L’INTEGRATION DES ACTIVITES AGRICOLES DANS L’ESPACE GEOGRAPHIQUE

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Une hydrographie liée au régime climatique

La rivière onive

En ce qui concerne l’hydrographie, elle est alimentée surtout par des sources montagnardes de l’Ankaratra et dominée par la rivière onive et ses affluents traversant la commune rurale Antanifotsy. L’onive, affluant du Bas-Mangoro, prend sa source dans le massif volcanique du Vontovorona, au Sud de l’Ankaratra. Avant de couler définitivement vers l’Est, l’onive reçoit sur sa rive gauche l’Ilempona puis des nombreux autres affluents comme Ampahibato, Ampahazana.
L’onive et ces affluents, drainent la région, y creusent de larges vallées à méandres et y déposent des alluvions relativement récentes.
A l’origine, l’onive se dirigeait vers le versant d e Mozambique3. Par contre, actuellement, l’écoulement se fait vers l’Est sur le versant de l’Océan Indien. Ce changement de direction est lié au volcanisme de l’Ankaratra. Les épanchements de laves ont entraîné un bouleversement du réseau hydrographique dans la mesure où elles ont barré le cours originel de l’onive vers l’Ikopa. Ceci a donné naissance à un lac de barrage dans lequel s’est effectué une sédimentation argilo-sableuse. Enfin, l’érosion très vive d’un affluent du Mangoro a provoqué la capture de ces lacs, capture qui permet d’expliquer l’orientation de l’onive vers l’Océan Indien (BURESI, 1969).
Les phénomènes volcaniques ont perturbé les réseaux hydrographiques à la hauteur de l’Ankaratra, et détourné ces cours d’eau vers le versant Est alors qu’ils étaient à l’origine drainées vers l’Ouest.

L’interrelation entre climat, raison hydrographique et topographie

A chaque saison pluvieuse, le débit de l’onive augmente, ses eaux gonflent et la rivière déborde submergeant les cultures pour une durée de 15 jours à un mois.
L’importance de la pluviosité fait que les rivières sont bien alimentées, les modules annuels sont généralement abondants. Les débits moyens annuels pour une pluviosité de 1500m sont entre 15 l/s/km². Les crues sont moins violentes dans le secteur Nord- Ouest de la commune (due aux pentes plus faibles). Elles ont lieu avec les premiers orages fin novembre début décembre et se produisent jusqu’à la fin mars. Les crues les plus
violentes sont toujours enregistrées pendant les cyclones et les débits spécifiques peuvent être importants.
Les débits spécifiques des crues annuelles sont del’ordre de 200 l /s/km² tandis que les crues exceptionnelles peuvent atteindre des chiffres comprises entre 200 et 1000 l/s ;
Par contre, les basses eaux ont lieu entre mi-octobre et fin novembre. Il s’agit de la diminution, des eaux qui coulent de la rivière. L’eau coule très lentement avec un débit très faible. Pendant la saison sèche, les cours d’eaux n’occupent qu’une petite partie des lits. C’est au cours de cette période que le problème d’insuffisance d’eau nécessaire aux travaux de repiquage se pose

Une faible couverture végétal e

L’espace est le reflet du groupe humain qui l’a aménagé. Le paysage observé montre l’importance de l’intervention de la sociétésur son environnement. L’évolution des pratiques et l’extension de l’emprise de la populat ion sur son espace ont façonné l’allure de la végétation. Dans notre zone d’étude, la forêt turellena a pratiquement disparu dans l’ensemble de la commune. Mais en ce qui concerne les forêts reboisées, elles restent localisées (Croquis 4). A côté de ces reboisements, il convient de noter que le mimosa, planté à l’origine le long de la voie ferrée Tananarive-Antsirabe afin de fournir du bois de chauffe pour les locomotives, s’est rapidement disséminé sur les tanety.

Il est à l’heure actuelle utilisée pour faire du bois d’œuvre, du charbon de bois et du bois de chauffe. Le couvert graminéen constitue la formation végétale la plus étendues de la commune (Croquis 4).Il représente la quasi-totalité de la ouverturec végétale de la commune. Il résulte de la dégradation de la végétation naturellprécédente. Mais, il subit lui aussi à son tour une destruction à cause du passage annuel des feux de brousse.
On rencontre deux types de végétation graminéenne:
-La « savane » caractérisée par le «rambiazina » (Helichrysum gymnosophisme)
-La prairie dégradée par les feux successifs. Sacomposition varie peu. Elle est constituée de graminées très répandues en milieu tropical Imperata:, Andropogon, Aristida et de cypéracées.L’ Aristida caractérise la prairie ayant atteint un degré ultime de dégradation, par l’érosion, par la mise en culture sans aucune restitution par le fumier ou les engrais.
Dans les bas fonds humides, on retrouve ces graminées associées à des roseaux, le « bararata » (phragmites mauritianus) et le « zozoro » (cyperus)
La forte présence humaine explique la dégradation ed la couverture végétale à dominante graminéenne.

DES ACTIVITES ECONOMIQUES BASEES SUR LE SECTEUR PRIMAIRE

La majorité de la population active de la commune urale Antanifotsy se trouve dans le secteur primaire. Ce secteur regroupe l’ensemble des activités dont la finalité consiste en une exploitation des ressources naturelles comme celle de l’agriculture, la pêche, l’exploitation forestière et le gisement minier.

LA PREPONDERANCE DES ACTIVITES AGRICOLES

La commune rurale Antanifotsy est essentiellement agricole. On y pratique surtout des cultures vivrières largement dominées par la riziculture, la culture du maïs et la pomme de terre. La superficie cultivée par ménage est très diversifiée mais elle est en moyenne de 1,5 ha dont 60 ares sont des rizières et le reste des tanety5. Le mode de faire –valoir est direct c’est-à-dire que c’est le propri étaire qui exploite son terrain.
La plupart des travaux agricoles se fait par la force humaine ce qui explique la faiblesse du rendement d’autant plus que la plupart des paysans adoptent encore les techniques traditionnelles.
Le degré de l’aménagement est dicté par la positiontopographique :
-Les pentes fortes et la partie sommitale des collines sont peu mises en valeur. Elles portent une végétation à dominance herbeuse sauf pour une certaine partie qui est aménagée pour l’extension de cultures de pomme deterre ou de manioc, ou occupé par la forêt de reboisement
-Les cultures pluviales sont localisées sur les parties colluviales et les pentes moyennes
-Les cultures maraîchères se situent sur les bas de pente et la riziculture, dans le bas fonds et la plaine.
Les habitations sont caractérisées par le rapprochement des zones d’activités.

L’AMENAGEMENT DE LA PLAINE DE L’ONIVE

LES CARACTERISTIQUES DE LA PLAINE DE L’ONIVE

L’aménagement du territoire a été défini comme uneaction d’organiser la mise en valeur des ressources naturelles ou comme un ensemble d’actions qui aboutissent à la conservation des ressources naturelles. Il désigne à la fois l’action d’une collectivité sur son territoire, et le résultat de cette action. Les paysans aménagent en général leur territoire en fonction des unités topographiques et en tenant compte d’autres facteurs comme la géomorphologie.

La géomorphologie

La formation de la plaine de l’onive est liée aux manifestations volcaniques de l’Ankaratra allant du crétacé au pliocène (MOTTET,1990). La mise en place des grands édifices volcaniques dans l’axe central de l’île y compris la Montagne de l’Ankaratra est à partir du miocène. Le massif volcanique de l’Anka ratra s’est formé en deux temps (RAUNET, 1980). Un pré-massif tabulaire issu de puissants épanchements de basaltes d’inondations sortis par les fractures du socle. Cette première phase s’est achevée par des émulsions de la série acide des trachytes localiséedans le Nord-Ouest du massif. Les constructions ont été fortement démantelées.

Un second massif beaucoup plus différencié formé arp des effusions de roches basiques, constituées de basaltes à olivine sans feldspath mais avec beaucoup de méphéline, caractéristique à l’origine du terme Ankaratrite ( RAMAMONJISOA, 1989). Elles constituent la crête sommitale de l’échine centrale (Tsiafajavona à 2648m). Après un bombement généralisé du socle, la tectonique a rovoquép la formation de cuvette d’effondrement de bassins en demi-graben, alignés au pied du versant oriental (Ambatolampy, Ambohimandroso, Ilempona, Ambohibary, Antsirabe, Betafo et le sillon de Manandona).
En parlant du sol dans la plaine de l’onive, il est à constater que l’érosion a donné naissance à des alluvions fluvio-lacustres formées par les dépôts de rivière pour constituer des sols peu évolués. Leur nature est très variable ; elle dépend des sols et des roches dont elles dérivent. Ce sont en général derèst bons sols de cultures, sauf quand elles sont trop sableuses. Elles évoluent très souvent vers différents types de sols hydromorphes.
Ce bassin fluvio-lacustre présente des collines à relief peu accentué, se prolongeant jusqu’à la vallée de l’onive.
Géologiquement, il est formé d’alluvions récentes,postérieures aux alluvions lacustres del’Ankaratra. Le problème qui se pose est de savoir l’origine de ce lac. C’est ainsi qu’il est devenu l’objet de recherche et de discussion pour les pédologues et d’autres chercheurs. Pour BERTRANT et JOLEAU( 1947), sa formation serait une conséquence de la tectonique néogène et quaternaire tandis que LENOBLE (A.) en 1949, met au contraire l’accent sur le rôle de barrage joué par la construction de l’Ankaratra 10.
Cette plaine de l’onive offre une forte aptitude agricole pour la commune Antanifotsy.

Une plaine fertile favorable aux activités agricoles

La plaine de l’onive constitue la force et la base même de l’économie dans la commune rurale Antanifotsy. Elle offre de fortes potentialités aux agriculteurs et fait l’objet de réputation de la commune, du district Antanifotsy au niveau régional et national. Malgré les handicapes liés aux aléas climatiques (inondations…) le potentiel de production dans la plaine de l’onive est élevé. Grâce à ces caractéristiques favorables, elle est destinée essentiellement à la culture vivrière. La présence quasi- permanente de l’eau favorise la riziculture. Il en est de même pour les cultures maraîchères où elles trouvent des conditions favorables à leur croissanc e.
La fertilité du sol
La terre noire « tany mainty » comme celle de la plaine de l’onive désigne des sols recherchés pour leurs qualités agricoles. Ce ernierd est perçu comme des sols fertiles « tany lonaka ». Ce terme englobe deux qualificatifs complémentaires, terre productive et bénéficiaire de conditions hydriques satisfaisantes.Elle est caractérisée par :
– leur couleur sombre, synonyme d’un potentiel de production élevé ;
– leur épaisse chair« lali-nofo ». L’horizon A atteint facilement 40 cm de profondeur. Il n’est pas massif, ce qui permet aux racines de descendre loin dans le sol pour en prendre la saveur ; un bon enracinement laisse pénétrer l’air et circuler l’eau, entretenant ainsi l’excellent potentiel cultural de ces terres.
– leur exploitation continue avec, en saison fraîche, des plantes qui ne craignent pas le gel. La proximité de la nappe phréatique etles propriétés de capillarité de la terre fine, provoquent un taux d’humidité élevé donc lesplantes n’ont pas besoin d’être arrosées.
– la possibilité de transformation en rizières. La maîtrise d’une source d’alimentation en eau pour assurer l’irrigation con ditionne l’aménagement. Ainsi, l’exploitant abaisse le niveau de la parcelle pour la mettre en position dominée et accessible à l’eau

Un site favorable à la briqueterie

Une bonne partie de la plaine de l’onive est constituée par un sol argilo-sableuse. Ce dernier est exploité par la population locale pour la fabrication des tuiles, de briques de type artisanal. Malgré cela, les retombées positves sont limitées car la briqueterie reste une activité de subsistance.
Par contre, au niveau spatial, il cause la dégradation de l’environnement, présentant un risque pour le développement et l’avenir de la plaine. Sur la plaine de l’onive, les choix du site de production se divisent en deux catégories : le site sur les rizières et le site sur les lits de rivière.

La briqueterie est un travail manuel qui demande beaucoup de force physique voila pourquoi elle est réservée plutôt aux hommes .Sa fabrication nécessite une saison sèche bien marquée pour ne pas compromettre la phase de séchage.
Deux étapes principales caractérisent le processusde production : la mise en forme ; elle va de l’extraction de l’argile au faço nnage des briques. Dès que les rizières commencent à s’assécher, on creuse pour aller chercher de l’argile en profondeur. On la malaxe en ajoutant de l’eau jusqu’à obtenir de la b oue. Tous ces travaux nécessitent en moyenne deux ouvriers. Le rendement journalier moyen varie de 600 à 800 briques.
Quant au séchage, il dure en moyenne entre 10 à 20 jours selon les techniques utilisées et les conditions météorologiques. L’étape la plus importante dans le processus est la cuisson des briques. On la fait avec des branches d’arbres et des buissons. Il faut avoir au moins une charrette de bois pour faire cuire 1000 briques.
Selon les briquetiers, ils ont rencontré des problèmes, depuis quelques années, sur l’approvisionnement des bois à cause de la déforestation.
On a recensé 547 briquetiers dans la commune. La plupart d’entre eux se vivent dans le fokontany d’Antobiniaro et Antsahamaina. L’ atelier de production n’est pas fixe. Il est même très mobile et change de lieu à chaquesaison de production. C’est à partir de cela que se posent les problèmes parce que la briqueterie favorise la formation des trous aux milieux des champs et réduit la surface cultivable.

LE ROLE DE L’ETAT CENTRAL

La mise en place des équipements hydrauliques

La mise en place des barrages et des canaux divers est une affaire de l’Etat par l’intermédiaire du ministère des travaux publics dufait de la nécessité de l’investissement un peu lourd. Le projet national de réhabilitation du petit périmètre irrigué (PPI) a débuté en 1986. Il intéresse des périmètres compris entre100 et 3000ha qui, entretenus et gérés par les services du Génie rural, se sont détériorésàpartir des années soixante-dix, faute de moyens publics. Le projet veut retrouver une maîtrise de l’eau pour permettre l’adoption des techniques de cultures améliorées etfavoriser un repiquage précoce. Ce ci va libéré à temps la parcelle pour les cultures de contre saison et entraîner un accroissement des rendements et des revenus agricoles. Un plan de développement agricole (PDA) accompagne le projet, il valorise la réhabilitation des infrastructures.
Pour la commune rurale Antanifotsy, outre les petits barrages sur les différents affluents de l’onive, il existe deux grands barrages situés en amont et en aval de la commune.

Le premier se situe dans le fokontany d’Angavo. D’a près les enquêtes, il remonte au temps de Tsiranana sous la direction du Génie rurale. Puis, suite à la politique économique malgache, le barrage et ses accessoires ont fait l’objet de nombreuses réhabilitations. Les travaux de construction furent achevés à la fin de la Première République à travers avec un barrage mesurant 30 m de longueur et des canaux de 30 Km (Photo 5).
Ce barrage était prévu pour une superficie de 1000ha alors que moins de 10% (90 ha) seulement ont été irrigués faute de canauxPendant. la Troisième République, le Projet de Soutien pour le Développement Rural (PSDR) a fait quelques travaux de réhabilitation au niveau de ces infrastructures hydrauliques. Outre la mise en place des passerelles (balises) au dessus du barrage, pour les piétonniers, les travaux consistent à la réhabilitation des canaux bouchés par le sable etel glissement de terrain.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : LES ACTIVITES DE LA POPULATION DANS LA COMMUNE RURALE ANTANIFOTSY
CHAPITRE. I – LE CADRE PHYSIQUE DE L’AMENAGEMENT DE LA PLAINE DE L’ONIVE
I-1- Un relief accidenté
I-2- Un climat a deux saisons contrastées
I-3- Une hydrographie liée au régime climatique
I-3-1 La rivière onive
I-3-2 L’interrelation entre climat, réseaux hydrographiques et topographie
I-4- Une faible couverture végétale
CHAPITRE II : LES CARACTERISTIQUES DE LA POPULATION
II-1- Une population jeune et nombreuse
II-2-Des habitats groupés le long de l’onive
CHAPITRE III : DES ACTIVITES ECONOMIQUES BASEES SUR LE SECTEUR PRIMAIRE
III-1- La prépondérance des activités agricoles
III-2- Les activités para-agricoles
III-2-1- L’Elevage
III-2-2- L’artisanat
III-2-3-Le commerce
III-2-4- L’exploitation forestière
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : L’AMENAGEMENT DE LA PLAINE DE L’ONIVE
CHAPITRE IV : LES CARACTERISTIQUES DE LA PLAINE DE L’ONIVE
IV-1- La géomorphologie
IV-2- Une plaine fertile favorable aux activités agricoles
IV-3- Un site favorable à la briqueterie
CHAPITRE V : LE ROLE DE L’ETAT CENTRAL
V- 1- La mise en place des équipements hydrauliques
V-2- Le suivi de fonctionnement des équipements hydrauliques
V-3- L’encadrement des paysans
CHAPITRE VI/ : L’INTEGRATION DES ACTIVITES AGRICOLES DANS L’ESPACE GEOGRAPHIQUE
VI-1- Une pratique agricole dominée par les cultures vivrières
VI-1-1- La riziculture
VI-1-2- Le maïs
VI-1-3- Le culture de contre saison
VI-2- Un calendrier agricole plus ou moins surchargé
VI-3- Un système de production marqué par la prédominance des techniques traditionnelles
VI-3-1- Techniques améliorés peu développées
VI-3-2- Faible recours aux intrants
VI-3-3- Une production destinée essentiellement à l’autoconsommation
TROISIEME PARTIE : BILAN DE L’AMENAGEMENT DE LA PLAINE ET LES PERSPECTIVES D’AVENIR
CHAPITRE. VII : LA PLAINE DE L’ONIVE : UN ESPACE EN PLEINE EVOLUTION 
VII- 1- La dégradation de la plaine devient de plus en plus graves
VII-1-1- L’augmentation des crues et d’inondations
VII-1-2- L’augmentation significative de la charge et dépôts sédimentaires
VII-2- Les stratégies paysannes face à la dégradation de la plaine de l’onive
VII-2-1- Diversifications des productions et des activités locales
VII-2-2- Vers la migration temporaire à l’extérieur
VII-2-3- Une augmentation conséquente de l’occupation de «tanety
CHAPITRE VIII : UNE PRISE EN COMPTE TARDIVE DU PROBLEME DE DEGRADATION DE LA PLAINE
VIII-1- Le redressement de la situation par le biais du reboisement
VIII-1- 1- Le reboisement à titre collectif
VIII-1-2 – Le reboisement à titre individuel
VIII-1-1- Le reboisement à titre collectif
VIII-2- La défense et restauration du sol
VIII-2-1- La rotation des cultures
VIII-2-2- Les pratiques antiérosives
VIII-3- La sensibilisation et formation des paysans sur l’état des ressources naturelles
CHAPITRE IX : PERSPECTIVES D’AVENIR ET RECOMANDATIONS
IX-1- Intégration de la gestion des tanety dans la gestion de la plaine : la gestion agrobiologique
IX-2- Renforcement de l’infrastructure hydro-agricole pour la distribution de l’eau
IX-3- Intensification agricole
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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