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RELATION ENTRE INFLATION ET CHÖMAGE
Apres la deuxième guerre mondiale les Etats occidentaux ont fixé pour objectifs principaux d’assurer l’expansion et le plein emploi sans infla tion. Mais dés que l’objectif de fixation de niveau d’emploi élevé est atteint, les Etats entren dans le problème d’instabilité de prix. Ce phénomène justifie la déclaration de P. Samuelson qui s’énonce comme suit: «le seul problème économique essentiel qui ne soit pas résolu réside dans le cruel marchandage entre le plein emploi et la stabilité des prix ». Le chômage est donc à ce moment, le moyen de régulation de l’inflation salariale.
Le chômage est un régulateur de l’inflation salariale :
la courbe de PHILLIPS PHILLIPS apporte des explications sur la relation entre l’inflation et le chômage par la construction de la célèbre courbe appelle : courbe de PHILLIPS.
Notion et conséquence de la relation de Phillips :
Phillips évoque dans sa loi la relation inverse entre taux d’inflation et taux de chômage. Si le chômage augmente, le taux d’inflation décroit, et au contraire, si le taux de chômage diminue, le taux d ’inflation a une tendance à accroitre. 16La relation de Phillips permet aux économistes keynésiens d’analyser l’inflation et aussi de bien distinguer la différence entre valeur réelle et valeur nominale. Cette relation permet aussi d’expliquer le conflit entre le plein emploi et la stabilité monétaire. Elle permet aussi de déterminer la politique économique selon la conjoncture du moment : choix d’un peu plus de chômage pour moins d’inflation ou bien le contra ire, choix de moins de chômage mais plus d’inflation.
Le principal objectif de Phillips est de mettre en évidence les relations entre l’inflation, taux de salaires et les conditions de la stabilité monétaire.
Le concept de taux de chômage non inflationniste pa r Franco MODIGLIANI (NIRU)
Le concept non-inflationary rate of unemployment ou taux de chômage non inflationniste a été inventé par les économistes ancoFr MODIGLIANI et Lucas PAPADEMOS en 1975 dans le but de fournir une base théorique à la constatation étudiée par Phillips dans sa courbe NIRU, évoque une équation économétrique qui relie le chômage et l’inflation pendant une période de cour terme. Selon ce modèle, l’inflation est le résultat d’une demande globale excessive provenant à un marché de travail tendu. Ce fait incite les travailleurs l’augmentation de leurs salaires. Ainsi à leur tour, les entreprises sont obligées à pratiquer la hausse du prix, pour permettre de couvrir l’augmentation de salaires.
Le NIRU est alors le taux de chômage minimal pour éviter l’existence de l’inflation. Si le taux de chômage est supérieur au NIRU, l’inflation est devenu de plus en plus faible et vice-versa. Le NIRU est aussi la réponse des néokeynésiens au concept monétariste de chômage naturel. En effet, pour les monétaristes, la courbe de Phillips est verticale à long terme. Donc la demande globale n’a plus d’influence sur le chômage, et de même, il reste un taux de chômage nature vers lequel le taux de chômage tend en absence de changement structurel su r le marché du travail.
Ce taux ne dépend pas du taux d’inflation ou même ed la politique monétaire, et encore il ne peut pas modifier à long période le taux de chômage. Les monétaristes voient la limite de son analyse dans la période destagflation.
Comme les nouveaux keynésiens modifient la courbe de Phillips en triangle modèle. En 1980, James TOBIN parle la nature divergente de l’évolution de l’inflation en dessous du NIRU, et propose la formulation de NAIRU pour en rendre compte. De ce fait, l’écart entre le NAIRU et le taux de chômage n’explique plus l’inflation, mais par contre, les variations de l’inflation. D’où :
* Si le taux de chômage U est inférieur au taux de chômage naturel, l’inflation tend à augmenter.
* Sil est supérieur, elle tend à diminuer ;
* S’il est voisin, elle reste constante
L’INFLATION, LEURS CAUSES ET CONSEQUENCES
Pour maitriser l’inflation, il convient d’analyser ses causes ainsi que ses conséquences.
COMMENT DETECTER L’INFLATION?
Quelques indicateurs permettent de mesurer la monte du prix.
La variation des prix à la consommation
L’observation du panier pondéré de biens est constuéi par l’ensemble de biens consommés par le ménage est un moyen pour mesurer ’inflation. Et aussi un indicateur appeléindice des prix à la consommation 18permet de mesurer les variations enregistrées par le panier observé. Cet indicateurtraduit aussi la variation du coût de la vie pour les consommateurs. Le taux d’inflation et la variation en pourcentage de cet indice sur une période donnée. Par exemple, si le rixp moyen de panier passe de 100 à120 unités monétaires, le taux d’inflation est donc de (102-100)/100 = 2%.
Autres indicateurs économiques de la variation pluslarge des prix On peut détecter l’inflation par :
Le pouvoir d’achat
18 Indice de prix à la consommation : Calculé à partir des prix d’une centaine de biens collectés périodiquement auprès des marchés
En période d’inflation, le pouvoir d’achat de la population diminue. Cette différence est la cause d’existence de revenu nominale et de revenu réel. Le revenu réel mesure le pouvoir d’achat, il est obtenu après l’entrée du déflateur au revenu nominal. Or ce déflateur est équivalent ua taux d’inflation.
Le niveau de vie
Pendant la période d’inflation, le niveau de vie de la population décroit. L’augmentation du prix a entraîné la diminution de la quantité vendue ou bien l’augmentation de la part du revenu affecté à la consommation. Et cette dernière entraîne la diminution du revenu affecté à autre chose, c’est la baisse du niveau de vie.
L’effet richesse
A cause de l’inflation, un ménage peut se trouver potentiellement enrichi si le prix d’actif qu’il détient (action, immobilier) augmente.
La variation du PIB réel et du PIB nomina l
Le PIB où produit intérieur brut permet de mesurer la variation de la production au cours d’une année dans un pays donné. Le PIB nominal appelé aussi PIB au prix courent ou PIB en valeur est calculé avec le prix valable au cours de l’année.
Le PIB réel ou PIB à prix restant ou encore PIB en volume est calculé en utilisant les prix qui est pratiqué l’année antérieur, ou une année de référence.
Par définition :
1+taux nominal de croissance du PIB = (1+taux réelde la croissance du PIB)*(1+taux de variation de déflateur du PIB). Ce taux de déflateur n’est autre que le taux d’inflation.
Or en pratique, on utilise souvent la formule linéaire :
Taux réel de croissance du PIB ≈ taux réel de la croissance du PIB + taux de croissance du déflateur du PIB.
La différence entre taux nominal de croissance du PIB et le taux réel de croissance du PIB détermine le taux d’inflation.
D’OU VIENT L’INFLATION ?
Une controverse a opposé les auteurs qui distinguen l’inflation par la demande de l’inflation par les coûts à ceux qui refusent de co nsidérer que les coûts peuvent constituer une cause autonome d’inflation.
L’inflation par la demande
Si la quantité de bien demandée au prix courant estsupérieure à la quantité de biens offerts, une hausse de prix est inévitable pour rétablir l’équilibre dans une économie de marché. Les keynésiens ont bien développé ce modèle d’inflation fondé sur la demande.
Le concept d’écart inflationniste postkeynésien
Les postkeynésiens ont transposé l’analyse keynésienne de l’écart déflationniste entre la demande effective et l’offre globale à des situations inflationnistes. Cette analyse pose que deux conditions sont nécessaires pour qu’il y ait inflation.
Il faut qu’un excès de demande de biens se manifeste ; Il faut que l’offre de bien manque d’élasticité
Si la demande globale est de : consommation plus investissement(C+I) et que le revenu d’équilibre est de : Ye. Si l’offre ne peut accroitre à cause du plein emploi des facteurs de production et que le revenu du plein emploi est Yp supérieur à Ye, cela entrainera un excès de la demande. L’excédent de la demande par rapport à l’offre se traduit par une ha usse des prix, le revenu national augmente de Ye à Yp, mais seulement de faç on nominale et non en termes réels.
Les compléments apportés au modèle d’inflation-demande.
· Désagrégation de l’excès de la demande globale en ensiont inflationniste
L’analyse précédente est une analyse menée en termes de quantités globales, suggère que le passage d’une situation non inflationniste à une situation inflationniste est net : tant qu’il n’y a pas d’écart, aucune inflation ne menace, lorsque l’écart parait, l’inflation suit. Or l’inflation est plus complexe, des germes d’inflation ou de déflation se rencontrent partout dans l’économie. Il ne donne pas lieu à une situation inflationniste, n i à une situation déflationniste tant qu’ils ne se sont pas agrégés.Cette situation des désajustements entre flux d’offre et de la demande des produits. Ces désajustements sont analysés non plus dans le cadrede l’économie toute entière, mais celui des différents secteurs de l’activité économique. On passe à un état d’inflation déclarée quand les tensions jusqu’alors localisées, indépendantes, commencent à se propager de secteur en secteur, à s’agréger et à s’amplifier réciproquement.
· Analyse des facteurs d’une inflation par la demande :
Les tensions inflationnistes qui apparaissent en situation de plein emploi résultent d’une expansion excessive par rapport à l’offre d’un ou plusieurs éléments de la demande finale et se présentent comme suit :
* Un excès de la consommation privée consécutive quientraine le gonflement des revenus à forte propension à cons ommer ;
* Un excès de la consommation des administrations ;
* Un excès de la formation brute de capital fixe : les investissements productifs constituent un facteur de rééquilibre à terme puisqu’ils permettent l’accroissement de l’ offre de biens, mais dans le court terme, il se traduit par l’augmentation de la demande. Les investissements non productifs des administrations augmentent aussi la demande mais cet effet inflationniste à court terme n’est pas compensé ultérieurement par une augmentation de l’offre des produits sur les marchés. Les risques inflationnistes qu’ils recèlent sont donc plus importants que ceux qui résultent des investissements productifs ;
* Un excès d’exportation qui exerce un double effet inflationniste. D’une part, les exportations réduisent l’offre de biens disponibles pour la demande intérieure. D’autre part, elles sont à l’origine de rentrées des devises qui accroissent les liquidités monétaires intérieures.
· Lorsque les facteurs psychologiques s’ajoutent aux autres facteurs dans le développement de l’inflation par la demande, les déséquilibres initiaux s’amplifient. Les anticipations à la hausse de prix entrainent d’une part, une demande supplémentaire due à un comportement de fuit devant la monnaie conduisant à une augmentation de la consommation privée et celle de l’investissement spéculatif.
Enfin, il est intéressant de faire l’étude du financement de l’excès de demande globale. Pour se manifester sur le marché, l’augmentation de la demande doit prendre la forme d’une offre de liquidité en contre partie de biens et de services. Or le surcroit de liquidité peut être fourni par la déthésaurisation nette qui permet de réactiver les encaisses oisives, ou par une création de monnaie.
L’inflation par les coûts
D’autres économistes pensent aussi que l’inflation peut être induite par les coûts. On parle d’inflation induite par les coûts si un élément essentiel des coûts augmente. Le phénomène peut provenir d’une distorsion entre l’augmentation d’un ou plusieurs types de coûts et la variation de la productivité.Si on limite l’analyse de l’inflation par les coûts sur les coûts verses sous forme de salaires, on considère que la stabilité du niveau générale du prix est maintenue si la haussemoyenne générale des salaires est
égale à l’augmentation moyenne de la productivité; si elle dépasse, c’est de l’inflation salariale.
Il y a trois catégories de coûts qui sont en général les facteurs d’inflation induite par les coûts :
* Hausse des coûts de matières premières et de l’énergie importée.
* L’élévation du coût du capital due aux augmentations des taux d’intérêt liées aux politiques monétaires restrictives. Selon J.Denizet, ces politiques ont conduit au surendettement des entreprises, à la détérioration des profits et des structures de bilan.20
* L’augmentation des coûts salariaux : l’inflation sa lariale a été due pendant longtemps à une situation de plein emploi. A ce période, le monde est dans une forte et durable pénurie de main d’œuvre. Ce fait s ’explique la particularité structurelle des pays capitalistes où les agents économiques ont tendance à se grouper. Donc ils sont capables d’exercer une action consciente et efficace sur le niveau de leurs profits. Dans la période de 1968-1973, dans tous les pays occidentaux industrialisés, la hausse très forte des coûts salariaux est apparue. Comme elle est supérieure à la hausse de productivité, elle constitue un facteur important de l’inflation.
L’inflation, par le déséquilibre monétaire
Cette approche repose sur deux hypothèses :
* Une fonction de la demande stable joue un rôle fond amental dans la détermination de revenu monétaire et de prix. Cettestabilité entraine une faible élasticité-intérêt de la demande de monnaie ;
* Le caractère exogène de l’offre de monnaie par rapport à la demande.
Ces hypothèses sont la base des différentes formulations de la théorie quantitative de la monnaie.
* Selon I.FISHER : MV=PT avec V et T inchangeable, donc la variation de quantité de monnaie en circulation entraine tout simplement la variation de niveau générale des prix.
* D’après l’équation de Cambridge : P=Ky/M qui fait du niveau général des prix la résultante, pour une certaine production, de l’offre de monnaie et d’une demande de monnaie représentée par le coefficient k, constant lui aussi. Le coefficient k détermine la quantité de ses ressourc qu’une communauté veut détenir sous forme d’encaisses monétaires. Cette équation met en évidence qu’il y a une cohérence positive entre les mouvements des masses monétaires et les fluctuations des prix.
Apres avoir connaitre d’où vient l’inflat ion, nous allons voir quelles sont ses causes et ses conséquences ?
QUELLES SONT LES CAUSES ET LES CONSEQUENCESDE L’INFLATION ?
L’inflation est un phénomène assez important pour out le monde. Nombreuses sont leurs causes qui peuvent être aussi bien internes qu’externes.
Les causes internes
L’inflation n’est pas seulement un phénomène monétaire, elle est aussi d’origine structurelle, d’où : L’inflation due aux structures industrielles
Elle se représente comme suit : il y a l’existence de firmes oligopolistiques qui ne visent plus la maximisation de courts termes du profit, mais plutôt, la croissance des actifs. Le gonflement de la firme permet d’assurer l’administration des prix ainsi que de contrôler le s coûts, la technologie, les comportements des consommateurs et les politiques du pouvoir public. Galbraith21 a dit que cette nouvelle structure de l’économie, praticable aux Etats-Unis, est inflationniste. Les firmes géantes deviennent un système de planification et fixent les prix en dehors du marché en acceptant les revendications syndicales. Mais ils ne cherchent pas à affronter la grève. Pour résoudre au problème de hausse de prix dans la sphère économique.
De plus, les firmes oligopolistiques contribuent au maintien de l’inflation car elles n’acceptent pas de baisser le prix, même s’ily a hausse de production qui permet de diminuer le prix de vente. Elles préfèrent plutôt un accroissement des salaires, des dépenses d’investissement de production ou de marketing que de diminuer le prix.
En somme, on peut dire que l’existence des firmes oligopolistiques entraine la fixation du prix en dehors du marché qui est le facteur de l’augmentation du prix, et provoque l’inflation.
L’inflation due aux structures psychologiques et sociales
Selon H.AUJAC22le niveau des prix et des revenus qui déclenchent et entrainent l’inflation, suit un fonctionnement de mécanisme. Mais les groupes sociaux agissent en force sur ce mécanisme. D’où « l’inflation notamment nait de l’effort des groupes pour modifier à leur avanta ge le type actuel de comptabilité des comportements imposés par les liaisons monétaires et les mécanismes économiques » . L’évolution économique est causée par la réaction des groupes des agents économiques. Chaquegroupe cherche à maximiser sa part sur le revenu national sans penser aux autres. Si ceux qui subissent ce rapport de force ne sont pas assez forts pour prendre leur revanche, il y la stabilité de prix et de revenu donc pas d’inflation. Par contre des que l’inflation apparait et se généralise due àla modification de rapport des forces, il y a une modification de la structure des prix et des revenus. La course vers l’accès de chaque groupes sociaux à la place de dominant et cela entraine la formation d’oligopole social qui est déjà une cause de l’inflation.
Apres l’étude des comportements des divers groupes sociaux, on peut déduire que les salariés veulent une augmentation de leur salaire plus que leur productivité et ils cherchent tous les moyens pourl’obtenir.
D’autres analyses s’attachent à l’observation des c omportements des revenus non salariaux. Prenant le cas des agriculteurs qui ont de comportement d’asymétrie d’information24. Ils font l’ajustement par le prix dans la période de pénurie et refuse la loi de marché lorsque la production est excédentaire.
Ils réclament au nom du principe de parité à l’Etat et aux organisations communautaires, des politiques de soutien de prix agricoles. Cela a causé la hausse du prix des produits agricoles ou un financement inflationniste dû au politique de soutien. Et aussi, on observe les comportements des chefs d’entreprises qui cherchent à augmenter le profit b rut de l’entreprise de façon plus importante qui ne leur incite plus à augmenter sa production.
Inflation apportée par la relation internationale.
L’économie ouverte peut engendrer pour le pays, de tensions inflationnistes. Ce type d’inflation peut être une inflation par la demande ou par les coûts induits de l’extérieur. De plus l’analyse monétaire explique que l’inflation a pour origine la croissance de la masse monétaire mondiale. Dans ce sous section on divise l’analyse en trois : on parle de l’analyse de l’inflation app orté en terme de mécanismes réels, puis de l’analyse monétariste globale et en fin l’analyse socio-mondialiste.
L’inflation importée en terme de mécanismes réels ça: soit du à la demande ou à l’offre.
· Inflation par la demande
Si la production nationale est inélastique et n’est pas suffisante pour satisfaire la demande intérieure et la demande étrangère, quine cesse pas d’augmenter ce fait conduit à l’inflation. Pour que l’augmentat ion continue de la demande étrangère se manifeste, il faut admettre une divergence de taux d’inflation entre les pays qui exportent et ceux qui importent. Si le taux d’inflation est faible, cela incite l’extension des exportations qui est source de la hausse du prix.
· L’inflation par les coûts
L’inflation par les coûts se manifeste par la croissance du prix à l’importation. D’où les coûts des matières premières constituent une hausse brutale de niveau de prix. Mais en dehors de facteur de hausse conjoncturelle ou saisonnière, des augmentations durables tendent à s’inscrire dans les coûts de produits pétroliers depuis les années 1973. Résultats de la prise de conscience des pays producteurs de pétrole à cause de la montée de la demande en ce produit.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : ETUDE THEORIQUE DE L’INFLATION
CHAPITRE I : Aperçu historique de l’inflation
-Section I : La notion d’inflation
-Section II : L’inflation selon les pensées économiques
-Section III : Relation entre inflation et chômage
CHAPITRE II : L’inflation ; leurs causes et conséquences
-Section I : Comment détecter l’inflation ?
-Section II : D’où vient l’inflation ?
-Section III : Quelles sont les causes de l’inflation
PARTIE II : ETUDE EMPIRIQUE DE L’INFLATION : CAS DE MADAGASCAR DU 2009 A 2013
CHAPITRE I : Aperçu global de l’inflation à Madagascar
-Section I : Observation généralisée de l’inflation dans les dix ans avant crise
-Section II : Effets de la crise sur l’économie
CHAPITRE II : Etude de l’inflation à Madagascar depuis 2009
-Section I : Analyse chiffrée de l’inflation de 2009 à 2013
-Section II : Ses conséquences économiquesvii
PARTIE III : SOLUTIONS APPORTEES EN VUE D’UNE FORTE INFLATION
CHAPITRE I : Le rôle de l’Etat dans l’économie face à l’inflation
-Section I : La politique d’intervention d’inspiration keynésienne
-Section II : La nouvelle conception du rôle de l’Etat apportée par Milton FRIEDMAN
CHAPITRE II : La régulation de l’inflation
-Section I : Politique monétaire et politique budgétaire
-Section II : Effets économiques de ces politiques
CONCLUSION
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