L’IMPACT DE LA REALISATION DU PROGRAMME D’INVESTISSEMENT PUBLIC SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE DE MADAGASCAR

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L’anticipation et risque

Le plus difficile dans la décision d’investissement est de prévoir les recettes futures. Dans certains cas, il existe des risques technologiques. Il est possible que l’entreprise utilise une technologie nouvelle qui pourrait se révéler non fiable.
Dans la plupart des cas, il y a des risques liés au marché. Existe-t-il un marché pour le produit ? à quel prix il sera vendu ? Quelle rémunération les salariés demanderont-ils dans l’avenir ? Quels seront le prix de l’électricité et des autres facteurs de production ? Donc l’entreprise doit admettre qu’il existe une part d’incertitude

Le rôle de l’investissement dans l’activité économique

D’après l’équilibre général Y=C+I+S avec Y représente les dépenses, on constate que l’investissement fait partie de la dépense.
 L’investissement par l’intermédiaire de son rôle de dépense accroît la consommation et donc la production.
 Le second rôle de l’investissement dans l’activité économique ce qu’il permet
d’accroître les capacités productives du pays et améliore sa productivité en tant que facteur de production.
En effet, il est le moteur de la croissance économique d’une nation.

Comment augmenter la production ?

Pour produire, nous savons tous ce qu’il faut combiner les équipements ou bien de production, appelés capital technique, et le travail effectué par l’homme en général qu’on appelle aussi capital humain.
Pour produire plus, ou encore réaliser la croissance économique, il faut en conséquence agrandir et /ou améliorer ces capitaux au préalable.
A partir de cette constatation évidente, nous pouvons expliquer aisément le processus économique qui aboutit à la croissance.
L’acte économique qui consiste à accroître le stock de capital est l’investissement.
Dans un sens large, cet investissement augmente la capacité de production d’une économie, la production future.
Prenons des exemples, pour mieux comprendre l’investissement :
– si un agriculteur achète un tracteur, l’objectif est d’augmenter la quantité produite, la chose est ici évidente.
– mais il faut savoir que l’investissement ne s’arrête pas là, imaginons une machine très perfectionnée entre les mains de quelqu’un qui ne sait pas l’utiliser, aucune augmentation de la production ne s’ensuivra, ainsi les dépenses effectuées dans l’éducation, la formation…peuvent être considérées comme des investissements.
– Enfin, toutes les dépense qui contribuent de près ou de loin à l’accroissement de la productivité et donc de la production. Il en est ainsi des dépenses effectuées pour les soins médicaux, le sport et même le confort individuel (logement…..).
Finalement, n’importe quel individu, agent économique (ménage, administration, entreprise…) peuvent contribuer à la croissance économique en investissant.
La réponse à la question de départ serait incomplète si on ne parle pas de l’ »EPARGNE ». On la définit comme « la partie du revenu disponible d’un agent économique qui n’a pas été consommée » : EPARGNE= Revenu disponible – Consommation
L’équilibre de l’économie veut l’égalité entre « épargne » et « investissement ».
Nous dirons que l’investissement qui se traduit dans la réalité par des dépenses est financé pour une grande part par l’épargne. Par exemple, l’impôt (qui est une forme d’épargne pour l’individu) que nous payons à l’Etat sert généralement à construire des écoles, des hôpitaux … ce qui constitue des investissements.
Dans le cas de la croissance économique on parle alors de « cercle vertueux »(ou bienfaiteur) de la croissance qui correspond à l’enrichissement du pays suivant un mouvement auto-entretenu.

ROLE DE L’INVESTISSEMENT PUBLIC DANS LA CROISSANCE ECONOMIQUE

Ce rôle fait parti de la fonction du secteur public assumée par les administrations publiques en produisant des services dispensés gratuitement à la collectivité, ou moyennant un prix très inférieur au coût de revient. Ces services sont appelés non marchands, par opposition aux services marchands, qui, eux, au contraire, sont vendus au consommateur. Ces administrations publiques comprennent :
– les administrations publiques centrales ; c’est-à-dire l’Etat avec ses services traditionnels : éducation nationale, armée, justice,……..
Notons toutefois que les administrations qui se comportent comme une entreprise et vendent leurs services aux publiques.
– les administrations publiques locales : régions, département et communes, qui ont leur budget propre et qui participe à l’équipement routier, scolaire, hospitalier, sportifs, culturel, etc.
Les recettes de ces administrations publiques sont pour l’essentiel constituées par les impôts versés par les ménages et les entreprises.

Nature de l’investissement public

Une analyse économique du rôle de l’investissement public doit nécessaire analyser sous deux angles ; l’investissement public :
 Permet d’augmenter le facteur capital en complémentarité avec le facteur travail pour aboutir à une croissance économique compatible à une situation de plein emploi.
 Induit une augmentation de la demande et du revenu et par conséquent une augmentation de l’épargne et une augmentation du renforcement du capital.

Investissement public et ses fonctions

La dépense en investissement est l’un des principaux instruments de la politique économique qui consiste donc à assurer le meilleur état possible de l’économie.

Fonction d’allocation

L’investissement est l’un des instrument de la politique économique qui est l’ensemble des décisions de pouvoirs publics qui visent à orienter l’activité et les équilibres économiques dans un sens jugé souhaitable aux yeux de tous. Cette politique aussi c’est la discipline qui s’occupe des choix stratégiques que l’Etat doit faire et des instruments qu’il peut employer afin de corriger les déséquilibres conjoncturels et structurels qui peuvent exister dans une économie.
La direction de cet investissement a comme point de départ qui est de procéder à leur classification géographique. Cette extension est souhaitable à l’heure où les autorités mettent l’accent sur le développement régional et la décentralisation. Un tel exercice permettrait ensuite de s’interroger si la répartition régionale actuelle est optimale. Dans ce sens, les autorités malgaches pourraient s’inspirer du Brésil où l’allocation régionale des investissements dans le secteur de la santé est guidée selon par les critères suivants : (i) la taille de la région qui est déterminée par sa population et (ii) les besoins exprimés par chaque région. Les résultats obtenus permettraient d’évaluer si la distribution actuelle correspond à celle suggérée par cette approche.

Fonction de régulation

Le programme de politique économique consiste donc à supprimer de tels freins pour libérer l’offre et la conduire à assurer des niveaux d’activités plus élevés :
o Réduire la pression fiscale et maîtrise des dépenses publiques
o Réduire les transferts et les incitations à l’inactivité
o Réduire la réglementation et l’administration
o Libéralisation financière et liberté de prix
o Maitrise de l’inflation
L’investissement public en tant qu’instrument de la politique économique de l’Etat vise donc à atteindre les objectifs primordiaux en l’appliquant selon les deux types de cette politique.
•La politique conjoncturelle désigne toutes les interventions de l’Etat en vue de rétablir à court et à moyen terme les grands équilibres en termes de plein emploi, de croissance, etc. Par exemple, les pouvoirs publics peuvent choisir ponctuellement d’augmenter les investissements publics pour lutter contre une croissance insuffisante.
•La politique structurelle vise quant à elle à modifier en profondeur et sur le long terme des combinaisons productives d’une économie. C’est ainsi que les pouvoirs publics aménagent le territoire par des infrastructures de communication, favorisent l’innovation technologique, investissent dans l’éducation.

Finances publiques et croissance

L’Etat en s’intervenant sur les investissements fait appel à la politique budgétaire qui peut servir à stimuler la demande globale et à relancer une économie stagnante. Ainsi l’endettement public élevé s’explique par l’augmentation du déficit budgétaire entrainant une baisse de l’investissement et de la consommation privée.
En fait, plusieurs études sur des pays de l’OCDE montrent qu’une réduction du déficit budgétaire peut accélérer la croissance lorsque l’endettement public est élevé et insoutenable. Il faut donc nécessaire de mettre en œuvre une politique d’investissement pour combler ces lacunes.

effet d’éviction

L’augmentation des dépenses publiques conduit à une hausse des taux d’intérêts aboutit à comprimer les dépenses d’investissements publiques, on assiste seulement à une restructuration du partage public/privé ce qui risque d’influer la croissance économique.

Théorie de croissance endogène (ROMER, LUCAS et MANKIW)

Suggestions des différents auteurs

Approche de ROMER et LUCAS

Selon ROMER et LUCAS, la croissance économique trouve sa source dans des activités à effets externes positifs, comme l’INVESTISSEMENT, en richesse et en développement, en capital humain (santé, éducation), ou en infrastructure de base (écoles, routes, hôpitaux, ports…).
Dans cette perspective, l’intervention publique peut influer indirectement sur le taux de croissance en réduisant l’écart entre rendement social et rendement privé de l’investissement.

Approche de MANKIW

D’après MANKIW, la théorie de croissance endogène répond à la question : « Pourquoi la croissance économique tend vers un développement ? » On ne s’était pas développé parce que l’origine de la croissance est extérieure (économie extraverti).
La clé du développement économique, c’est la consommation, l’investissement car ceux-ci favorisent l’augmentation du revenu par tête. Ce sont les investisseurs étrangers qui étaient dominant, autrement dit, la croissance vient de l’extérieur.

Autres approches

La croissance endogène n’existe pas selon ROMER car la connaissance est limitée. Dans cette théorie, il y a ce qu’on appelle l’endogéneisation du progrès technique.
Le progrès technique vient toujours de l’extérieur : c’est exogène, donc il faut l’endogéneiser. Dans le modèle de SOLOW, le progrès technique est exogène. ROMER a essayer d’endogéneiser le progrès technique de SOLOW : il faut que les investisseurs nationaux introduisent des idées et il faut que ses inventions sont rémunérés. Les inventaires sont intéressés pour le profit. Il faut exploiter les ressources naturelles dans les pays pour avoir du capital.
La base du développement économique : c’est la spécialisation qui permet d’accumuler du capital. Cette spécialisation est expliquée par Adam SMITH et RICARDO :
Pour Adam SMITH, il fait se spécialiser dans la production des biens et services où le pays a un avantage absolu.
RICARDO développe le concept des avantages comparatives, il a dit les pays n’ont pas un avantage absolu, ils ont un avantage relatifs.
Dans cette théorie, on doit aussi considérer la technologie qui est toutes nouvelles découvertes scientifiques.
Etant donné que la technologie se base de l’investissement, l’individu privé ne peut pas financer cette technologie. Le retard technologique se manifeste par l’écart technologique qui est le signe de sous développement.
Cela nous permet de dire que, Madagascar ne se développe pas si le gouvernement s’engage à financer cette nouvelle car on n’a jamais fait pendant quelques années des découvertes scientifiques.

Place de l’Etat dans la théorie économique

Exercice de pouvoir

Dans le processus de prise de décisions collectives ou politique, il est utile d’analyser le pouvoir exercé par l’Etat. L’exercice du pouvoir est souvent appréhender par la force ou la faiblesse de l’Etat vis-à-vis de l’activité économique.
 Indépendance ou dépendance de l’Etat
Dans les pays en voie de développement, l’Etat n’a pas l’autorité suffisant pour arbitrer les intérêts de différents acteurs ou agents économique. L’Etat prend des décisions impopulaires. Exemple : Cas de Madagascar durant la mise en œuvre du PAS. Par conséquent, il y a également dépendance de l’Etat vis-à-vis des autres acteurs.
Au niveau international, les PED comme Madagascar ont une grande dépendance vis-à-vis des bailleurs de fonds dans la processus d’hiérarchisation des décisions politiques.
 Faiblesse de l’Etat et corruption
Dans les PED, l’Etat (administration publique, entreprise et système de sécurité social) est souvent considéré comme corrompu.
Corruption : utilisation de puissance de pouvoir public en vue d’enrichissement personnel c’est-à-dire l’utilisation parallèle par les agents de l’Etat qui concrétisent la dysfonctionnement de l’administration publique.
La question vient de savoir : quelle est la conséquence de la corruption sur la production de biens et services collectifs sur la lutte contre la pauvreté ?
Les causes de la corruption sont à la fois d’ordre interne et externe : extensions de la politique traditionnelle de don ; liée à l’insécurité économique ou financière des agents de l’Etat. Donc, il y a la corruption des dirigeants surtout le décideur politique. Exemple : lors d’une passation de marché ou d’un recouvrement fiscal.

Exemple d’expression de pouvoir de l’Etat

 Planification ou politique de développement
L’expression de pouvoir de l’Etat dans l’économie est la planification. Dans ce cas là, il faut voir le rôle économique de planification du développement d’une part et la pratique de la planification dans le contexte du sous-développement d’autre part.
 Dépense de l’Etat et croissance économique
En attente de réflexion ou d’élément d’analyse entre les actions de l’Etat et la croissance économique, il faut voir la place de l’Etat dans la théorie économique.
La théorie de la croissance économique a pour objet de définir l’origine de la croissance économique. Il y a alors quelques modèles apportés par des différents auteurs qui expliquent la genèse de la croissance économique :
– première génération du modèle de croissance économique et du rôle de l’Etat Modèle de SOLOW (1957)
Dans ce modèle, il décrit que la croissance économique est fonction de capital, travail, et un facteur résiduel appelé « progrès ». Dans les pays développés, le facteur capital et le facteur résiduel sont importants. Par contre, dans les PED, le facteur travail est abondant. Donc, dans les PED, l’Etat intervient rarement sur le facteur capital et résiduel. Le rôle de l’Etat se limite sur la valorisation du facteur travail, c’est-à-dire élaboration d’une politique intégrant plus de main d’œuvre.
Dans les PED, la politique de l’Etat a été axée notamment sur la construction des infrastructures économiques et sociales.
Exemple : route, barrage, école….
Mais le rôle attribué à l’investissement public est ambigüe.
Modèle de HARROD – DOMAR
La double nature de l’investissement public :
Une analyse économique du rôle de l’investissement public doit nécessaire analyser sous deux angles ; l’investissement public :
Permet d’augmenter le facteur capital en complémentarité avec le facteur travail pour aboutir à une croissance économique compatible à une situation de plein emploi.
Induit une augmentation de la demande et du revenu et par conséquent une augmentation de l’épargne et une augmentation du renforcement du capital.
D’après HARROD – DOMAR, la croissance économique optimale est obtenue lorsque le taux de croissance du capital est garanti par un taux de croissance de l’épargne et correspond au taux de l’offre de travail.
Dans ce cas là, le rôle de l’Etat doit contribuer de façon indirecte l’augmentation de l’épargne ou contrôler l’offre de travail.
-deuxième génération de modèle de croissance économique : ARROW-UZAWA ARROW et les autres auteurs s’efforcent de remédier aux défauts des analyses antérieures. Le progrès technique est explicite et modélisé de façon à introduire des explications précises. Pour ARROW, le progrès technique est modélisé sous la forme d’un apprentissage de la pratique c’est-à-dire par l’intermédiaire de la pratique.
Il est également le modèle d’UZAWA, le progrès technique est incorporé sous forme d’investissement en activité productrice de savoir. Lorsqu’on intègre les enseignements de deux modèles, il apparaît que l’Etat doit mener des actions pour favoriser en mettant l’expérience et le savoir.
-troisième génération de modèle de croissance : ROMER, LUCAS, SHELL (1968, 1988)
On parle de plus en plus d’externalité et du capital humain c’est-à-dire le coût externe de production et de consommation.
Le cadre d’analyse pose l’existence d’économie d’échelle et des effets externes. Même si l’intervention de l’Etat y reste indirecte. Il existe toujours la présence des biens publics sous forme d’externalité (éducation, qui est une externalité positive).
Le rôle de l’Etat est orienté sur le financement des activités de recherche et développement provoquant une accumulation des connaissances.
-quatrième génération de la croissance : BARRO (1990)
Dans ce cas là, les dépenses publiques sont directement incluses dans la fonction de production à savoir Y=f(K, L, h) ; avec h c’est la contribution des activités de l’Etat sur les dépenses publiques, plus précisément au niveau des dépenses publiques par tête ; h induit des effets d’échelle sur le rendement de facteur de production.
Il faut ici tenir compte de l’efficacité marginale des dépenses publiques.
Dans ce modèle, on attend beaucoup du capital humain. L’Etat joue un rôle dans la croissance si les dépenses publiques sont biens choisies et si les politiques fiscales sont bien orientées (ne modifie pas le comportement des agents économiques dans l’allocation des ressources).
Dans ce premier chapitre, l’analyse se base l’approche théorique de l’investissement et la croissance ; plus particulièrement sur les généralités et les rôles de l’investissement public dans la croissance économique. Nous voyons alors que l’investissement public assume une place et a un rôle important dans le processus de développement d’un pays. Il est nécessaire donc d’analyser la capacité de l’Etat en faisant la pratique de dépense en investissement et l’apport de la réalisation de cet investissement là au PIB. C’est pour cela que nous suggérons à l’analyse de la deuxième partie portant l’impact de la réalisation du programme d’investissement public sur la croissance économique de Madagascar.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : APPROCHES THEORIQUES BASANT SUR L’INVESTISSEMENT ET CROISSANCE
Chapitre I : GENERALITES SUR LES INVESTISSEMENTS
I-1 : Définitions et différents types d’investissements
I-1.1 : Définitions
I-1.2 : Les différents types d’investissements
I-2 : Théorie de l’investissement
I-2.1 : La Formation Brute des Capitaux Fixes : L’investissement
I-2.2 : La fonction d’investissement
Chapitre II : ROLE DE L’INVESTISSEMENT PUBLIC DANS LA CROISSANCE ECONOMIQUE
II-1 : Nature de l’investissement public
II-2 : Investissement public et ses fonctions
II-2.1 : Fonction d’allocation
II-2.2 : Fonction de régulation
II-3 : Théorie de croissance endogène (ROMER, LUCAS et MANKIW)
II-3.1 : Suggestions des differents auteurs
II-3.2 : Place de l’etat dans la theorie economique
PARTIE II : L’IMPACT DE LA REALISATION DU PROGRAMME D’INVESTISSEMENT PUBLIC SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE DE MADAGASCAR
Chapitre III : LA POLITIQUE D’INVESTISSEMENT DE L’ETAT
III-1 : Objectifs et mesures
III-1.1 Le contenu des projets d’investissements publics
III-1.2 : Environnement global et les stratégies sectorielles
III-1.3 : Les critères du choix des projets
III-1.4 : Perspectives et mesures concernant le PIP
III-1.5 : Autres procédures
III-2 : Allocation de l’investissement ou la différence entre intention et réalité
III-2.1 : L’allocation du budget d’investissement par fonction
III-2.2 : Est-ce que la composition de l’investissement est alignée sur les objectifs du pays ?
III-3 : Gestion financière du budget d’investissement
Chapitre IV : Evaluation du PIP entre 2000-2010
IV-1 : Faiblesse des investissements publics à Madagascar
IV-2 : La dépendance des investissements à l’aide extérieur
Chapitre V : RESULTAT DE L’EXECUTION DU PIP PENDANT LA PERIODE 2002-2011
V-1 : Situation de l’économie Malagasy entre 2002-2011
V-2 : Apport du PIP 2000-2010 à l’économie Malagasy
V-3 : Analyses descriptives et études économétrique concernant la distribution des investissements publics et la croissance économique.
V-3.1 : Analyse descriptive
V-3.2 : Etude économétrique
CONCLUSION
Bibliographie

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