L’ORGANISATION DES BATIMENTS ET LE PLANNING D’EXECUTION

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Structure et dynamisme des emplois

L’agriculture, le commerce, et la pêche représenten les principales activités économiques et procurent les ressources de base de la population de la commune d’Antsohihy. L’emploi agricole repose essentielleme nt sur la riziculture et les cultures vivrières telles que le maïs et le manioc.
Le commerce, dominé surtout par les activités informelles, tient la deuxième place après l’agriculture. 46,37% de la population active s’int éressent ou choisissent ce métier. L’activité de pêche est prépondérante dans le quartier d’Antiampatsa,f où 80% de la population s’y attachent.
L’absence d’industrie de transformation dans la vil le accentue l’insuffisance d’emploi. Par contre, le petit métier, prestataire de service et autres professions libérales, ainsi que la présence de nombreux services déconcentrés de l’étadans la ville contribuent à l’atténuation du chômage, bien qu’ils soient encore loin de satis faire les demandes locales.
Ces deux tableaux montrent l’importance de la filière commerciale dans l’activité économique de la ville d’Antsohihy. L’industrie qui tient la troisième place parmi les catégories de service recensées comprend surtout les entrepreneurs, ferblantiers et les activités de décortiquerie.

Le chômage

Outre l’absence d’industrie de transformation, le m anque d’initiative et l’inexistence de formation adéquate des jeunes fait partie des raisons conduisant à l’augmentation du chômage dans la ville d’Antsohihy. Environ 30% de la population active seraient touchés par le chômage, alors qu’ils pourraient constituer une gra nde force motrice de développement dans la zone.
Actuellement, les travaux d’aménagement de la route RN6 reliant Ambondromamy-Antsohihy-Ambanja effectués par la société COLAS amoindrissent de façon périodique le nombre de jeunes sans emploi dans la région. Cette société a jusqu’à maintenant, procédé au recrutement d’une centaine de jeunes dans la commune urbaine d’Antsohihy. Influencés par ces offres d’embauche temporaires, de nombreux jeunes ont décidé d’abandonner définitivement leur école pour aller travailler dans les différents chantiers de cette société.

Le secteur primaire

Par rapport aux autres districts de la Région de Sofia, celui d’Antsohihy tient la troisième place après Bealanana et Mandritsara en ce qui concerne la production agricole. Cette région de la Sofia produit au total 425.000 Tonnes de paddy par an (source : PRD Région Sofia).
Concernant la riziculture, seulement 17,1% de la superficie cultivable sont actuellement valorisés. Ce taux est également très faible (15%)pour la culture sur tanety, tandis que pour la culture sur baiboho, la superficie travaillée actuellement atteint 35% des surfaces cultivables.
Pour la culture de maïs, bien que la superficie cultivée sur baiboho soit plus élevée par rapport à la surface cultivée sur tanety, le rendement (1,7t/ha) est identique.
Il en est de même pour la culture de manioc où l’on observe le même rendement (18t/ha), alors que la surface cultivée sur tanetyest supérieure (725 ha) à celle sur les baiboho (670 ha).
Quant à la culture d’arachide, 315 ha sont cultivés sur baiboho, contre 82 ha sur tanety.
Le rendement de ces deux types de culture reste analogue (1,3 t/ha).
Les manguiers occupent la première place dans la culture fruitière, suivis de la culture d’orangers dans la ville d’Antsohihy. Le rendement est également le plus élevé pour ces deux types de culture. Sa superficie totale de la culture fruitière est de 32 ha dans la ville d’Antsohihy, alors qu’au niveau régional, la superficie est de 9047 ha, avec une prédominance de la culture de banane.
Les principaux facteurs de blocage au développementde l’agriculture dans la commune urbaine d’Antsohihy sont d’une part, le type de sol s non propice à la culture, et d’autre part les fortes précipitations durant les saisons pluvieuses qui laissent toujours des traces non négligeables sur l’agriculture. Les effets négatifsdu passage des deux cyclones « Elisa » et « Gafilo » sur les cultures dans cette région restent toujours dans les mémoires des gens.
L’attaque des poux de riz accentue cette perte en production rizicole. Environ 71.952 tonnes de riz ont été détruites au niveau du district d’Antsohihy (Source : DRDR Antsohihy Août 2005).

Elevage

L’élevage est peu développé dans la ville d’Antsohiy, comme le montre le tableau suivant. Le système d’élevage est généralement deypet traditionnel.
Par rapport aux autres districts de la Région de Sofia, celui d’Antsohihy tient la troisième place après Bealanana et Mandritsara en ce qui concerne la production agricole. Cette région de la Sofia produit au total 425.000 Tonnes de paddy par an (source : PRD Région Sofia).
Concernant la riziculture, seulement 17,1% de la superficie cultivable sont actuellement valorisés. Ce taux est également très faible (15%)pour la culture sur tanety, tandis que pour la culture sur baiboho, la superficie travaillée actuellement atteint 35% des surfaces cultivables.
Pour la culture de maïs, bien que la superficie cultivée sur baiboho soit plus élevée par rapport à la surface cultivée sur tanety, le rendement (1,7t/ha) est identique.
Il en est de même pour la culture de manioc où l’on observe le même rendement (18t/ha), alors que la surface cultivée sur tanetyest supérieure (725 ha) à celle sur les baiboho (670 ha).
Quant à la culture d’arachide, 315 ha sont cultivés sur baiboho, contre 82 ha sur tanety.
Le rendement de ces deux types de culture reste analogue (1,3 t/ha).
Les manguiers occupent la première place dans la culture fruitière, suivis de la culture d’orangers dans la ville d’Antsohihy. Le rendement est également le plus élevé pour ces deux types de culture. Sa superficie totale de la culture fruitière est de 32 ha dans la ville d’Antsohihy, alors qu’au niveau régional, la superficie est de 9047 ha, avec une prédominance de la culture de banane.
Les principaux facteurs de blocage au développementde l’agriculture dans la commune urbaine d’Antsohihy sont d’une part, le type de sol s non propice à la culture, et d’autre part les fortes précipitations durant les saisons pluvieuses qui laissent toujours des traces non négligeables sur l’agriculture. Les effets négatifsdu passage des deux cyclones « Elisa » et « Gafilo » sur les cultures dans cette région restent toujours dans les mémoires des gens.
L’attaque des poux de riz accentue cette perte en production rizicole. Environ 71.952 tonnes de riz ont été détruites au niveau du district d’Antsohihy (Source : DRDR Antsohihy Août 2005).

Elevage

L’élevage est peu développé dans la ville d’Antsohiy, comme le montre le tableau suivant. Le système d’élevage est généralement deypet traditionnel.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: ETUDE CONCEPTUELLE DU PROJET
CHAPITRE I : DESCRIPTION TOTALE DE LA VILLE
SECTION I : MONOGRAPHIE DE LA VILLE
I.1.Historique de la crème glacée
I.2. Localisation de la ville
I.2.1.Identité et historique de la ville d’Antsohihy
I.3. La structure géographique
I.3.1. Climat
I.3.2. La Température
I.3.3.La pluviométrie
I.4.Structure démographique
I.4.1.Population
I.4.1.1.Origine de la population et migration
I.4.1.2.Densité de la population et ethnies dominantes
I.4.2.Répartition de la population par sexe
I.4.3. Effectif de la population par tranche d’âge
I.4.4. Caractéristiques socio démographique de la population
I.5. Les activités économiques
I.5.1. L’emploi dans la ville
I.5.1.1. Structure et dynamisme des emplois
I.5.1.2.Le chômage
I.5.2. Le secteur primaire
I.5.2.1.L’agriculture et l’élevage
I.5.2.1.1. Agriculture
I.5.2.1.2. Elevage
I.5.2.2. Pêche
I.6. Les secteurs secondaires et tertiaires
I.6.1. Le commerce
I.6.2. L’artisanat
I.6.3. Le tourisme
I.6.4. Les transports
I.6.5.Les communications
SECTION II : DONNEES SOCIALES ET EQUIPEMENTS SOCIAUX
II.I. Les infrastructures physiques
II.I.1. Routes et pistes
II.1.2. Le cimetière
II.1.3. La prison
II.1.4. L’Aéroport
II.2. Données sociales
II.2.1. L’enseignement et éducation
II.2.2. La santé
II.2.3. Jeunesse, loisirs et sports
II.2.4. Les bâtiments administratifs
II.3. Marché
II.3.1. Les latrines publiques
II.3.2. Us et coutumes
II.3.2.1. Fanompoana
II.3.2.2. Famadihana (retournement des morts)
II.3.2.3.Rangandolo
II.3.3.Les autres acteurs de développement public et privé
SECTION III : CATASTROPHE ET CALAMITE NATURELLES
III.1. Inondation
III.2. La Mortalité
CHAPITRE II : PRESENTATION ET CONDUITE DU PROJET
SECTION I : DESCRIPTION DU PROJET
I.1. Quelques définitions
I.2.Fiche signalétique du projet
I.3. Caractéristiques du projet
I.3.1. Objet du projet
I.3.2. Forme et aspect juridique
I.3.3. Régime juridique
I.3.4. Missions du projet
I.3.5 Les activités
I.3.6 Objectif
SECTION II : L’ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
II.1. La structure d’organigramme de la société
II .1.1 La définition
II.1.2. Les attributions des fonctions du personnel et la gestion des ressources hu
II.1.2.1. Les attributions des fonctions du personnel et les profils requises au sectionnement
II.2. Gestion du personnel
II.2.1.La rémunération
II.2.1.1.Définition
II.2.2. La formation continue des travailleurs
II.2.3. La motivation
II.2.3.1.Définition
II.2.4. Les règlements administratifs
II.2.4.1. Règlement intérieur
II.2.4.2.La communication d’information
II.2.4.3. La relation humaine
II.2.4.3.1. La relation hiérarchique
II.2.4.3.2. La Relation fonctionnelle
SECTION III : L’ORGANISATION DES BATIMENTS ET LE PLANNING D’EXECUTION
III.1. Le planning d’exécution des travaux et le démarrage des activités
CHAPITRE III : LE MARCHE LOCAL ET REGIONAL
SECTION I : LE MARCHE
I.1. L’analyse de la demande
I.1.1.Les consommateurs actuels des produits
I.1.2. Les non- consommateurs absolus de la crème glacée
I.1.3. Les non-consommateurs relatifs
I.2. L’analyse de l’offre
I.2.1. L’offre actuelle
I.2.1.1.Les productions envisagées
I.2.1.2. Les concurrents
I.2.1.3. Les parts du marché visé
I.3. Les caractéristiques de l’environnement
I.3.1. Analyse de l’environnement
I.3.2. Le micro – environnement
I.3.3. Le macro- environnement
I.3.4. L’environnement économique
SECTION II : LES POLITIQUES ET LES STRATEGIES DE MARKETING UTILISEES
II.1. Le politique marketing
II.1.1. La politique de produit
II.1.2. Le politique de prix
II.1.3. La politique de communication
II.1.4. La politique de distribution
II.2. Les décisions stratégiques
II.2.1. La segmentation
II.2.2. Le ciblage
II.2.3. Le positionnement
SECTION III : LES TECHNIQUE DE PRODUCTION ET LES CONTRAINTES DE LA FILIERE
III.1. Le lait, son traitement et les processus de fabrication
III.1.1. Le lait
III.1.2. Son traitement
III.1.2.1.Description du produit
III.1.2.1.1.Mélange des ingrédients
III.1.2.1.2.Pasteurisation
III.1.2.1.3.Homogénéisation
III.1.2.1.4. Refroidissement et maturation
III.1.2.1.5. Congélation
III.1.2.1.6. Conditionnement
III.1.2.1.7. Durcissement
III.1.2.1.8. Entreposage
III.2. La fabrication des produits laitiers
III.2.1. La fabrication du crème glacée
III.3. Description des concepts
III.3.1.Solubilité
III.3.2. Echanges thermiques
III.3.3.Cristallisation
III.3.4. Échanges thermiques dans la crème glacée
III.3.5. Humidité
III.3.6. Absorption d’eau par les stabilisants et les protéines
III.3.7. Suspension de particules
III.3.8. Tolérance des bactéries à la chaleur
III.4. Les contraintes de la filière
III.5. Le conditionnement des produits finis
III.6. Contrôles de fabrication
DEUXIEME PARTIE: L’ETUDE DE FAISIBILITE DU PROJET
CHAPITRE I : L’ANALYSE FINANCIERE DU PROJET
SECTION I: L’ESTIMATION DES INVESTISSEMENTS ET LE FINANCEMENT DU PROJET
I.1. L’estimation des investissements
I.1.1. Définition de l’investissement
I.1.2. Les éléments constitutifs des investissements
I.1.2.1. Frais de développement
I.1.2.1.1. Terrain
I.1.2.1.2.Constructions
I.1.2.1.3. Agencements, aménagements et installations
I.1.2.1.4. Matériels et mobiliers de bureau
I.1.2.1.5. Matériels et outillages
I.1.2.1.6. Matériels de transport
SECTION II : LES DIFFERENT TYPES D’AMORTISSEMENTS
II.1. Les amortissements
II.1.1. Définitions des amortissements
II.1.2. Les tableaux d’amortissements
II.1.2.1. Amortissements du frais de développement
II.1.2.2. Amortissement de construction
II.1.2.3. Amortissement des matériels et mobiliers de bureau
II.1.2.4. Amortissement des aménagements,
II.1.2.5. Amortissement des matériels et outillages industriels
II.1.2.6. Amortissement des matériels informatiques
II.1.2.7. Amortissement de matériel de transport
SECTION III : LE FINANCEMENT DU PROJET
III. 1. Les différentes modes de financement possibles
III.1.1. Financement interne
III.1.2. La formation du capital
III.1.3. L’autofinancement
III.1.4. Financement externe
III.2. Le financement par fonds propres
III.3. Le financement par capitaux propres
III.4. Les conditions requises à la B.O.A Madagascar
III.4.1. Les critères subjectifs
III.4.2. Les critères objectifs
III.5. Montant et remboursement d’emprunt
III.6. Les coûts de fonctionnement
III.7. Les achats
III.7.1. Achat des étiquettes
III.8. Les compte de gestion
III.8.1. Les décompositions des charges
III.8.2. Les comptes des charges
III.8.2.1. Charges de personnel
III.8.2.2. Achat des fournitures administratives et de bureau
III.8.2.3. Achat Eau et électricité
III.8.2.4. Services extérieures
III.8.2.5. Autre services extérieures
III.8.2.6. Impôts et taxes
III.8.3. Les comptes de produits
CHAPITRE II : EVALUATION FINANCIERE
SECTION I : FINANCEMENT PREVISIONNEL
I.1.Mode de financement
I.2.Le remboursement d’emprunt
I.2.1. Plan de remboursement
SECTION II : LES ETATS FINANCIERS PREVISIONNELS
II.1. Les outils d’analyse financière
II.1.1. Le compte de résultat prévisionnel
II.1.2. L’intérêt du compte de résultat
II.1.3. La capacité d’autofinancement
II.2. Les bilans
II.2.1. Présentation des bilans prévisionnels
SECTION III : PLAN DE TRESORERIE
III.1. Définition
CHAPITRE III : ANALYSE FINANCIERE DE L’ACTIVITE ET EVALUATION DE LA RENTABILITE DU PROJET
SECTION I : L’ANALYSE FINANCIERE DE L’ACTIVITE
I.1. La valeur ajoutée (V A)
I.1.1. Les ratios d’activités
I.1.1.1. Ratio d’efficacité du personnel (facteur de travail)
I.1.1.2. Ratio de performance économique (rentabilité économique)
I.1.1.3. Ratio de rentabilité financière
I.1.1.4. Ratio de capacité d’endettement
I.2. Evaluation de la rentabilité du projet
I.2.1. La valeur actuelle nette (V A N)
I.2.1.1. Interprétation
I.2.2. Taux de rentabilité interne1 (TRI)
I.2.2.1. Interprétation
I.2.3. Indice de profitabilité (I P)
I.2.3.1. Interprétation
I.2.4. Le délai de récupération du capital investi (DRCI)
I.2.4.1. Interprétation
I.3. Selon les critères d’évaluation
I.3.1. Pertinence
I.3.2. Efficacité
I.3.3. Efficience
I.3.4. Pérennité
SECTION II: LES SEUILS DE RENTABILITE ET FAISABILITE DU PROJET
II.1. Les seuils de rentabilité
II.1.1. Définition
II.1.2. L’utilité du seuil de rentabilité
II.1.2.1. Calcul du seuil de rentabilité
II.1.3. Répartitions des charges
II.1.3.1. Les charges variables
II.1.3.2. Les charges fixes
II.2. Les Marges de Sécurité (M S) ET Les Indices de Sécurité(I.S)
SECTION III : L’EVALUATION ECONOMIQUE, SOCIALE ET LES MESURES D’ACCOMPAGNEMENT
III.1. Les impacts sur l’économie régionale et nationale
III.2. Les impacts sur l’environnement social
III.2.1. Création d’emplois
III.2.2. Amélioration du revenu
III.2.3. Amélioration de l’élevage bovin à vocation laitière
III.3. Mesure d’accompagnement et l’amélioration de la filière
III.3.1. Mesures d’accompagnement
III.3.1.1.Le marketing social
III.3.1.2. L’évaluation d’impact
III.3.2. L’amélioration de la filière
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX, DES SCHEMAS ET DES FIGURES

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