L’excès de la nationalisation des facteurs de production économique

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Interaction de l’homme l’environnement et son dynamisme 

Les éléments de l’écosystème (biocénoses et biotope) développant un réseau d’interdépendance permettent le maintien et le développement de la vie.
Au sein de la biocénose, l’équilibre doit être respecté et maintenu par elle-même, sur ce une interaction s’installe d’une part, entre plante-animaux eux même et, d’autre part entre plante et animaux d’où l’existence de ce qu’on appelle Chaîne alimentaire. Une chaîne alimentaire est une suite d’êtres vivants dans laquelle chacun mange celui qui le précède. Ce sont les végétaux chlorophylliens qui forment le premier maillon d’une chaîne. Dans une chaîne alimentaire, on distingue trois acteurs principaux suivants :
• Les producteurs sont des végétaux capables de produire, par photosynthèse de la matière organique à partir du CO2 de l’air, de l’eau et de la lumière.
• Les consommateurs qui sont les animaux, qui mangent les végétaux et/ou les autres animaux. On distingue les herbivores (qui mangent des végétaux) et ce qui mange les herbivores sont des carnivores.
• Les décomposeurs qui sont des bactéries, des vers de terre (lombric) ou des moisissures qui détruisent les végétaux ou animaux et produisent aussi de la matière organique utilisée par les végétaux.
En bref ; une chaîne alimentaire, c’est l’ensemble des êtres vivants qui se nourrissent les uns des autres. C’est à partir de cette chaîne que l’équilibre de l’écosystème s’établit. Figure III Chaîne alimentaire (voir en annexe)
L’écosystème contient un grand nombre de ressources qui ont chacune des fonctions importantes (écologiques, économiques, culturelles). On s’inquiète de manière générale de l’incidence des activités humaines sur la santé de l’écosystème et sur son processus naturel de régénération.
Les changements de la diversité des espèces peuvent refléter l’invasion d’espèces exotiques ou la perte d’espèces endémiques. La réduction de la diversité des espèces peut affecter la qualité de la vie humaine. Elle peut signifier la perte d’espèces économiquement précieuses et d’importantes possibilités sur le plan médical, sans oublier la diminution de la valeur esthétique.
Pour survivre, l’homme entretient une relation quasi permanente avec la nature. Cette relation peut être bénéfique ou non selon le cas. Les types d’interaction possibles entre l’homme et les autres éléments vivants sont récapitulés dans un tableau en annexe: (voir tableau I).
La relation entre l’homme et les êtres vivants espace et sous contrôle de divers autres facteurs annexe).
Les perturbations majeures causées par les feux et les cultures sur brûlis entraînent la restriction des habitats, la disparition progressive des espèces autochtones et la végétation primaire. Dans ce cas, la restauration écologique est indispensable pour rétablir la fonction écologique. Dans la nature, l’état d’équilibre existe toujours, mais dans la plupart des cas ce ne sont pas ce que nous attendons. Chaque élément de l’écosystème a sa fonction particulière et, au cas où cet équilibre est rompu, un système naturel de régularisation va se mettre en place pour essayer de le remettre à son climax originel. Différents moyens d’adaptation se produisent : modification morphologique, physiologique et anatomique, mais cela va prendre assez du temps. L’évolution dure environ 100ans si les conditions nécessaires sont favorables. Dans le cas contraire l’évolution est régressive et va vers la désertification :
On parle à chaque fois des menaces sur les flores, mais les menaces touchent également les faunes dont, plusieurs plantes forestières en dépendent pour leurs pollinisations et leur dispersion. Ainsi les relations entre faune et flore, surtout celles entre animaux pollinisateurs et les plantes endémiques méritent d’être étudiées à fond.
Quand la fonction écologique de la forêt disparaît, l’humidité, les nappes phréatiques, l’activité micro biologique et la fertilité du sol diminuent, l’érosion devient de plus en plus forte d’année en année, il y a compaction du sol au fur et à mesures, comme conséquence, les superficies cultivables diminuent, le rendement baisse et logiquement le revenu diminue aussi.
Pour combler les manques à gagner, ce sont les ressources naturelles qui viennent à la rescousse de tout cela en premier lieu. En conséquence, il y aura augmentation de la superficie à exploiter. Vente directe des produits forestiers, nouvelle déforestation et défrichement.
D’une part, cette décision pour l’extension de surface cultivable demande un supplément de travail, de main d’œuvre et de semences nécessaires. En comptabilité, supplément de travail avec les mêmes ressources signifie une perte, un bilan négatif à l’exploitation.
D’autre part, il y a recrudescence des ennemis de cultures : les oiseaux, les rongeurs et l’envahissement des mauvaises herbes. Selon le cas, la pluie pourrait être classée parmi les facteurs dégradants. La savanisation approche, et cela va se terminer par la famine qui engendre des effets indésirables toutes formes d’insécurité sociale: exode rural, vol de production sur pieds, acte de banditisme, la mendiance…
Bref, la menace de disparition qui pèse sur les ressources naturelles renouvelables est donc accélérée, on assiste à une disparition rapide des forêts à l’assèchement des cours d’eau et des lacs, entraînant une disparition irréversible d’une grande partie de la faune et de la flore. Le phénomène est tel que personne ne peut plus l’ignorer, la gestion plus rationnelle devient une urgence.

Les facteurs sociaux déterminant la gestion des ressources 

Le déséquilibre entre la croissance économique et croissance démographique a une influence non négligeable sur les ressources naturelles. La croissance démographique est assez élevée pour la majorité des pays africains, ceci est du surtout à un faible taux d’alphabétisation (niveau d’instruction bas) le couple ne maîtrise pas la fécondité, la nutrition de leurs enfants, ainsi que leur santé. Le déséquilibre entre ces deux facteurs a entraîné une paupérisation constante de la population. Une forte croissance démographique est constatée autour d’une zone de production agricole, industrielle, zone d’exploitation des ressources naturelles. Les conséquences de cette pression démographique importante se trouvent surtout au niveau de : l’exploitation des terres et des ressources naturelles, la santé publique, la sécurité.
Dans tous milieux ruraux à Madagascar, la structure sociale traditionnelle va de paire avec celle de l’organisation administrative. Dans la société ou communauté patriarcale, toutes décisions sortent du conseil des sages avec des hommes membres de la famille élargie. Ces sages organisent le travail ou toutes formes d’organisation sociales et/ou cultuelles…. La tradition, les coutumes jouent un rôle déterminant sur l’organisation et serviront de normes ou règles. L’analyse de la structure sociale montre que les liens de parenté et le principe de la descendance représentent des facteurs importants dans la société et se manifestent dans plusieurs aspects socio-économiques. Un exemple de cas concret, le Tangalamena de Faravohitra a succédé son père et actuellement son fils se prépare à la relève, car ce dernier doit toujours être présent en toute circonstance. Beaucoup de tâches et de droits comme l’accès aux ressources et aux terres sont définis en fonction de liens de parenté. En cas de conflits non résolus entre famille, le Tangalamena intervient. L’identité culturelle se base fortement au lignage et aussi sur la descendance d’un ancêtre fondateur. L’implication de l’individu dans cette structure est donc assez forte et sa liberté d’action reste influencée ou restreinte par ce principe. La communauté et la famille élargie constituent le pilier de la vie de chaque membre de la société et une certaine soumission des intérêts individuels au détriment de l’intérêt de la communauté est demandée. Nous pouvons parler donc ici d’une structure sociale que favorise l’égalité socio-économique en assurant à tous ses membres l’accès égal aux ressources sur les terres communautaires.
L’identité culturelle et la cohésion sociale restent une préoccupation importante pour les chefs de famille ; ce qui explique la persistance du tavy dans le système de production. Un contrôle social rigide sert de garant pour l’observation des normes et des règles. Au début de la campagne agricole, une festivité est organisée avant tous travaux champêtres. C’est donc dans ce cadre que des diverses unités sociales peuvent trouver une marge de négociation quant aux actions de développement et aux innovations.
Les résultats d’enquête nous ont permis de mettre en évidence la structure suivante en respectant la hiérarchie:
TANGALAMENA : c’est le chef au niveau des affaires séculières et des affaires religieuses. C’est lui qui tranche les litiges et qui dirige les cérémonies, il est élu par les membres masculins du lignage, et il ne peut être destitué qu’en cas de faute grave.
VAVANJAKA : c’est une personne porte-parole. Chaque Tangalamena est assisté par un ou plusieurs vavanjaka. Sa fonction principale est d’accueillir les visiteurs et de représenter le lignage à l’extérieur. Ils peuvent remplacer le Tangalamena en cas d’absence pendant les cérémonies sans sacrifice de bœuf. Ils sont élus par le lignage ou par désignation du Tangalamena.
RAY AMAN-DRENY : ce sont les anciens du village dans la société. Ils sont considérés comme les vrais détenteurs du pouvoir. Au niveau du lignage ils sont impliqués dans toutes les affaires et le Tangalamena ne peut pas prendre de décisions sans les avoir consulté
OMBIASY : Ceux qui déterminent les fastes et néfastes pour les différentes activités surtout en relation avec les cultures de tavy. Ils agissent aussi comme guérisseurs traditionnels en traitant des maladies par des plantes médicinales. Car d’après leur croyance, l’origine des maladies peut être trouvée dans une transgression des normes et règles sociales, des fady sont dictés en conséquence.

Les facteurs politiques : (Monographie sur la biodiversité à Madagascar)

La Plan d’Action Environnemental (PAE) qui a comme principal objectif la conciliation de la population avec son environnement nous sert de guide pour toute activité concernant l’environnement. Pour son efficacité, il est renforcé par d’autres mesures et programmes comme le décret MECIE, DIED, DEED, PSP. Le PAE a été subdivisé en trois programmes : PE I, PE II, PE III.
• La 1ère phase concerne la notion de conservation/développement appliquée à la lutte contre la déforestation, l’érosion et la protection de la biodiversité.
• La 2ème phase un peu plus opérationnelle impliquant une approche par la participation des communautés et des responsables à tous les niveaux.
• La 3ème phase capitalise les acquis durant les deux premières phases dans une souci de cohérence des actions en vue d’une vision commune des problèmes de pression sur les ressources naturelles. La politique sectorielle comme la politique forestière, elle définit et applique des mesures pour orienter la gestion les ressources forestières, elle met en place aussi un moyen ou système de contrôle :
• Mesure pour enrayer le processus de dégradation forestière.
• Mesure en vue de mieux gérer les ressources forestières.
• Mesure pour augmenter la superficie et le potentiel forestier.
• Mesure pour accroître la performance économique du secteur forestier.

Les facteurs techniques et administratifs 

A. Les souvent changements au niveau de l’administration publique causent aussi d’impact négatif surtout sur le plan psychologique. Les principes de la démocratisation et de la décentralisation ont été mal compris par la population : la mise en place du VIP a été considérée comme la démission de l’Etat et la démocratisation a été interprétée comme une libéralisation individuelle ou tout simplement de l’anarchisme sur la gestion des ressources naturelles. Cette confusion s’est soldée par un délabrement de la morale publique, et par une désaffectation de l’application des lois existantes, laquelle se traduisent par l’in opérationnalisation des responsables.
B. La mauvaise application de la décentralisation du pouvoir, associé à la dégradation du pouvoir d’achat da la population a entraîné l’instauration inexorable de la corruption à tous les niveaux et partout.
C. L’excès de la nationalisation des facteurs de production économique a complètement désaffecté l’initiative individuelle, privée, ces derniers sont les principaux moteurs de développement économique .
D. L’insécurité foncière incite la course à l’appropriation des terrains domaniaux comme l’appropriation traditionnelle (solapangady).
E. La migration massive est non contrôlée.
F. La pratique de feu de brousse, par laquelle se manifeste le mécontentement de la population vis-à-vis de l’administration pour une situation quelconque (en période électorale ; il y a recrudescence de feu).

Les espèces utiles et son usage 

En général, un produit ou service est utile quand il arrive à satisfaire les besoins (matériels et immatériels) et aussi améliore la situation ou la qualité de vie de celui qui l’utilise. Même cas pour les plantes, quand elles rendent service à l’homme et améliorent le niveau de vie de celui ci, elles sont utiles, pas seulement dans la vie humaine mais aussi à l’équilibre écologique :

Mise en place des normes 

L’interaction des différents facteurs énoncés ci-dessus, fait sortir des normes pour la gestion des ressources naturelles. L’application ou non de ces normes détermine le sort ou le destin d’une ressource. En terme de gestion, ces normes constituent une sorte de réglementation qui contrôle son usage. Donc une gestion est efficace si les normes mises en places sont bien suivies. En ce moment, au sein de ces ressources, il y a un système de régulation, c’est-à-dire avec ou sans intervention externe l’équilibre s’établit. L’écosystème reste toujours en équilibre, la productivité d’une forêt est capable d’absorber ou de supporter les activités anthropiques. L’exploitation est rationnelle sous réserve de l’application des normes, les ressources sont pérennes, les espèces sont utiles et intéressantes.
Une espèce est utile quand :
• elle se présente en grande quantité.
• elle est de forte valeur économique : valeur = Quantité x Prix.
• elle assure leur rôle écologique : attirent et abritent des micro et macro faunes, jouent les fonctions antiérosives.
• elle possède une valeur hédonique intéressante : des personnes sont attirées.
• elle a des valeurs culturelles et/ou cultuelles importantes.
Ces espèces rendent services aux villageois, c’est pour cela qu’elles sont utiles. Quelles sont alors ces plantes utilisées par les communautés dans la zone d’étude. La technique utilisée pour connaître les noms des plantes utilisées par les villageois avec leur mode d’emploi s’appelle enquête ethnobotanique. L’ethnobotanique désigne l’utilisation des plantes par l’homme et l’enquête ethnobotanique c’est la méthode utilisées pour avoir les informations sur l’utilisation humaine des espèces végétales. L’entretien et l’interview menés auprès des différentes catégories des personnes nous a permis de connaître les noms des plantes utilisées par les villageois. Durant l’enquête 281 espèces ont été enregistrées. Les tableaux suivants sont présentés en annexes :
Liste des personnes interviewées à Anosibe An’Ala tableau n° III.
Nombre et catégorie des personnes enquêtées par fokontany et dans les écoles tableau n° IV.

Les catégories d’usages des plantes 

Les plantes utilisées par les villageois se répartissent en cinq catégories d’utilisation :
• Usages pour la construction .
• Usages thérapeutiques .
• Usages domestiques : pour combustibles et petits outillages .
• Usages alimentaires .
• Usages artisanaux .
Le tableau V nous donne la liste des espèces recensées qui se répartissent dans les cinq catégories d’usages. La figure III nous donne les proportions des plantes utilisées par les communautés.
• En terme de nombre d’espèces utilisées : considérons les trois premières catégories. La figure nous montre le pourcentage très élevé des plantes médicinales, elles possèdent la proportion plus de la moitié de toutes les plantes utilisées. Viennent ensuite les plantes à usages domestiques et en troisième position les plantes utilisées pour la construction.
• En terme de quantité prélevée : le rang mentionné ci-dessus est inversé. Ce sont les plantes utilisées pour la construction qui vont en première position et en dernière place les plantes médicinales. Voir en annexe la quantification des bois utilisés pour la construction et à usages domestiques. Tableau 8
Pour cette dernière ; les quantités prélevées ne sont pas très importantes cela peut être expliquée par l’existence de la grande variété de plantes médicinales disponibles dans la zone, les paysans ont un multiple choix pour traiter une maladie, par exemple il y a 5 espèces pour traiter le paludisme et 12 espèces pour traiter la diarrhée. En effet, l’intensité de pression sur les plantes médicinales se répartit sur plusieurs variétés de plante, ce qui justifie la faible valeur de l’Indice d’Utilisation. En général la collecte ne se fait que tous les trois jours ou tous les semaines jusqu’à la guérison. La collecte des plantes médicinales ne présente pas trop de risque sur la biodiversité, elle n’influence pas la composition floristique d’une forêt car une partie des plantes récoltées se trouve sur les savoka sauf les espèces médico-magiques qui ne se prend qu’en pleine forêt. Ces différentes plantes sont prélevées dans diverses formations entre autre la forêt, le savoka, une formation mixte (se trouve à la fois dans la forêt et sur les savoka) et autres : bord la route, dans la cours, sur les talus, le long des rivières.
Ci jointe la figure IV illustrant la répartition des plantes par type de formation.
Ce premier chapitre peut être résumé par le schéma Figure V qui met en évidence les différents facteurs qui peuvent influencer la gestion des ressources naturelles, les normes issues de ces différents facteurs et enfin la situation des ressources en question sur le plan économique, social et culturel. Le schéma ; voir en annexe.

Le degré ou indice d’utilisation des plantes

A propos du degré ou de l’indice d’utilisation des plantes, la population prélève les plantes dans les différentes formations ; que ce soit dans la forêt, les savoka, sur les rizières, au bord de la route, rivières ou sur les talus
Pour la construction de maison ; 95 à 98% des matières utilisées sont d’origine végétale et venant surtout des formations forestières, de même pour les usages domestiques.
Quant aux plantes médicinales, il y a des espèces que l’on ne retrouve que dans la formation forestière, et vis versa il y a des espèces qui ne poussent que sur les savoka ou à d’autres endroits non forestiers. Néanmoins, il existe des espèces qui sont capables de se trouver dans de formation mixte, cela est fort possible car d’après les versions des Ray aman-dreny, la zone était recouverte de forêt il y a une vingtaine d’année, mais à cause de l’activité humaine dictée par la pression démographique suivi de l’augmentation de besoins (naturels ou créés) ; une importante superficie forestière est transformée en terrain de culture (culture sur brûlis).Et, les plantes qui ne supportaient pas la lumière ont été disparues dans les nouvelles formations. Et ces dernières ne se retrouvent que dans les formations originelles, certaines ont pu s’adapter aux nouvelles conditions d’où leur présence dans différentes formations.
Donc en tenant compte de ces conditions, il est préférable d’axer l’étude d’Indice d’Utilisation sur la formation forestière naturelle qui est un écosystème très fragile par rapport au savoka. Quatre raisons ont été avancées pour soutenir cette idée :
– les savoka subissent de défrichement régulier tous les cinq à six ans selon la richesse du sol en nutriment chimique ou biologique, texture et structure.
– c’est dans les formations forestières que se manifeste surtout l’action méchante de l’homme : défrichement, déboisement pour diverses raisons : constructions, usage domestiques.
– c’est la formation forestière qui a une fonction écologique prédominante sur les écosystèmes.
– les espèces des savoka ont une forte capacité d’adaptation aux conditions sévères et, une haute potentialité de dissémination et de régénération, il n’y a pas de souci sur leur disparition.
A chaque informant, l’utilisation des différentes espèces a été demandée. A l’issu de toutes ces informations, l’Indice d’Utilisation (IU) des espèces sera calculé en appliquant la formule de CLARK : Nombre de personnes connaissant la plante IU = X 100 Nombre total de personne enquêtées Source : cours magistral d’Ecologie appliquée.
Cette formule ne donne que l’utilisation d’une plante ou non par la population, et la catégorie d’usage est connue par l’enquête. Les espèces les plus utilisées sont obtenues par de nombreux informants qui citent ces espèces.

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Table des matières

Chapitre I Usages des plantes
I.1- Interaction de l’homme avec l’environnement
I.1.1- La notion d’écosystèmes
Primo les formations primaires,
Secondo les Formations secondaires
Tertio les Formations particulières.
I.1.2.- Interaction de l’homme l’environnement et son dynamisme
I.2- Les facteurs influençant la gestion des ressources naturelles
I.2.1- Les facteurs sociaux déterminant la gestion des ressources
I.2.2- Les principaux facteurs économiques
A. Le bilan énergétique déficitaire au niveau des ménages
B. La détérioration constante des termes commerciaux constitue un grand obstacle
C. La méconnaissance
D. Les cataclysmes naturels
I.2.3- Les facteurs politiques (Monographie sur la biodiversité à Madagascar)
I.2.4- Les facteurs techniques et administratifs
A. Les souvent changements au niveau de l’administration publique c
B. La mauvaise application de la décentralisation du pouvoir,
C. L’excès de la nationalisation des facteurs de production économique
D. L’insécurité foncière .
E. La migration massive est non contrôlée
F. La pratique de feu de brousse,.
I.3- Les espèces utiles et son usage
I.3.1- Mise en place des normes
I.3.1- Les catégories d’usages des plantes
Chapitre II gestion des patrimoines naturels
II.1- Degré d’utilisation et capacité de production
II.1.1- Le degré ou indice d’utilisation des plantes
II.1.2- Le degré d’exploitation des forêts
A- Les matériels végétaux utilisés pour la construction de maison et d’autres infrastructures.
B- Plantes pour usages combustibles et outillages
C- Plantes médicinales
D- Les plantes alimentaires
II.1.3- La capacité de production étude de régénération.
II.1.4- Etude de statut écologique.
II.2- Conséquences de l’usage non rationnel
II.3- les perspectives pour la gestion des ressources naturelles
III.3.1- Actions à considérer pour la gestion rationnelle des patrimoines naturels
III.3.2- Les processus de la gestion rationnelle du patrimoine naturel
III.3.3- Les points importants pour la pérennisation de la gestion
Conclusion générale

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