L’EXPLOITATION INTENSIVE DU SEL

HISTORICITE DE L’EXPLOITATION DU SEL DANS LA COMMUNE

   L’exploitation du sel dans les salines remonte depuis longtemps bien avant la période coloniale. Ces salines naturelles auraient existé depuis toujours, et depuis, plusieurs générations se sont succédé dans la pratique jusqu’à nos jours. En effet cette localité fut le premier lieu où le sel était exploité au Sénégal. Durant la période précoloniale, le sel du Gandiolais était sous le contrôle du roi du Cayor appelé le Damel. Il se faisait représenter par un vassal connu sous le nom de Montel au Gandiole, dont l’une des fonctions les plus importantes était la collecte des impôts sur l’exploitation des ressources naturelles, notamment la mer, le fleuve, les marigots, les mares, et l’agriculture (Diagne 1979). Pendant la période coloniale, dans les côtes sénégalaises, les luttes n’étaient « peut-être pas acharnées, mais elles furent « réelles » entre les Blancs et Noirs. Le sel des côtes mauritaniennes et sénégalaises prit très tôt une particularité par rapport à celui de la plupart des régions africaines, dont l’exploitation « était limitée à des fins familiales ou régionales ; seuls les salins du littoral mauritanien et de la partie nord de la grande côte sénégalaise ont le caractère d’une véritable entreprise dont le produit fait l’objet d’un commerce plus ou moins étendu » (Pales, 1950 :). Selon le témoignage recueilli durant notre enquête au Jaraaf 5 Diéye et du grand griot, Ndieweur Boye Lat Soukabé fut le premier possesseur des salines de Ndiébéne Gandiole. Après fut la part de Macoumba le « Buur » qui le légua à la famille Diagne. Les droits du contrôle de l’accès sont transmis de façon héréditaire. A la mort de Marie Teuw Diagne, son fils aîné Mbaye Diagne lui succéda, et ce dernier a été suivi par son frère, en l’occurrence l’actuel BOROM HOROM CI7 de Ndiébène Gandiole El Hadj Malick Sène Diagne, un vieillard de 89 ans. L’acquisition de ces salines naturelles se faisait par enchère à l’époque dans la ville historique de Saint Louis sous l’appellation de Ndar par Bail de 5ans. L’offre la plus conséquente par rapport à l’autre était retenue comme personne ou famille propriétaire de ces salines. Le sel était transporté par des chameaux, des chevaux et par train à l’époque vers les destinations internes comme Ndar, Louga, Dakar et les destinations externes comme le Mali, Mauritanie, Guinée Bissau. Ainsi les premiers et principaux acteurs étaient des Wolofs qui constituaient l’ethnie dominante dans ces salines. Les autres ethnies n’étaient pas tout à fait intéressées par l’exploitation du sel à l’instar des Peuls, car étant plutôt orientés vers leur activité traditionnelle à savoir l’élevage. Même si l’exploitation du sel exerçait une quelconque attraction sur eux, leur intégration n’était pas évidente dans la mesure où les Wolofs considéraient les salines comme un acquis naturel, dont eux seuls jouissaient du droit exclusif. Malgré cette détention masculine, les femmes sont majoritaires. Elles sont les principales actrices fondamentales dans les mécanismes du déroulement de l’exploitation. Bien vrai qu’ancienne, l’exploitation est très artisanale et les méthodes utilisées sont toujours rudimentaires. Les moyens de production sont toujours restés les mêmes. Les conditions de travail en reste également, car de plus en plus difficiles.

L’importance de l’évaporation

   Ce paramètre peut, en effet, contribuer à dérégulariser les  submersions par la marée et à perturber la nappe d’eau salée. La conséquence principale est que la mer devient, par rapport au tanne, un pôle de salinité minimum, selon l’expression de F. Baltzer et L.R. Lafond. Pendant la période de la saison sèche, avec le rayonnement solaire est très élevé et permet au sel de se cristalliser en surface. Ceci est à l’origine de la disparition de certaines mares qui deviennent sèches après la saison des pluies. La récolte ne peut se faire que par un temps chaud et sec. C’est durant cette période qu’intervient la récolte du sel par les femmes. L’évapotranspiration est élevée durant les mois où les températures, vents et insolation prennent leur maximum et l’humidité relative son minimum (SALL et DIEYE 2009). Le vent constitue également une condition non négligeable. Les effets du vent sur les salines sont ambivalents. D’une part il facilité l’évaporation de l’eau, mais d’autre part il constitue une menace pour l’équilibre de ces sites de production, car sont exposés à la migration du sable.

LES ENJEUX SOCIO-ECONOMIQUES

   L’importance de l’exploitation du sel peut être mesurée principalement par son utilité alimentaire et son apport complémentaire en ce sens que la vente de petites quantités permet l’achat de condiments (Faye 2011). L’exploitation réunit un groupe d’acteurs très déterminé dominé par des femmes qui en ont fait leur principal métier générateur de revenus. Les femmes qui ont la tranche d’âge entre 38 à 48 ans sont plus nombreuses. Donc ce sont toujours les femmes qui ont un âge un peu avancé qui dominent. La plupart des femmes actrices sont mariées et leur durabilité sur l’activité est plus de dix ans. L’activité n’attire pas beaucoup de jeunes qui ont moins de 18 ans. Ce qui peut engendrer cette problématique de relève. Selon certaines femmes interrogées, il arrive aussi que les revenus générés permettent une prise en charge, au-delà de l’alimentation, l’éducation des jeunes et la santé de la famille. Pour ce qui est des femmes transformatrices, l’exploitation du sel permet la réduction des dépenses si l’on sait que les techniques de transformation traditionnelle des produits halieutiques demandent l’utilisation d’une grande quantité de sel. Les rares femmes qui profitent de l’activité sont considérées comme de grandes commerçantes et amènent le sel dans les régions de Saint-Louis, Louga et Dakar. La vente se fait au niveau local notamment à St louis ville et une grande partie est transitée à l’échelle nationale principalement à Louga et à Dakar. Cependant le produit a du mal à transité à l’échelle internationale. L’extraction du sel ne peut pas se faire à plein temps. Elle n’a lieu qu’une seule fois dans l’année. Les femmes qui en font un métier sont obligées de parcourir toutes les salines pendant la récolte pour collecter une grande quantité. Les femmes qui ont des urgences financières sont obligées de vendre leurs produits, juste après la répartition des parts. Mais dans ce cas, le prix d’achat est imposé par les acheteurs à 500 francs CFA la bassine. Les autres femmes préfèrent attendre difficilement quelques semaines, le temps que le sel se fasse rare pour vendre la bassine à 1000 francs CFA ou 1500 francs CFA selon la période. En somme, les femmes dont l’exploitation du sel est leur métier principal peuvent récolter pendant la saison en moyenne 30 bassines de sel et gagner en moyenne 30 000 francs CFA. Selon les femmes de Tassinère, elles peuvent gagner 8000 francs pendant toute la saison. Mais retenons que ces femmes ne font pas le tour des mares pendant l’extraction du sel. Elles se limitent aux salins qui leur sont plus proches (Mame Biram Boye, Niakhoul) et par conséquent la quantité de sel qu’elles reçoivent est insignifiante. Quant au propriétaire c’est-àdire le Borom .Horom ci, il peut percevoir beaucoup plus.

DYNAMISME ACTUEL DE L’EXPLOITATION DU SEL

   L’exploitation du sel génère un revenu pour la population de la localité de Ndiébéne Gandiole. Cependant les enquêtes auprès des acteurs interrogés, montrent que cette activité a perdu son dynamisme depuis l’anthropisation de l’estuaire. Cette anthropisation est marquée par l’avènement du barrage de Diama, mais surtout l’impact de l’ouverture de la brèche de 2003, bien vrai que cette activité avait eu une crise périodique des années 1970 avec la sècheresse. Auparavant, le sel avait valeur de monnaie d’échange, de condiment nutritif, de conservation des aliments, notamment la viande et le poisson. Sur ces fonctions du sel, Pales (1950 : écrit « … [le sel] sert bientôt de monnaie commerciale d’échange … Il garde néanmoins une valeur incontestable pour celui qui l’a goûté, et voit s’étendre son emploi grâce à son pouvoir de conserver la viande des animaux ». Le sel rivalisait avec le feu et le soleil au sujet de la conservation de la viande et du poisson, mais il représentait, grâce à ses fonctions vitales, une ressource convoitée, faisant même l’objet d’une compétition (Pales, 1950 🙂 : « Ce besoin que le sel a créé chez l’homme, entraine avec lui la convoitise et l’envie, et les salines représentent une telle richesse que leur possession est l’enjeu de luttes acharnées ». Pour la grande attraction dont il venait de faire l’objet grâce à sa valeur commerciale surtout, le sel faisait l’objet de fiscalité : « comme tout objet de valeur, le sel ne devrait pas manquer de voir s’agripper à lui les doigts crochus du fisc » (Pales, 1950 : ibid.). En effet le sel de la commune générait assez de revenus pour la population locale. Selon les acteurs interrogés, les sites de Ndianiw, de Mbotou et Gakou étaient très productifs et attiraient beaucoup de mondes des villages environnants. Mais aujourd’hui cette ancienne activité a perdu cette dynamique. L’exploitation du sel de la Commune ne fait pas l’œuvre à aucun aménagement des sites où d’après les acteurs, la pluviométrie est l’un des facteurs principaux de la possibilité de sa production. Le sel de la Commune n’attire qu’une tranche d’âge très avancé de femmes qui en font un métier. L’exploitation ne se fait qu’une fois par année. Les conditions sont difficiles et restées les mêmes. Les méthodes utilisées sont toujours rudimentaires. La quantité de la production des sites a baissé selon les acteurs et le nombre d’exploitant diminue de plus en plus. Activités est souvent menacée de concurrence.

Contexte de l’ouverture de la brèche

   La ville coloniale de Saint-Louis est construite sur une île de l’estuaire du fleuve Sénégal. A cet endroit, le fleuve longe la côte vers le Sud et n’est séparé de l’océan que par une mince flèche de sable de quelques centaines de mètres de large, la Langue de Barbarie, qui protège la cité de l’assaut des vagues. Jusqu’en 2003, elle empêchait une évacuation rapide des eaux du fleuve lors des crues, car elle s’allongeait sur environ trente kilomètres au sud de la ville. De ce fait, la cité était soumise à des inondations fluviales récurrentes en fin de saison des pluies. En effet, depuis cette époque, la ville n’a plus été inondée par le fleuve, car l’élargissement spectaculaire de la brèche, qui est devenue la nouvelle embouchure, permet aux eaux de s’évacuer rapidement lors des crues. Cependant, en corollaire, les courants marins ont fortement modifié le régime hydrologique. La ville est désormais en tête d’estuaire : le marnage a fortement augmenté et les niveaux d’eau du Sénégal sont de plus en plus calqués sur le rythme des marées. Or, la cité émerge à peine au-dessus du niveau des plus hautes mers actuelles. Elle devient donc plus vulnérable à une augmentation, même modérée, du niveau moyen de la mer. Dans un contexte de pression de plus en plus forte venant de la part de la population, exaspérée par la répétition des inondations lors des années précédentes et par le maintien d’‟un niveau élevé des eaux pendant plus d’un mois, les autorités locales décident d’agir le plus rapidement possible (Diop, 2004). Le 1er octobre 2003, la municipalité de Saint-Louis avertit les autorités nationales et les gestionnaires de la Direction de l’Aménagement hydraulique de l’ampleur des inondations présentes et à venir dans la ville. Elle demande la prise d’une mesure en urgence pour faire baisser le niveau des eaux. Après une brève reconnaissance sur le terrain, une brèche artificielle de 4 m de large sur 1,5 m de profondeur est créée le 3 octobre dans la Langue de Barbarie, à 7 km au sud du pont Faidherbe, là où la flèche littorale était la plus mince, atteignant une largeur de 100 mètres environ. L’ouverture artificielle d’une brèche, 7 kilomètres au sud de la ville, suite à la crue d’octobre 2003, a radicalement changé la cité.

ANALYSE DE L’ACTIVITE DU SEL

   L’exploitation du sel dans la Commune de Ndiébéne Gandiole est une activité très ancienne. Cette activité génère un revenu pour la population locale et ne fait pas l’objet d’aucun aménagement au niveau des salines naturelles. La pluviométrie est l’un des facteurs principaux pour le déclenchement du processus de cristallisation du sel. L’ouverture du canal de délestages a accentué une augmentation de la salinisation dans cette zone estuarienne engendrant la délocalisation de l’activité maraichère. Ce qui impacte sur le dynamisme de l’exploitation du sel. En effet le maraichage était une activité très pratiquée par la population avec la présence de plusieurs cuvettes d’alimentation des Niayes par la nappe affleurante qui ont favorisé son développement. L’irrigation pour le maraîchage dans le Gandiolais utilise comme ressource en eau la nappe des sables du Quaternaire et du Continental terminal. La technique d’exhaure est rudimentaire, elle se fait de façon manuelle à l’aide de seaux à partir des puits. Par ailleurs, histoire géologique de la région met en évidence l’incorporation du sel au niveau des nappes souterraines au cours de la transgression du Nouakchottien. L’eau de mer retenue dans les dépôts marins anciens ou récents n’a pu être évacuée et remplacée par de l’eau douce en raison de l’absence de relief d’une part, et de la péjoration climatique, d’autre part (Kane 2010). Ainsi l’ouverture de la brèche a favorisé davantage l’intrusion de la salinisation ce qui peut être un facteur de développement naturel de l’activité du sel. Plusieurs travaux de recherches ont marqué l’évolution de cette salinisation au niveau de l’estuaire.

LA NOTION D’ADAPTATION

   L’approche d’adaptation à base communautaire est une démarche de gestion intégrée qui a pour objet de répondre aux besoins des communautés les plus vulnérables à cette problématique. Dans leurs rapports sur l’état du climat mondial, les spécialistes du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) s’entendent pour affirmer que la Terre est soumise non seulement à des variations naturelles du climat, mais bien à des changements climatiques influencés par l’activité anthropique (Fellous et Gauthier, 2007 ; GIEC, 1990 ; GIEC, 1995 ; GIEC, 2001 ; GIEC, 2007). Face aux changements climatiques, implique donc d’entreprendre deux types d’actions complémentaires : celles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, dites d’atténuation, et celles visant à réduire la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et environnementaux, regroupées sous le terme d’adaptation. L’atténuation repose sur un principe simple : comme le réchauffement climatique actuel résulte de l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, il est nécessaire de diminuer les émissions et de stimuler leurs stockages dans des réservoirs naturels tels que les forêts (Bataller 2010). Pour l’atténuation, trois secteurs ont été principalement ciblés. Il s‟agit des secteurs de l’énergie, de la foresterie et des procédés industriels. En termes de changements climatiques, l’adaptation est généralement définie comme étant un « Ajustement dans le système humain ou naturel en réponse à un stimulus actuel ou attendu ou ses effets afin d’en réduire les dommages ou exploiter les opportunités bénéfiques » (CCNUCC, 2004). Cette définition peut être transposée dans une perspective de développement durable, en y intégrant la notion d’interaction entre l’économie, la société et l’environnement ; « l’adaptation constitue une modification dans les systèmes écologiques, sociaux et économiques en réponse à d’actuel ou d’anticipé stimuli climatiques incluant leurs effets ou leurs impacts » (Smit et al. 2000).

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1. PROBLÉMATIQUE
1.1 CONTEXTE
1.2 JUSTIFICATION
CADRE OPERATOIRE
OBJECTIF GENERAL
HYPOTHESE GENERALE
Hypothèses spécifiques
APPROCHE METHODOLOGIQUE
2. METHODOLOGIE
4 .1 RECHERCHE DOCUMENTAIRE
2 .2 ÉCHANTILLONNAGE ET TAILLE DE L’ECHANTILLON
PREMIERE PARTIE 
CHAPITRE 1 CARASTERISTIQUES GENERALES DU MILIEU D‟ETUDE 
1-CADRE PHYSIQUE ET LES ELEMENTS DU CLIMAT
1.1 LE RELIEF
1.2 LES ELEMENTS DU CLIMAT
1.3 LA VEGETATION ET LA FAUNE
1.4 LES RESSOURCES EN EAU
2. La nappe des sables dunaires du quaternaire
2.1 HISTOIRE DU PEUPLEMENT
2 .2 DEMOGRAPHIE ET LA RELIGION
CHAPITRE 2 EXPLOITATON INTENSIVE DU SEL DANS LACOMMUNE NDIEBENE GANDIOLE
1.HISTORICITE DE L’EXPLOITATION DU SEL DANS LA COMMUNE
1.1 LES CARASTERISQUES DU SEL DANS LA COMMUNE NDIEBENE GANDIOLE
1 .2 L’ORGANISATION DE L’ACTIVITE
2. LES FACTEURS DE L’EXPLOITATION DU SEL
2.1LES FACTEURS PHYSIQUES
2.2 LES FACTEURS HUMAINS
CONCLUSION
DEUXIEME PARTIE 
CHAPITRE 3 EVALUATION DE LL’EXPLOITATION DU SEL DANS LA COMMUNE DE NDIEBENE GANDIOLE  ÉCONOMIE DE L’EXPLOITATION DU SEL 
1 LES ENJEUX DE L’EXPLOITATION DU SEL
1.1 LES ENJEUX SOCIO-ECONOMIQUES
1.2 LES ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX DE L’EXPLOITATION DU SEL
2. DYNAMIQUE ACTUEL DE L’EXPLOITATION ET IMPACT DE LA BRECHE
2.1 DYNAMISME ACTUEL DE L’EXPLOITATION DU SEL
2.2 IMPACT DU BARRAGE DE DIAMA
Contexte de la construction du Barrage
Les conséquences des barrages (principalement Diama et Manantali)
2.3 IMPACT DE LA BRECHE SUR L’EXPLOITATION DU SEL
CONCLUSION
ANALYSE DE L’ACTIVITE DU SEL
1. RESULTATS DES ENQUETES
2. L’ANALYSE DE LA PROBLEMATIQUE LIEE A L’ACTIVITE DU SEL
2.1 PROBLEMES LIES AU DEFICIT DE LA PLUVIOMETRIE
2.2 LES AUTRES CONTRAINTES LIEES A L’EXPLOITATION DU SEL
3. EXPLOITATION DU SEL ET ADAPTATION DANS LA COMMUNE DE NDIEBENE GANDIOLE
3.1 LA NOTION D’ADAPTATION
3.2 LE CAS DE L’ACTIVITE DU SEL DE LA COMMUNE NDIEBENE GANDIOLE
Une dualité entre savoirs vernaculaires et savoirs académiques
CONCLUSION GENERALE

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