L’influence du milieu environnant dans le développement intellectuel de l’enfant.

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Problèmes académiques

La déperdition scolaire

Les enquêtes menées font apparaître que, cette année scolaire, le district de Bealanana scolarise 37227 élèves contre 20779 en 201 en primaire. Les élèves nouveaux inscrits en classe de 11e cette année, atteignent en totalité 9765 élèves.ourP les établissements périphériques, le taux d’accèsste très faible à cause des différents facteurs : l’éloignement, et le coût de scolarisation par exemple, cela s’ajoute aussi par le manque de motivation de la part des parents.
Le tableau ci-après montre l’évolution des effectifs des élèves primaire dans la CISCO de Bealanana de 2001 au 2008.
Le problème c’est que les effectifs inscrits en première année du primaire abandonnent au cours de ce cycle. La scolarisation en générale est atteinte par la déperdition scolaire. Ces jeunes garçons et filles quittent la vie scolaire pour des raisons différentes. L’analyse faite par la Banque Mondiale montre que seul le un tiers des élèves entrant en classe de 11 atteint la fin du cycle primaire. Les frais de la scolarisation, la faible performance du système éducatif constituent les facteurs de ces abandons scolaires très élevés. Le redoublement diminue aussi la motivation des élèves de continuer ses études. Car, cela augmente le temps passé à l’école.
Si on revient sur les dépenses de scolarisation, nous trouvons des déséquilibres entre le revenu des parents et les dépenses allouées à la scolarisation. Le coût comprend les dépenses directes liées à la fréquentation scolaire. Ce coût n’est pas proportionnel au revenu des parents. L’estimation, après une enquêteeffectué de quelques parents d’élèves, montre que le revenu annuel de la famillen’atteint que 300000Ar (estimé environ 150 dollar). Il est difficile pour les parents, dans cette situation de scolariser plus de deux élèves. La plupart des parents ruraux ne supportent pas ce coût de scolarisation. Nombreuse sont les élèves sont allésà l’école avec des matériels incomplets. Nous ne pouvons pas penser qu’en cas de redoublement, le coût serait augmenté. Donc, les enfants des parents économiquement favorisées ont plus la chance de fréquenter l’école.
Enfin, l’éloignement est un facteur indiscutable de cette déperdition. Les écoles primaires s’étendent en grande partie aux milieux ruraux. La grande distance qui sépare l’école et la résidence familiale favorise le manque de motivation des parents dans la scolarisation de leurs enfants. Les élèves sont obligés de faire un long parcourt à pied pour rejoindre le milieu scolaire. Dans les zones rurales, c’est dur pour un enfant de six ans de rejoindre l’établissement scolaire à 4 km à pieds. Cette situation diminue le taux d’accès scolaire. En effet, la présence de l’établissement près du lieu de résidence de la famille favorise la scolarisation de l’enfant. Pour cela, les Ecoles Communautaires (Sekolim-pokonolona) est accordées pour les villages situés très loin de l’école officielle. Les parents d’élèves assurent le fonctionnement de ces Ecoles Communautaires : paiement de l’enseignant, construction des bâtiments scolaires, construction de tables banc, … Donc, les enfants n’ont pas la même égalité de chance dans la scolarisation.

Déficit du personnel enseignant et administratif

Les enseignants et les personnels administratifs constituent des agents très importants pour assurer la production des services éducatifs, surtout en primaire. L’un et l’autre possèdent leur propre tâche dans ce sect eur d’éducation.
Or, la plupart des établissements ruraux sont atteints par l’insuffisance des enseignants. La CISCO de Bealanana ne compte que 624 enseignants payés par l’Etat, et 301 enseignants payés par FRAM, cette année 2008. Ce nombre ne pouvait pas supporter les activités scolaires dans cette Circonscription. Dans la plupart des établissements, le nombre d’enseignant est inférieu au nombre de section. Un instituteur se charge au moins deux classes de niveau différent. Il existe dans certains établissements un enseignant se charge de cinq classes différents.
De même, la gestion des personnels surgit de ce manque. Un nombre important d’enseignants se regroupe en milieux central, et le centre communal. Les zones périphériques souffrent d’un manque d’enseignant. Dans certaines écoles où la dotation en enseignant est déficitaire, les FRAM recrutent elles-mêmes des enseignants et en assumant le coût grâce au contribution versée par les familles. Il convient à noter que certaines écoles ne disposent d’aucun enseignant rémunérés par Etat. En totalité, le nombre d’enseignant FRAM de l’enseignement primaire publique compte actuellement 301 dans l’ensemble de district. En 2004, 36 écoles primaires publiques ont été fermées à cause de manque d’enseignants. 1
Devant cette insuffisance de l’enseignant et la difficulté de recruter des nouveaux enseignants, des mesures de redéploiement ont été pris par les personnel responsables. Il s’agit de réaffecter les personnels enseignants et non enseignants dans les zones affichant de réels besoins, notamment dans les zones rurales et dans les établissements fermés justifiant d’être réouvert.orsL d’une enquête menée auprès du responsable, en moyenne, chaque année scolaire, on compte 120 « Note de services » ont été signées par le Chef CISCO. En principe, cesmesures de redéploiement devraient se concrétiser par un transfert d’enseignants en poste dans des écoles excédentaires vers des écoles déficitaires.
En plus la politique de l’Etat actuel dans le redéploiement refuse cette répartition inégale des enseignants. Dans le cadre de cette nouvelle politique de gestion des personnel, les postes des enseignants sont attribués aux écoles et non aux individus. En engageant les futurs enseignants à exercer dans un établissement déterminé et sauf permutation, à n’en pas changer sous peine de résiliation de contrat de travail. Cette nouvelle modalité de gestion veut lutter contre l’exode des enseignants vers le centre de district en général sur doté.
De l’autre côté, les personnel administratifs sont au nombre de 26 dans cette même Cisco. Ces agents administratifs accomplissent les tâches proprement administratives. Ils définissent la relation efficace entre le niveau local au niveau national, celui de district et celui de écoles individuelles. En d’autre terme, les personnels administratifs conviennent à répondre aux demandes des enseignants en salle, et rendre les écoles individuelles capables d’accomplir leurs tâches. Le système d’administration centrale assure la communication, d’abord, à l’intérieur de la circonscription scolaire, puis la communication à l a hiérarchie supérieure. Les personnels administratifs, comme son nom l’indique, assurent les tâches relatives à l’administration. Ils sont regrouper dans les trois divisions selon l’organigramme établie: division administratif et financier, division pédagogique, et enfin, la division programmation. L’insuffisance de ces personnels administratifs et les matériels utilisés entraîne une lenteur au niveau des dossiers des personnels enseignants. Ils ont par conséquent perdu tous ses droits du au retard des dossiers. En général, la modernisation n’est pas encore arrivée partout dans la Cisco. Plusieurs d’entre eux utilisent encore des matériels déjà traditionnel et démodés comme l’ancien machine à écrire au lieu d’un ordinateur. Tous ces problèmes affectent notre système éducatif du côté de l’administration scolaire.
Pour garder l’égalité entre le milieu rural et le milieu urbain, l’Etat a instauré une politique d’animation pédagogique. On a regroupé quelques établissements scolaires dans la Zone d’Animation Pédagogique (ZAP). Elle est transformée en Zone Administrative et Pédagogique en 1996. Et la CISCO regroupe quelques ZAP. Cette administration scolaire définit la relation efficace entre le niveau local et le niveau national, celui du district et celui des écoles individuelles. Elle convient à répondre aux demandes, encourager, responsabiliser et rendre les écoles individuelles capables d’accomplir leurs tâches. La structure de la CISCO est composée de trois divisions : division administrative et financière, division pédagogique, et division programmation. (Organigramme dans l’annexe).
Voici le tableau montrant de la répartition des personnels dans la Cisco de Bealanana. (Année 2008)

PROBLEMES RELATIFS A L’APPRENTISSAGE

Organisation du cours

L’État conserve la définition des objectifs généraux de la politique d’éducation, des contenus et des programmes. Le programme scolaire est national à Madagascar. Le ministère envoie de programme scolaire comme référence pour tous les établissements à l’intérieure du pays. Les grandes lignes du programme scolaire sont publiées dans les Instructions Officielles (document de référence pour les maîtres). Il reste pour l’enseignant de chercher les stratégies pour l’exécution du cours.

Les méthodes et les techniques d’enseignement

Les responsables éducatives proposent dans les Instructions Officielles une meilleure qualité d’enseignement. Ils ne cessent pas de chercher d’améliorer la qualité de l’enseignement. De son histoire, l’enseignement malgache a subit de différentes reformes au niveau de structure du système et au niveau de méthode d’apprentissage. Si nous citons rapidement, depuis l’année 90, la méthode participative ou active, l’Approche Par le Compétence (APC), l’Enseignement Pour Tous (EPT).
On trouve dans les programmes scolaires les consignes d’application de la méthode moderne choisie par le ministère de l’éducation. Mais, en réalité, son application pose des problèmes. Il est bien clair que la pratique de l’enseignement moderne exige plusieurs conditions (nombre des élèves, matériels didactique, capacité de la salle…). Or notre environnement scolaire ne p ermet pas l’application de la méthode active. Par exemple, la plupart des établissements ruraux, le nombre des élèves atteint jusqu’à 120 élèves en classe de 11e. Cette surcharge scolaire empêche l’application de la participation un à un des élèves. Le maître n’arrive pas à maîtriser tous les élèves. Par conséquent, la condition psychologique n’est pas respectée.
Ensuite, au niveau des matériels pédagogiques, notre enseignement reste sur un enseignement livresque. Le livre domine dans toute activité éducative. Le maître, pendant le cours, explique les models dans le livre et les faire répéter par les élèves. Le livre devient le second maître devant les élèves. Le travail intellectuel des élèves se limite dans le livre. L’enseignement est manqué de la pratique et de la sortie dans la nature. Jusqu’à la fin du cycle les élèves sont enfermés dans les quatre murs de la salle de classe. Ils n’ont reçu que des connaissances abs traites du cours. Il n’y a pas le temps pour eux de développer leur créativité.
Donc, l’enseignement malgache est en difficulté de sortir de la méthode traditionnelle. L’environnement scolaire ne permet pas l’application de la méthode moderne. Ces différents obstacles obligent les enseignants de la classe primaire à appliquer jusqu’à maintenant l’enseignement magistr al. L’apprentissage se fait par le moyen d’exposé et de mini-cours.

Enseignement incomplet en milieux ruraux

Le Ministère de l’Education Nationale a envoyé les contenus du programme scolaire dans l’Instruction officielle. Du manque d’enseignant, certaines matières sont abandonnées. Le Maître n’enseignent que les matières fondamentales (Calcul, écriture, et lecture). En général, la source principale de ec rejet des autres disciplines est le manque d’enseignant. Beaucoup de ces maîtres en bro usse sont chargés d’école. Il est difficile pour eux de rattraper les disciplines complètes de chaque niveau. Tout cela entraîne le niveau faible pour les élèves des milieux ruraux.
L’insuffisance de salle réduit le temps de scolarisation en milieu rural. Les établissements concernés appliquent deux cas envisageables : la classe à double vacation ou la classe à double flux.
La classe à double vacation consiste, dans une seul e salle, à faire venir une classe avec son maître le matin, et une autre classe avec son maître l’après-midi. Autrement dit, dans une seule salle de classe, deux classes- élèves et deux maîtres. Cette disposition permet de doubler la capacité d’accueil d’une école. On fait alterner le tour chaque semaine. Ainsi, la classe du matin du semaine1 travaille l’après-midi la semaine 2, et ainsi de suite. Il faut dans cette condition travailler six jours sur sept. Chaque établissement peut choisir entre deux répartitionsde temps dans la journée :
La classe à double flux consiste à un seul maître, dans une seule salle de classe, à accueillir deux classes différentes (de même niveau ou de niveau différents). Par exemple, il n’est pas possible de trouver deux maît res pour scolariser 160 élèves de 11.
On demande à ce maître d’accueillir 80 élèves le matin et 80 autres l’après-midi. De même, pour un maître chargé de classe (un seul maître pour un établissement), il est obligé d’alterner l’accueil de chaque niveau.
Certains facteurs augmentent le temps perdu pour les écoles enclavées. Il s’agit de fermeture imprévue de l’école pour des raisons diverses. Nous citons à titre d’exemple les raisons de travaux sociaux, l’absence de l’enfant à cause de la maladie ou de travaux, ou l’absence de maître, voire de la météorologique. Tous ces facteurs réduisent les heures de classe.
Tous ces facteurs diminuent la performance et la qualité de l’enseignement. Les élèves n’ont reçu que de minimum d’apprentissage. Les écoles primaires urbaines ne sont pas touchées par ces problèmes cités ci-dessus.Donc, les villes et les campagnes n’ont pas la même égalité de chance dans l’enseignement reçu en classe.

Contrôle, évaluation, et examen

Evaluation

Evaluation scolaire, désigne l’ensemble des techniques et des dispositifs qui permettent de contrôler la réussite du cours. Elle tient la place fondamentale dans l’apprentissage.
Il y avait différentes formes de l’évaluation
Tout d’abord, l’« évaluation sommative » désigne laforme d’évaluation la plus courante. Elle comprend les interrogations orales et écrites. Elle se fait, soit à la fin du cour (exercice d’application), soit trimestrielle ou à la fin de l’année (test ou composition). L’évaluation à la fin de l’année détermine le passage en niveau supérieur.
D’autre part, Allah définit l’évaluation formativecomme permettant:
D’assurer la régulation des processus de formation,c’est-à-dire de fournir des informations détaillées sur les processus et / ou les résultats d’apprentissage de l’élève afin de permettre une adaptation des activités d’enseignement / d’apprentissage1
Nous avons remarqué que certains enseignants négligent cette notion d’évaluation pendant le cours, surtout l’évaluationaprès la séance. Tout après avoir
1Définition du terme « évaluation » in Encyclopédie,Encarta, 2004 donné le cours, le maître fait copier le contenu dans le cahier des élèves. Et après cela, il donne un modèle d’exercice, et le cours sera fini par un devoir à la maison. Pour cela, l’enseignement primaire dans certains établissements est subi par des apprentissages incomplets.

Le passage de classe

Dans notre système actuel, le passage de classe est défini par le contrôle en fin d’année scolaire. Les élèves doivent passer des tes ou examen officiel chaque fin d’année scolaire. Ces tests sélectionnent ceux quisont admis et les redoublants dans chaque niveau. Le taux de redoublement détermine laqualité d’enseignement.
Pour cela, le passage de classe se divise en deux phases en primaire. D’une part, le passage d’un niveau à un autre niveau. Par exemp le, passage de 11e en 10e. D’autre part, passage du cycle premier (cycle fondamental) au cycle d’approfondissement (à partir de 9e). Et l’enseignement primaire est terminé par un examen CEPE. Ce diplôme permet à l’enfant de passer dans le second cycle (c ollège). Ce diplôme est le plus reconnu par les parents ruraux. Le passage de leurs enfants en second cycle est très important pour les parents. Pour cela, en milieux ruraux, la performance de l’enseignement primaire est mesurée par le nombre des admis au CEPE. La compétence du maître, et la valeur de l’établissement se mesurent par le résultat d’examen.
L’Education Pour Tous (EPT), appliqué à partir de l’année 2003, accorde le passage automatique dans les deux premières annéesde ce cycle primaire. De 11e au 10e, « le redoublement est égal à zéro ». Cette théorie est bien critiquée, car on ne peut pas mesurer la capacité des élèves. A son tour, lesparents ont l’intérêt de trouver le bulletin de leurs enfants à la fin d’année. De plus, cette théorie entraîne la négligence des enseignants. De même pour la reforme actuelle, elle prévoit l’élimination du diplôme CEPE.
Vu ces constats au niveau primaire, il nous reste de trouver les solutions appropriées pour rétablir la valeur de notre enseignement. Dans la dernière partie de notre travail, nous essayons d’apporter les éléments stratégiques pour l’amélioration de l’enseignement primaire.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CARACTERES GENEREAUX DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
CHAPITRE I : APPROCHE PHILOSOPHIQUE DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
I-1-1- Etude sur les théories de connaissance
I-1-1-1- Conception rationaliste de la connaissance
I-1-1-2- Conception empiriste de la connaissance
I-1-2-Le système éducatif occidental
I-1-2-1- Structure de l’enseignement classique
I-1-2-2-L’enseignement primaire moderne
CHAPITRE II : ETUDE PSYCHOLOGIQUE L’ENFANT
I-2-1- Etude sur le développement intellectuel de l’enfant
I-2-1-1-Etude sur l’âge
I-2-1-2-L’influence du milieu environnant dans le développement intellectuel de l’enfant.
I-2-2-Conditions psychologique de l’enseignement
I-2-2-1-Les problèmes généraux de la didactique
I-2-2-2- Les fonctions psychologiques impliquées dans l’apprentissage scolaire
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DU BAIN EDUCATIF
CHAPITRE I : ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
II-1-1-Problème des infrastructures scolaires
II-1-1-1-Problèmes sur l’organisation spatiale
II-1-1-2-Depense publique aux écoles primaires
II-1-2-Problèmes académiques
II-1-2-1-La déperdition scolaire
II-1-2-2-Déficit du personnel enseignant et administratif
CHAPITRE II : PROBLEMES RELATIFS A L’APPRENTISSAGE
II-2-1- Organisation du cours
II-2-1- 1-Les méthodes et les techniques d’enseignement
II-2-1-2- Enseignement incomplet en milieux ruraux
II-2-2-Contrôle, évaluation, et examen
II-2-2-1-Evaluation
II-2-2-2- Le passage de classe
TROISIEME PARTIE:LES FACTEURS DETERMINANTS LA QUALITE DE L’ENEIGNEMENT PRIMAIRE
CHAPITRE I : PARCOURS DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE A MADAGASCAR
III-1-1-Avant l’indépendance
III-1-1-1- Les écoles missionnaires
III-1-1-2-Les écoles primaires coloniales
III-1-2-L’enseignement primaire après l’indépendance.
III-1-2-1- Les différents changements dans l’organisation scolaire
III-1-2-2- Vision sur le projet de reforme actuel dans l’enseignement primaire 41
CHAPITRE II: LES ELEMENTS STRATEGIQUES DE L’AMELIORATION DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
III-2-1-Renforcement de la formation
III-2-1-1- Vu sur l’éducation pratique
III-2-1-2- L’accès de l’enfant primaire aux technologies de l’information et de la communication
III-2-2-Sensibilisation et formation des agents éducatifs
III-2-2-1-Soutenir la participation de la communauté
III-2-2-2- Formation des personnels éducatifs
CONCLUSION
SIGLES ET ABREVIATIONS
BIBLIOGRAPHIE

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