L’infrastructure hydrauliques de la préfecture de Bouira
La notion de Nouvelles Technologies de l’Information Et de la Communication Introduction
Les technologies de l’information et de la communication sont présentes depuis plus d’un siècle à commencer par le télégraphe, puis la radio et toutes les ondes ayant mises au service de l’économie à travers le transport maritime. Par contre l’appellation de nouvelles technologies de l’information et de la communication reste relativement récente, environ un demi-siècle seulement et regroupe principalement, le satellite, la télévision etc. que nous tenterons de définir dans notre étude. L’intérêt de ces technologies révolutionnaires est déterminant à tel point que certains spécialistes leur attribuent des vertus permettant dans certaines conditions de faire un rattrapage économique pour les nations en développement et de ne plus subir le cheminement technologique ancien. Ce qui certain, est que le siècle de la mécanique tire à sa fin avec dans ses soutes à bagages l’obsolescence organisée par les pays avancés des équipements et des modes d’organisation et de gestion du XXème siècle, seul l’assimilation et pourquoi pas la maitrise des nouvelles technologies ouvrira les portes sur l’intégration de l’économie locale dans la mondialisation rampante et inéluctable ,permettra de prendre notre destin en main au lieu de s’arcbouter dans la position de consommateur eternel. Les enjeux internationaux autour de monopoliser, voire de creuser l’avance de plus en plus grand, en terme de maitrise des nouvelles technologies sur les retardataire est la volonté affichée de maintenir leur domination sur le reste du monde est sans ambiguïté, il reste au nation en développement tel que l’Algérie à saisir cette opportunité offerte par les instances onusiennes (pnud) pour mettre en place déjà les infrastructures cognitives essentielles et acquérir le maximum de savoir technologique par le biais de transfert technologique et à terme devenir un acteur dans la production de la technologie(contenant) ,d’un contenu (logiciel) qui rejaillira sur l’économie Algérienne dans son ensemble.
Histoire des Technologies de l’information et de la communication :
C’est précisément en date du 24 mai 1844 que Samuel MORSE envoyait pour la première fois dans l’histoire, le premier message public sur une ligne télégraphique reliant les villes de WASHIGTON à BALTIMORE aux ETATS UNIS d’AMERIQUE, et, de ce simple fait, il signait « l’entrée de l’humanité dans l’ère des télécommunications » IUT Après un certain temps, le service télégraphique se généralise d’une façon fulgurante à l’intérieur de l’immense territoire américain. Mais aux frontières de l’Etat se dressent déjà des obstacles tels que la transcription, la traduction pour permettre la circulation de l’information dans les pays voisins. Pour surmonter cette difficulté, le message est décodé puis remis de main en main d’un coté ou/et de l’autre de la frontière pour le transcrire de nouveau sur le réseau du pays voisin. Cela occasionnait beaucoup de lenteurs et de difficultés. La nécessité fonctionnelle du service télégraphique crée le besoin de coordonner avec d’autres pays et donne lieu à la création de l’union internationale de télégraphie en date du 17 mai 1865.La première convention internationale en la matière a été adoptée et signée à Paris par une vingtaine des membres fondateurs, un monde sans frontière est né dans la circulation de l’information et radiocommunications.
Les nouvelles inventions telles que le téléphone en 1876 et le télégraphe sans fil vingt ans plus tard en 1896 ont accru le secteur à l’échelle internationale. Cette dernière trouvaille tant attendue (le TSF) consacre la naissance de la radiocommunication dont l’utilisation dans le domaine maritime était décisive pour son temps. Pour réglementer toutes ces multitudes longueurs de fréquences issues des techniques nouvelles et qui commencent vraiment à créer des interférences entre les différentes ondes qui s’entrechoquent parfois, la conférence préliminaire de 1903 en Allemagne a donné lieu en 1906 à la signature à Berlin de la première convention radiotélégraphie internationale visant à mettre de l’ordre par l’attribution des bandes de fréquences uniques pour chaque membre de l’union assorties de l’obligation de s’y tenir et s’y conformer pour tout le monde. En 1947, l’UI de la Radiotélégraphie devient l’UIT comme institution spécialisé des nations unies et a transféré son siège de Berlin vers Genève et crée un comité international d’enregistrement des fréquences et décide aussitôt de rendre obligatoire le tableau d’attributions des bandes de fréquences aux 189 pays adhérents.
La deuxième Définition de la notion des Tics
Les Technologies de l’information et de la communication (TIC) ou Nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) désignent généralement ce qui est relatif à l’informatique et à l’ordinateur et/ou connectée à Internet. « Les premiers pas vers une Société de l’Information furent entamés lors de l’invention du télégraphe électrique, du téléphone fixe, de la radiotéléphonie et, enfin, de la télévision. L’Internet, la télécommunication mobile et le GPS peuvent être considérés comme des Nouvelle Technologie de l’Information et de la communication (NTIC)4 . Actuellement d’autres technologies de l’information et de la communication et de l’espace (TICE) sont disponibles sous formes de satellites de différentes tailles .Leurs coûts d’achats et d’entretiens sont devenus relativement abordables et les immenses services rendus pour l’observation et les prévisions des catastrophes naturelles, de la météorologie, la télévision, le téléphone cellulaire et l’internet; et certains Etats à l’image de l’Algérie se dotent de ces micro satellites pour leur apport avéré y compris la télédétection de la pollution marine,la lutte antiacridien et les prévisions de la sécheresse etc. Pour faire face à la profusion des créations sans cesse renouvelées et des nouvelles applications qui suivirent un certain flou entoure cette notion des technologies de l’information qui pour le dissiper « il semble donc nécessaire de relier la notion des tic à un ensemble de structures matérielles, de localiser l’origine de la diffusion de ces structures dans le temps et dans l’espace géographique et de délimiter le phénomène de l’espace virtuel que ces structures rendent possible5 » Le rapprochement puis la fusion de l’informatique et des télécommunications, le développe – ment de l’Internet ont crée un essor sans précèdent de différentes formes de Communications et une importante mutation de l’accès à l’information et au savoir sans Frontières « …la modeste puce électronique a acquis un pouvoir universel6 Elles ont en commun le bouleverse -ment en profondeur de la société.
Les NTICs, notion complexe :
Les technologies de l’information et de la communication sont des outils générés par le progrès de la technologie dans le domaine de l’informatique et des communications, progrès rendus possible par l’exploitation ingénieuse de la microinformatique, de la fibre optique et la panoplie de procédés et d’équipements de télécommunication (télévision numérique télécopieurs, téléphone cellulaire, télémédecine, téléconférence, télétravail etc.) L’ordinateur est à la révolution informationnelle ce que l’automobile est à la révolution industrielle7 Les NTICs sont avec les biotechnologies les innovations majeures de la fin du XXème siècle : « cette révolution informationnelle peut être classée parmi les plus importants mouvements sismiques de l’histoire économique, au même niveau que la révolution industrielle et l’invention de l’électricité8 … ».A l’échelle macro économique une cadence rapide dans le rythme des innovations et du temps de leurs diffusions avec une diminution remarquable et continu des coûts. La loi MOORE (la puissance des microprocesseurs est multipliée par deux tous les 18 mois, au même prix) se vérifie depuis plus trois de décennies. Désormais les technologies de l’information et de la communication sont considérées comme infrastructure essentielle de l’économie. Dans les pays occidentaux le secteur des tics avait fait preuve d’un dynamisme remarquable dopé par la concurrence, représente le fer de lance des pays avancés pour consolider leurs économies et tend à devenir, pour les pays émergents, le secteur locomotif pour dynamiser l’investissement et consolider le rythme du développement. La nécessaire infrastructure matérielle pour s’intégrer dans le réseau mondial des technologies de l’information et de la communication à relier à la structure mondiale est indispensable pour ne pas rester en rade de l’évolution du monde. Condition de développement et générateur d’emplois, le développement des tics demeure indispensable pour soutenir un rythme de croissance.
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Table des matières
Introduction Générale
Ière partie: Les Notions des N.T.I.C et du développement durable
Chapitre I : La notion des technologies de l’information et de la communication
Chapitre II : La notion du développement durable
2ème partie: Les objectifs des TIC et les priorités du développement durable
-Discours et Pratiques-
Introduction
Chapitre III: Les objectifs des TIC en Algérie –Discours et pratiques-
I)- la réforme de l’environnement institutionnel des NTICs
II)- Les Infrastructures cognitives
III)-La gouvernance par les Tics en Algerie
IV)-Les résultats des actions des pouvoirs publics
Conclusion
Chapitre IV : Les Priorités du développement durable en Algerie
–discours et pratiques-
Introduction
I)- La politique nationale du développement durable et la
Protection de l’environnement
II)- Le développement durable et institutions
III)-Les actions par secteurs d’activités
IV)-Le partenariat et la coopération internationale
Conclusion
Chapitre V : L’Economie locale de BOUIRA
Introduction
I)-L’Organisation administrative
II)-Les secteurs de la nouvelle économie
III)-Le secteur de la santé à BOUIRA
IV)-L’infrastructure hydrauliques de la préfecture de Bouira
V)-L’Energie
VI)-L’Agriculture et foréts
VII)-L’environnement
Conclusion
Conclusion Générale
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