêt public. » (Rouquette, 2007, p. 11). Csikszentmihalyi (2006) s’intéresse aussi aux questions liées à la reconnaissance sociale de la créativité donc à son évaluation telles que mettre en évidence les références et les standards d’évaluation socialement admis pour évaluer la créativité. Pour cet auteur, la créativité ne nait pas d’un cerveau mais d’une interaction entre des idées et un contexte socioculturel. Plus qu’un phénomène individuel, il s’agit d’un phénomène systémique (Csikszentmihalyi, 2006, p. 27 ; Rouquette, 2007). Ainsi, la créativité renvoie à l’invention de quelque chose qui doit être intégrée à la culture : la confirmation sociale est nécessaire pour accréditer un acte créatif : la seule conviction intime, subjective (confirmation intérieure) ne suffit pas pour valider la créativité mais il faut aussi une validation par des experts qualifiés (confirmation extérieure). L’idée est que la créativité, pour avoir un impact quelconque, doit être formulée en termes compréhensifs par d’autres, être acceptables aux yeux des spécialistes du milieu concerné, et enfin, être incluse dans la culture dont elle dépend.
Ce survol épistémologique du concept de créativité nous montre une grande hétérogénéité de conceptions de la créativité et leur évolution complexe dans le temps.
En ce qui concerne la définition de la créativité, depuis une trentaine d’année, les auteurs s’accordent sur une définition consensuelle. Nous l’indiquerons un peu plus loin. Auparavant, nous tentons de résumer différentes façons de définir la créativité en psychologie selon les auteurs et leurs méthodes d’investigation.

Psychologie de la créativité

En nous limitant au champ de la psychologie, nous nous concentrons sur les principaux travaux qui ont contribué à enrichir et à valider le concept de créativité en tant qu’objet d’étude à part entière.

Les étapes clés de l’étude de la créativité en psychologie

Comme nous l’avons indiqué plus haut, dès les années 50, de nombreux psychologues considèrent que la capacité créative est une caractéristique spécifique aux êtres humains (Maslow, 1950 ; Toynbee, 1962). A la même époque, Guilford (1967, 1971), considère que la créativité est une compétence de base qui permet le développement socioculturel de l’homme. Lubart (2003) réitère cette idée en soulignant que la créativité constitue l’un des traits qui nous distingue le mieux des autres espèces vivantes, car : « la créativité est une capacité à la source même de la culture et de l’humanité. » (Lubart, 2003, p. 1). Il ajoute : « […] La créativité se trouve au centre du fonctionnement de chaque être humain qui cherche à résoudre de nouveaux problèmes ou qui doit s’adapter avec souplesse aux évolutions environnementales». (Lubart, 2003, p. 167).
Ayant une définition si large, les méthodes utilisées pour comprendre la créativité sont par conséquence, nombreuses et variées. Leboutet (1970) présente une vue d’ensemble des démarches d’investigation dans ce champ d’étude à partir des années 50 jusqu’aux années 70. Pour cet auteur, jusqu’aux années 50, le domaine de la créativité est abordé sous les rubriques dispersées de l’imagination, de l’invention, du génie, des enfants doués et surdoués etc. Les études factorielles de Guilford sur les modèles de la structure de l’intelligence, le SOI et le SIPS, (le SOI Model, the structure-of-intellect model et le SIPS Model, the structure-of-intellect problem solving, modèle de la structure de l’intelligence-résolution de problème), entreprises aux Etats-Unis dès 1949, ouvrent un nouveau champ d’étude consacré à la créativité, investiguée désormais en tant qu’objet d’étude scientifique à part entière dans le champ de la psychologie différentielle. Depuis les années 60, la créativité suscite un nombre toujours croissant de travaux orientés dans des directions diverses et variées. Par exemple, les études d’inspiration psychanalytique qui s’intéressent au processus globaux et inconscients au détriment des aspects spécifiques de la créativité ou la psychologie de la forme avec les travaux de Köhler (1925) et de Wertheimer (1945, 1982), parmi d’autres, ces auteurs proposent que la créativité passe par la formulation d’unités intégrées de pensée, représentant de « bonnes formes ». Ils s’intéressent au phénomène de l’insight qui serait le moteur de la créativité plutôt que les chaines d’association.
A partir des années 90 se développe une approche cognitive de la créativité avec les travaux des auteurs comme Boden (2004), Smith, Ward et Finke (1995) ou encore Weisberg (1986, 1993), qui mènent des recherches expérimentales et des simulations en intelligence artificielle permettant l’exploration des représentations mentales ainsi que des processus de traitement de l’information impliqués dans la créativité (par exemple, des processus de création d’analogies, de recherche et d’élaboration des idées ou encore de synthèse). Certains auteurs cognitivistes comme Bink et Marsh (2000) ont conclu que la créativité est fondée sur les processus de cognition ordinaires, même si les résultats de ces processus peuvent être extraordinaires. En parallèle, plusieurs théories sont proposées selon lesquelles la créativité est le résultat d’une convergence de facteurs cognitifs, conatifs et environnementaux (Lubart, 1999, 2003).
Ce survol historique des quelques étapes clés de l’histoire du concept de créativité met en évidence une diversité des voies de recherche et une variété des méthodologies d’investigation. Ainsi, au moins une dizaine de méthodes différentes peuvent être repérées : analyse biographique (exemple : Ribot, 1900 ; Cox, 1926 ; Hadamard, 1945) ; études de cas (exemple : Roe, 1952) ; enquêtes statistiques (exemple : Thorndike, 1963) ; méthodes psychométriques (exemple : (Guilford, 1971) et corrélationnelles (exemple : Getzels et Jackson, 1962), etc.
Cette grande diversité de courants théoriques et de méthodologies conduit à un foisonnement d’études, d’expériences et de recherches produisant des résultats souvent divergents et contradictoires (Leboutet, 1970). On retiendra à la suite des travaux de Hennessey et Amabile (2010) que a/ la créativité ne part pas de rien, elle est fondée sur des connaissances du domaine et des qualités personnelles précises b/ elle se rapporte toujours à quelque chose c/ elle est multi dimensionnelle et d/ ses effets se manifestent à des niveaux différents (Hennessey & Amabile, 2010).

Vers une définition consensuelle de la créativité

Le chercheur devant avant tout préciser les contours du concept qu’il étudie (Rouquette, 1976), nous tentons à présent de préciser différents axes d’étude de la créativité.
Compte tenu de sa multi dimensionnalité, la créativité est souvent étudiée en association avec d’autres concepts comme ceux d’intelligence, de personnalité ou encore de motivation. Pour illustrer cet aspect « multiniveau » de la créativité, nous présentons ci-dessous les définitions de la créativité en lien avec ces différents concepts :
 Créativité et personnalité
Dès les années 60, l’aspect conatif de la créativité a été pris en compte par plusieurs auteurs, comme l’a noté MacKinnon : « la créativité implique certains traits de personnalité et la nature de la motivation » (MacKinnon, 1962). Suivant cette perspective de recherche, de nombreux travaux, essentiellement exploratoires, ont mis en évidence les liens de corrélation entre la créativité et des traits de personnalité comme la confiance en soi, l’indépendance de jugement ou encore la prise de risque. Ces études cherchent à établir le profil de traits de personnalité des personnes créatives. Au fur et à mesure des investigations, les traits caractérisant les personnes créatives ont pu être isolés. A ce propos, on peut citer la méta analyse réalisée par Feist (1998) qui donne le profil d’une personne créative comme suit : « […] les personnes créatives ont tendance à être plus ouvertes aux expériences, à avoir plus confiance en elles, à être moins conventionnelles et moins consciencieuses que la population standard. Elles seraient plus ambitieuses, hostiles et impulsives ». Feist note également certaines différences entre les artistes et les scientifiques : « les artistes auraient tendance à être affectifs, instables au niveau émotionnel et antisociaux, alors que les scientifiques seraient les plus consciencieux et moins instables. » (Feist, 1998).
Pour d’autres exemples de recherches sur la créativité en lien avec la personnalité, on peut citer les travaux de Rogers, psychologue humaniste. Pour Rogers, la créativité est pensée à travers le processus d’activation de soi. Suivant cette perpective, la créativité est définie comme un état indissociable à la liberté d’esprit ou le « self actualisation » (Rogers, 1954). Quant à Maslow (1968), l’acceptation de soi est une condition préalable et un moyen de réalisation de ses potentialités créatives. Pour d’autres auteurs, la créativité est considérée comme une manifestation de l’estime de soi (Coopersmith, 1967 ; Jaquish & Ripple, 1980) ; Vanderark, 1989 ; Kalliopuska, 1991) ou une composante de la personnalité qui améliore et renforce l’image de soi et la confiance en soi (Hendrick, 1990 ; Buege, 1993 ; Davies, 1984 ; Warger & Kleman, 1986 ; Huntsman, 1982 ; Barbot, 2008). Pour Rossman, c’est la persévérance face aux obstacles qui caractérise le plus souvent les personnes créatives (Rossman, 1931). Cette idée est confirmée par Thomas Edison qui a écrit « la créativité c’est 99% de transpiration et 1% d’inspiration !». Helson et Pals (2000) font l’hypothèse que le potentiel créatif différencie les individus dans leur capacité à développer une identité cohérente, s’appuyant sur des valeurs et choix personnels (identité réalisée). Selon ces auteurs, le travail créatif permet de développer l’individualité et de s’adapter à la société (Barbot, 2008).
Des auteurs comme Amabile et son équipe, étudient davantage la créativité en lien avec la motivation (intrinsèque et extrinsèque).

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Table des matières

Introduction
Partie Théorique
Chapitre 1. L’orientation dans la société post–moderne
1.1 Contexte de recherche
1.2 L’évolution des modes d’organisation du travail des années 70 à nos jours
1.3 Loi relative à l’orientation et à la formation tout au long de la vie
1.4 Question de recherche
Chapitre 2. La notion de compétence
2.1. Définitions du concept de compétence
2.2. Compétence : définitions de référence
2.3. La transversalité des compétences
2.3.1. La transversalité en termes de potentiel ou ressources à mobiliser
2.3.2. Transversalité : un processus de co-transformation
2.3.3. Transversalité : Facteur général vs facteurs spécifiques
Chapitre 3. La notion de créativité
3.1. Introduction
3.2. Différentes conceptions de la créativité de l’antiquité à notre époque
3.3. Psychologie de la créativité
3.3.1. Les étapes clés de l’étude de la créativité en psychologie
3.3.2. Vers une définition consensuelle de la créativité
3.3.3. Le modèle multivarié de la créativité proposé par Sternberg et Lubart
3.3.4. Autres éléments théoriques à associer au modèle de référence
3.4. Processus créatifs
3.4.1. Le processus créatif proposé par Wallas
3.4.2. Le processus créatif selon Guilford
3.4.3. Le processus créatif selon Runco
3.4.4. Différence entre processus créatif et processus adaptatif selon Kirton
3.5. Créativité : approche multivariée au regard de l’orientation
3.5.1. Facteurs cognitifs
3.5.2. Facteurs conatifs
3.5.3. Facteurs émotionnels
3.5.4. Facteurs environnementaux
Chapitre 4. Des compétences à s’orienter tout au long de la vie (tlv) définies à partir de différents modèles théoriques en psychologie de l’orientation
4.1. Introduction
4.2. Le modèle de l’arc-en-ciel de carrière proposé par Super
4.3. Le modèle de « 4S » (Soi, Situation, Soutien et Stratégies) de Schlossberg
4.4. Théorie sociocognitive de Bandura, concepts d’agentivité personnelle et sentinement d’efficacité personnelle
4.5. Trois approches théoriques prenant en compte le contexte incertain : l’incertitude « positive » et la prise de décision créative ; « le hasard planifié »
4.6. Compétences à s’orienter tlv et le courant des carrières protéenne, sans frontière et nomade
Chapitre 5. Compétences à s’orienter et l’adaptabilité de carrière suivant la perspective « construire sa vie » et selon la théorie de l’adaptabilité individue
5.1. L’adaptabilité de carrière ou « l’art de gérer son parcours de vie »
5.1.1. L’échelle d’adaptabilité de carrière (le CAAS) et ses quatre dimensions
5.2. La théorie d’adaptabilité individuelle
Chapitre 6. Créativité et compétences adaptatives en orientation : quelles relations ?
6.1. Problématiques et objectifs de recherche
6.1.1. Objectifs de recherche
6.2. Emergence de l’hypothèse générale pour évaluer la relation entre créativité et adaptabilité en orientation
6.3. Hypothèse générale
6.4. Hypothèses opérationnelles
Chapitre 7. Mise en relation entre ressources créatives et certains registres de compétences clés à s’orienter
7.1. Introduction
7.2. Faisabilité d’une recherche sur les liens entre créativité et les trois « métacompétences » à s’orienter selon la théorie de la carrière sans frontière
7.3. Créativité et les trois compétences de la carrière nomade : une première mise en relation
Partie Expérimentale
Chapitre 8. Méthodologie générale
8.1. Introduction
8.2. Objectif du chapitre
8.3. Choix des variables de mesure
8.4. Participants
8.4.1. Caractéristiques des participants
8.5. Procédure
8.6. Instruments de mesure
8.6.1. Adaptabilité de carrière : Le CA-AS (l’échelle CA-AS, Inventaire des Capacités Adaptatives en Orientation)
8.6.2. Adaptabilité individuelle en milieu professionnel : l’échelle multidimensionnelle de l’adaptabilité individuelle, l’I-AD
8.6.3. La personnalité et le Brief Big Five
8.6.4. Motivation autodéterminée, Auto-D (échelle de l’Autodétermination)
8.6.5. La pensée divergente graphique : les lignes parallèles
8.6.6. La pensée intégrative graphique : l’EPoC, Evaluation du Potentiel Créatif, Planche A
8.6.7. Raisonnement logique : le R2000
8.7. Présentation synthétique du protocole
Chapitre 9. Analyse des liens entre la créativité et les ressources relatives aux facteurs cognitif (raisonnement logique) et conatif (personnalité et motivati
9.1. Introduction
9.2. Objectifs spécifiques et hypothèses opérationnelles
9.3. Analyse des données
9.4. Résultats
9.4.1. Créativité et ressources relatives au raisonnement, à la personnalité et à la motivation : indicateurs des tendances (F et G confondus)
9.4.2. Différences individuelles en fonction du sexe
9.4.3. Analyse des inter-corrélations (N= 511, F et G confondus)
9.5. Discussion
9.5.1. Apports et limites de l’étude
9.5.2. Les limites de notre étude
9.5.3. Conclusion et perspectives
Chapitre 10. Relations entre créativité et adaptabilité de carrière (le CA-AS)
10.1. Introduction
10.1.1. Créativité et adaptabilité de carrière
10.1.2. Objectifs
10.2. Hypothèses spécifiques
10.3. Analyses des données
10.4. Analyse des résultats
10.4.1. Analyse de la matrice des inter-corrélations
10.4.2. Analyse des composantes principales (ACP)
10.4.3. Analyse des régressions linéaires hiérarchiques
10.5. Discussion
10.5.1. Relations entre créativité et raisonnement logique au regard de l’adaptabilité de carrière
10.5.2. Relation entre créativité et personnalité au regard de l’adaptabilité de carrière
10.5.3. Relation entre créativité et motivation autodéterminée au regard de l’adaptabilité de carrière
10.5.4. Apports de cette étude
10.5.5. Limites de l’étude
10.6. Conclusion et perspectives
Chapitre 11. Relations entre créativité et adaptabilité individuelle (I-AD)
11.1. Introduction
11.1.1. Clarification de la relation entre les antécédents (ATCD) et l’adaptabilité individuelle (I-AD)
11.2. Objectifs spécifiques
11.3. Hypothèses opérationnelles
11.4. Analyses des données
11.5. Résultats
11.5.1. Analyse de la matrice des inter-corrélations
11.5.2. Analyse en Composantes Principales (ACP)
11.5.3. Analyse des régressions linéaires hiérarchiques
11.6. Discussion
11.6.1. Les relations entre créativité, raisonnement logique et adaptabilité individuelle 233
11.6.2. Relations entre personnalité et l’adaptabilité individuelle
11.6.3. Relation entre la motivation autodéterminée et les huit dimensions de l’adaptabilité individuelle
11.6.4. Résultats de régressions linéaires multiples
11.6.5. Apports de cette étude
11.6.6. Limites
11.7. Conclusion
Chapitre 12. Discussion générale et perspectives de recherche
12.1. Introduction
12.2. Rappel des principaux résultats
12.2.1. Relation entre créativité, raisonnement logique, personnalité et motivation.
12.2.2. Relation entre créativité, raisonnement logique, personnalité et motivation au regard de l’adaptabilité de carrière (CAAS)
12.2.3. Relation entre créativité, raisonnement logique, personnalité et motivation autodéterminée au regard de l’adaptabilité individuelle en (I-AD)
12.3. Synthèse des éléments de discussion
12.4. Apports, enjeux, limites et perspectives futures
12.4.1. Apports et implications possibles
12.4.2. Principales limites
12.4.3. Perspectives de recherche
Conclusion
Résumé
Summary

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