L’insertion des femmes sur le marché du travail 

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Dynamique démographique, pauvreté et emploi

La démographie de Madagascar qui détermine le marché du travail est caractérisée par la jeunesse de la population, à dominante rurale ; cependant, cette population est pauvre puisque le taux de pauvreté en milieu rural où se trouve 85% de la population totale est passé de 74,5 % à 76 % de 1993 à 1999. Le poids des jeunes est asse z important dans le secteur informel, avec 27 % des actifs de moins de 25 ans et un niveau d’étude moyen de 6,4 ans ; ce qui explique l’état alarmant de la situation des jeunes dans la dynamique de la population face à l’emploi. Annuellement, environ 60 000 jeunes avec un niveau de qualification très bas arrivent sur le marché de l’emploi. Les carences du système d’éducation et de formation se manifestent de manière exacerbée sur les jeunes primo-demandeurs qui ont souvent un profil inadapté par rapport aux emplois existants, notamment dans le secteur moderne. La population en âge de travailler représente 66,5 environ de la population total du pays et dont l’âge moyen est de 21 ans. Sur l’ensem ble du territoire, l’on constate une répartition inégale de cette population en âge de travailler ( 28 % pour Antananarvo et 8 % pour Antsiranana ).
L’insertion sur le marché du travail à Madagascar est très précoce surtout en milieu rural. Ce phénomène a été observé depuis plusieurs années sdanle secteur informel par le fait que ce secteur a joué un rôle non négligeable dans l’absorption de la main d’œuvre excédentaire correspondant souvent aux actifs jeunes obligés d’accepter un travail peu productif dans une logique de survie. Dans le secteur artisanal, l’insertion des jeunes dans le monde actif s’opère de plus en plus précocement dans les travaux agricoleset d’élevage en milieu rural.

La situation des jeunes sur le marché du travail est donc devenue de plus en plus préoccupante, car les jeunes sont les plus exposésau chômage, au sous-emploi et aux emplois de qualité inférieure. Plusieurs raisons expliquent lephénomène dont les limitations de l’accès au système éducatif devenant de sérieux obstacles à l’accès à l’emploi, et rejetant la plupart des non instruits dans le secteur informel où la sécurité tela stabilité de l’emploi sont aléatoires, les MPE, plus exigeantes en matière de qualification et réclamant un minimum de moyens financiers, pratiquement inaccessibles aux jeunes, les PME et les grandes entreprises n’offrant pas aux chômeurs diplômés un emploi équivalent à le ur qualification, et étant contraints d’accepter des postes parfois très en dessous de leur qualification.
La corrélation entre le chômage et l’instruction donne ainsi des tendances différentes selon le niveau ; en effet, les personnes sans instruction se situent dans une moyenne de moins de 3 % . Le primaire se stabilise autour de 5 % les universitaires culminent jusqu’à plus de 9 % en 2001.
Enfin la situation du chômage et le sous-emploi de s jeunes met en lumière le principal enjeu économique face auquel la stratégie de l’emploi pose son objectif de circonscrire le risque structurel et social pouvant être engendré par l’ampleur du défi.

Groupes sociaux sensibles et monde du travail

Les catégories de groupes sociaux sensibles composées des femmes, des personnes handicapées, des jeunes non qualifiés, des chômeursdiplômés et des déflatés des entreprises publiques ne constituent pas un ensemble isolé maisrassemblent une frange majoritaire de la population malgache. Leur situation est leurs problématiques peuvent être synthétisées par catégorie de la manière suivante .

Les femmes

Les femmes constituant de 50,7 % de la population en 2001, sont confrontées au fait de la faible prise en compte de l’aspect genre. Malgré la souscription de Madagascar à la convention contre la discrimination dans le travail, les femmes en sont toujours les victimes. Mêmes si, sur certains plans, les femmes malgachessemblent rattraper les écarts, les disparités observées en matière de revenus, de rémunération d’accèset à l’emploi restent considérables.
Malgré une faible présence dans le domaine de formation professionnelle, la tendance par rapport à l’éducation de manière générale est l’équilibreà. Cependant, il reste toujours, pour 47 % de malgaches qui sont analphabètes, 56 ;6 % de femmes contre 47,7 % d’hommes. La participation des femmes dans tous les secteurs d’activités reste nettement insuffisante. En terme de revenu, il est toujours constaté qu’à travail égal et à compétence égale, elles sont toujours défavoriséesLa. discrimination est encore plus flagrante dans les fonctions électives, politiques et dans les instances de prise de décision.

Les chômeurs diplômés

Le système éducatif et le marché du travail n’ontpas atteint l’adéquation nécessaire pour résoudre le problème du chômage. Parmi les chômeurs, moins de 10 % du total ont atteint l’étude supérieure. Les chômeurs instruits de tous les niveaux sont les plus touchés par le chômage avec les ex-salariés qui ont perdu leurs emplois ( 83,3 % ). Les non instruits recensés comme chômeurs ne représentent que 2,3 %.

Les jeunes non qualifiés

L’inadéquation entre la formation et l’emploi reste valable dans le cas des jeunes non qualifiés, sans compter que l’évolution technologique qui les rend encore plus vulnérables dans un contexte de mondialisation creuse de plus en plus le fossé entre une faible qualification et les offres potentielles d’emplois.
Si le problème de la demande se pose de la même manière par son étroitesse, celui des jeunes demeure mais d’une façon différente : leur situation semble plus aiguë du fait qu’ils sont plus sensibles aux effets de la pauvreté. D’un côté, ils sont victimes d’un système éducatif non adapté au marché, de l’autre, il ne semble pas y avoir de signe manifestant des préoccupation à leur égard.

Les personnes handicapées

L’état de pauvreté de la population malgache accentue davantage la vulnérabilité des handicapés ; leur intégration dans la vie économique et professionnelle demeure problématique. Madagascar compte entre 7,5 % à 10 % de personnes h andicapées. Les conventions internationales et les lois existent pour leur cas, mais la discrimination à leur égard est d’autant plus oppressante, faute de volonté politique en leur faveur.

Les déflatés des entreprises publiques et rivéesp

La situation post-crise n’a fait que mettre en évidence les faiblesses des mesures prises pour pallier les effets des licenciements. Le plan de réinsertion professionnelle qui est destiné aux déflatés, ne règle que de manière partielle, etles risques d’exclusion professionnelle pèsent encore sur les employés des entreprises qui devrontpasser par le processus de privatisation. Les déflatés sont classés dans la catégorie des groupessensibles, dans la mesure où ils sont dans une situation à laquelle ils ne sont pas préparés. Le secteur informel reste souvent la seule voie de sortie possible pour ce groupe.
Après avoir déterminer les enjeux sur la promotionde l’emploi, on analyser maintenant les éléments descriptifs de l’emploi.

Les éléments descriptifs de l’emploi

L’élément descriptif fondamental de l’emploi réside sans nul doute dans la description de la généralité sur le taux d’activité de la populationMais. en dehors de cet élément essentiel, il en existe d’autres qu’on classera en trois catégories à savoir: le chômage et le sous emploi, le marché du travail et les autres éléments descriptifs. Nousles envisagerons donc dans les quatre paragraphes suivants.

Généralité sur le taux d’activité

Nous allons commencer par un bref aperçu sur la po pulation active, vient ensuite l’insertion des femmes, et l’insertion des enfants sur le marché du travail.

La population active

Parmi les 12.189.000 individus en âge de travaille r, on dénombre 8.108.000 actifs soit 66,5 % de la population sont actives sur l’ensemble du pays. Ce taux est en légère baisse par rapport aux résultats de l’EPM 1999 ayant fournis un taux de 67,7 %. Si on répartit ce taux par province, on constate que Toliara a un taux d’activité très élevé (avec 73,7 % ), suivi de Mahajanga ( 70,5 % ), de Toamasina ( 68,4 % ), d’Antsiranana ( 67,4 %), de Fianarantsoa ( 65,7 % ). Par contre, Antananarivo présente une insertion le moins important, le taux d’activité est estimé à un peu moins de 62 %.

En effectuant une analyse selon le milieu de résidence, l’insertion sur le marché du travail est plus important en milieu rural qu’en milieu urbain. Le taux d’activité passe de 70 % à un peu moins de 55 %. Cette insertion augmente peu à peu a vec la tranche d’âge pour atteindre son niveau maximum chez les individus de 40 à 44 ans ( + de 93 % ). Ensuite, il diminue chez les 80 ans et plus, le taux n’est plus que de 31 %. L’évolution de ce taux suit aussi la même tendance en fonction de l’âge tant en milieu urbain qu’en milieu rural. Parfois, ce taux est toujours inférieur en milieu urbain par rapport au milieu rural pour une tranche d’âge donnée.
L’âge moyen de la population active est de 31,6 an s et plus de 85 % des actifs sont âgés de 15 à 64 ans. En général, les femmes actives sont plus jeunes que les hommes actifs. L’âge moyen des femmes est de 31 ans contre 32,2 ans pour les hommes. Les actifs sont plus jeunes en milieu rural. L’âge moyen y est de 31 ans alors que dans l a capitale, il est de 36 ans et que plus de 97 % sont dans la tranche d’âge de 15 à 64 ans.

L’insertion des femmes sur le marché du travail

Les femmes se sont insérées sur le marché du travail moins que les hommes. Le taux d’activité chez les femmes est de 62 % alors que chez les hommes, il atteint plus de 68 %. Aussi, plus de 55 % des inactifs sur l’ensemble du pays sont des femmes. De plus, l’entrée des femmes dans le monde du travail se fait tardivement par rapport aux hommes. Elle est moins fréquente en milieu urbain qu’en milieu rural. Moins de 41 % des femmes urbaines exercent un emploi tandis qu’en milieu rural, elles représentent 68 % des femmes potentiellement actives. En se référant au tableau 2, on constate que les tuléariennes sont les plus motivées à travailler, suivi des femmes de la province de Mahajanga. Tandis qu’à Antananarivo, le taux d’activité des femmes est le plus faible.

L’insertion des enfants sur le marché du travail

Plus de 11 % des actifs sont des enfants de moins de 15 ans. La proportion est aussi bien la même chez les filles que chez les garçons. L’insertion des enfants dans le monde professionnel est plus important en milieu rural où près de 13 % des actifs ont moins de 15 ans. Tandis que dans la capitale, ce phénomène est rare. Cette proportion ne dépasse pas 1 %.
D’après l’EPM 2001, c’est chez les ménages pauvres où on rencontre le plus souvent des enfants qui veulent exercer un emploi. Les enfants de moins de 15 ans représentent plus de 29 % des actifs chez les plus pauvres. Cette proportion diminue au fur et à mesure que le niveau de vie du ménage augmente. Elle n’est plus que moins de 3 % chez les ménages riches.

Le chômage et le sous-emploi

Le chômage

Au sens du BIT, un chômeur est un actif dépourvu d’emploi au cours d’une période de référence courte, à la recherche active du travail et disponible à exercer un emploi dans un délai relativement court. L’EPM 2001 a adoptée une période de sept jours précédent l’interview.
En 2001, on a estimé 293.700 chômeurs à Madagascar et le taux de chômage se trouve à 3,6% .comparées au chiffre obtenu en 1999, on a enregistré une hausse de 0,6 points au cours de la période 1999-2001. le chômage est essentiellement urbain. Il est presque négligeable en milieu rural où le taux ne dépasse pas 2,5 %.par contre, en milieu urbain, surtout dans la capitale et dans les AGCU, on a enregistré des taux assez élevés ( respectivement de 12,8 % et de 14 % ). La province d’Antananarivo est caractérisée par un taux de chômage élevé atteignant près de 6,5 %, suivi de la province de Toamasina, d’Antsiranana, de Toliara et de Fianarantsoa. De l’autre côté, c’est dans la province de Mahajanga où le chômage est le plus rar e avec un taux très faible de 1,2 %.
En analysant selon le niveau d’instruction, les résultat issu de l’enquête révèlent que plus le niveau d’instruction est élevé, plus le taux de chômage est élevé. Il se situe à 2,3 % chez les non-instruits et atteint plus de 9,2 % chez les universitaires. Ces derniers se permettent de ne pas exercer des emplois qui ne conviennent pas à leur niveau d’ études.

Les résultats font ressortir aussi que les femmes sont les plus touchées par le chômage que les hommes, plus de 4,3 % des femmes se déclarent chômeuses alors que les hommes, ils ne sont que de 3 %. Dans l’ensemble des chômeurs, plus de 5 7 % sont des femmes. Et c’est dans la province de Toamasina, d’Antsiranana, d’Antananariv o que cette prédominance des femmes chômeurs est la plus remarquée. Elles y représenten plus de 60 % de l’ensemble des chômeurs.
L’âge est aussi un facteur déterminant du chômage, les jeunes moins de 25 ans sont les plus touchés. Le taux de chômage dépasse 5 % pour cette tranche d’âge. Ce taux diminue avec l’âge jusqu’à atteindre un niveau minimum chez les actifs de 45 à 49 ans. Puis, il augmente peu à peu. L’âge moyen des chômeurs est de 26,6 ans. Les femme s chômeurs sont plus âgées avec un âge moyen de 29 ans alors que chez les hommes, il est de 23,2 ans.

Le sous-emploi

La notion de sous-emploi est introduite pour compléter notre analyse afin de mieux cerner l’inadéquation entre l’offre et la demande de travail. Un actif est qualifié de sous-employé s’il n’est pas satisfait de son emploi actuel, et cherche d’autres emploi ou d’autres conditions de travail, et se montre disponible à exercer un autre emploi. Cette notion englobe toutes les formes d’utilisation non optimale du facteur travail dans le processus de production. Dans les dernières recommandations du BIT, deux formes de sous-emploi ont été retenues : le sous emploi liée à la durée du travail et les autres formes de sous-emploi.
La première désigne l’insuffisance des temps de travail effectué au cours de la production et pendant une durée assez courte. Dans notre analyse,l’EPM 2001 a fixée le seuil de temps normal de travail à 35 heures par semaine. Ainsi, un salarié est concerné par cette forme de sous-emploi s’il est pourvu d’un emploi et travaille habituellement moins de 35 heures par semaine. Le taux de cette forme de sous-emploi est donc la proportion des salariés sous-employés dans l’ensemble des salariés. En 2001, ce taux est estimé à 22 % à Madagascar. Le secteur privé formel est le moins affecté par le phénomène. Il y est de 14 %, alors ueq dans les autres secteurs (y compris le secteur public ), il est de 26 %. Cette forme de sous-emploi frappe surtout le milieu rural car plus de 24 % des salariés y sont concernés. Tandis que dans la apitalec et dans le GCU, ce taux n’a pas dépassé 20 %.

Les autres formes de sous-emploi englobe la faible productivité du travail due à diverses raisons telles que l’inadéquation formation-emploi, faiblesse de la rémunération du travail, mauvaises conditions de travail, …. Dans notre anal yse, un salarié est concerné par cela s’il gagne moins du SMIG en vigueur soit 172.000 Fmg par mois. Le taux des autres formes de sous-emploi est la proportion des salariés concernés dans l’ensemble des salariés. A Madagascar, ce taux est de 34 % sur l’ensemble du pays. Les autres formes de sous-emploi sont plus fréquentes dans le secteur informel et les ONGs. Plus de moitié des salariés ysont victimes. Dans le secteur public, ce phénomène est relativement rare (moins de 8 % ).c’est toujours le milieu rural qui sont le plus touché avec un taux de plus de 41 %. Tandis qu’en milieu urbain, ce phénomène est moins grave.

Le marché du travail

Le marché du travail est un concept économique. Ilmet en relation ceux qui offrent leur travail et ceux qui demande ce service qu’est le travail ( facteur de production pour les entreprises ). Sur ce marché, la confrontation offre et demande conduit à déterminer deux grandeurs que nous allons voir par la suite : le niveau de l’emploi et le salaire. Faute des données sur le niveau d’emploi, nous allons traiter les structures des emplois à sa place.

Les structures des emplois

Sur l’ensemble du pays, 75 % des emplois créés en2001 sont dans la branche primaire. A part les activités agricoles, les autres activitésles plus exercées à Madagascar sont les activités commerciales ( 6 % ), les emplois dans l’administration publique ( 2,6 % ),les activités dans l’industrie textile ( 2,4 % ), et les autres industries ( 2,7 % ), les activités dans les industries alimentaires, les BTP, le transport, la santé privée et l’éducation privée sont en proportion faible.
Mais ces structures changent d’ un milieu à un aut res si on se réfère au tableau 3. En milieu rural, les activités agricoles représentent plus de84 % des emplois. Par contre dans le milieu urbain, le poids des activités agricoles diminue considérablement. Il se trouve à moins de 23 % dans les AGCU et moins de 6 % dans la capitale. En revanche, les activités dans les industries alimentaires, dans l’administration publique et dans le transport et autres services sont très développés dans les GCU.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : LES PROBLEMATIQUES DE L’EMPLOI A MADAGASCAR
CHAPITRE I : LES FACTEURS DETERMINANTS DE L’EMPLOI
Section 1 : Les enjeux sur la promotion de l’emploi
1.1 : Contexte économique, croissance et emploi
1.2 : Dynamique démographique, pauvreté et emploi
1.3 : Groupes sociaux sensibles et monde du travail
1.3.1 : Les femmes
1.3.2 : Les chômeurs diplômés
1.3.3 : Les jeunes non qualifiés
1.3.4 : Les personnes handicapées
1.3.5 : Les « déflatés » des entreprises publiques et privées
Section 2 : les éléments descriptifs de l’emploi
2.1: Généralité sur le taux d’activité
2.1.1 : La population active
2.1.2 : L’insertion des femmes sur le marché du travail
2.1.3 :L’insertion des enfants sur le marché du travail
2.2 : Le chômage et le sous-emploi
2.2.1 : Le chômage
2.2.2 : Le sous-emploi
2.3 : le marché du travail
2.3.1 :Structures des emplois
2.3.2 : Revenus salariaux
2.4 : Les autres situations de l’emploi
2.4.1 : Les activités féminines
2.4.2 : Le travail des enfants
2.4.3 : La pluri-activité
CHAPITRE II : LES TENDANCES GLOBALES DE L’EMPLOI
Section 1 : l’état du marché du travail
1.1 : Emploi rural
1.1.1 : Situation actuelle
1.1.2 : Problématique et enjeu
1.2 : Emploi moderne
1.2.1 : Situation actuelle
1.2.2 : Problématiques et enjeu
1.3 : Emploi informel
1.3.1 : Situation actuelle
1.3.2 : Problématiques et enjeu
1.4 : Emploi temporaire
1.4.1 : Situation actuelle
1.4.2 : Problématiques et enjeu
Section 2 : la valorisation des ressources humaines
2.1 : problématiques au niveau des politiques traditionnellement mises en œuvres
2.1.1 : les caractéristiques principales
2.1.2 : conséquences
a ) marché de l’emploi peu actif
b ) perspectives de l’emploi peu optimistes
2.2 : problématiques au niveau de la formation
2.2.1 : inadéquation entre formation et emploi
2.2.2 : un système de formation peu performant et inadapté à l’évolution socio-économique
2.3 : des services centraux et provinciaux de l’emploi non opérationnels
PARTIE II : LA POLITIQUE NATIONALE DE L’EMPLOI(PNE)
CHAPITRE I : APROCHE GLOBALE DE LA PNE
Section 1 : Cadre général
1.1 : Le défi
1.2 : L’objectif plein-emploi
1.3 : Principes généraux
1.4 : Cadre général de la promotion de l’emploi et de réduction de la pauvreté
1.4.1 : DSRP, un cadre de référence
1.4.2 : Lignes générales de politique gouvernementale
Section 2 : les objectifs prioritaires
2.1 : Favoriser un environnement propice à la croissance, à l’investissement et à l’emploi
2.2 : Appuyer le secteur privé, principal acteur de la réduction du chômage
2.3 : Améliorer l’accès pour les travailleurs du secteur informel et du secteur rural à l’éducation et à la formation professionnelle en vue d’une meilleure productivité
2.4 : Promouvoir des activités rémunératrices et génératrices d’emploi
2.5 : Faciliter l’accès des groupes sociaux sensibles au marché de l’emploi
CHAPITRE II : LES AXES D’INTERVENTIONS PRIORITAIRES
Section 1 : vecteurs de l’emploi, valorisation de l’innovation technologique et espace de développement
1.1 : Education et formation professionnelle
1.2 : Système d’information sur l’emploi
1.3 : Valorisation des compétences et du potentiel technologique local
1.4 : Décentralisation et emploi
Section 2 : Système d’accès au développement des investissements et aux ressources productives pour la création d’emploi
2.1 : Développement des entreprises modernes et des unités industrielles
2.2 : L’approche HIMO dans le développement de l’emploi
2.3 : L’importance de la MPE en matière de la création d’emploi
2.4 : Le développement rural, passage obligé de tout développement
2.5 : Des dispositifs de financement renforcés et rénovés
Section 3 : Environnement législatif, institutionnel, organisationnel et social de l’emploi
3.1 : La modernisation du Droit des affaires et l’élaboration du code rural
3.1.1 : Ce qui concerne le Droit des affaires
3.1.2 : Ce qui concerne le code rural
3.2 : Le dialogue social, incontournable pour la réussite de la politique nationale de l’emploi40
3.3 : L’indispensable amélioration du cadre social du travail
3.4 : L’instauration de nouveaux dispositifs de protection sociale en direction des groupes les plus vulnérables
3.5 : La lutte contre le travail des enfants
CHAPITRE III : QUELQUES SUGGESTIONS
Section 1 : Concernant les instruments d’action
1.1 : Les politiques dites passives du marché du travail
1.1.1 : L’indemnisation des chômeurs
a) Le régime d’assurance contre le risque de chômage
b) Le régime d’assistance aux chômeurs
c) Les indemnités de licenciement
d) Autres
1.1.2 : La réduction de la population active
a) L’action sur la population immigrée
b) Les cessations anticipées d’activité
1.2 : Les politiques dites actives du marché du travail
1.2.1 : Les subventions à l’emploi
1.2.2 : La politique de formation ou de recyclage
1.2.3 : Appui au développement des micro-entreprises
1.3 : La régulation du marché de travail
Section 2 : Concernant les problèmes de l’emploi liés au sous-développement économique
2.1 : Politique des investissements et des revenus
2.2 : Promotion de l’emploi industriel
2.3 : Promotion de l’emploi rural
CONCLUSION
ANNEXE
BIBLIOGRAPHIE

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