L’instabilité politique et ses déterminants en Afrique Centrale

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Définitions et caractéristiques des représentations sociales

Définir les représentations sociales

Une représentation sociale est tout d’abord une représentation (un savoir) qui est en plus social. C’est un concept transversal et interdisciplinaire situé entre l’interface du psychologique et du social, ce qui rend sa définition complexe (Moscovici, 1961). Plusieurs définitions ont été proposées par différents auteurs. Pour Moscovici, le père fondateur de la théorie des représentations sociales, c’est : « une manière d’interpréter le monde et de penser notre réalité quotidienne, une forme de pensée sociale que la personne construit plus ou moins consciemment à partir de ce qu’elle est, de ce qu’elle a été et de ce qu’elle projette et qui guide son comportement. Et corrélativement, la RS est l’activité mentale déployée par les individus et les groupes pour fixer leurs positions par rapport à des situations, événements, objets de communication qui les concerne » (Moscovici, 1989, p. 132). Pour Abric, c’est : « un ensemble organisé et hiérarchisé des jugements, des attitudes et des informations qu’un groupe social donné élabore à propos d’un objet ». Abric, (1996, p.11).
Selon Flament et Rouquette, (2003, p.13), les représentations sociales sont des formations cognitives socialement produites et par la suite différenciées. C’est « un ensemble de connaissances, d’attitudes et des croyances concernant un objet donné ». Elle comprend en effet des savoirs, des prises de position, des applications de valeurs, des prescriptions normatives. Autrement dit, plusieurs individus créent puis partagent des éléments d’un objet et s’y réfèrent dans une finalité tant symbolique (c’est-à-dire, interpréter et anticiper les événements du monde extérieur), que opératoire (adopter un ensemble de pratiques visant la « maîtrise » quotidienne de ce monde).
Jodelet propose de définir la représentation comme « une vision fonctionnelle du monde, qui permet à l’individu ou au groupe de donner un sens à ses conduites, et de comprendre la réalité, à travers son propre système de références, donc de s’y adapter, de s’y définir une place. C’est une forme de connaissance, socialement élaborée et partagée ayant une visée pratique et concourant à la construction d’une réalité commune à un ensemble social » (Jodelet, 1989 p.36).
Abric (1987, p. 64) précise que la RS est à la fois « le produit et le processus d’une activité mentale par laquelle un individu ou un groupe reconstitue le réel auquel il est confronté et lui attribue une signification spécifique ». L’auteur ajoute que la représentation fonctionne comme un système d’interprétation de la réalité qui régit les relations des individus à leur environnement physique et social, elle va déterminer leurs comportements ou leurs pratiques. La représentation est un guide pour l’action, elle oriente les actions et les relations sociales. C’est un système de pré-décodage de la réalité, car elle détermine un ensemble d’anticipations et d’attentes.
Moliner (2003, p.13) quant à lui, propose une définition selon quatre caractéristiques découlant de ces définitions : une représentation sociale est « un ensemble organisé d’éléments qui entretiennent entre eux des relations ; elle est partagée par les individus d’un même groupe ; elle est « collectivement produite à l’occasion d’un processus global de communication ». Cette production collective grâce aux échanges interindividuels et aux communications de masse « favorise l’émergence de consensus en même temps qu’elle confère une validité sociale aux diverses opinions, informations et croyances » ; enfin, elle est socialement utile car « c’est un système de compréhension et d’interprétation de l’environnement social » et intervient dans les relations intergroupes.
A partir de toutes ces idées, on peut proposer la définition globale de la représentation sociale comme étant une vision fonctionnelle du monde, un système sociocognitif d’interprétation de la réalité. C’est un ensemble organisé et structuré de cognitions (informations, croyances, opinions), liés par les relations, à propos d’un objet social donné et partagé par les membres d’un groupe donné.

Un objet de représentations sociales

Les représentations sociales en tant que connaissances que les individus ont à propos de leur environnement, se définissent en éléments se rapportant à un objet. Toutes les représentations ne sont pas nécessairement sociales et tout objet n’est pas forcément objet de représentation sociale. Selon Flament et Rouquette, pour qu’un objet soit un objet de représentation sociale, « deux conditions minimales doivent être réunies : la saillance sociocognitive de l’objet et les pratiques communes se rapportant à cet objet ».
– La saillance sociocognitive de l’objet doit être liée au caractère polymorphe et au statut de référence dans les communications. Les auteurs ajoutent que cet objet doit occuper un espace récurrent dans les communications, car il est le résultat d’un processus collectif. Il doit générer des interactions et « faire partie de la négociation permanente de la sociabilité. A travers les communications entre différents groupes, les interactions et leur intensité signent l’enjeu que peut avoir l’objet. En effet, un objet sans enjeu ne peut pas engendrer une dynamique sociale et animer des communications interindividuelles et intergroupes (Flament et Rouquette, 2003, p. 32-33). Pour Moliner, la saillance sociocognitive renvoi à la condition d’enjeu et de dynamique sociale (Moliner, 1996, 2002).
– Les pratiques communes se rapportant à l’objet et aux interactions entre les groupes comme condition pour qu’un objet soit un objet de représentation sociale dépendent de l’utilité sociale de l’objet, du niveau d’implication de chaque individu et de son groupe d’appartenance. Cette implication sera d’autant plus forte que l’objet de représentation présente un intérêt d’ordre social, une utilité et qu’il est capable de générer une dynamique sociale en relation avec lui, dans la population considérée.
Dans le cadre de notre recherche qui a pour objectif d’étudier les représentations sociales des risques chez les étudiants, nous pensons que ces deux conditions sont réunies pour que l’objet de notre étude soit un objet de RS. Nous abordons dans le point suivant les modèles théoriques qui ont principalement émergé à la suite des travaux de Moscovici (1961).

Modèles théoriques des représentations sociales

A la suite des travaux de Moscovici (1961), la théorie des représentations sociales a été enrichie à travers trois orientations théoriques principales dans l’étude des représentations sociales : le modèle sociogénétique ou approche socio-anthropologique, le modèle sociodynamique (Ecole Genevoise et principes organisateurs de prises de position) et le modèle structural et la théorie du noyau central (Ecole Aixoise). Sans pour autant ignorer l’importance du modèle sociogénétique dans l’étude des représentations sociales, nous ne présenterons que l’approche Genevoise des principes organisateurs (Doise, 1986 ; Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992 ; Doise et Palmonari, 1986) ainsi que la Théorie du Noyau Central (Abric, 1976, Flament, 1987).

L’approche socio-dynamique

La théorie des principes organisateurs développée par Doise et Palmonari (1986) et Palmonari et Doise (1986) postule que « l’étude des RS consiste essentiellement à dégager un savoir commun et déterminer les principes organisateurs de prises de position en étudiant notamment les processus d’objectivation et d’ancrage dans les RS ». (Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992). Pour Doise, la théorie des « principes organisateurs » constitue l’étude proprement dite des représentations sociales. Pour l’auteur, « les représentations sociales désignent des principes générateurs de prises de position qui sont liées à des insertions spécifiques dans un ensemble des rapports sociaux et organisant les processus symboliques intervenant dans ces rapports ». (Doise, 1986)
Doise et Palmonari (1986) proposent d’analyser les RS sous trois dimensions : les processus individuels se rapportant aux prises de positions individuelles ; les appartenances ou insertions diverses de l’individu et le soubassement commun à plusieurs individus qui conditionnent les prises de positions diversifiées des individus. Dans cette approche, on considère d’une part que la structure des rapports sociaux définit un ensemble de règles, de normes ou de valeurs qui opèrent ensuite des régulations dans le système cognitif des individus. De telle sorte que, en vertu du principe d’homologie structurale, les contenus et l’organisation d’une représentation sociale sont déterminés par la position que les individus occupent dans la société. Cela signifie qu’une représentation est structurée selon les principes organisateurs qui relèvent du méta système. Mais, d’autre part, on considère aussi que les représentations « organisent les processus symboliques intervenant dans les rapports sociaux » (Doise, 1990, p. 127), notamment les processus de communication. Les représentations se construisent donc en fonction des insertions sociales des individus et dans le même temps, elles modulent les rapports sociaux entre ces mêmes individus. Dans la théorie des RS, l’approche sociodynamique accorde une place importante au processus d’ancrage (Doise, 1992).
Ce processus, on l’a vu, permet l’intégration de la représentation et de son objet dans le système préexistant de pensée (Moscovici, 1961, Jodelet, 1984). L’ancrage permet ainsi d’incorporer un nouvel élément de savoir dans un réseau de catégories plus familières afin de rapidement le maîtriser (Doise, 1990). L’auteur explique que les individus vont mobiliser des cadres de référence qui leur sont familiers pour appréhender l’objet de représentation. La nouvelle information sera ancrée aux anciennes et permet de transformer l’inconnu à quelque chose de familier à ces individus. Ici, l’individu va intégrer quelque chose qui jusque-là lui était inconnu. Pour Doise, le processus d’ancrage comporte plusieurs aspects :
– « Le sens : l’objet représenté est investi d’une signification par le sujet et le groupe concerné par les représentations dont il fait partie. Ce processus traduit l’insertion sociale de l’individu
– L’utilité : les éléments de la représentation expriment non seulement des rapports sociaux, mais contribuent aussi à la création de ces rapports à une sorte de dialectique. De ce point de vue, l’ancrage donne aux éléments de la représentation une valeur de médiation entre l’individu et le monde qui l’entoure
– L’enracinement : la représentation prend place au sein d’un système de pensée ». (Doise, 1992, p. 192)
En développant la théorie, Doise distingue trois formes d’ancrage :
– L’ancrage psychologique qui correspond à l’imbrication des représentations dans des croyances d’ordre général auxquels les individus adhèrent plus ou moins. Dans ce cadre, les variations observées dans les représentations dépendent du niveau d’adhésion des individus à ces croyances. Ce sont les variations au niveau individuel et interindividuel
– L’ancrage sociologique qui correspond à l’insertion des représentations dans les groupes sociaux. Il s’agit du lien entre représentations sociales et appartenances ou positions sociales » (Doise, 1992, p. 189). On suppose alors que l’appartenance des individus à un même groupe implique des expériences et des intérêts relativement communs, et donc, des opinions et des croyances partagées. Les variations observées dans les représentations dépendent alors des insertions sociales des individus. Par exemple, la recherche de (Guimelli, 1988) sur la chasse, met en évidence de nombreuses différences selon l’âge des chasseurs interrogés. Les résultats montrent que des chasseurs les plus jeunes adoptent des pratiques différentes des chasseurs plus âgés : ces pratiques ont pour objectif une préservation du gibier sur les territoires de chasse. Pour ces chasseurs, cet objectif est important car il conditionne le futur. Ici l’appartenance à une classe d’âge rend donc certains objectifs saillants pour le groupe et détermine l’adoption de pratiques nouvelles, pratiques qui ont une incidence sur la représentation.
– L’ancrage psychosociologique : situé entre les deux ancrages précédents, celui-ci concerne l’imbrication des représentations dans les dynamiques sociales. Dans ce cadre, les variations observées dans les représentations dépendent à la fois des spécificités de groupes, mais aussi des divisions « positionnelles et catégorielles propres à un champ social donné » (Doise, 1992, p. 191). L’auteur explique que « ce type d’ancrage suppose que la représentation d’un objet dépend à la fois de la position du groupe vis-à-vis de cet objet (enjeux, intérêts, expérience, etc.), mais aussi des interactions de ce groupe avec d’autres groupes sociaux. Etudier l’ancrage psychosociologique des représentations revient donc à étudier « l’intervention des divisions et antagonismes entre groupes dans l’organisation des représentations sociales » (Doise, 1992, p.192).
Nous constatons donc que le mécanisme d’ancrage s’opère de façons différentes selon les groupes sociaux. La culture et les valeurs propres à chaque groupe font qu’un objet social ne sera pas intégré de la même façon et qu’au final, il prendra une forme spécifique à ce groupe. Cela amène à considérer les représentations sociales sous l’angle des positions sociales. Les travaux du courant sociodynamique ont largement développé l’utilisation des méthodes factorielles pour rendre compte de ces phénomènes d’ancrage (Doise, Clémence et Lorenzi-Cioldi, 1992).

L’approche structurale ou Théorie du noyau central

L’approche structurale des RS est une approche théorique développée par l’école aixoise et qui s’est particulièrement focalisée sur l’étude de l’organisation interne des représentations sociales (Abric, 1976, 1994a ; Flament, 1987, 1994a). Dans ce champ d’étude, une multitude de résultats empiriques utilisant une large variété de méthodes attestent de l’existence de deux catégories d’éléments jouant des rôles différents dans le champ représentationnel : les éléments centraux et les éléments périphériques (Abric, 1984, 2003 ; Flament, 1999 ; Guimelli, 1988 ; Moliner, 1992). Chacune de ces recherches a participé à valider la théorie du Noyau central des représentations sociales selon laquelle toute représentation sociale est constituée de deux entités distinctes et complémentaires. Cette théorie s’appuie sur le fait qu’une représentation sociale « est une manifestation de la pensée sociale et que, dans toute pensée sociale, un certain nombre de croyances collectivement engendrées et historiquement déterminées, ne peuvent être remises en question car elles sont le fondement des modes de vie et qu’elles organisent l’identité et la pérennité d’un groupe social ». (Abric, 1994, p. 83).
Abric propose dès 1976 la théorie du noyau central selon laquelle « une représentation sociale est un ensemble organisé et structuré d’informations, de croyances, d’opinions et d’attitudes, elle constitue un système sociocognitif particulier composé de deux sous-systèmes en interaction : un système central (ou noyau central) et un système périphérique » (Abric, 2001, p. 82). Le noyau central, ayant une origine essentiellement sociale « liée aux conditions historiques et sociologiques », il est directement associé aux valeurs et aux normes. Mais le système périphérique est déterminé « de façon plus individualisée et contextualisée, et permet une adaptation, une différenciation en fonction du vécu, une intégration des expériences quotidiennes ». Cette double organisation fait que les représentations sociales sont à la fois « stables et mouvantes, rigides et souples » (Abric, 1994, p. 28-29).
Abric (1987, 1994) considère qu’une représentation sociale est un ensemble organisé et structuré d’éléments. L’auteur précise que « l’analyse d’une représentation, la compréhension de son fonctionnement nécessite donc un double repérage : celui de son contenu (informations, opinions, croyances, attitudes…) et celui de sa structure ». (Abric, 1994, p.19).
Dans ses travaux sur l’approche structurale des représentations sociales, Abric montre que les éléments constitutifs d’une représentation sont hiérarchisés, affectés d’une pondération, et ils entretiennent entre eux des relations qui en déterminent la signification et la place qu’ils occupent dans le système représentationnel. L’organisation d’une représentation présente une modalité particulière, spécifique : non seulement les éléments de la représentation sont hiérarchisés, mais aussi toute représentation est organisée autour d’un noyau central, constitué d’un ou quelques éléments qui génèrent la signification de la représentation et déterminent son organisation (Abric, 1994)
Pour Abric, toute représentation est ainsi organisée autour d’un noyau central qui est l’élément fondamental de la représentation, car c’est lui qui détermine à la fois la signification et l’organisation de la représentation. L’auteur appelle « élément central tout élément qui joue un rôle privilégié dans la représentation en ce sens que les autres éléments en dépendent directement car, c’est par rapport à lui que se définissent leur poids et leur valeur pour le sujet » (Abric, 1987, p.65). C’est en faisant référence aux éléments centraux que le reste du contenu de la représentation est défini et évalué. Abric ajoute que « cette partie centrale de la représentation est stable, partagée par tous les individus d’un même groupe et que c’est à partir de cet élément que les membres du groupe reconnaissent l’objet de la représentation ».
Le noyau central est composé d’éléments considérés comme les plus importants de la représentation et il se caractérise par une extrême stabilité, il assure la permanence et la pérennité de la représentation. Cette stabilité protège l’univers cognitif du sujet de profonds bouleversements intervenant lorsque son environnement physique ou social vient mettre en cause sa façon de penser. Pour Abric (1994), le noyau central constitue la base commune collectivement partagée de la représentation. Selon Moscovici « le NC est un lieu de consensus, il est non discutable, non négociable à l’intérieur du groupe » (Moscovici, 1993).
Pour Abric, les éléments constitutifs du noyau central sont solidaires et l’absence ou la disparition de l’un d’eux provoquerait la destruction de la représentation sociale et lui donnerait une autre nature ou une autre signification (Abric, op.cit, p.215). Dans ses travaux sur l’approche structurale des représentations sociales, Abric (2003) insiste sur le fait que « les éléments centraux, indispensables à la reconnaissance de l’objet sont non-négociables et qu’ils sont liés à l’objet de représentation, quelle que soit la situation concrète à laquelle les individus sont confrontés ». Cela veut dire que deux groupes d’individus, même en ayant des éléments communs, il suffit d’un seul élément central non commun pour que l’on conclut à deux RS différentes.

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Table des matières

Introduction
PREMIERE PARTIE : CONSIDERATIONS THEORIQUES, PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES
1. LATHEORIE DES REPRESENTATIONS SOCIALES
1.1 Historique du concept de représentation sociale
1.2. Définitions et caractéristiques des représentations sociales
1.2.1. Définir les représentations sociales
1.2.2. Un objet de représentations sociales
1.3. Modèles théoriques des représentations sociales
1.3.1. L’approche socio-dynamique
1.3.2. L’approche structurale ou Théorie du noyau central
1.4. Les fonctions de représentations sociales
1.5. Représentations sociales et pratiques sociales
1.5.1. Interactions entre représentations et pratiques
1.5.2. Les pratiques sociales, facteurs de transformation des représentations sociales
1.6. Normes et représentations sociales
1.6.1. La théorie de la conditionnalité
2. CONSIDERATIONS GENERALES SUR LE RISQUE
2.1. Définition du risque
2.2. Le risque en tant que réalité représentée
3. GEOPOLITIQUE D’AFRIQUE CENTRALE, SOURCE D’INSTABILITE PERMANENTE
3.1. Présentation générale de l’Afrique Centrale
3.2. Situation sécuritaire dans la région de l’Afrique Centrale
3.2.1. Bref aperçu des coups d’Etat en Afrique Centrale
3.2.2. L’insécurité dans le bassin du Tchad
3.2.3. La Région des grands lacs
3.2.4. L’historique de l’insécurité en RDC
3.2.5. Le Golfe du Guinée
3.2.6. Contextes de développement, d’environnement politique et des relations entre Etats en Afriq
3.3. L’instabilité politique et ses déterminants en Afrique Centrale
3.3.1. Absence de démocratie
3.3.2. Mauvaise gouvernance et corruption
3.3.3. Conditions macro-économiques défavorables
3.3.4. La fragmentation ethnolinguistique et religieuse
3.4. Relation entre les Etats comme facteur de sous-développement de la sous-région
3.5. Croissance démographique et insécurité en Afrique Centrale
3.6. Situation des réfugiés en Afrique Centrale
3.7. Risques identifiés en Afrique Centrale
3.8. Contexte universitaire en Afrique Centrale
3.9. Les étudiants d’Afrique Centrale en France
4. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES
4.1. Problématique
4.2. Hypothèses
DEUXIEME PARTIE : METHODOLOGIE
1. POPULATION D’ETUDE
1.1 La phase exploratoire
2. LES OUTILS DE L’ENQUETE FINALE
2.1. La méthode des associations libres
2.2. Le questionnaire de caractérisation
3. STRATEGIES D’ANALYSES
3.1. Le logiciel EVOC
3.2. Analyse du questionnaire de caractérisation : l’Algèbre de Boole
TROISIEME PARTIE : RESULTATS
1. PRESENTATION GENERALE : RAPPEL
1.1. Données sociodémographiques
2. ANALYSE DES DONNEES DES ETUDIANTS AYANT L’INTENTION DE S’INSTALLER EN FRANCE (EPF POUR « ETUDIA
2.1. Les associations libres des risques en France pour les EPF
2.1.1. Les risques personnels en France pour le EPF
2.1.2. Les risques naturels en France pour les EPF
2.2. Le questionnaire de caractérisation
2.2.1. Les risques en France pour les EPF
2.2.2. Les risques en Afrique Centrale pour les EPF
2.3. Les associations libres des risques en Afrique Centrale pour les EPF
2.3.1.Les risques personnels en Afrique centrale pour les EPF
2.3.2. Les risques naturels en Afrique Centrale pour les EPF
3. ANALYSE DES DONNEES DES ETUDIANTS AYANT L’INTENTION DE RETOURNER DANS LEURS PAYS (EPA POUR « ET
3.1 Les associations libres des risques en France pour les EPA
3.1.1. Les risques personnels en France pour les EPA
3.1.2. Les risques naturels en France pour les EPA
3.2. Le questionnaire de caractérisation
3.2.1. Les risques en France pour les EPA
3.2.2. Les risques en Afrique Centrale pour les EPA
3.3. Les associations libres des risques en Afrique Centrale pour les EPA
3.3.1. Les risques personnels en Afrique Centrale pour les EPA
3.3.2. Les risques naturels en Afrique Centrale pour les EPA
4. COMPARAISON DES DEUX GROUPES AVEC LE DIAGRAMME DE KENDALL (CARACTERISATION)
4.1. Les risques en France
4.2. Les risques en Afrique Centrale
5. RESULTATS AVEC L’ALGEBRE DE BOOLE
5.1. Compensations du groupe ayant l’intention de s’installer en France (EPF)
5.1.1. Illustration des risques en Afrique Centrale et analyses booléennes
5.1.2. Illustration des risques en France et analyses booléennes
5.2. Compensations du groupe ayant l’intention de retourner dans leurs pays (EPA)
5.2.1. Illustration des risques en France et analyses booléennes
5.2.2. Illustration des risques en Afrique Centrale et analyses booléennes
QUATRIEME PARTIE : DISCUSSION ET CONCLUSION
1. RS ET RISQUES CHEZ LES EPF
2. RS ET RISQUES CHEZ LES EPA
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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