L’intervention à domicile

L’intervention à domicile

Question de recherche et objectifs

Motivations personnelles et thématique Dès mes premiers stages que j’ai effectués auprès d’enfants et d’adolescents en garderie, école spécialisée ou foyer, j’ai pu remarquer qu’on ne pouvait espérer travailler avec eux sans travailler avec leur famille aussi. Dans toutes ces institutions où les parents venaient déposer les enfants pour la journée ou la semaine et repartaient, les ES (Éducateur social et éducatrice sociale) travaillaient plus ou moins avec les parents selon le fonctionnement de l’institution et son organisation. s rencontraient les parents tous les jours, dans d’autres cas, ils×le×Certaines fois, les professionnel les voyaient trois fois par année et d’autres fois encore, ils les appelaient une fois par semaine, par exemple. Après ma première année en travail social et mes différents stages, j’ai découvert qu’il existait aussi d’autres approches, telle que l’AEMO (Action Éducative en Milieu Ouvert). J’ai aussi pu en apprendre plus sur différentes théories telles que l’approche systémique ou le développement du pouvoir d’agir. J’ai donc commencé à m’interroger sur les effets d’une intervention à domicile et d’un placement sur le système familial, en termes de développement des compétences des familles ou à l’inverse au renforcement de l’assistanat. De ce fait, je me suis interrogée sur les facteurs qui s à placer un enfant, et sur la manière de faire pour ne pas tomber×le×poussaient les professionnel dans cet assistanat dans le but que la famille puisse, après notre passage, voler de ses propres ailes. Pendant mes stages, j’ai aussi été sensible à la relation entre les ES, les parents et les enfants et à la manière dont tout le monde collaborait ensemble. Je me suis par exemple interrogée, sur la e et sur les risques et difficultés de ce travail à trois, voire plus×prise en compte de l’avis de chacun e).×(ES, parents, enfant et mandant Dans le cadre de ma formation HES, j’ai aussi eu l’occasion de participer au projet AFE (Accompagnement Famille Enfant) mis en place par la ville de Sierre pour accompagner les familles migrantes dans leur intégration en Suisse. J’allais donc, une fois par semaine, dans une famille portugaise qui est arrivée en Suisse il y a quelques années. L’enseignante de l’enfant a proposé ce projet à la famille après avoir constaté que le suivi des devoirs à la maison ne se faisait pas à la hauteur des attentes du système scolaire valaisan. En intervenant dans cette famille, mes interrogations sur l’impact que je pouvais avoir sur cette famille en venant chez elle une fois par semaine dans le but d’apporter un soutien éducatif et à l’intégration se sont amplifiées. Outre l’attention particulière que je devais garder sur mon propre positionnement professionnel dans le but de e, j’avais conscience que les relations intra-familiales pourraient être modifiées suite à cette intervention. Je savais aussi que quoi que je fasse, mon intervention hebdomadaire aurait un impact (positif ou négatif) sur le système familial. La question de la×revaloriser les compétences de chacun collaboration s’est posée, dans cette situation, sous l’angle de la légitimité. Étant encore étudiante, n’ayant pas d’enfant, ni de parcours migratoire derrière moi, comment sera vue mon intervention e et de la valorisation des compétences me×par cette famille ? Les questions des rôles de chacun sont donc parues primordiales. Certes, cette intervention ne s’effectue pas sous aide contrainte, mais l’aide n’a pas été demandée non plus, elle a été proposée par l’enseignante, qui a, de ce fait, presque un rôle de mandante. Mon rôle dans cette situation, ainsi que dans toutes situations d’intervention en travail social, était un rôle de professionnelle avec des savoirs théoriques. La difficulté pour moi était de faire comprendre que malgré ce rôle, je ne pouvais pas résoudre leurs problèmes, puisque la famille est elle-même experte de la situation. Je ne peux que leur fournir des outils, des méthodes. C’est un travail de co-construction que nous devons donc tous fournir. HES-SO Valais Bachelor of Arts in Travail social HES-SO Valais/Haute École de Travail Social/TB/Août 2018/Céline Vittoz 5 D’autres questionnements sur cette thématique sont apparus au détour de différentes situations. Par exemple, lors de ma première formation pratique, j’ai travaillé avec un jeune de 10 ans, qui n’avait plus vu sa maman depuis longtemps étant donné qu’une interdiction de rencontre avait été donnée pour cause de maltraitance. Mais ce jeune racontait régulièrement des histoires à propos de sa maman et nous disait qu’elle lui manquait. Je me suis donc posé la question de la manière dont cette décision avait été prise et des conséquences qu’elle aurait pour le jeune. Je me suis aussi interrogée sur la manière de préserver le lien ou non entre un parent et son enfant lorsque l’environnement familial devient dangereux pour l’enfant. Ce sujet m’intéressant particulièrement, j’ai lu quelques livres par curiosité, comme : La compétence des familles (Ausloos, 2016) ou S’il te plaît, ne m’aide pas ! (Hardy, 2013). Ces livres m’ont permis de voir certaines situations de formation pratique sous un autre point de vue et m’ont poussée à m’interroger sur ce sujet de la s, les parents et les enfants sous aide contrainte.×le×collaboration entre les professionnel En choisissant cette thématique, différents terrains s’offraient à moi, comme les institutions de placement des enfants ou le milieu ouvert. Finalement, je me suis décidée pour le cadre de l’AEMO pour différentes raisons. J’ai déjà fait deux stages en internat avec des jeunes entre 6 et 16 ans et j’ai donc vécu plusieurs situations dont j’ai pu parler avec mes collègues et grâce auxquelles j’ai pu approfondir ma réflexion. Ce travail avec des ES de l’AEMO sera ainsi l’occasion pour moi de découvrir l’intervention à domicile de plus près, avec des situations familiales et des approches peut-être différentes de celles que j’ai pu découvrir lors de mes stages en foyer. Cela m’intéresse d’autant plus depuis que j’ai participé au projet AFE. Ce travail me permettra donc aussi d’approfondir ma réflexion autour de ce projet et d’observer d’un autre point de vue et de manière informelle des situations de soutien éducatif au domicile, voire, pourquoi pas, d’essayer de mettre directement en pratique mes différentes découvertes en tant qu’apprenante. 2.2 Question de recherche Dans le cadre de l’AEMO, plusieurs questions se posent à moi à propos de la collaboration entre s, les parents et les enfants.×le×les professionnel e×Déjà au niveau de la collaboration sous aide contrainte : comment faire pour parler de collaboration partenariale et comment instaurer celle-ci si les parents et l’enfant n’ont fait appel à un ES que parce qu’on le leur a fortement conseillé ? Comment les familles vivent-elles cette collaboration forcée ? Comment les ES agissent pour impliquer dans le travail les familles si elles n’ont pas souhaité l’intervention ? En somme, comment se met en place concrètement une collaboration partenariale et comment évolue-t-elle durant l’intervention ? Par rapport au soutien à la parentalité et toujours dans une vision de partenariat : comment soutenir la parentalité sans assister, diriger ou contrôler les parents ? Comment les parents vivent-ils e ES vienne les accompagner dans l’exercice de leur parentalité ? Comment mettre×le fait qu’un l’accent sur les compétences parentales à la place des éventuelles lacunes ? Comment rendre les parents actifs durant l’intervention et non pas en attente de réponses ? D’après moi, il serait intéressant de regarder les enjeux autour de l’intervention à domicile sous aide contrainte en elle-même, avant de penser à ce qu’on va faire durant cette intervention. J’aimerais donc comprendre les manières de faire des ES qui leurs permettent de collaborer sous forme de partenariat avec la famille et comment les parents et les enfants vivent cette collaboration sous aide contrainte. A la fin de mon travail, j’aimerais avoir trouvé quelques pistes d’actions pour créer et maintenir une collaboration partenariale avec la famille, qui léserait le moins de personnes HES-SO Valais Bachelor of Arts in Travail social HES-SO Valais/Haute École de Travail Social/TB/Août 2018/Céline Vittoz 6 s, les parents et les enfants ainsi que la commande de la personne extérieure. J’aimerais également trouver la manière d’accompagner la parentalité qui rendrait les parents actifs.×le×possibles, qui prendrait en compte les besoins des acteurs et actrices que sont les professionnel Avec tous ces éléments, je suis arrivée à une question de recherche qui est la suivante : Comment les ES qui interviennent au domicile familial sous aide contrainte dans le cadre de l’AEMO, collaborent avec les familles de manière partenariale, dans une vision de soutien à la parentalité ? 2.3 Liens avec le travail social Ma question de recherche parle de soutien à la parentalité, de collaboration, de partenariat, d’intervention à domicile et d’aide contrainte. Une des bases du travail social est, il me semble, la coconstruction et la création de liens avec les personnes que nous accompagnons. Les termes de collaboration et de partenariat reprennent bien cette idée. De plus, les ES ont pour mission d’accompagner les personnes vers plus d’autonomie. L’idée de soutien à la parentalité va aussi dans ce sens-là. En effet, les ES vont permettre aux parents de retrouver du pouvoir d’agir pour s’occuper eux-mêmes de leur enfant. Les ES s’occupent donc de la socialisation des parents et des enfants indirectement. Pour ce faire, les ES se basent sur les compétences et les forces des parents pour co-construire justement avec eux et développer leurs compétences parentales. Un tel accompagnement peut se passer dans un cadre institutionnel ou dans le cadre naturel de l’enfant, qui est le domicile. Cela permet aux ES de travailler avec le système de l’enfant et son environnement naturel. Dans ma question, je m’intéresse plutôt au deuxième cas, puisque le fait de travailler régulièrement avec toute ou une partie de la famille m’intéresse particulièrement. L’aide sous contrainte est aussi une part importante du travail des ES. En effet, il n’est pas rare que des ES doivent travailler sous mandat judiciaire ou administratif ou bien avec diverses pressions extérieures à prendre en compte, telle qu’une demande d’un service de protection des mineurs ou de l’école de l’enfant. De plus, un travail interdisciplinaire est souvent nécessaire avec le s, thérapeutes, etc.).×e×reste du réseau de l’enfant (AS, enseignant

Cadre théorique

Les concepts que j’amène dans mon cadre théorique vont me servir de début de réponse à ma question de recherche et de base pour faire mes recherches de terrain et analyser les données. Pour définir quels concepts je voulais développer, j’ai défini d’abord les grands champs théoriques de ma thématique. Ensuite, j’en ai tiré des concepts qui me semblaient être intéressants pour développer ma problématique. Mon cadre théorique est donc organisé de la manière suivante : o L’intervention à domicile : Dans cette première partie du cadre théorique, je commencerai par expliquer ce qu’est l’AEMO et plus précisément l’AEMO de Neuchâtel. Il me paraît en effet important d’en expliquer le contexte, ainsi que le cadre des interventions des ES qui y travaillent. J’expliquerai dans le même temps, les bases théoriques sur lesquelles s’appuie l’AEMO de Neuchâtel et la manière dont les ES interviennent. Je développerai alors l’un des grands concepts sur lequel s’appuient les ES de l’AEMO dans le cadre de leurs interventions, qui est l’approche systémique. Ainsi j’expliquerai ce qu’est cette approche, tout comme les concepts de base de l’intervention systémique. Puis je développerai la manière dont les ES travaillent et interviennent avec cette approche dans le cadre d’une famille. o La collaboration partenariale avec les familles : Dans la deuxième partie de mon cadre théorique, je développerai la notion de collaboration, ainsi que le partenariat puisque l’AEMO de Neuchâtel utilise ce terme pour décrire le travail avec les familles. Pour cela, je vais répondre à deux questions : Que sont la collaboration et le partenariat? Et comment collabore-t-on sous la forme partenariale ? À partir de cela, je pourrai alors parler de la collaboration dans une vision systémique, ainsi que du partenariat. Puis, je développerai la question de l’aide sous contrainte qui m’intéresse tout particulièrement. A partir de là, je vais clarifier ce que j’entends par « aide contrainte » dans ma question de recherche et voir quels en sont les enjeux dans le cadre des interventions des ES de l’AEMO de Neuchâtel. Dans cette partie, je vais donc définir les différentes aides contraintes, et m’intéresser à la manière d’intervenir dans ce contexte particulier. o Le soutien à la parentalité : Finalement, je parlerai du soutien à la parentalité en partant de deux axes : ce que les ES soutiennent et comment elles et ils le soutiennent. Je développerai alors ce qu’est le lien d’attachement entre les parents et les enfants, ce qui m’amènera à la notion de caregiving. À partir de là, je pourrai alors parler de la parentalité. Je vais alors parler du rôle qu’ont les parents dans l’éducation de leurs enfants aujourd’hui et donnerai une définition de la parentalité. Puis, pour approfondir la manière de soutenir la parentalité, je parlerai des tensions entre accompagnement et contrôle, de la notion de DPA et de la manière dont les ES peuvent l’appliquer. Cela m’amènera alors finalement à parler des compétences parentales et de la manière dont les ES peuvent les soutenir ou non. L’intervention à domicile 3.1.1 L’AEMO 3.1.1.1 Contexte et histoire En Suisse, l’AEMO s’est développée indépendamment des services juridiques et de manière différente selon les cantons. Lorsque nous parlons d’AEMO en Suisse Romande, cela signifie Action Educative en Milieu Ouvert et cela concerne les ES qui travaillent avec des familles à leur domicile ou au bureau parfois, et donc dans le milieu naturel de l’enfant. Le premier canton à avoir ouvert un service d’AEMO est le canton de Vaud en 1971 (Fondation Jeunesse et Familles). Il a ensuite été suivi, dans l’ordre, par Neuchâtel en 1982 (Fondation Carrefour), le Valais en 1989 (AEMO Valais), puis Fribourg et Genève la même année, en 2009 (AGEPE, FOJ et Fondation Transit). Différentes fondations ou associations chapeautent ce service. A Neuchâtel, il s’agit de la Fondation Carrefour. Le fonctionnement de l’AEMO diffère aussi d’un canton à l’autre. En effet, dans le s par le SPJ (Service de protection de la jeunesse ) sur demande des familles ou après une mesure judiciaire (Fondation Jeunesse et Familles). Dans le canton de Neuchâtel, au contraire, les familles doivent venir×e×canton de Vaud, par exemple, les ES de l’AEMO sont obligatoirement mandaté faire d’elles-mêmes une demande de suivi à l’AEMO et les mandats de l’OPE sont encore très rares, voire inexistants (Fondation Carrefour, 2016) 1. En Suisse allemande et dans le Haut-Valais, il n’existe pas de service similaire à celui de l’AEMO romande mais de nombreux services d’aide et de soutien à la famille sont regroupés dans l’association SPF (Sozialpädagogische Familienbegleitung). En France, l’AEMO a été développée en 1958, comme mesure judiciaire (CNAEMO). Cela correspond à la curatelle d’assistance éducative en Suisse, durant laquelle peut être demandée une intervention de l’AEMO. Le service français d’AED (Aide Éducative à Domicile) aussi appelé AEMO administrative, créé en 1959, correspond s par un service×e×en revanche à l’AEMO suisse dans les situations où les ES ne sont pas mandaté juridique, mais uniquement par les familles ou le SPJ, par exemple (CNAEMO). Il me parait important de faire cette différence, étant donné que les acronymes sont identiques et que bon nombre d’ouvrages ou d’article parlant de l’AEMO nous viennent de France. L’AEMO de Neuchâtel fait donc partie de la Fondation Carrefour. Elle a été mise en place dès 1982, suite à la demande de services placeurs d’offrir un service éducatif ambulatoire. Le service neuchâtelois a aujourd’hui deux bureaux principaux à Peseux et à la Chaux-de-Fonds, ainsi que des annexes servants à rationaliser les déplacements (Fondation Carrefour, 2016). Cela n’est pas anodin d’après les responsables que j’ai pu rencontrer en entretien exploratoire. En effet, le lieu des entretiens avec les familles dépend aussi de l’emplacement géographique du bureau et de leur domicile. Les familles de la Chaux-De-Fonds viennent plus volontiers directement au bureau, alors que plus loin, les familles préfèrent recevoir les ES chez elles. 3.1.1.2 Bases théoriques de l’AEMO de Neuchâtel Comme le précise le concept pédagogique de l’AEMO neuchâtelois, les ES de ce service interviennent principalement dans la prévention secondaire et tertiaire. Alors que la prévention primaire e et tout parent qui se poserait des questions, la prévention secondaire×e mineur×s’adresse à tout s confiée à l’OPE et comme action socio-éducative visant la diminution des risques.×e×s et aux parents qui font face à des difficultés causées par divers événements de la vie. Quant à la prévention tertiaire, on entend cela comme de la protection des mineur×e×s’adresses aux mineur Le service d’AEMO de Neuchâtel appuie sa pratique sur différentes bases théoriques qui sont les approches systémiques, psychodynamiques et cognitivo-comportementales. Il utilise aussi la théorie de l’attachement, ainsi que le concept de parentalité et un cadre d’analyse écosystémique des besoins de développement de l’enfant (Fondation Carrefour, 2016). Je développerai ces derniers points plus loin dans mon cadre théorique. D’après le concept pédagogique, les ES de s d’enrichir leur posture et de donner une direction à leurs pratiques. Ces principes sont les×le×l’AEMO de Neuchâtel suivent également six grands principes qui permettent aux professionnel suivants :  L’intérêt supérieur de l’enfant. […] [donc] le respect du développement biopsychosocial de l’enfant et […] en cas de conflit d’intérêts, celui de l’enfant prime.2*  L’accueil de l’autre. Ce principe s’inspire des approches humanistes […].3*  Le respect du système et du modèle familial dans son environnement. […]*  Le partenariat entre la famille et l’intervenant AEMO. Ce principe engage* l’intervenant dans une co-construction du projet d’accompagnement avec les parents et les enfants.  La responsabilisation. […]offrir un espace favorisant l’implication de chacun et* autorisant la liberté de choix […] en valorisant les compétences et les ressources familiales.  La collaboration avec les réseaux primaires et secondaires de la famille. Ce* principe souhaite intégrer toutes personnes et/ou services impliqués en vue de favoriser les liens et coordonner les actions […]4 (Fondation Carrefour, 2016, p. 7) 3.1.1.3 L’intervention de l’AEMO de Neuchâtel L’AEMO de Neuchâtel intervient auprès de familles ayant un ou des enfants qui grandissent dans leur milieu de vie naturel et qui rencontrent des difficultés de différents ordres, comme le précise le concept pédagogique:  Parents démunis, en manque de repères éducatifs*

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Table des matières

1. Zusammenfassung
2. Question de recherche et objectifs
2.1 Motivations personnelles et thématique
2.2 Question de recherche
2.3 Liens avec le travail social
2.4 Objectifs
3. Cadre théorique
3.1 L’intervention à domicile
3.1.1 L’AEMO
3.1.2 L’approche systémique
3.2 La collaboration avec les familles sous aide contrainte
3.2.1 Partenariat et collaboration
3.2.2 L’aide contrainte
3.3 Soutien à la parentalité
3.3.1 Le lien parent-enfant
3.3.2 La parentalité
3.3.3 Développement des compétences
4. Démarche méthodologique
4.1 Population de recherche
4.2 Techniques de récolte
4.3 Méthode d’analyse
5. Analyse des résultats
5.1 Contexte des entretiens
5.2 Analyse par thématiques
5.2.1 Mise en place de la collaboration partenariale sous aide contrainte
5.2.2 Soutien à la parentalité
5.3 Réponses aux objectifs
5.3.1 Objectif 1
5.3.2 Objectif 2
6. Conclusion
6.1 Synthèse
HES-SO Valais Bachelor of Arts in Travail social
HES-SO Valais/Haute École de Travail Social/TB/Août 2018/Céline Vittoz iv
6.2 Pistes pratiques
6.3 Limites et difficultés du travail
6.4 Perspectives
6.5 Processus d’apprentissage
7. Bibliographie
7.1 Livres
7.2 Articles
7.3 Cyberographie
7.4 Autres
8. Annexes
A. Lettre de consentement éclairé
B. Grille d’observations
C. Grille d’entretien avec les ES
D. Grille d’entretien avec les familles

 

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