L’héritage de la révolution industrielle dans la fabrique de l’urbain

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Les effets de la mutation de la société sur la configuration des villes

L’émergence de la société de consommation

Sous l’impulsion de la révolution industrielle évoquée précédemment et des apports énergétiques considérables, les activités humaines se sont développées, pour passer d’une majorité agricole et artisanale produisant les denrées essentielles à la vie, à une société industrielle et commerciale favorisant la production en grandes quantités de biens de consommation. Les améliorations de la condition humaine, par la hausse progressive des salaires permettent de développer la société de consommation, qui perpétue la croissance des industries, et nourrit peu à peu l’émergence de la tertiarisation pour la gestion pécuniaire des opérations. Tous ces changements rapides dans l’organisation de la civilisation impliquent une adaptation des lieux de vie, dont la construction fait appel à des ressources d’origine de plus en plus lointaine. Après la Seconde Guerre Mondiale, le progrès donne lieu à une explosion démographique, qui s’ajoute à l’exode rural et la reconstruction, dans une aspiration à de nouveaux standards de confort. Tout cela compose l’héritage patrimonial architectural et urbain avec lesquels doivent composer les planificateurs des territoires, à toutes leurs échelles.

Une nouvelle organisation du grand territoire

Ce récent modèle de société donne lieu à une organisation du territoire singulière. Celle-ci est permise par les nouveaux apports énergétiques, et contribue aux problèmes de pollution et de consommations outrancières d’énergies et de ressources, auxquelles la civilisation doit aujourd’hui faire face. Dans Changer le Monde, Jean-Marc Jancovici explique l’évolution des affectations des territoires, rendue possible par la démocratisation des transports grâce aux innovations énergétiques. «Les échanges sont bien plus faciles en ville, qu’il s’agisse des échanges de biens (commerce) ou de valeurs (règles de vie en commun, croyances) puisque tous les acteurs sont au même endroit, et que l’échange marchand peut se concrétiser par un transfert de propriété sans déplacement d’objet. Du reste, tant que les hommes n’avaient d’autre énergie que leurs propres mollets ou ceux d’un cheval quand ils étaient riches, ils ont bâti des zones urbaines denses et bien réparties sur le territoire : les échanges étaient ainsi optimisés, à la fois parce que chacun avait un lieu d’échange pas trop loin de chez soi (un bourg, un village) et parce que ces lieux étaient denses, donc efficaces pour l’échange local.
Comme l’échange de biens avait lieu au marché, et l’échange de valeurs dans les lieux de culte ou d’organisation de la vie publique, on retrouve dans à peu près tous les villages du monde une conception identique, avec ces lieux d’échanges qui occupent les places centrales ( marché, lieux de culte, résidence du chef local ou représentation du pouvoir central). (…) Puis est arrivé le pétrole et son esclave énergétique à prix bradé. Ce dernier a permis à la fois une augmentation des flux (en volume, en masse) et une augmentation des distances à temps de déplacement constant. Comme il est devenu possible de conserver des échanges efficaces dans un tissu urbain de plus en plus distendu, nous avons pu réaliser le rêve d’Alphonse Allais : mettre les villes à la campagne. Les banlieues étalées de nos agglomérations, c’est exactement cela. La civilisation de la voiture, et elle seule, a pu mettre au milieu de la pampa ( en grande banlieue) des lieux d’échanges auparavant situés en centre-ville, sans empêcher les flux de personnes qui sont à la base de leur fonctionnement : préfectures, marchés (les grandes surfaces), lycées et universités…). (…) Voilà comment nous sommes passés d’une France peuplée partout à une France concentrant la population autour de grandes villes, séparées par des champs sans haies – et des forêts dès qu’il y a du relief – sillonnés d’autoroutes et de chemins de fer à grande vitesse. Cette configuration nationale témoigne d’une mise en réseau importante, encore centrée sur Paris, sans toutefois donner lieu à une nécessaire multipolarité de petite échelle au sein même des agglomérations»1.

La forme des villes, entre centres urbains et périphéries rurales

Cette relation entre les territoires urbains et ruraux donne lieu à une organisation du territoire français qui suit des dynamiques communes, du fait d’une histoire partagée. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, la France s’est dotée d’importantes infrastructures permettant des échanges simplifiés entre les différents environnements du territoire. Il s’agit des autoroutes, des voies ferrées à grande vitesse, mais aussi des centrales de très grande production d’énergie réparties sur tout le territoire. Ces infrastructures accompagnent l’exode hyper-urbain. Celui-ci est motivé par une recherche de confort, d’espace et de salubrité par les nouvelles «classes moyennes», pour un coût de la vie moins élevé. Il est permis par une très forte augmentation du pouvoir d’achat des ménages sur cette même période.
Cette augmentation du pouvoir d’achat justifie l’aspiration massive à de plus grands espaces de vies, disponibles dans les périphéries vierges de constructions des villes. Ce nouveau modèle d’installation des populations en campagne, permet de passer de l’habitat collectif à l’habitat individuel, jusqu’à atteindre 56% des logements construits en France en 2016, selon les données de l’INSEE. Ce phénomène entraîne la dé-densification progressive des villes, tout en augmentant les besoins en transports dans les migrations pendulaires.
Si les mobilités fonctionnelles (travail, commerce, détente) peuvent se faire par le biais de mobilités douces ou partagées dans les noyaux urbains, les zones périurbaines nécessitent des déplacements presque exclusivement automobiles et individuels. Cela vient du fait de leur composition respective.
La compacité et la mixité des activités, au sein des quartiers de noyaux urbains, sont en effet plus favorables à des déplacements piétons que le zonage du territoire et la dilatation des espaces dans leurs périphéries. Ainsi se côtoient des zones industrielles, des zones commerciales de «grandes surfaces» et des zones pavillonnaires, dans lesquelles la voiture est devenue indispensable, comme l’explique Jacques Donzelot dans La ville à trois vitesses : relégation, périurbanisation, gentrification. Aujourd’hui encore, selon une enquête réalisée par l’Union des Maisons de France, 80% des français souhaitent habiter une maison individuelle malgré les problèmes environnementaux que ce modèle génère. Si le noyau urbain des villes résulte d’un développement ancien, la périurbanisation grignote toujours plus vite des terres jusqu’alors vierges de construction. Dans sa Caractérisation des espaces périurbains, Fabian de Smet déplore notamment le caractère instable de ces nouvelles entités par rapport aux formes anciennes de la planification du territoire : «La croissance relativement lente des agglomérations urbaines et rurales leur a conféré un caractère de stabilité et de permanence»1.
Ce résumé de l’évolution de la société et de la planification du territoire qu’elle implique pose les bases des consommations d’énergie contemporaines.
En effet, les modes de vie que ce modèle implique est à l’origine de plus de trois quart des consommations d’énergie en France, avec 44% de l’énergie finale consommée dans les bâtiments et 32,5% dans les transports, selon l’organisation Connaissance des Énergies.

Les sources d’énergie en ville

Du fait de leur constitution et de la diversité des activités qu’elles hébergent, les énergies consommées dans les villes sont d’origines diverses.
Elles sont essentiellement utilisées dans trois domaines, qui sont le bâtiment (deux tiers pour l’habitat, un tiers pour le tertiaire), les transports et l’industrie. Les types d’énergie nécessaires dans chacun de ces domaines, sur l’ensemble de leurs cycles de fonctionnement, sont difficiles à évaluer du fait de leur interdépendance. Chacune des filières utilise donc, de près où de loin, toutes les formes d’énergie finale, qu’il s’agisse d’énergie électrique, d’énergie thermique ou d’énergie mécanique. La production de ces énergies finales requière des énergies primaires, qui peuvent être fossiles ou renouvelables, de stock ou de flux. La France importe ainsi près de 50% de l’énergie primaire qu’elle utilise, dont l’origine est non renouvelable. Il s’agit du pétrole, du gaz, du charbon et de l’uranium naturel. Les énergies primaires disponibles sur le sol français sont de diverses natures. Il s’agit majoritairement de ressources renouvelables telles que l’énergie de l’eau, du vent, du soleil, du bois et des déchets, qui permettent la production d’énergie finale électrique ou thermique.
À partir des énergies primaires importées et produites sur son territoire, la France transforme une grande part de l’énergie qu’elle consomme, comme le montrent les illustrations ci-contre.
Dans la mesure où elles hébergent une grande partie de la population, les villes concentrent une grande partie des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre. Les besoins en énergie des espaces publics se concentrent dans les transports, la construction et le fonctionnement des aménagements, et l’éclairage public. Une grande part de l’énergie d’usage consommée dans les bâtiments revient aux systèmes de chauffage (60%), le reste allant aux usage spécifiques, de la production d’eau chaude sanitaire et à la cuisson.
Les énergies actuellement utilisées sont ainsi majoritairement issues de stocks localisés, et produites de manières centralisées. Cela entraine une dépendance des territoires entre eux, que ce soit à l’échelle internationale pour les imports de sources d’énergie, comme à l’échelle plus locale pour les échanges d’énergie utilisable. En faisant évoluer les types d’énergie utilisés et leur consommation, la transition énergétique doit notamment permettre aux territoires de disposer d’une plus grande autonomie de fonctionnement.
Celle-ci doit toutefois permettre des échanges avec les territoires voisins, pour remédier à l’intermittence de certaines énergies renouvelables telles que les énergies hydraulique, éolienne et photovoltaïque. Elle doit aussi intégrer des sources de production sans variabilité instantanée, comme le permet l’utilisation de la biomasse. Cette autonomie a notamment une influence sur la configuration de l’architecture et des formes urbaines, tel que cela sera exposé dans la suite du développement.

Les enjeux du territoire urbain dans le changement d’énergie

Une grande responsabilité des villes dans les consommations d’énergie Comme nous avons pu le constater, l’organisation territoriale actuelle résulte d’importantes évolutions sociétales, qui montre aujourd’hui des signes de faiblesse du fait d’une forte dépendance aux énergies, dont les formes actuelles de production menacent de disparaitre. Edward Goldsmith, directeur de la revue The Ecologist en Grande Bretagne, dresse, dès la fin des années 70, le portrait de l’essoufflement du modèle actuel des villes au travers de l’exemple américain: «Les symptômes de la maladie des villes passent par des faits dont il n’existe pas de solution pour y remédier. (…) Le manque de capitaux va déterminer la désagrégation de notre société industrielle. (…)
D’abord, la criminalité dans les grandes villes du Nord du fait de problèmes sociaux créés par l’industrie font fuir la bourgeoisie et donc les capitaux.
(Cela) perpétue la criminalité dans les villes désertées où il n’y a plus de ressources financières. (…) Les façons normales d’obtenir de l’énergie ont été épuisées et les systèmes devraient devenir tellement chers que personne ne pourra les payer. (…) Dans la fin des années 70, les états dépensent 50% du chiffre d’affaires du pays dans la production de l’énergie. Par conséquent, les impôts sont énormes, les entreprises ne font plus de bénéfices et donc n’investissent plus. (…) En Amérique, il y avait 1.8 trillions de dollars à investir dans les années 1980 et les 3/4 de cette somme étaient nécessaires à la production d’énergie. (…) La société industrielle doit disparaitre»1. Malgré ce portrait obscur du devenir des villes héritées de la période de l’essor industriel, l’aménagement du territoire doit évoluer de manière à permettre le développement de nouvelles pratiques d’habiter, qu’il s’agisse des manières de travailler ou de se distraire. Puisque les lieux de vie tendent à se généraliser dans des milieux urbains, le défi des villes est global au XXIe siècle. En effet, 54% de la population mondiale sont urbains en 2014, devant croitre jusqu’à 66% en 2050, pour un taux actuel de 70 à 85% de population urbaine dans les pays les plus urbanisés.
Dans les années 80, déjà, l’essentiel de l’énergie est consommée dans les zones urbaines. L’acte de séminaire ARDEPA nommé Problèmes énergétiques de la ville avance, en effet, que plus de 70% des consommations d’énergie s’effectuent sur seulement 2% du territoire. Dans le documentaire La ville durable made in France, paru en 2015, Nathalie Faure indique que 80% des gaz à effet de serre ont lieu dans les villes, au niveau des bâtiments, des mobilités et dans les cycles de vie des matériaux et des produits. Cela motive les réflexions sur la nécessité d’une transition énergétique et l’adoption au début du XXIe siècle du «facteur 4», engagement écologique visant à diviser par quatre en quarante ans (à l’horizon 2050) les émissions mondiales de gaz à effet de serre.

L’organisation de la ville économe en énergie

Ce constat stipule que les lieux de vie et d’activités des citadins doivent changer, pour permettre une plus grande perméabilité entre les environnements de travail et de repos. Cela doit permettre de réduire les consommations liées à la multiplication des environnements bâtis, et celles des mobilités qu’ils impliquent dans le quotidien de leurs usagers. C’est donc l’un des rôles des villes que d’impulser, par le biais d’une nouvelle organisation générale, de nouvelles pratiques de productions et de consommations, pour l’élaboration de nouveaux modes de vie. Le modèle actuel favorise, en effet, la production des biens de consommation et de l’énergie dans les périphéries, et leur consommation dans les centres des villes. Sous l’effet de la compétition entre les territoires, ces productions tendent à se spécifier en fonction des ressources et des savoir-faire locaux. Cela rend interdépendantes les villes à l’échelle mondiale. Ce modèle requière de nombreux transports et infrastructures, et ne permet pas l’autosuffisance des villes dans un monde où ces transports seraient amenés à se raréfier, ou à ne plus permettre de tels échanges de masse. Les villes doivent alors reconsidérer leurs modes d’approvisionnement et leur manière d’échanger avec leurs périphéries, des plus immédiates aux plus lointaines.
En intégrant les productions des biens de consommation les plus courants au sein même de leurs quartiers, les villes doivent gagner en autonomie à toutes les échelles, et réduire la circulation de matières et les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs. Par la multiplication des productions à petite échelle, cela doit contribuer au recul de l’industrialisation, en faveur de l’artisanat sous toutes ses formes. Ces petites unités de production sont alors plus intégrables dans les tissus urbains denses, et contribuent à une plus grande sédentarisation au sein des quartiers, au profit d’une plus grande sociabilité. Un tel modèle doit également entraîner un recul de la part d’activités tertiaires (mais pas de services de proximités), dont l’existence repose sur les surproductions liées aux énergies fossiles, tel que nous avons pu le voir précédemment. Même si ces propositions semblent encore utopiques, le développement de nouveaux projets architecturaux et urbains, tels qu’ils seront introduits dans les prochaines parties, tendent à favoriser ces types de comportements dans l’organisation des nouvelles entités urbaines.

La transition par l’existant

En renforçant les polarités des villes par une nouvelle organisation du logement et des activités environnantes, il s’agit de recentrer les populations  sur leur lieu de vie, et de recréer un esprit de communauté. La ville joue alors un rôle fédérateur, en fixant les règles de «bien vivre» ensemble en son sein, qui permettent aux usagers de contribuer à l’évolution des environnements, tout en considérant le bâti existant. En effet, toutes ces mutations doivent prendre place dans un tissu urbain construit, marqué par des évolutions historiques, dont les nouveaux aménagements ne peuvent se dissocier totalement. Dans sa conférence sur La ville productive, Djamel Klouche parle d’«urbanisme recomposé»1, qui prône un travail contextuel plus que typologique, de «faire avec» plutôt que de destruction, dont l’impact sur  la ville et ses usages se fait par l’intervention de «microprojets» dispersés dans la ville. Patrick Bouchain, dans le documentaire La ville durable made in France, parle de l’importance d’intégrer l’existant dans l’organisation de la transition énergétique et urbaine: «Il s’agit de développer une pensée globale dans un milieu spécifique. On ne peut faire du développement durable qu’en gardant les bâtiments existants, en les transformant vers de nouveaux usages»2.

La densification par le logement

En terme de logement, la nouvelle organisation de la ville passe par une densification des lieux de vie. Cette densification ne signifie pas nécessairement d’abandonner l’habitat individuel pour le logement collectif.
C’est ce qu’explique Laeticia Dablanc dans L’approvisionnement plus écologique des villes : «la maison répond à un besoin fondamental des individus de s’approprier leur espace, un espace où il y aura toujours quelque chose à faire, une part de liberté qui est le meilleur moyen de compenser les contraintes de la société et du travail»3. De plus, selon le contexte, l’habitat individuel peut permettre des densités plus importantes que le logement collectif, en fonction de la typologie empruntée. Par exemple, dans le rapport du PUCA Quelles gouvernances locales de la transition énergétique?,
Bénédicte Rivoire-Meley montre que sur son territoire, les plus grandes densités sont atteintes par les maisons de ville. Responsable du Pôle Énergie Climat au Syndicat Mixte du SCoT du Grand Douaisis dans le département du Nord, elle explique en effet que les corons, maisons de ville typiques de la région, permettent d’atteindre une densité de logements de 120 habitations par hectare. En offrant un jardin et un contexte urbain prisé par ses habitants, ce format d’habitat est plus dense que les logements collectifs en barre de la région, qui ne permettent qu’une densité de 100 logements par hectare.

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Table des matières

INTRODUCTION
I.LES MUTATIONS ÉNERGÉTIQUES DANS LA FABRIQUE DE LA VILLE
I.1 : L’héritage de la révolution industrielle dans la fabrique de l’urbain
I.1.1 L’évolution des pratiques énergétiques
I.1.2 Les effets de la mutation de la société sur la configuration des villes
I.1.3 Les sources d’énergie en ville
I.2.1 Les enjeux du territoire urbain dans le changement d’énergie
I.2.2 La gouvernance des villes au service de la transition énergétique
I.3.1 Un projet de longue date
I.3.2 Nouvelles polarités en périphérie de Paris
I.3.3 La constitution de nouvelles entités publiques opérationnelles pour la gestion du territoire
I.2 : Le rôle des villes dans les mutations énergétiques
I.3 : L’exemple du Grand Paris comme modèle de transition
II. LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE AU TRAVERS DES PRODUCTIONS ARCHITECTURALES
II.1 : Les enjeux architecturaux de l’appel à projets Inventons la Métropole du Grand Paris
II.1.1 Le développement d’équipes pluridisciplinaires en réponse à des attentes élargies
II.1.2 Des programmations innovantes
II.2.1 Les dispositifs intelligents au service de la construction
II.2.2 Les dispositifs passifs dans la configuration des projets
II.2.3 Des labels et des lois pour la combinaison des techniques
II.2 : Du «low tech» au «high tech» dans la construction et la rénovation des bâtiments
III. DU DISCOURS À LA PRATIQUE DES ARCHITECTES DANS LES PROJETS D’INVENTONS LA MÉTROPOLE DU GRAND PARIS
III.1 : La mutation des pratiques urbaines
III.1.1 La place des architectes dans les consortiums d’acteurs
III.1.2 L’impact des projets sur la métropole
III.2.1 Les motivations des porteurs de projets au service de l’environnement
III.2.2 Des démarches sobres dans des projets de réhabilitation
III.2.3 Des groupements qui emploient de grands moyens
III.2.4 Des projets environnementaux qui investissent des terres agricoles
III.3.1 Les points de vigilance dans le développement des appels à projets
III.3.2 Inventons la Métropole du Grand Paris dans les mutations mondiales de métropoles
III.2 : L’innovation architecturale, entre idéal environnemental médiatique et réalisation durable
III.3 : Les limites du modèle
BIBLIOGRAPHIE
CONCLUSION
ANNEXES

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