L’intégration de la dimension économique et renforcement de l’interaction entre les thématiques de la Gouvernance Locale et l’Economie Locale

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Le changement de type de partenaires

Si les bénéficiaires ultimes du programme sont toujours les exploitations agricoles familiales avec une attention particulière sur les vulnérables, SAHAIII veut privilégier le partenariat avec les institutions pérennes au niveau communal,intercommunal et régional. Le programme se donne ainsi le défi de multiplier largement et de rendre plus durables les effets obtenus jusqu’ici au niveau local en renforçant ces institu tions à acquérir les capacités et les compétences nécessaires à la mise en œuvre de leurs diverses fonctions, notamment sur leurs responsabilités envers les populations et organisations au niveau local et les communes. SAHA soutenait également les efforts de coordination au niveau communal et régional et les actions de défense d’intérêt face au niveau national, pour que les populations et organisations locales de base puissent bénéficier des conditionscadre nécessaires pour leur développement.
Les partenaires directs choisis pour la phase III sont appelés « Les partenaires limitrophes » (PALI), c’est-à-dire des organisations et instituti ons avec qui le programme interagit et sur lesquels il peut exercer une influence pour susciter les effets envisagés au niveau de la population locale de base.
Six 06 types de partenaires limitrophes ont été retenus à savoir :
· Les Associations de Communes ;
· Les Communes Rurales ;
· Les Organismes Publics de coopération Intercommunales ;
· Les Organisations Faitières de la Société Civile Rurale ;
· Les organisations Paysannes Faîtières à Vocation économique ;
· Les Chambres Régionales d’agriculture et de métiers.
En plus, SAHA développe des alliances avec d’autres institutions pour mutualiser les appuis à ces PALI (Partenaires Limitrophes) et pour renforcer la dynamique de développement multi acteurs au niveau méso. Ces institutions sont les ministères, les régions, les centres de service, les opérations économiques, les institutions de micro finance, les autres programmes d’appui etc.
Durant la phase III SAHA a travaillé avec certainspartenaires indirects.

Le changement des domaines d’intervention

SAHA concentre principalement ses actions sur les deux domaines de l’économie locale et la gouvernance locale.
Le programme local touche les aspects liés au renforcement des institutions et structures pérennes dans la mise en œuvre effective de leurs r ôles et responsabilités à la structuration du monde rural dans le cadre de la décentralisation et de la démocratie à la base ainsi qu’à la participation citoyenne dans la gestion des affaires publiques.
Le domaine thématique économie locale touche les aspects relatifs à l’amélioration des revenus des ménages basée sur l’augmentation de laproduction rurale autour des filières économiques. Il inclut également la diminution de al vulnérabilité socio- économique à travers l’augmentation de la capacité des ménages àaffronter les risques. Enfin, il intègre la valorisation durable des ressources naturelles et des espaces d’accès communautaire comme source de diversification des systèmes de production locale.
Les dimensions du genre, de la lutte contre la pandémie du VIH SIDA et de l’amélioration de l’offre de services ont été intégrées dans les actions de manière transversale.

Le changement de l’organisation interne

Par rapport aux deux phases antérieures, des modifications assez significatives ont été égalementappliquées dans l’organisation de l’équipe.
Au niveau national, les conseillers thématiques ont été réorganisés en 2 pools thématiques chargés du développement des thématiques « Gouvernace Locale » et « Economie Locale ».
Au niveau décentralisé, la mise en place des antennes régionales ou intra-régionales visait le développement d’une relation de proximité avec lesPALI et les instances régionales.

Pour la quatrième phase :

La quatrième et dernière phase du programme sera conçue de manière à renforcer les acquis de la phase III tout en assurant un désengagement responsable. Le programme focalisera sa stratégie d’intervention sur la pérennisation des cquisa et la génération d’effets multiplicateurs. Elle cherchera en priorité à renforcer la capacité des partenaires à induire des effets positifs sur les familles rurales, et à ins titutionnaliser les fonctions et approches du programme dans les politiques et pratiques d’autres acteurs (PTF et organisations étatiques).
Le programme consolidera son engagement au niveau « méso » et veillera à renforcer les synergies entre le niveau local (proximité à la base) et le niveau régional /national (influence des conditions cadre). Il mettra un accent plus important sur les enjeux économiques des territoires d’intervention des PALI et cherchera à soutenir des dynamiques multi-acteurs qui se mobilisent autour de ces enjeux.
SAHA appuiera également les organismes et institutions pérennes dans leurs fonctions d’accompagnement des partenaires limitrophes en vue de faciliter l’accès des partenaires à des mécanismes pérennes d’appui et de financement qui leur permettront de remplir leur mission à long terme.
A travers le développement d’alliances stratégiquesavec d’autres partenaires régionaux et nationaux dans les domaines de la gouvernance locale et de l’économie rurale, le programme cherchera la multiplication des effets au niveau supérieur (communal, régional ou national) afin de toucher les enjeux régionaux ou nationaux.
Le programme poursuit ses contributions à l’évolution des conditions cadres à travers ces alliances stratégiques et la participation ciblée àdes plates-formes de dialogue des politiques sectorielles, afin de permettre aux partenaires limitrophes de réaliser favorablement leurs missions.
La phase IV investira de l’énergie et des moyens dans la capitalisation des expériences. Les « cibles » des produits de cette capitalisation sont d’une part les principaux acteurs du développement rural et de la décentralisation à Madagascar et d’autre part la Coopération Suisse (DDC/IC). Le processus de capitalisation intégrera davantage les échanges d’expériences. SAHA s’engagera également dans la diffusion des expériences ayant généré des effets multiplicateurs horizontaux.
Les principes de renforcement de la maitrise d’ouvrage, de démarches territoriale, d’alignement et coordination resteront au cœur de l ’action de SAHA. Il jouera un rôle de facilitateur et de mise en relation.
Les dimensions de bonne gouvernance, vulnérabilitéet genre restent des principes non négociables et sont intégrées transversalement dans les stratégies et approches opérationnelles.

Les objectifs globaux et les indicateurs du projet :

Nous entamerons dans un premier temps les objectifs que le Programme s’est fixé, pour ensuite voir les différents indicateurs qui pourront nous donner un aperçu sur le budget investi.

Objectifs

SAHA est un projet de développement rural, il est basé dans le monde rural surtout dans les communautés vulnérables. Comme tous les autres projets, SAHA a de nombreux objectifs qui consistent principalement à la réduction de la pauvreté par l’amélioration de la qualité de vie de la population rurale à Madagascar (des communaut és rurales).
Le renforcement des compétences des acteurs dans leurs dynamiques de développement, c’est-à-dire transférer ses compétences et connaissances aux différents acteurs assurant ainsi un développement pérenne, donne un « coup de pouce» aux communautés vulnérables.
Parmi ses objectifs principaux, SAHA veille à ne pa s suppléer d’éventuelles lacunes institutionnelles, mais renforce au contraire les organisations et institutions pérennes dans leurs fonctions respectives, notamment dans leurs responsabilités et relation avec les organisations locales de base et les communes.
En parallèle, SAHA promeut activement la coordination avec les autres partenaires techniques et financiers actifs dans les domaines de la gouvernance locale et de l’économie rurale, notamment sur les approches et principe d’intervention (développement équilibré, maîtrise d’ouvrage locale, co-financement, subsidiarité, etc.).
SAHA cherche à promouvoir la gestion des connaissan ces pour un meilleur fonctionnement de son mécanisme d’innovation et de partage de ses savoirs et ses expériences. La gestion des connaissances est une des valeurs clés à prendre en considération dans le programme donc SAHA s’engage à :
Développer un système d’information, d’échanges, decapitalisation et de partage d’expériences et de savoirs (visites, réunion,…) ;
Elaborer une stratégie de formation continue de son personnel et de ses partenaires ;
L’un des objectif principaux du SAHA est le développement de l’économie locale qui nécessite la collaboration et la concertation des différents acteurs des secteurs publics, des secteurs privés et la société civile pour mettre enplace les conditions cadres favorables à une croissance économique durable en vue d’une amélioration des conditions de vie des communautés rurales :
Améliorer les revenus des ménages par l’augmentatio de la production rurale, et la création d’emplois ruraux des filières économiques et sur des opportunités liées à la transformation et la commercialisation ;
Diminuer la vulnérabilité socio-économique à travers la redistribution de la croissance entre les pôles de développement et les zones et groupes sociaux vulnérables ;
Augmenter la capacité des ménages à affronter les isquesr par une meilleure gestion financière et productive et une amélioration de l’accès aux services financiers décentralisés ;
Valoriser d’une manière durable les ressources naturelles et les espaces d’accès communautaire comme source de diversification des systèmes de production locale.

Indicateurs

Auparavant, le programme SAHA répondait aux demandes de coopération des organisations paysannes. La coopération suisse a investi plus de 57millions CHF pour la réalisation des projets du programme SAHA, dont 16 126 072 CHF pour la phase I, 18 000 000 CHF pour la phase II, 14 400 000 CHF pour la phase III, et 9 445 800 CHF pour la phase IV.

ANALYSE DU PROJET

Dans cette seconde partie du travail, nous allons centrer l’analyse du projet sur le point de vue économique et sur le point de vue social, culturel et environnemental, pour ensuite dégager quelques recommandations vis-à-vis du Programme SAH A.

Analyse du point de vue économique

Les principaux résultats et effets du programme SAHA se mesurent sur 3 niveaux : les changements de comportements des partenaires directs, les changements au niveau des territoires et les effets au niveau de la population de base.

Les changements de comportements des partenaires directs

De manière globale, la majorité des partenaires directs font preuve de développement institutionnel plus performant et d’organisation/mode de fonctionnement interne plus efficace. Ils appliquent les principes de bonne gouvernance (clarification des rôles et responsabilités entre le bureau et les membres à la base, on consta tel’amélioration de la gestion administrative et financière,l’amélioration de l’information/communication et la participation de la base dans le processus de décision). Leur maîtrise d’ouvrage se traduit par l’auto responsabilisation dans la réalisation du plan d’actions et la gestion des activités. Outre ces changements, d’autres plus spécifiques par type de PALI sont notés :

Pour les Organisations Paysanne Faîtière à vocation économique:

Le développement de partenariat etl’amélioration des activités de production sont perçus mais les faiblesses résident dans la faible collaboration avec les opérateurs économiques et les institutions de micro finance et la recherche de marchés ;

Les Organisations Faîtière de la Société Civile Rurale :

Elles rencontrent des difficultés à assurer leur fonctionnement, affaiblissant ainsi leur action de lobby. Toutefois,leurs organisations de base membres au niveau localarrivent à prendre part au processus de décisions au niveaudes communes et ont pu réaliser des actions delobby autour des préoccupations des citoyens (foncier,sécurité, etc.).

Les communes et intercommunalités :

Elles ont délivré desservices administratifs plus fficaces, clarifié leur politiquede développement économique et ont réalisé desactionsd’envergure avec ses recettes propres. Mais lescommunes touchées n’arrivent pas encore à entraînerles communes voisines pour renverser la tendance enmatière de gouvernance et de décentralisation.
Pour les organisations faîtières à vocation économique Ce changement se caractérise par :
– L’amélioration des activités économiques
– Développement d’un système d’informations économiques internes (connaissance de la capacité de production/vente des membres, connaissances des acteurs de la filière) ;
– Amélioration de la production grâce à une organisat ion d’approvisionnement en intrants et à l’application de techniques améliorées ;
– Développement d’une stratégie de commercialisation(organisation de la vente, marketing des produits) ;
– Début de fourniture des services aux membres mais aspect encore à renforcer.
Quant aux communes, les changements spécifiques onttrait à :
– L’amélioration effective du service administratif communal (existence et valorisation d’un tableau d’affichage, élaboration d’un organigramme clair, rapidité de la délivrance des actes administratifs, mise en place de système d’accueil et de collecte de feedback, etc).
– L’amélioration du système de recouvrement fiscal (révision des assiettes fiscales, base et taux d’imposition, mise à jour des données sur les sources et activités imposables, sensibilisation des citoyens sur le devoir fiscal, dispositif de recouvrement fonctionne…)
– L’augmentation des recettes propres fiscales et non fiscales de la commune (impôts sur les propriétés bâties, ristournes et taxes divers, exploitation des ressources naturelles levée de fonds etc…)

Les effets au niveau des territoires

Les principaux effets obtenus au niveau des territoires sont assez significatifs : augmentation de la production et amélioration de la commercialisation ; disponibilité de services agricoles pérennes pour les paysans (foncière, micro finance,gestion des informations) ; amélioration des ressources propres des communes ; développementdes visions en commune, valorisation des autres potentialités économiques, développementd’échanges entre les communes, mise en œuvre de politique d’attraction de capitaux externe s et d’incitation à l’investissement.
L’approche territoriale du développement, base de la stratégie d’intervention du programme durant sa phase IV, se trouve actuellement au cœur des réflexions du gouvernement et des PTF dans la conduite du développement du pays. Il y a maintenant plusieurs autres institutions qui se réaffirment en tant que relai de l’accompagnement.

Les effets au niveau de la base

_ L’amélioration des conditions de vie des ménages : augmentation de revenu, augmentation de la production, amélioration de l’alimentation, augmentation de l’épargneet du réinvestissement, accès au financement, améliorationde l’accès aux services sociaux de base et aux services économiques;
_ La satisfaction par rapport aux services communaux : services administratifs, sociaux, économiques, création d’emplois locaux ;
_ Le renforcement socio organisationnel des groupements de base.
La revue externe des deux dernières phases du programme SAHA, qui a utilisé l’approche «beneficiary bassessment» proposé par la DDC a conclu que : « Lesvisites dans la région, les entretiens et les documents préparés par SAHA se complètent et vont dans le mêmesens : pour les acteurs (organisations et individus) directementimpliqués dans le programme les impacts sontmultiples et positifs. Le concept de la bonne gouvernance semble faire partie des acquis et les citoyens sont conscientsde ces bénéfices et lesforces vives se mobilisentpour prendre leur part de responsabilité dans le développement.
Malheureusement l’Etat tend à se retirer de plus en plus, compromettant ainsi la dissémination des acquis au-delà des zones bénéficiant du programme. L’insécurité et la crise politique compromettent aussi le succès du développement des filières agricoles. Il semble qu’au niveau local les paysans sont prêts à produire et ne sont pas àcourt d’idées mais le contexte du moment ralentit les motivations.
Par contre les données et les analyses ne sont pas assez focalisées sur les effets différenciés et il y a un risque qu’un développement à deux vitesses s’installe : au-delà de la zone du programme SAHA il y a peu d’évidences qui montreraient que les principes mis en pratique dans la zone sont appliqués en dehors de la zone. »
L’institutionnalisation visait à ce que les expériences du programme soient valorisées par les autres organisations de développement publiques ou privées, que certaines de ses approches soient prises en compte dans les politiques et stratégies sectorielles et que ses outils soient exploités dans la mise en œuvre des projets de développement.
En parallèle, l’ONG SAHA, fonctionnelle depuis le début de 2012, poursuit ses efforts de valorisation des acquis et pour étendre les expériences porteuses du programme SAHA au niveau national.
Une mise à l’échelle des expériences est effectivepour:
_ la pratique du processus budgétaire participatif comme outil de recevabilité au niveau du pays ;
_ la vulgarisation de l’igname au niveau du territoire national ;
_ la gestion foncière décentralisée faisant partieintégrante des compétences des communes et traitée comme un service communal à part entière.
D’autres points sont également à souligner au niveau thématique et au niveau opérationnel. Nous pourrons constater ces différents résultats eteffets du Programme SAHA dans les résultats empiriques du cas pratique lié à l’eau.

Changement au niveau thématique :

Les changements au niveau thématique comportent principalement :

L’intégration de la dimension économique etrenforcement de l’interaction entre les thématiques de la Gouvernance Locale et l’Economie Locale :

Le renforcement de la complémentarité et de la synergie des acteurs pour une vision de développement communal ou régional implique des interactions entre lespartenaires limitrophes à travers leur mise en réseau. Au niveau opérationnel, il s’agit de développer une démarche qui permet d’agir simultanément sur la « gouvernance locale » et « l’économie locale » en gardant les PALI comme centre de préoccupation du programme. L’appui à une organisation paysanne filière doit être accompagnéd’un partenariat avec les communes concernées par la filière pour améliorer les conditionscadres au développement de cette filièreet le partenariat avec une commune renforcé par le développement de reflexe économique.

La participation au dialogue des politiques :

Avec la Délégation d’Inter coopération et la Coopération Suisse, SAHA reste actif au niveau du dialogue des politiques notamment en matière de gouvernance et décentralisation, gestion des ressources naturelles et environnement, développement rural au sens large.

Les alliances stratégiques :

Des anciennes alliances ont été redynamisées commeavec AIM (Association inter coopération Madagascar) dans la mise en œuvre du pr ogramme
Territoire développement/conservation à Miandrivazo et la participation à la mise en œuvre
du Réseau des Observatoires ruraux. De nouvelles aliances ont été développées comme la mise en œuvre du programme Rural Structuré, ou le d éveloppement du « processus budgétaire participatif » avec la Banque Mondiale dans l’Anosy.

Au niveau opérationnel :

L’année 2007 a permis d’entrer en partenariat avec 68 partenaires limitrophes, essentiellement des communes et des Organisations Paysannes Faîtières à vocation économique. 30 contrats programmes ont été signés, 38 autres en cours de négociation et de planification. Des ateliers organisés sous l’égide de la région ont permis de écelerd les intérêts despartenaires stratégiquespar rapport à l’approche SAHA. Des discussions ont été initiées par SAHA pour clarifier les lignes de collaboration avec le Groupe de Travail pour le Développement Rural.

Cas Pratiques liées à l’eau

La consommation d’eau a nettement évolué car auparavant un ménage consommait en moyenne 60 litres d’eau par jour, elle est de 100 litres aujourd’hui. Ceci s’explique par le fait que le système mis en place est plus proche des villageois et leur permet de disposer d’une eau accessible à des horaires prédéfinis avec la population.
Avant le projet, les ménages utilisaient l’eau à la maison principalement pour l’alimentation et l’hygiène. Actuellement, d’autres usages sont observés comme la lessive, le petit élevage et les activités commerciales.

Avantages perçus par les bénéficiaires

Les avantages majeurs évoqués pour se connecter auréseau du service eau de la commune sont la proximité, l’aspect pratique de la collecte de l’eau, la disponibilité du service, le gain de temps et la potabilité de l’eau.
D’après les enquêtes, des avantages liés à l’amélioration de l’approvisionnement en eau sont constatés. Il est surtout question de la disponibilité de la ressource en eau et de la proximité des infrastructures car les puits se trouvent en moyenne à moins de 100 mètres des habitations.
Les ménages gagnent plus de temps pour se consacrer à d’autres activités. Ils passent maintenant moins de 10 minutes pour collecter l’eau contre 30 minutes auparavant. Depuis la mise en œuvre du projet les ménages stock ent de moins en moins l’eau.
95 % des ménages ne traitent pas l’eau qu’ils consomment. Sinon pour les 3 %, le sur ‘eau, un produit chloréest utilisé pour purifier l’eau.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION DU PROGRAMME « SAHA »
Chapitre 1 – DESCRIPTION DU PROGRAMME
Section 1- Pour la première phase :
Section 2- Pour sa seconde phase :
Section 3- La troisième phase :
1.1.3.1- Le changement du niveau d’intervention
1.1.3.2- Le changement de type de partenaires
1.1.3.3- Le changement des domaines d’intervention
1.1.3.4- Le changement de l’organisation interne
Section 4- Pour la quatrième phase :
Chapitre 2 – Les objectifs globaux et les indicateurs du projet :
Section 1 – Objectifs
Section 2- Indicateurs
Chapitre 3 – STRATEGIES
Chapitre 4 – CRITERES DE VALIDATION D’UNE DEMANDE DE PROJET
PARTIE II : ANALYSE DU PROJET
Chapitre 1 – Analyse du point de vue économique
Section 1 – Les changements de comportements des partenaires directs
2.1.1.1- Pour les Organisations Paysanne Faîtière à vocation économique :
2.1.1.2- Les Organisations Faîtière de la Société Civile Rurale :
2.1.1.3- Les communes et intercommunalités :
Section 2- Les effets au niveau des territoires
Section 3 – Les effets au niveau de la base
Section 4 – Changement au niveau thématique :
2.1.4.1-L’intégration de la dimension économique et renforcement de l’interaction entre les thématiques de la Gouvernance Locale et l’Economie Locale :
2.1.4.2- La participation au dialogue des politiques :
2.1.4.3- Les alliances stratégiques :
Section 5- Au niveau opérationnel :
Section 6 – Cas Pratiques liées à l’eau
2.1.6.1- Avantages perçus par les bénéficiaires
2.1.6.2- Hygiène et santé
2.1.6.3- Amélioration des conditions de vie et de revenu
2.1.6.4- Développement des activités économiques
2.1.6.5- Création d’emplois directs et amélioration du revenu
Chapitre 2 – Analyse du point de vue social, culturel et environnemental
Section 1- Au niveau des ménages et citoyens :
2.2.1.1- En ce qui concerne l’augmentation de la production et du revenu des ménages
2.2.1.2- En ce qui concerne la réduction de la vulnérabilité et le développement équilibré homme/femme
2.2.1.3- En ce qui concerne la citoyenneté
Section 2- Au niveau du territoire :
Section 3 – Au niveau des Partenaires Limitrophes :
2.2.3.1- Meilleur développement institutionnel
2.2.3.2- Approbation des principes de bonne gouvernance
Chapitre 3 – SYNTHESE
CONCLUSION

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