l’inflation provoquée par une augmentation de la masse monétaire

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

l’indice des Prix à la Consommation Harmonisé (IPCH)

Dans le cadre des processus d’intégration des pays membres de la SADC et du COMESA, des critères de convergence sont nécessaires. En particulier, pour l’objectif d’union monétaire, il y aura un seuil que le taux d’inflation de chacun des pays membres ne devrait pas dépasser. Par contre, les taux d’inflation produits par ces pays ont tous leurs spécificités méthodologiques. Les couvertures géographiques, les échantillons de biens et services, les périodicités des collectes, les traitements des données et les nomenclatures présentent des différences. Ainsi, la comparabilité des taux d’inflation des pays membres de ces organisations reste limitée. L’harmonisation consiste alors à se mettre d’accord sur une même méthodologie pour améliorer cette comparabilité. Toutefois, cette harmonisation peut ne pas satisfaire en totalité aux objectifs de chacun des pays dans son propre suivi des évolutions des prix. A l’instar des pays membres de l’Union Européenne3, l’IPCH publié pour l’intégration économique ne se substitue pas à l’IPC national. A Madagascar, ce processus de confection de l’IPCH, commun au COMESA et à la SADC a commencé depuis 2008. A partir de 2010, la série d’IPCH intérimaires de Madagascar était déjà disponible au niveau des secrétariats respectifs de ces 2 organisations. L’IPCH définitif est prévu pour être produit et diffusé mensuellement à partir de 2014.

le déflateur du PIB

D’une manière générale, un déflateur implicite mesure les variations des prix dans un domaine de l’économie en divisant la grandeur en valeur par cette grandeur en volume.
Les déflateurs implicites sont nommés d’après l’agrégat utilisé. Les déflateurs de PIB, de la dépense de consommation finale, de la formation de capital brute, des exportations et des importations mesurent les variations de prix dans leur domaine respectif de l’économie .Ils sont utilisés pour corriger les agrégats des effets de l’inflation.
Dans ce cas-là, le déflateur de PIB s »écarte de l’indice de prix à la consommation, en fonction notamment, de l’évolution des prix des importations, des exportations et de FBCF.
Le déflateur du PIB étudie la variation de PIB d’une année sur l’autre afin d’estimer l’inflation du pays. Le déflateur du PIB se calcule ainsi en divisant le PIB nominale, par le PIB réel, alors on a la formule suivante : Déflateur de PIB= PIBnPIBr
PIBr : c’est le PIB réel c’est-à-dire le PIB qui constitue la valeur des biens et de service mesurée à prix constant. Donc PIBr= ∑PibQir
Pib : prix des biens i par rapport à l’année de base;
Qir quantité des biens et service produit chaque année.

PIBn reflète les volumes de production de la période courante et non sa valeur puis qu’il ne tient compte que l’évolution de prix par rapport à l’année de référence, en supposant que le prix peut changer. PIBn = ∑ Pit Qit
Par ailleurs, l’inflation peut mesurer non seulement l’indice des prix à la consommation mais à l’aide des indicateurs suivants :

le taux de l’inflation simple

Dans le but de connaitre plus simplement l’évolution de prix sans tenir compte le panier de bien, on peut calculer l’évolution de prix à l’aide de formule ci-dessous. Ti= − −1 −1

l’indice des prix de gros (IPG)

L’indice des prix de gros (IPG) mesure l’évolution des prix payés par les commerçants détaillants aux points de vente grossistes. Il entre dans le cadre du suivi des conjonctures économiques pour une étape intermédiaire entre la production et la consommation. Actuellement, cet indice n’est pas disponible à Madagascar.

l’indice des Coûts de Construction (ICC)

Cet indice mesure l’évolution du coût de construction d’un même logement (mêmes caractéristiques) au cours du temps. Le texte légal sur la location de logement stipule l’utilisation de l’ICC pour la révision des loyers. Etant donné que cet indice n’est pas disponible à Madagascar, les pratiques de révision du loyer utilisent, à défaut, le taux d’inflation calculé à partir de l’IPC dont la série mensuelle a été toujours disponible.

l’indice de paashe et laspers

Dans le jugement des économistes, un indice de prix calculé sur la base d’un panier constant d’un biens est l’indice de Laspers alors que l’indice de prix calculé sur la base d’une panier évolutif est un indice de Paashe. L’objet de tout prix est de mesurer le cout de la vie : combien de percevoir sur le niveau de vie donnée. En fait, l’indice de laspers tend à assurer surestimer la baisse de cout de la vie et l’indice de Paashe à la sous-estimé Lp= Pp =

les types d’inflation selon leur taux et selon leur contexte

Les seuils de classement proposés dans le présent article sont issus de la consolidation des observations sur le cas de Madagascar, des expériences des autres pays et de ceux contenus dans les ouvrages académiques. Ils ne sont pas figés. Néanmoins, ils donnent des références sur le degré de gravité des inflations selon leur taux.

la stabilité des prix

On a déjà vu dans la partie consacrée aux définitions de l’inflation qu’une hausse de prix ne peut être classée comme une inflation que si elle touche une grande partie des biens et services, au sens de leurs poids économiques, et qu’elle n’est pas passagère. Cela veut dire que si au bout d’une courte période, les prix reviennent à leur niveau avant la hausse, il ne s’agit pas d’une inflation. Il en est de même des situations où les variations enregistrées en un an sont comprises entre 0% et 2% comme il a été cité par A. Mourougane (1997) pour le cas de la Nouvelle Zélande. Ces taux de variation peuvent encore être assimilés à une situation de stabilité des prix.

l’Inflation latente ou inflation larvée

Partant de ce seuil de 2%, une hausse des prix pendant un an est classée parmi les inflations latentes ou inflations larvées si son taux est compris entre 2% et 4%. Il s’agit d’une augmentation de la demande qui est faiblement supérieure à celui de l’offre. Cela peut provenir d’une amélioration du niveau de revenu qui s’accélère plus vite que la réponse de la production des biens et services. D’autres ouvrages tels que le « Lexique d’économie » (Dalloz, 1992) utilisent le terme inflation rampante pour ce type d’inflation. J.P Fitoussi (1973) explique le fait qu’une inflation rampante peut être compatible avec une situation d’équilibre dynamique. Notons que si un pays enregistre un taux d’inflation annuel de 3%, son niveau général des prix se multiplie en deux au bout de 23 ans.

l’inflation ouverte ou inflation déclarée

Pour un taux annuel compris entre 4% et 10%, il s’agit d’une inflation ouverte ou inflation déclarée. Comme il s’agit d’une moyenne pondérée des variations des prix de plusieurs biens et services, il est fort probable que des branches ou des filières de l’économie observent des hausses de prix qui atteignent les 20%. Cela dépend de l’hétérogénéité des variations et des effets d’entraînement, que l’on va voir dans le prochain paragraphe, entre elles. Pour un taux d’inflation annuel de 10%, une monnaie a perdu la moitié de sa valeur pendant une période de 7 ans4. On parle d’un phénomène d’érosion monétaire. Il est donc essentiel dans ce cas, pour les agents économiques informés de cette situation, d’inclure ce taux relativement élevé dans les calculs de rentabilité réelle et de taux d’intérêt réel.

l’inflation galopante ou l’hyperinflation

A partir d’un taux annuel à 2 chiffres, on parle d’inflation galopante ou d’hyperinflation. Des auteurs tels que P.R Agenor (2003) distingue l’hyperinflation comme étant une inflation dont le taux dépasse 20% par mois, soit 792% par an. Déjà, pour un taux d’inflation annuel est de 15%, le temps de dépréciation de moitié de la monnaie par rapport aux biens et services échangés dans le territoire national est de 5 ans. Au-delà de cette perte de valeur, comme il a été mentionné par A. Mourougane (1997) une inflation plus forte se traduit, en général, par une variabilité de l’inflation plus importante. Il en résultera une augmentation de l’incertitude concernant l’inflation future et une baisse de l’information contenue dans les prix relatifs. Cette incertitude s’élève lorsque les anticipations des agents s’écartent de l’inflation apparue au cours du temps. Madagascar a connu une période d’hyperinflation dont les taux annuels dépassaient les 35% en 1994 et 1995 (Base de données de l’INSTAT). L’inflation annuelle a dépassé les 1 000% dans les années 80 en Amérique Latine (WEO database in www.imf.org). Plus récemment, l’inflation au Zimbabwe a dépassé 230 000 000% en 2008 (S. Hanke & A. Kwok « On the Measurement of Zimbabwe’s Hyperinflation », Cato Journal, 29 (2), 2009). Ces exemples montrent que l’hyperinflation est loin d’être des cas rares et que les niveaux des prix sont toujours susceptibles d’enregistrer des variations exponentielles en cas de déséquilibres sur les marchés. Du fait de cette incertitude économique qu’elle génère, une hyperinflation entraîne un ralentissement des activités de production. Il se peut même que la baisse de la confiance envers la monnaie nationale en tant que réserve de valeur incite à des fuites de capitaux (Reinhart et Savastano, 2003). Il s’ensuit alors une récession économique.

En complémentarité avec le classement quantitatif selon le taux, on a une perspective qualitative qui consiste en un regroupement des inflations selon leur contexte. On oppose ainsi l’inflation de croissance à l’inflation de récession et l’inflation conjoncturelle à l’inflation chronique (ou structurelle).

l’inflation de croissance ou l’inflation de prospérité

Les chercheurs ont déjà montré qu’il n’y a pas de relation de long terme stable entre la croissance et l’inflation5. Toutefois, pendant une période de relance keynésienne qui a plus ou moins réussi, une partie du surplus de demande peut provoquer une inflation. C’est le cas d’une période de forte hausse de l’investissement. En effet, la variation de la demande est immédiate alors que le processus de production, en particulier pour l’agriculture, peut prendre un certain délai pour aboutir à une hausse de l’offre. En retour, cette inflation stimule les activités économiques. Pour ce faire, il faudrait que le taux reste modéré comme ceux des inflations latentes. Une période de prospérité économique peut se traduire aussi par des hausses salariales. Cela améliore, alors, la confiance des consommateurs qui sont prêts à payer plus chers leurs acquisitions de biens et services. Cette attitude tend à faire augmenter les prix. A l’opposé, une période de décroissance économique ou de crise de la demande, due à une baisse des revenus ou à une perte de confiance des consommateurs, provoque une stabilité des prix voire même à une déflation que l’on a expliquée dans la chapitre première.

l’inflation de récession (stagflation, slumpflation)

Une baisse de l’offre ou de la disponibilité des produits provoque dans un marché libéral une hausse de leurs prix. Si cette hausse des prix n’incite pas à l’augmentation de l’offre du fait d’une saturation de la capacité de production, alors il n’y aura pas assez de pression pour que les prix retrouvent leur niveau d’avant la récession. Il se pourrait même qu’ils vont continuer à augmenter. Tel est le cas particulier des pierres et métaux précieux. Lorsque le phénomène se généralise, en d’autres termes, lorsqu’on a une inélasticité à la hausse de la production par rapport au prix, il y a une simultanéité de l’inflation et de la décroissance économique (baisse en volume du PIB). Dans une économie marquée à la fois par la récession et une forte inflation, on parle d’un phénomène de slumpflation (crise et inflation).

l’inflation conjoncturelle

Il s’agit d’une inflation liée à un phénomène transitoire. Du côté de l’offre, les inflations engendrées par des cataclysmes naturels, et des phénomènes qui en sont comparables, font partie de ce groupe. Lorsqu’un événement provoque des pénuries transitoires, alors les prix vont augmenter et il se pourrait qu’ils restent à des niveaux élevés après la cessation de ce phénomène. L’économie malgache subit des inflations conjoncturelles pendant les années particulières où plusieurs cyclones détruisent une partie de la production agricole et des infrastructures de production et de transport. C’est aussi le cas des années de crises socio- politiques où des inflations conjoncturelles se conjuguent avec l’inflation structurelle que nous allons voir ci-dessous. Du côté de la demande, une hausse passagère du revenu et/ou une hausse de la propension à consommer crée une tension à la hausse sur les prix. C’est le cas des périodes de fête prolongées telles que les fêtes de fin d’année à Madagascar et les grands mariages aux Comores. Il n’est pas évident de retrouver le niveau initial des prix après la fin de ces périodes.

l’inflation chronique ou l’inflation structurelle

L’inflation chronique trouve son fondement dans la structure de l’économie. Quand les caractéristiques d’une économie s’éloignent trop des hypothèses de concurrence pure et parfaite, en faveur des offreurs, alors les prix auront une tendance à augmenter d’une façon répétitive et continue. Tels est le cas d’une économie de type oligopolistique où les offreurs sont mieux organisés que les consommateurs pour fixer à leur avantage les prix. Il en est de même lorsque les offreurs peuvent supporter plus l’ajournement d’une transaction que les consommateurs. A cela peut s’ajouter les asymétries d’informations à l’avantage des offreurs.

Les indexations des salaires, des dividendes, des taux d’intérêt nominaux et des prix des consommations intermédiaires entraînent aussi des hausses des coûts de production. Quand ces indexations sont effectuées d’une façon plus ou moins permanente et si elles ne s’accompagnent pas d’une hausse du rendement ou d’une hausse de la production, le niveau général des prix va se majorer. Il en est de même d’une hausse du revenu qui ne s’accompagne pas d’une hausse de la productivité alors que la demande augmente. On assistera alors à un phénomène de spirale d’inflation ou d’une inflation de type autoentretenue citée par Ravelosoa et Razafimanantena (Projet Madio, 1996).

Le classement quantitatif des types d’inflation est évident dès que l’on a arrêté leurs seuils respectifs. De plus, les groupes y sont mutuellement exclusifs. Par contre, le classement qualitatif selon les contextes est plus difficile à effectuer. Il se pourrait que les types d’inflation se conjuguent pendant une période. Néanmoins, le deuxième type de classement introduit aux différentes causes potentielles et aux possibles conséquences d’une inflation. Au-delà des chiffres, il apporte plus d’utilité aux analyses économiques et aux efforts de maîtrise de l’inflation.

les causes de l’inflation

L’inflation est un phénomène majeur du 20me siècle. Elle apparaît comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. C’est véritablement à l’occasion de la Première Guerre mondiale que l’inflation s’installe. Cependant, quels sont les origines de cette inflation ? Pour résoudre ce problème, on va illustrer dans ce chapitre les causes de l’inflation.

l’inflation provoquée par une augmentation de la masse monétaire

Elle est due à l’accroissement excessif de la masse monétaire par rapport à l’offre de la production, au niveau du marché.
D’après le modèle économique comme la théorie quantitative de la monnaie par Iving Fisher (1907) et Pigou (1917), montre que l’augmentation de la masse monétaire entraine une hausse de prix. On va le montrer ci-dessous:
L’équation des échanges
Les données soient
• M : le stock de monnaie
• V : la vitesse de circulation de la monnaie
• P : le niveau général du prix
• T : le volume de la production (T comme transactions, en fait, les transactions en volume)
Donc MV = PT
L’équation des échanges est une égalité comptable et donc en tant que telle incontestable.
D’ailleurs, Cette équation vérifie, si les hypothèses suivantes seront remplies :
Premièrement, deux variable sont passives et donc en fait des paramètres fixés en dehors de la monnaie. D’abord, une première variable passive V, la vitesse de circulation, est une constant, il existe donc une relation stable entre le stock de la monnaie (M) et la valeur de transactions (PT). On considère que la demande de la monnaie à l’équilibre dépend du revenu (PT), en d’autre terme, le comportement de détention d’encaisse est stable et, en particulaire, indépendamment du taux d’intérêt, contrairement aux théories de J M Keynes. Cette hypothèse renvoie la conception de JB Say que la monnaie est voile juste à demander de faire les transactions. Ensuite, une deuxième variable passive T est une donnée purement dépendante de facteurs réels, de la quantité de facteurs de production disponible dans l’économie et leur productivité. Le niveau de production ne dépend pas donc du stock de monnaie. Ceci conforme à la loi de JB Say : «l’offre (plein emploi) crée sa propre demande et l’économie est au plein emplois.
Deuxièmement, une variable est motrice, le stock de la monnaie M est une variable exogène dépendant du comportement des autorités monétaires.
Et en fin, une variable dominée endogène, Seul la variable « niveau général du prix » P est déterminé dans l’équation, elle dépend donc du stock de monnaie.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
Première partie : l’analyse conceptuel de l’inflation
Chapitre I : l’inflation, la désinflation, la déflation et la stagflation
Section 1 : l’inflation
Section 2 : la déflation
Section 3 : la désinflation
Section 4 : la stagflation
Chapitre II : les indicateurs de mesure de l’inflation
Section 1 : l’indice de prix à la consommation
Section 2 : l’indice des Prix à la Consommation Harmonisé (IPCH)
Section 3 : le déflateur du PIB
Section 4 : le taux de l’inflation simple
Section 5 : l’indice des prix de gros (IPG)
Section 6 : l’indice des Coûts de Construction (ICC)
Section 7 : l’indice de paashe et laspers
Chapitre III : les types d’inflation selon leur taux et selon leur contexte
Section 1 : la stabilité des prix
Section 2 : l’Inflation latente ou inflation larvée
Section 3 : l’inflation ouverte ou inflation déclarée
Section 4 : l’inflation galopante ou l’hyperinflation
Section 5 : l’inflation de croissance ou l’inflation de prospérité
Section 6 : l’inflation de récession (stagflation, slumpflation)
Section 7 : l’inflation conjoncturelle
Section 8 : l’inflation chronique ou l’inflation structurelle
Chapitre IV : les causes de l’inflation
Section 1 : l’inflation provoquée par une augmentation de la masse monétaire
Section 2 : l’inflation par la demande :
Section 3 : Inflation par les coûts :
Section 4 : l’inflation causé par les structures
Section 5 : l’inflation importée
Section 6 : l’inflation causée par une augmentation du taux de change
Chapitre V : les relations entre inflation et taux de chômage
Section 1 : Courbe de Philips
Section 2 : l’interprétation de la courbe de Philips selon Paul Samuelson et Robert Solow
Section 3 : l’interprétation de la courbe de Philips selon Keynes
Section 4 : l’interprétation de la courbe de Philips selon M Friedman
Chapitre VI : les conséquences de l’inflation
Section 1 : Conséquences de l’inflation pour les ménages
Section 2 : les conséquences de l’inflation pour les entreprises
Chapitre VII : les politique pour lutter contre l’inflation
Section 1 : la politique pour lutter contre l’inflation provoquée par une augmentation de la masse monétaire
Section 2 : la politique pour lutter contre l’inflation sur la demande
Section 3 : la politique pour lutter contre l’inflation par le cout
Section 4 : la politique pour lutter contre l’inflation importée
Section 5 : la politique pour lutter contre l’inflation causée par l’augmentation de taux de change
Deuxième partie : Modèle économétrique de l’inflation à Madagascar
Chapitre I : les choix du modèle économiques et des variables
Chapitre II : l’analyse de l’inflation
Chapitre III : les statistiques descriptives
Section 1 : les moyennes, les variances et les écarts types
Section 2 : les corrélations
Chapitre IV : les estimations et ses tests
Chapitre V : l’analyse des erreurs
Section 1 : le test de normalité des erreurs
Section 2 : le test d’homoscédasticité du résidu
Chapitre VI : les mesures à prendre pour lutter contre l’inflation
Conclusion
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *