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La mise en place du marché communal d’Ambatolampy
Historique de la mise en place du marché communal d’Ambatolampy
Sur les Hautes Terres malgaches, la tradition attribue à Andrianampoinimerina (1715 – 1810) la création des marchés qui étaient initialement des espaces de rencontres, plus ou moins quotidiennes, entre des commerçants et des ac heteurs et par usage des différents annexes trouvant dans ces lieux des opportunités de faire prospérer leurs affaires. Cette création a commencé avec celle du Zoma d’Antananarivo, établi comme son nom l’indique, tous les vendredis sur le site d’Analakely. Les pouvoirs qui se sont succédés ont décidé de faire de ce marché un modèle pour l’institution deplusieurs autres à travers l’île, tant dans leur organisation que leur aménagement. Pour le casd’Ambatolampy, son marché, bien plus petit que celui d’Antananarivo, possède à peu près la même structure avec l’implantation des pavillons, son hangar abritant les bouchers, image du hangar du marché du Zoma où par contre, l’on vend des poissons. Au niveau de l’orga nisation administrative, le Zoma et tous les marchés urbains ou ruraux, communaux ou régionaux uo de quartier, sont soumis à un suivi de l’Autorité locale. Pour Ambatolampy, elle est représentée par la Mairie. Les principaux objectifs de ce suivi sont de bien encadrer les espaces réservés aux marchés pour un meilleur aménagement, de les rendre fonctionnels pour permetre les échanges et assurer des ressources aux municipalités.
Actuellement, l’état des marchés à Madagascar est à déplorer. Les dégradations sont considérables tant au niveau des différentes structures que sur le plan de la salubrité. Toutefois, certains ont pu bénéficier d’une réhabilitation comme le marché d’Anosibe (rénovation totale) ou celui d’Ambatolampy (réaménagement partiel).
Le marché d’Ambatolampy n’a cessé de s’élargir depuis la promotion que la ville a reçue dans les années 50 et qui l’a élevé au rang ed commune urbaine et de chef-lieu de district.
Sa situation dans la commune
Il s’agit ici de délimiter le marché dans le tempset dans l’espace d’Ambatolampy, en précisant qu’il peut s’élargir ou rétrécir, suivantle jour. Le marché se présente comme une pièce maîtresse dans l’organisation de l’espace de son quartier d’appartenance, celui d’Andafiatsimo. Le choix de ce fokontany peut êtreexpliqué notamment par sa position dans la commune urbaine, en se basant sur le plan de la commune urbaine d’Ambatolampy, figurant dans le croquis n°2.
La position stratégique du quartier d’Andafiatsimo : celui-ci est le 2ème noyau urbain
Antampontanana ou la Haute Ville qui tient lieu pour sa part de pôle administratif et culturel. Andafiatsimo, incluant la localité de Malamamaina, se situe à l’extrême Sud de la ville. Il constitue en quelque sorte “ le quartier des affaires ” administrative et commerciale où siègent la BOA Ambatolampy, les bureaux de la Poste et de la Mairie, de quelques ONG (TIAVA, TAFITA) et justement par la présence du marché communal qui a encouragé le choix de l’emplacement de ces institutions et de nombreux magasins, boutiques, restaurants ainsi que des ateliers de fabrication d’ustensiles en aluminium, de baby-foot, de brouettes…
De plus, il est situé au carrefour des voies de circulation urbaine : la route nationale 7 (RN7) qui traverse la ville du Nord au Sud et qui draine la plus grande part du trafic automobile depuis le Nord (Antananarivo) et vers le Sud (Antsirabe, Fianarantsoa, Toliary). Mais les ruelles entre les quartiers ne sont pas en reste pour atteindre le marché : Andafiatsimo-Ankindondona aboutissant à la localité d’Andrefan’ny Gara et ensuite à la route d’intérêt provincial n°72 (RIP72) vers la commune de Tsinjoarivo, Andafiatsimo-Ambodiriana et rejoignant la RIP73 vers Tsiafajavona Ankaratra. Donc, le marché communal bénéficie de la situationd’Andafiatsimo.
Le marché d’Andafiatsimo et les autres marchés de quartiers:
ce sont ceux d’Ambanimaso et d’Ambodiriana qui se situent t ous les jours et regroupent toutes sortes d’épiceries, d’étals où sont entreposés légumes, fruits, viande… Le choix de leur implantation est relatif à la forte densité démographique de ces quartiers, suivant le tableau n°1 concernant la répartition de la population dans la commune urbaine d’Ambatolampy (Ambanimaso : 5133 habitants ; Ambodiriana : 3990 habitants).
UNE STRUCTURE FACILITANT LA DISTRIBUT ION DES PRODUITS
D’après les visites sur terrain, l’impression générale qu’offre le marché communal d’Ambatolampy est que son aménagement a été minutieusement planifié et ancré dans l’esprit des agents économiques qui s’y rencontrent.
Le schéma actuel du marché
Un aspect tentaculaire : témoin de la conversion de la population à l’activité commerciale Cet aspect dénote le rôle fondamental que joue le marché dans la vie de la population d’Ambatolampy. Il s’explique en partie par l’activi té qui domine dans le fokontany d’Andafiatsimo le jeudi et qui gagne toute la ville . Le marché voit l’arrivée massive des producteurs, des vendeurs des communes rurales et des contrées isolées de tout le Vakinankaratra uiq y affluent pour permettre à leurs produits d’être considérés et éventuellement achetés. Le nombre de marchands est alors doublé par rapport aux jours normaux. Par conséquent, la surface habituelle réservée au marché communal n’est plus suffisante pour accueillir cette foule marchande rejointe par celle des consommateurs. A l’évidence, un plan d’ensemble a servi de guide à l’occupation de l’espace sur le site d’Andafiatsimo. Mais par nécessité et par égard pour les commerçants, la Mairie d’Ambatolampy a plutôt laissé la place marchande prendre possession de tout le quartier. L’occupation anarchique des rues adjacentes à la pl ace principale par les installations des vendeurs ambulants devient inévitable : de véritables “ tentacules ” se forment et constituent l’extension du marché, leur effectif peut être aussi important que celui du marché central. Les marchands sont à l’affût du moindre espace vacant : ni les chaussées, ni les entrées principales ou secondaires du marché, ni les devantures de restaurants ou de magasins ne sont épargnés.
En se référant au croquis n° 3 sur la situation dumarché tous les jeudis, nous pouvons dire que le marché communal d’Ambatolampy connaît une extension au niveau de ses frontières :
– dans la ruelle reliant la RN7 au marché d’Andafiatsimo et dans celle menant aux bureaux municipal et postal : à l’emplacement quoti dien de la gare routière d’Ambatolampy, des dizaines de commerçants provenant de la localit é, des alentours et des autres communes rurales se sont installés, et même le devant et lesgrilles de la Mairie et de la Poste ont été transformés en pendoirs ou en supports de pavillonsen bâche où sont accrochés toutes sortes de vêtements,
– dans la ruelle vers le fokontany d’Ankindondona sur environ 200m,
– toutes les ruelles d’Andafiatsimo qui sont assez larges pour recevoir les vendeurs et leurs marchandises.
De cette façon, on peut diviser le marché communal d’Ambatolampy en trois grands blocs : le “ marché officiel ” soient les points de vente à l’intérieur des limites officiellement définies du marché, l’ensemble de tous les vendeurs à proximité immédiate du marché, dans les ruelles qui lui sont attenantes : celles d’Andafiatsimo seulement, l’ “ hypercentre ” qui rassemble les points de vent e des autres ruelles concernées : Ambodiriana, Ankindondona et le marché de bétail deMalamamaina.
Suite aux observations et constatations sur le terrain, la grande majorité des consommateurs visitent tout le Marché bien que celui de bétail se tienne à environ 2.5km d’Andafiatsimo et que le trajet se fasse à pied ou à bicyclette.
L’aménagement du marché
Les trois subdivisions du marché constituent un seul et vaste ensemble commercial où la place principale est un marché de standing pourles tissus, les vêtements en friperie ou en confection, les produits artisanaux et un marché agricole pour la vente de denrées alimentaires (légumes, fruits, viande, poissons…). Donc, on peut y trouver tous les produits, et a priori, il peut faire face à la concurrence de ceux d’Antanana rivo ou d’Antsirabe. Les deux autres éléments de cet ensemble regroupent surtout des produits manufacturés à savoir de la quincaillerie, du textile, des objets divers et quelques produits agricoles, puis, des animaux au détail (bœufs, porcs, volailles).
La diversité des installations de vente caractérise, à première vue, le marché d’Ambatolampy. Un examen plus attentif montre qu’au fait, on retrouve toujours les mêmes grandes catégories d’installations dont le niveau d’équipement est directement fonction du revenu du commerce et des produits à vendre.
Cette typologie, classée par niveau d’équipement, distingue : l’installation délimitée par 6 à 8 poteaux et couverte de toit en tôle : le pavillon, le hangar divisé en plusieurs kiosques, la table, l’étalage au sol, l’étage réservé aux poissons séchés.
L’aménagement des constructions en dur, le pavillon, le hangar et l’étage a été réalisé par les autorités gestionnaires du marché. Initialement, elles ont été érigées pour les produits manufacturés, la viande et les poissons séchés. Mais, dans de nombreux cas, des vendeurs de produits agricoles s’y sont installés et les ont progressivement étendus par l’ajout de tables et de présentoirs.
Les autres types plus précaires sont à la libre initiative des commerçants. Ce sont des installations ambulantes envahissant tous les espaces interstitiels non-bâtis du marché, dans les allées intérieures entre les pavillons et dansles ruelles. Leur prolifération sur les voies de circulation soulève tout de même des problèmes d’organisation, d’entretien, de nettoyage et de communication.
Le plan du marché
Dans le but de faciliter notre étude, nous avons procédé à un zonage du marché communal compte tenu des infrastructures et des différentes installations de vente pour les marchands et leurs produits.
A l’intérieur du marché communal
Zone A : 1 et 5
1- Etage des poissons séchés
5- Kiosques pour les gargotes en dessous de l’étage Zone B : 2, 3 et 4
2- Hangar et gargote près de l’entrée Nord-Est
3- Pavillons situés entre le portail Nord-Est et le portail centre Nord
4- Pavillons entre le portail Nord et le portail Nord-Ouest
Zone C : 7, 8, 10 et 11
7- Points de vente entre le hangar et la première série de pavillons Est
8- Allée entrée centre Nord
10 et 11- Points de vente inter-pavillons (horizontaux et verticaux)
Zone D : 6 et 12
6- Points de vente situés entre el hangar et l’étage
12- Plateforme devant le hangar et les pavillons Est
Zone E : 9 et 13
9- Points de vente entre la limite Ouest du marché etles pavillons en bâche
13- Plateforme devant les pavillons Ouest jusqu’au portail Ouest
Dans l’aire d’influence du marché communal
Zone F : 14, 15 et 16
14- Points de vente se situant à l’Ouest du marché communal
15- Points de vente se situant à l’Est du marché communal
16- Points de vente dans la ruelle sortie Ouest
Zone G : 18 et 21
18- Etals et points de vente par terre devant la place principale du marché
21- Points de vente dans la ruelle vers Ankindondona
Zone H : 19 et 20
19- Au Nord, points de vente dans l’allée menant à la Mairie et au stade municipal
20- Marché de volailles
Etals et points de vente, épiceries, gargotes, grossistes dans la ruelle reliant la RN7 et le marché communal vers le Nord
De cette classification, il ressort que ces équipements sont devenus des repères stratégiques. En général, le client se situe sur lemarché en s’informant de l’emplacement de chaque catégorie de marchand, suivant le produit qu’il vend : les pavillons sont dominés par les produits textiles en friperie, en confection…, le hangar est réservé aux bouchers, l’étage au Sud et Sud-Est aux poissons séchés, les kiosques sous cet étage aux gargotes… Mais de toute façon, il peut retrouver toutes les catégories de produits dans chaque zone. Cependant, dans le tableau en annexe sur la répartition des infrastructures sur la place principale et l’emplacement des marchands dans les extensions, nous pouvons relever que certains produits ne se rencontrent que sur le marché central et que toutes les infrastructures y sont rassemblées. C’est le cas de la viande qui ne se vend que sur la place principale du marché.
Donc, on est face à un marché organisé, bien structuré avec un type d’équipement pour chaque marchand sur la place principale. Mais de toute évidence, il existe toujours des “ squatters ” qui empiètent sur le “ territoire ” d es autres, comme c’est le cas de quelques vendeurs de légumes qui viennent se réfugier sous el hangar de la boucherie, ou de certains marchands de fruits saisonniers qui choisissent les pavillons inoccupés par les produits textiles et ont en fait une place fixe.
Dans l’aire d’influence immédiate du marché, la situation est différente car l’envahissement des ruelles et des carrefours par les marchands est la preuve qu’ils n’ont trouvé ni espace, ni équipement adaptés à leurs activités. L’occupation est devenue anarchique : toutes les sortes de produits et les services sont mélangés, les vendeurs et les divers réparateurs ne peuvent avoir d’emplacement fixe.
L’accessibilité au marché d’Ambatolampy
Une desserte routière favorable aux échanges
Il est vrai que les routes, nationales, d’intérêt rovincial,p interfokontany, représentent un élément fondamental pour le développement économique d’une région surtout au niveau des échanges commerciaux interrégionaux. Elles servent aux déplacements humains, à l’acheminement des produits agricoles, artisanaux, industriels, importés vers les lieux de vente. Elles se prêtent à tous les modes de transport.
Dans le cas d’Ambatolampy, plusieurs routes donnent accès au marché et de ce fait, elles relient la ville à ses principaux centres de consom mation et/ou d’approvisionnement.
La route nationale 7 joint la commune urbaine d’Ambatolampy à la région d’Analamanga, au Nord, et à tout le Sud de l’île. E lle traverse d’importantes régions de production des Hautes Terres Centrales, particulièrement pour les produits vivriers, maraîchers et fruitiers : Behenjy, Ihazolava, Ambohimahasoa, Ambohibary, Antsirabe, les zones Betsileo… Par son état, cette route rend son importance à la ville, la RN7 la traverse dans toute sa longueur et Ambatolampy s’est construite de part d’autre de cette route.
Les routes intercommunales : la ville est relativement bien desservie avec les autres communes rurales du district d’Ambatolampy qui constituent les premiers intéressés au ravitaillement du marché d’Andafiatsimo mais également les consommateurs privilégiés. Les plus importantes sont : les routes d’intérêt provincial 76 (RIP 76) vers Manjakatompo au Nord Ouest de la commune urbaine d’Ambatolampy, RIP 72 vers Belambo Firaisana et Tsinjoarivo au Sud Est, RIP 73 vers Tsiafajavona Ankaratra à l’ Ouest, RIP 79 reliant Ambatolampy à Sabotsy Namatoana au Nord Ouest …
Les ruelles vers Andafiatsimo relient les quartiers alentours du marché communal : les ruelles dans le fokontany d’Andafiatsimo, Ambodiriana (à l’Ouest du marché) à Andafiatsimo, Bemasoandro (au Sud) à Andafiatsimo, Ankindondona (à l’Est) à Andafiatsimo.
Les moyens de transport
L’organisation du transport des hommes et des produits vers le marché communal d’Ambatolampy est assurée par l’association fructueuse des moyens non motorisés d’une part, représentés ici par les charrettes à bœufs, les pou sse-pousse, des moyens plus précaires (traîneaux, brouettes, le portage à pied), et d’aut re part, du service dispensé par le réseau de taxi-brousse collectifs : les lignes entre Tana et Ambatolampy, Behenjy et Ambatolampy, Tsiafajavona Ankaratra et Ambatolampy, Antsirabe et Ambatolampy, Tsinjoarivo et Ambatolampy.
Le transport par pousse-pousse
Le véhicule du transport non mécanisé par excellencassurant la liaison entre les fokontany et le marché est le pousse-pousse. Le jour de grand marché, il est de coutume de voir aux heures de pointe, de 10h30 à 12h30 environ , où le maximum de gens vont au marché, un va-et-vient incessant de pousse-pousse acheminant clients, sacs de légumes, ballots de friperie des lieux de stock et des domiciles au marché. De toute façon, c’est le moyen de transport caractéristique des villes du Vakinankaratra. Fortement prisé autant par les commerçants que par les acheteurs à cause des frais de déplacement accessibles, la quantité de marchandise qu’ils peuvent transporter – pouvant supporter plus de 500kg – les concentrations les pl us notables sont naturellement aux abords du marché communal. Ils sont répartis entre deux ailes : stationnant dans la ruelle faisant communiquer avec la RN7, à l’entrée Ouest, et à l’E st, vers le fokontany d’Ankondondona où ils voisinent avec les charrettes et les traîneaux. Le parc total pour ces deux endroits comprend quelques 50 unités d’après le recensementeffectué auprès de la Municipalité, ceux dont les conducteurs se sont déclarés comme tels, te complété par des entretiens avec ces derniers. Mais, il faut préciser que près de 120 pousse-pousse trouvent leur place dans le transport dans la ville d’Ambatolampy (source : Commune urbaine d’Ambatolampy).
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I – Le marché communal structure le paysage urbain d’Ambatolamp
Chapitre I – Présentation du marché communal d’Ambatolampy
I-1- Définitions du concept
I-1-1- Le marché : un fait spatio-temporel
I-1-2- Le caractère humain et économique du marché
I-2- La mise en place du marché communal d’Ambatolampy
I-2-1- Historique de la mise en place du marché d’Ambatolampy
I-2-2- Sa situation dans la commune
I-2-2-1- La position avantageuse du quartier d’Andafiatsimo
I-2-2-2- Le marché d’Andafiatsimo et les autres marchés de quartiers
Chapitre II- Une structure facilitant la distribution des produits
II-1- Le schéma actuel du marché
Un aspect tentaculaire : témoin de la conversion de la population à l’activité commerciale
II-2- L’aménagement du marché
Le plan du marché
II-3- L’accessibilité au marché d’Ambatolampy
II-3-1- Une desserte routière favorable aux échanges
II-3-2- Les moyens de transport
II-3-2-1- Le transport par pousse-pousse
II-3-2-2- Le transport charroi
II-3-2-3- Les moyens de transport motorisés
II-3-2-4- La précarité des autres moyens de transport
Chapitre III – L’organisation générale du marché d’Ambatolampy
III-1- Du point de vue administratif
III-2- Le marché : étape transitoire de la production à la consommation
III-3- Le marché de Malamamaina et le marché de volailles
Conclusion de la première partie
PARTIE II – Un système commercial complexe
Chapitre IV – Le marché d’Ambatolampy est un centre d’écoulement de produits variés
IV-1- Le marché d’Ambatolampy : une farandole de produits agricoles
IV-1-1- Les produits vivriers
IV-1-2- Le côté folklorique du marché : l’abondance des fruits et légumes
IV-1-2-1- Les légumes
IV-1-2-2- Les fruits
IV-1-3- La place privilégiée de la viande et des ressources halieutiques
IV-1-4- Les cultures industrielles
IV-1-5- Les produits de première nécessité
IV-2- Le dynamisme du commerce de produits manufacturés
IV-2-1- Le secteur du textile et de l’habillement
IV-2-2- Les autres produits manufacturés
Chapitre V – L’approvisionnement du marché communal d’Ambatolampy
V-1- Le marché d’Ambatolampy : centre de convergence des produits locaux et régionaux
V-1-1- Les producteurs agricoles et manufacturiers
V-1-2- La collecte des produits locaux
V-2- L’approvisionnement du marché à l’échelle nationale
Chapitre VI – La forte disponibilité en hommes du marché communal
VI-1- Les marchands
VI-2- Les services créés par le marché
VI-2-1- La restauration
VI-2-2- La coiffure
VI-2-3- Les autres services sur le marché
VI-3- Les clients
Conclusion de la deuxième partie
PARTIE III – Le marché communal, facteur de développement d’Ambatolampy
Chapitre VII – L’aire d’influence du marché communal d’Ambatolampy
VII-1- L’origine des marchands
VII-2- L’origine des consommateurs
VII-2-1- Typologie des consommateurs
VII-2-2- La zone d’influence du marché
Chapitre VIII – Ambatolampy : la valeur ignorée d’une véritable ville-marc
VIII-1- L’intégration du marché dans la ville d’Ambatolampy
VIII-1-1- Ambatolampy est une ville-marché
VIII-1-1-1- Les caractéristiques d’une ville-marché
VIII-1-1-2- Ambatolampy : un centre de décision
VIII-1-1-3- Ville-marché rime avec ville-relais
VIII-1-2- Le rôle social du marché
VIII-2- Le marché d’Ambatolampy : un centre d’animation pour la ville
VIII-2-1- Le commerce : source principale de revenus ?
VIII-2-2- Le marché dans la vie des consommateurs
VIII-2-3- La contribution du marché aux finances locales
Conclusion de la troisième partie
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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