LE MANAGEMENT STRATEGIQUE, LA SOLUTION AUX ALEAS ENVIRONNEMENTAUX
L’entreprise comme un système ouvert et en interaction permanente avec son environnement
L’étude approfondie du concept d’entreprise en la considérant comme un système, nous a permis de bien cerner l’utilité d’une approche systémique qui met en exergue le fonctionnement de cette entité et qui la fait sortir du domaine des sciences sociales pour la faire entrer dans le domaine des mathématiques et de biologie, ou tout est calculé et bien étudié.A l’opposé des approches analytiques traditionnelles qui prennent l’entreprise comme un ensemble de plusieurs unités découpées et indépendantes ayant chacune un objectif bien déterminé, isolant ainsi les éléments ou les variables environnementales. L’approche systémique quant à elle considère l’entreprise comme un système dynamique constitué d’un ensemble d’éléments en interaction permanente.C’est en ce sens que L.V Bertalanffy précise que « l’approche des systèmes n’est pas limitée aux êtres matériels (…….) elle s’applique aussi à des êtres en partie immatériels et totalement hétérogènes, par exemple, l’analyse des systèmes appliquée à une entreprise (…..) Donne des réponses sures et des avis pratiques »
Afin de mieux comprendre la nature des systèmes ouverts, il est judicieux de comprendre plutôt ce que sont les systèmes fermés.Selon L.V Bertalanffy sont considérés comme des systèmes « isolés dans leur environnement (….), Cependant on trouve des systèmes qui par leur nature même et par leur définition ne sont pas des systèmes fermés. Tout organisme vivant est essentiellement un système ouvert, il se maintient dans un flux entrant et un flux sortant continuels, une génération et une destruction de composants » . En fait, une entreprise est par nature ouverte parce qu’il existe des flux entrants en matières premières, des ressources et des informations, et des flux sortants en produits finis et des services proposés à ses clients.
March souligne également cette interaction. Cependant, « cette auteur s’oppose à l’hypothèse selon laquelle l’action est entreprise en réponse au milieu extérieur sans que ce milieu ne soit modifié par l’action de l’entreprise. Celle-ci crée alors son milieu par la façon dont elle agit et dont elle l’interprète ».
Donc on commence à parler de la pro-activité et de l’influence cœur même de l’intelligence économique.
Si l’entreprise se renferme sur elle-même et ne s’ouvre pas sur l’extérieur, elle est ainsi à la merci des aléas et des changements brusques de l’environnement et se positionne comme soumise, simple témoin inactif mettant en péril sa survie à long terme.
L’entreprise comme système composé et complexe
L’entreprise peut être considérée comme un système composé de plusieurs sous-systèmes, comme l’ont indiqué Emery et Trist2 , qui définissent l’entreprise tel un système regroupant des sous-systèmes, les uns concrets et les autres abstraits. Un sous-système des personnes et un sous-système des ressources techniques, qui constituent des sous-systèmes concrets, et des sous-systèmes abstraits tels que les politiques, le travail, les valeurs, et tous sont en interaction permanente et qui évoluent en adéquation avec les évolutions environnementale.Chacun de ces sous-systèmes entretient des relations avec les autres sous-systèmeset avec l’environnement.En outre, nous notons que la compréhension d’un système dans son ensemble dépend de celle de chacun de ses éléments constitutifs, mais aussi et surtout de l’interaction entre ses éléments.
L’approche systémique rend compte de la complexité dans le sens ou l’architecture d’un système se structure en un ensemble de composants en interrelation, source de complexité.C’est en ce sens que L.V Bertalanffy disait qu’ « alors que dans le passé la science essayait d’expliquer les phénomènes observables en les réduisant à un jeu d’unités élémentaires étudiables indépendamment les unes des autres, des conceptions apparaissent (……) s’attachant à ce qu’on appelle vaguement la totalité, c’est-à-dire à des problèmes d’organisation, les phénomènes ne se réduisant pas à des évènements locaux, aux interactions dynamiques manifestées dans la différence de comportement des parties quand elles sont isolées ou situées dans un ensemble complexe, bref, à des systèmes de divers ordres qui ne peuvent s’appréhender par l’étude de leur parties prises isolément ».Ainsi, l’entreprise, en tant que système, se structure en un ensemble d’unités ou de départements qui sont en interaction permanente.
L’entreprise comme système finalisé
La création d’une entreprise n’est pas une fin en soi, elle existe pour atteindre des buts et objectifs. Elle est donc un système finalisé poursuivant des fins multiples et suivant des stratégies lui permettant d’être compétitif.
L’entreprise comme système « vivant »
Pour décrire l’entreprise, Rapoport et Horvarth, soulignent que celle-ci peut même être considérée comme un organisme dit vivant « il n’est pas dénué de sens de considérer une organisation réelle comme un organisme (…….). On peut trouver des fonctions quasi biologiques dans les organisations. Elles se maintiennent, elles réagissent aux tentions, elles vieillissent et elles meurent».
De ce fait, l’organisation tente par tous les moyens de s’adapter à son environnement pour pouvoir y exercer ses activités, tout comme l’être humain qui s’adapte au milieu où il vit. En plus de son adaptation, l’organisation essaye d’influer sur cet environnement en le rendant propice à son épanouissement.
L’environnement de l’entreprise
Le micro-environnement
Le micro-environnement, il est composé des acteurs intervenant dans l’entourage immédiat de l’entreprise et qui se présentent comme suit :
La concurrence: Il existe trois formes de concurrence: directe, indirecte, générique.
Généralement, on ne s’intéresse qu’à la concurrence directe, et l’on oublie de regarder les autres types de concurrents
la concurrence directe : elle est composée de tous les intervenants qui nous concurrencent sur le même marché en proposant les mêmes produits ou services répondant aux besoins des consommateurs .Sur le marché des médicaments, Glaxo Smith Klein est le concurrent direct de Saidal
la concurrence indirecte : ce sont tous les acteurs des marchés indirects.
Les laboratoires homéopathiques sont les concurrents indirects des laboratoires allopathiques
pour les mêmes affections
la concurrence générique : elle est assurée par les produits de substitution produits par des fournisseurs de produits ou services très différents du produit principal mais qui apportent, sinon la même réponse au moins une fonction équivalente. Ainsi nous pouvons dire qu’un très bon ouvrage sur l’intelligence économique est une concurrence générique à une formation sur le même thème.
Les fournisseurs : Indispensable à toute entreprise pour obtenir les matières premières, machines, fournitures, main d’œuvre…, ils constituent des interlocuteurs constants en matière de négociation lors des achats, mais aussi pour les livraisons et la gestion des stocks.
la clientèle :Partie intégrante du marché avec les producteurs, la clientèle fait également partie de l’environnement du marché si on la considère dans son ensemble. Les tendances d’achat, l’évolution des modes de paiement, les changements d’habitudes d’achat, sont autant de facteurs qui donnent à la clientèle toute son importance dans l’environnement de l’entreprise.
les banques et les marchés financiers : Les banques (prêts à court, moyen ou long terme) et les marchés financiers (augmentation de capital) sont en dehors de l’autofinancement, les fournisseurs d’argent des entreprises, les interlocuteurs indispensables dans une économie capitaliste.
Le macro-environnement
En plus du micro-environnement, l’entreprise exerce ses activités dans un environnement plus vaste qui s’appelle le macro-environnement qui constitue à la fois une source d’opportunités et de menaces.
Avant de pouvoir identifier les opportunités et menaces auxquelles une organisation doit faire face, il est nécessaire de comprendre l’environnement général dans lequel elle opère.
En effet, les grandes tendances présentes au niveau du macro-environnement peuvent avoir un impact sur les choix stratégiques des organisations. Le macro-environnement est composé de quatre éléments interdépendants : politique, économique, socio-culturel et technologique, connus sous l’acronyme PEST.
L’important n’est pas d’identifier isolément ces facteurs mais de comprendre leur dynamique.
De la Planification Stratégique au Management stratégique
Au cours des années 60, le problème de la stratégie est le plus souvent confondu avec celui de l’identification d’un plan, et la mise en œuvre de procédures budgétaires. À la limite, une entreprise sans plan est considérée comme n’ayant pas de stratégie.
Il y’a dans cette conception un fond de vérité, Mais, au cours des années 70, les limites d’une telle assimilation vont apparaitre. Pour l’essentiel, l’idée majeure de cette remise en cause est que la procédure de planification ne peut être isolée de l’ensemble des problèmes d’ordres stratégique qui se posent à l’entreprise . Le plan ne devient alors qu’un outil au service de l’articulation entre politique générale (corporatestrategy) et les stratégies d’activités (business stratégy), c’est-à-dire au service du Management stratégique
La planification d’entreprise (corporate planning)
La planification d’entreprise est une notion qui remonte au début du siècle.
En effet, le français Henri Fayol, un pionnier de l’école classique et dans un ouvrage intitulé « Administration industrielle et générale »(1916), il présente les cinq principes2 universels sur lesquels doivent reposer l’administration et le fonctionnement d’une organisation et parmi lesquels, on trouve la planification, (ou la prévoyance comme il l’a appelé exactement), qui vient en première place vu son importance et son aspect décisif pour l’entreprise.
Ce même penseur a mis en avant le rôle crucial que joue le contrôle. Une fois le plan élaboré, la direction générale doit contrôler la mise en œuvre et évaluer les résultats obtenus pour les consolider ou les corriger. Pour cela, il faut fixer des objectifs, prévoir des moyens pour les réaliser et vérifier que les dits objectifs ont bien été réalisés. Fayol suggère des plans à cinq ans, soumis à modification annuelles, au vu de l’évolution interne et externe.
En grosso modo, on peut définir la planification d’entreprise comme : un processus formalisé de prise de décision qui élabore une représentation voulue de l’état futur de l’entreprise et spécifie les modalités de mise en œuvre de cette volonté
de la stratégie militaire à la stratégie d’entreprise
Stratégie militaire : origine de la pensée stratégique.
La Stratégie, du grec stratos qui signifie « armée » et agein qui signifie « conduire »
Dans son ouvrage, Sun Tzu se fonde sur le principe selon lequel gagner une guerre ne se fait pas par hasard, c’est une question de méthode et de stratégie. L’auteur propose ainsi des principes stratégiques conduisant à la victoire. Cette approche était révolutionnaire à l’époque.
Sun Tzu a formulé les principes de la stratégie militaire en insistant sur l’importance de l’esprit de corps dans les troupes et de la confiance réciproque entre le général et son armée.
Il met également en avant la nécessaire connaissance de l’environnement et la bonne connaissance de soi-même « Qui connait l’autre et se connait lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril. Qui ne connait pas l’autre mais se connait lui-même, pour chaque victoire, connaitra une défaite. Qui ne connait ni l’autre ni lui-même,
il y’a cinq manière de connaitre la victoire :
Celui qui sait s’il est possible de combattre ou s’il n’est pas possible de combattre, remporte la victoire :celui qui sait utiliser des armées nombreuses et peu nombreuses remporte la victoire :celui, dont les soldats, du haut en bas de la hiérarchie sont unis autour du même objectif, remporte la victoire : celui, dont le général est capable et dont le souverain ne dirige pas les affaires militaires, remporte la victoire, les cinq conditions forment la voie de la connaissance de la victoire ».L’auteur met l’accent plus particulièrement sur la dimension psychologique chez l’adversaire « l’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat », sur le rôle de la ruse et de la fuite ,lorsque l’ennemi présente un intérêt, il faut l’attirer. Lorsqu’il est en pleine confusion, il faut s’en emparer. Lorsqu’il est groupé, il faut s’en garder. Lorsqu’il est puissant, il faut le fuir. Lorsqu’il s’emporte, il faut le troubler. Lorsqu’il est vil, il faut le rendre arrogant. Lorsqu’il se repose, il faut le harceler. Lorsqu’il est uni, il faut le diviser »
Dans ses travaux, Sun Tzu se fonde sur deux concepts pour aborder la stratégie militaire. D’abord « prendre en entier » autrement dit garder l’adversaire, si possible, intact, en particulier les civils, car l’ennemi d’aujourd’hui est le sujet de demain.
Ensuite, le « Shih » mot chinois qui renvoi au concept de l’engagement de forces anodines pour faciliter la victoire. Ce déploiement repose sur la préparation, le travail, la bonne connaissance du terrain et des forces en présence, et l’adaptation aux circonstances.
L’auteur propose également cinq éléments à prendre en compte dans l’élaboration d’une stratégie militaire : la cause morale (le « dao ») du « Daoisme » qui garantit la moralité et la vertu d’une bataille) ; les conditions temporelles ‘principalement les saisons), les conditions géographique terrains ouverts, passages étroits…) le dirigeant sage, honnête, bienveillant, courageux et strict, à l’organisation et la discipline, autorité et délégation de responsabilités).
Les similitudes entre stratégie militaire et stratégie d’entreprise : La recherche sur la stratégie de l’entreprise s’est démocratisée dès le début du 20 éme siécle avec les précurseurs en management stratégique que furent F.W Taylor (1912), H.Fayol (1916) et M.P Follet (1924). La relation est simple : les stratèges, dans la cité athénienne, étaient chargés de la conduite de la guerre, sous l’œil vigilant des archontes, notables chargés de gérer la cité (polis, en grec : on voit ainsi une première figuration de la distinction entre la politique générale et la stratégie d’activités).Il fallut attendre les guerres napoléoniennes pour que des théoriciens dépassent la simple conduite des batailles pour se pencher sur l’art de la guerre. Un général prussien, Karl Von Clausewitz, observant les campagnes de Napoléon élargit le débat, en montrant que la guerre n’est qu’une des formes de la politique extérieure, diplomatique d’un pays, forme violente subordonnée à la poursuite des objectifs politiques.
L’intelligence économique : une nouvelle pratique managériale au service de la décision stratégique
L’économie mondiale a connu un profond changement et un passage d’une logique économique basée sur le matériel à une logique basée sur l’immatériel. Il s’agit d’un passage d’une économie fondée sur les ressources matérielles de l’entreprise (ses machines, ses unités de production, ses actifs…) autrement dit une économie industrielle à une économie de savoir ou l’information et la connaissance jouent le rôle du moteur de développement et source du pouvoir d’où la devise : « celui qui détient l’information, détient le pouvoir ». Ce pouvoir qui s’obtient par la maitrise de l’information stratégique qui alimente le processus de prise de décision stratégique.
Cependant, la maitrise de l’information n’est plus suffisante pour concurrencer les autres entreprises. La création de l’information est une condition sine-qua-non pour avoir une place parmi les rangs des leaders.
Des leaders qui influencent sur le cours des évènements. Donc le verbe détenir de la devise précitée n’est plus valable et il a été remplacé par le verbe créer :
« Celui qui crée l’information, détient le pouvoir ».
Dans cette optique et dans le souci d’être réactives et proactives, les entreprises se voient obligées d’adopter une démarche d’intelligence économique.
Définition de l’intelligence économique
L’origine du terme est anglo-saxonne ou l’on parle plutôt de » business intelligence » ou de » compétitive intelligence », et nous, dans notre étude, nous avons préféré de nous référencier aux définitions françaises.
C’est en se référant au rapport MARTRE qu’on a pu définir l’intelligence économique qui d’après ce rapport est : « L’intelligence économique peut être définie comme l’ensemble des actions coordonnées de recherche de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques. Ces diverses actions sont menées légalement avec toutes les garanties de protection nécessaires à la préservation du patrimoine de l’entreprise, dans les meilleures conditions de qualité, de délais et de cout.
L’information utile est celle dont ont besoin les différents niveaux de décision de l’entreprise ou de la collectivité, pour élaborer et mettre en œuvre de façon cohérente la stratégie et les tactiques nécessaires à l’atteinte des objectifs définis par l’entreprise dans le but d’améliorer sa position dans son environnement concurrentiel, Ces actions, au sein de l’entreprise,
Cette première définition nous permet de tirer les conclusions suivantes :
-L’intelligence économique est une approche globale qui concerne aussi bien l’entreprise que les acteurs économiques et les collectivités.
-La réussite d’un système d’intelligence économique nécessite une coordination entre ses différentes phases (recherche, traitement, diffusion et exploitation)
-L’intelligence économique est différente de l’espionnage, elle s’inscrit dans une démarche légale de recherche d’information
-Ce processus doit être mené dans les meilleures conditions de qualité, de délai et de cout.
-L’opération de recherche doit être orientée vers les informations de qualité, utiles pour prendre des décisions stratégiques
-La nécessité de protection et de sécurisation des informations contre les actions illégales. Comme on l’a évoqué plus haut, il s’agit-là d’une définition qui relève bien d’une approche globale, au niveau national, et non plus uniquement au niveau de l’entreprise.
En effet l’intelligence économique peut être réalisée à différents niveaux allant de l’entreprise jusqu’au niveau international qui est l’affaire des états. Et la figure suivante montre biens ces différents niveau de l’intelligence économique.
L’intelligence économique à travers le monde
L’intelligence économique est certes une pratique visant plus de compétitivité et de performance pour l’entreprise, mais aussi une politique nationale adoptée par les états en vue de doter leurs économies de la capacité à concurrencer les autres économies et de se protéger des tentatives d’espionnage industriel ou toutes autres intrusions. De ce fait, on a jugé utile la présentation de quelques expériences de certains pays avancés en matière d’intelligence économique, et notre souhait est que l’état algérien s’inspire de ces expériences pour arriver un jour à formuler un modèle propre à l’économie algérienne. Ces expériences sont en nombre de 04, choisies pour de différentes raisons. Les états unis d’Amérique, la première puissance économique mondiale et un leader en matière d’intelligence économique. Le japon qu’on a choisi à présenter à cause de son histoire économique, cet archipel de l’océan pacifique qui est sorti anéanti de la seconde guerre mondiale, mais dans un court laps de temps il a réussi à rejoindre les rangs des grandes puissances économiques mondiales grâce à des mesures et des stratégies économiques efficaces parmi lesquelles apparait l’intelligence économique comme un axe important tendant à alimenter les entreprises japonaises en informations utiles et indispensables à leurs activités économiques.
La France, ce pays voisin qui a servi pour longtemps comme un exemple pour le peuple algérien vu l’histoire commune qui relie les deux pays.
En plus de ces trois grandes nations et grandes puissances économiques, on a choisi de présenter le cas d’un pays qui est presque au même niveau de développement socioéconomique que l’Algérie qui est le Maroc, ce pays qui s’intéresse de plus en plus à l’intelligence économique car malheureusement, il a compris avant nous l’importance de telle démarche pour la compétitivité des entreprises et pour l’économie du pays en général.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE 1 : L’ENTREPRISE, UN SYSTEME OUVERT SUR SON ENVIRONNEMENT
Introduction
Section 1 : L’approche systémique de l’entreprise
Section 2 : L’environnement de l’entreprise
Conclusion
CHAPITRE 2 : LE MANAGEMENT STRATEGIQUE, LA SOLUTION AUX ALEAS ENVIRONNEMENTAUX
Introduction
Section 1 : De la planification stratégique au Management stratégique
Section 2 : La stratégie et la prise de décision stratégique
Conclusion
CHAPITRE 3 : L’intelligence économique, une nouvelle pratique managériale au service de la
décision stratégique
Introduction
Section 1 : Tout sur l’intelligence économique
Section 2 : l’intelligence économique et la décision stratégique
Conclusion
CHAPITRE 4 : Etude empirique
Introduction
Section 1 : Méthodologie de recherche
Section 2 :Analyse et interprétation des résultats
Conclusion
Conclusion générale
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