L’histoire cherche depuis très longtemps sa place dans l’univers de l’enseignement. Elle n’est pas une discipline à part entière enseignée à l’école avant 1830 (Bianchi.Serge, 2004, P2). Elle était un moyen politique pour légitimer des régimes ou un moyen pour faire l’éloge d’un exploit. Chaque régime trouve dans la place de l’histoire un révélateur de priorité politique et morale de l’époque considérée. Mais la considération de l’histoire évolue avec le temps et avec les événements. La situation de classe d’histoire en France pendant la troisième république est différente de celle de l’après-guerre. Beaucoup de moyens sont déployés pour éviter la pratique d’enseignement ex cathedra. Le monologue perdure beaucoup du temps même si l’on incite les enseignants à adopter le cours dialogue, recommandé à partir de 1923 (Boulet. Gilles, 2012, p.1). Au lendemain de la seconde guerre mondiale, des aspirations à une éducation nouvelle se font pressantes pour mobiliser la curiosité des élèves. A partir de ce moment, il est recommandé que les élèves se familiarisent avec des documents à travers la pédagogie active et une activité collective. C’est à partir de cette optique que le choix sur l’utilisation de l’image dans l’enseignement de l’histoire mérite d’être étudiée et analysée.
Au fil des ans, des chercheurs ont consacré beaucoup de temps à identifier des outils, des moyens, des méthodes qui facilitent et favorisent l’apprentissage. La réflexion entre image et enseignement, entre média et pédagogie, entre technologie de communication et contexte d’utilisation est amorcée au XIXe siècle (Boulet. Gilles, 2012, p.1). Johan Amos Comenius est le précurseur de la réflexion théorique de l’intégration d’image comme composant de l’enseignement. Il propose l’association de l’image avec le mot dans l’enseignement du latin en 1658. Comenius ne néglige pas toutes les facultés possibles pour éveiller l’intérêt d’un apprentissage. Il porte beaucoup d’intérêt aussi à la façon d’apprendre. Pour lui, l’efficacité ne se repose seulement sur le plan quantitatif et qualitatif de matériel mais aussi sur la façon de l’exploiter aussi.
APERÇU HISTORIQUE ET APPROCHE THEORIQUE DE L’IMAGE
L’Image, sous ses différentes formes iconiques, est un support utilisé dans divers domaines : culturel, économique, politique et autres.Elle est exploitée différemment dans chaque domaine. Elle joue le rôle d’un support informatif, un outil de communication, un moyen d’expression personnelle, un instrument de conditionnement commercial, un document publicitaire et un instrument politique.L’image est un support qui pose beaucoup de questions au niveau de l’enseignement/apprentissage de l’histoire et spécifiquement au lycée. Ces questions sont dues aux multiples facettes de l’image, car il n’existe pas d’image à vocation «universelle » qui serait appréciée de la même façon par tous les publics auxquels elle est destinée.Elle possède un caractère culturel spécifique qui varie selon l’appartenance aux sociétés et à leurs cultures.
L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE ET LES DOCUMENTS
L’HISTOIRE AU LYCEE
La nature de l’Histoire
Par son sens étymologique du mot grec « HISTORIA » qui signifie « enquête »; le terme « histoire » est apparu en français au XIVème siècle. « HISTORIA » est le titre du premier livre d’histoire écrit au Ve siècle par l’historien grec Hérodote, considéré comme le père de la science historique. « L’Histoire rêve d’être une science, mettre de l’événement, capable de l’organiser ou du moins d’en rendre compte » (Grawitz. M, 1974). Comme toute science, elle doit se plier aux exigences de la science, c’est-à-dire, être valide, vraie. Si la connaissance de la vérité historique n’est qu’un idéal, elle ambitionne de rechercher la véritéet elle met ainsi en avant le principe de la vérité et de son intelligibilité. Cette recherche apparaît à travers la reconstruction et la recomposition des faits. A cet égard, il est essentiel de bien observer, de bien analyser et de bien expliquer ces faits.La vérité que l’Histoire prône est également synonyme de réalisme, de curiosité et d’objectivité. « Le chercheur pose tout d’abord une question qui constitue la problématique. Il part du présent. Il émet par la suite des hypothèses pour soutenir et justifier ces hypothèses, il doit consulter les sources qui sont les restes du passé. Donc il doit se documenter » (Grawitz. M, 1974). Après avoir émis des hypothèses, l’historien rédige tout le travail et essaie de reformuler la vérité.
Cependant, l’Histoire ne se résume pas seulement à une connaissance factuelle, elle repose également sur un autre impératif : la date et la chronologie qui suggèrent un souci d’ordre et de rangement. C’est une science de datation, ce qui contribue à satisfaire à ce principe de vérité. En outre, l’Histoire manipule des concepts spécifiques. Elle utilise toutes les ressources de la langue comme la rhétorique, les figures de mots, et les figures de pensée. Comme toute science, elle a ses concepts et ses terminologies propres élaborés par les historiens. Elle emploie également des concepts dont le sens évolue. En plus, l’Histoire est une science qui touche plusieurs domaines, celui des sciences auxiliaires à savoir la démographie, la sociologie, la théologie, le droit international. Ces caractéristiques auront des implications sur l’Histoire quand elle devient une discipline scolaire. En tant que discipline scolaire : « l’Histoire est une discipline indispensable à l’éducation de l’esprit, à l’éveil du sens social, à la conservation au sein de la communauté nationale d’une conscience éclairée de son éminente dignité » (REINHARD M : 1967) .
Le pourquoi de l’enseignement de l’Histoire au Lycée
L’enseignement de l’Histoire a du mal à trouver sa place. Quand la lutte contre le surmenage scolaire est à l’ordre du jour en 1929, l’Histoire figure en première ligne au rang des accusés. Certains voient de la perte du temps pour une discipline qui ne donne pas naissance à une construction structurée du savoir mais une accumulation encyclopédique de fait (Philippe. Marchand, 2002). De tels propos conduisent à penser que l’enseignement de l’Histoire sollicite donc plus la mémoire, une mémoire qui fait retenir des dates, des événements et des personnages dont on pense qu’ils constituent une grille de lecture du monde. Cependant, les objectifs d’orientation de l’enseignement de l’Histoire au lycée révèlent la valeur éducative et instructive de la matière et reflète la valeur épistémologique de l’Histoire. D’après le programme scolaire mis en application depuis 1995 ; neuf objectifs conditionnent la discipline de l’Histoire au lycée. Ces objectifs amènent les élèves à:
*Acquérir les concepts de base en histoire ;
*comprendre la diversité des conditions matérielles et socioculturelles qui influencent l’évolution de la société ;
*pouvoir se situer dans le temps et dans l’espace ;
*être sensible aux réalisations humaines nationales et étrangères ;
*développer son esprit de curiosité ;
*faire preuve d’esprit critique et de tolérance ;
*acquérir la capacité de raisonnement devant un problème historique ;
*utiliser les ressources documentaires et les traduire éventuellement par des supports visuels ;
*élaborer une synthèse des connaissances et méthodes acquises en histoire.
Et après le lycée, l’élève doit être capable de :
∗ Comprendre le monde d’aujourd’hui dans sa diversité et dans son unité ;
∗ Identifier les relations de causes à effets de l’histoire ;
∗ Sélectionner les informations ;
∗ Distinguer fait et opinion en histoire
∗ S’informer pour développer l’esprit critique.
Ces cinq derniers points révèlent le profil d’un jeune sortant de lycée.
LES DOCUMENTS DANS L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE
Définition et typologie des documents
Étymologiquement le mot « document » est issu du latin « documentum », ce qui sertà instruire, d’où le sens contemporain (selon le Petit Robert) : « Tout ce qui sert de preuve, de témoignage ». Au sens pratique du terme, un document est tout support pédagogique de travail permettant de transmettre des connaissances et de faire acquérir des compétences méthodologiques. L’usage de ce mot est donc devenu très extensif. Il en vient même à parler de « document » pour désigner toute information qui circule, notamment sous forme d’une fiche polycopiée. Le mot est par ailleurs peut-être spontanément plus usité en histoire. On retient avec Marrou Henri-Iréné(1967, p.7) que le document est « toute source d’information dont l’esprit de l’historien sait tirer quelque chose pour la connaissance du passé humain. En un mot, tout ce qui dans l’héritage subsistant du passé, peut être interprété comme un indice révélant quelque chose de la présence, de l’activité, de sentiments, de la mentalité de l’homme d’autrefois entre dans notre documentation». Il y a donc plusieurs types des documents pour l’histoire et si l’on veut mieux décider de formes d’utilisation du document avec des élèves, il convient par conséquent de dresser une typologie.
Le premier, le document source (Delporte.Ch,Gachet Marie-Claire 2011) est le document par excellence. C’est l’outil à partir duquel travaille le chercheur en histoire, souvent un texte ou un document iconographique. Ce type de document est souvent difficile à étudier avec les élèves. Il nécessiterait un apprentissage qui ne relève pas des objectifs centraux de l’enseignement secondaire.
Le second type de document est le document produit de la recherche (Delporte.Ch,Gachet Marie-Claire 2011). On y trouve tout document extrait de la publication d’un universitaire : texte, graphique, tableau statistique, croquis, schéma, etc. Il pose souvent le même problème de compréhension par les élèves.
Le troisième type de document est le document sélectionné dans l’actualité par le pédagogue (Delporte.Ch,Gachet Marie-Claire 2011). Sélection d’un article de journal, d’un document de communication voire de publicité.
Le dernier type est le document construit par un pédagogue, auteur de manuel ou professeur(Delporte.Ch,Gachet Marie-Claire 2011). Il peut s’agir d’un document adapté, de manière plus ou moins inavouée, pour rendre les deux premières catégories de documents accessibles aux élèves. Il s’agit très fréquemment des textes adaptés dans le sens de la simplification. Le plus souvent, ces documents sont produits spécifiquement dans un but de travailler avec les élèves.
Les documents pourraient aussi être classifiés par ces formes :
❖ Documents visuels :
-textes imprimés de toutes sortes,
-graphiques, cartes, schémas, diagrammes, plans,
-travaux iconographies sur papier, diapositives, film fixes et muets…
– montages audio-visuels…
❖ Documents sonores :
Seulement perceptible par l’ouïe, spécifiée par l’absence de l’écriture et toute forme de perception visuelle. Il ne faut pas le confondre avec le support de stockage.
– disques,
– bandes magnétique …
– vidéodisques
– mémoires informatiques,
– montages audio-visuels…
❖ Objet :
– pièces de musée, patrimonial.
– échantillons industriels ou commerciaux…
Pour l’enseignant d’histoire, tout document historique est document ; il doit sensibiliser les élèves à tous les types de document dont se servent les historiens pour écrire l’histoire et donc veiller à leur véracité et leur diversité. Le travail doit se faire à partir de documents sources, authentiques ou médiatisés. Selon M. Clary et C. Genin, dans « Enseigner l’histoire à l’école ? », in « Istra-Hachette », 1991.
Marrou. H.I. affirme, in « L’histoire et ses méthodes », en 1961, « est document toute source d’information dont l’esprit de l’historien sait tirer quelque chose pour la connaissance du passé humain… » .
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : APERÇU HISTORIQUE ET APPROCHE THEORIQUE DE L’IMAGE
INTRODUCTION DE LA PREMIEREPARTIE
CHAPITRE I : L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE ET LES DOCUMENTS
1. L’Histoire au lycée
1.1 Nature de l’histoire
1.2 Pourquoi de l’enseignement de l’histoire au lycée
2. LES DOCUMENTS DANS L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE
2.1. Définition et typologie des documents
2.2 Document visuels
2.2.1 Définition
2.2.2 Intérêt de l’utilisation des documents visuels
2.2.2.1 Intérêt didactique et pédagogique
2.2.2.2 Apport psychologique
CHAPITRE II/ DE QUEL DOCUMENT S’AGIT-IL ?
1. LES DOCUMENTS IMAGES
1.1 Essaie de définition
1.1.1 Le niveau dénotatif
1.1.2 Le niveau connotatif
2. Bref historique de l’Image
2.1L’homme et l’Image à travers le temps
2.1.2 Image et l’évolution technologique
2.2 Analyse conceptuelle
2.2.1 Image ennemi de l’enseignement/apprentissage
2.2.2 L’image au sein même de l’enseignement/apprentissage
2.3 Typologie d’image
2.3.1 Les images fixes
2.3.2 Les images animées
2.4La nécessité de l’utilisation des documents imagés dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire et la précaution nécessaire
2.4.1 La double facette de l’Image en enseignement/apprentissage de l’histoire
2.4.2 Image de l’image dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2.4.3 intérêt pédagogique et didactique de l’image
2.4.4 Les images sont accessibles à tous
2.4.5 L’Image comme substitut du terrain et d’évènement
2.4.6 L’Image comme outil de mémorisation
2.4.7 L’Image comme aide aux élèves en difficultés
2.4.8 Apport psychologique et didactique de l’Image
2.5Fonction didactique et pédagogique des mages
2.5.1 Les images comme illustration de la leçon
2.5.2 L’image comme source d’information
2.5.3 L’image comme trace écrite
2.5.4 L’image comme support d’évaluation
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE PRESENTATION DUCADRE ET ETAT DES LIEUX EN MATIERE D’UTILISATION D’IMAGE DANS L’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L’HISTOIRE
INTRODUCTION DE LA DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE
1 Historique et situation géographique, administratif du lycée Jean Joseph RABEARIVELO
1.2 Bref historique du lycée JJ R
1.3 Développement du lycée dans le temps et dans l’espace
1.4 Situations du lycée
1.4.1 Infrastructure du lycée
1.4.2 Personnel administratif
1.4.3 Personnel enseignant
1.4.4 Les élèves/apprenants
CHAPITRE II : LES INVESTIGATIONS AU NIVEAU DES ENSEIGNANTS ETLES RESPONSABLES
1 Les moyens didactiques au niveau du lycée
1.1 La salle de projection ou le laboratoire d’histoire géographie
1.1.1 Présentation de la salle de projection
1.1.2 L’organisation de la salle de projection
1.1.3 L’exploitation de la salle de projection
1.2 La salle informatique
1.3 Le centre de documentation et d’information (CDI)
1.3.1 Organisation du travail
1.3.2 Les activités pédagogiques
2. Les images dans la pédagogie et didactique de l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2.1 Les types de document utilisé par les professeurs
2-2 Types d’Image au service de l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2-2-1 Les images fixes au service de l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2-2-2 Les images mobiles au service de l’enseignement apprentissage de l’histoire
2-3 Exploitation didactique et pédagogique des images en classe d’histoire
2-4 Le document texte est incomplet pour l’enseignement apprentissage de l’histoire
CHAPITRE III : LES INVESTIGATIONS MENEES AUPRES DES ELEVES
1 La place des images dans le travail personnel des élèves
2 Image au niveau de travail mutuel des élèves/apprenants et les professeurs dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2.1 Modalité d’utilisation des images dans la séance d’enseignement apprentissage d’histoire
2.1.1 L’adolescent face aux images
2.1.2 L’exploitation des images au niveau des élèves et des professeurs
2.2 Efficacités de l’Image dans l’apprentissage
2.3 Les Tic dans l’enseignement apprentissage de l’histoire
2.3.1 Les TIC et contexte pédagogique
2.3.2 Les TIC dans l’enseignement à Madagascar
2.3.3 Les TIC dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire
2.3.4 Les TIC et l’enseignement/apprentissage de l’histoire au lycée JJ R
2-3-4-1 L’existence des matériels TIC
2-3-4-2L’exploitation des moyens TIC dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : PROBLEMES, SOLUTIONS ET PERSPECTIVE D’AVENIR SUR L’UTILISATION DE L’IMAGE DANS L’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L’HISTOIRE
INTRODUCTION DE LA PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : PROBLEMES LIES A L’EXPLOITATION DE L’IMAGE DANS L’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L’HISTOIRE
1 Problème des infrastructures et des moyens
1.1 Problème au niveau de la salle de projection
1.1.2Inadéquation entre l’horaire et le nombre de section
1.1.3 Les images au niveau de document dans la salle de projection
1.1.4 Le problème au niveau de la salle informatique
1.2 Le problème au niveau du CDI
1-2-1Ordre et gérance du CDI
1.2.2 Les problèmes au niveau des élèves et le CDI
1.3 Problème au niveau de l’utilisation de tablette
1.4 Problème au niveau de l’exploitation des moyens personnel
2 Problème d’ordre pédagogique et didactique
2.1 L’inadéquation du programme et l’horaire
2.2 Manque de formation continue
3. Problème budgétaire
4. Problème au niveau du système éducatif
CHAPITRE II : SOLUTIONS PROPOSEES A L’EXPLOITATION D’IMAGE AU NIVEAU DE L’ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L’HISTOIRE
1. Les motivations des élèves et les enseignants à l’exploitation des images dans l’enseignement apprentissage de l’histoire
1.1 Amélioration de l’espace, l’accessibilité et le rôle de la salle de projection
1.2 Facilitation des travaux des enseignants
1.3 Réorganisation de l’orientation de la salle informatique et le CDI
2. L’Etat vulgarise et favorise la place d’image dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire avec la nouvelle technologie
2.1 2-1 Aménagement le programme selon le texte d’orientation
2.2 Le soutien et la perfection professionnelle
2.2.1 Forger la connaissance sur l’analyse des images fixes
2.2.2 Forger la connaissance sur l’analyse des images mobiles
2.3 Soutien budgétaire et matériel
CHAPITRE III PERSPECTIVE SUR L’IMAGE ET ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L’HISTOIRE
1 Les TIC et les nouvelles technologies élargissent l’horizon des images dans l’enseignement
1.2 Les informations libres forgent l’autonomie des apprenants
1.3 L’acquisition des matériels et l’amélioration de ratio ordinateur/élève
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE