L’ETUDE LINGUISTIQUE DES TOPONYMES D’UNE LOCALITE

La langue dominante : le Joola

   Le Joola est la langue de base des populations dans la Commune d’Oussouye. Il est parlé par presque la totalité des populations même s’il n’est pas maîtrisé parfaitement par les étrangers. Mais ces derniers arrivent à exprimer leurs besoins en Joola sauf les nouveaux ou quelqu’un qui ne trouvent pas un intérêt de l’apprendre. D’après des données de la mairie, « l’ethnie Joola est à (70%) suivie des halpularen (15%) et des autres minorités (15%) »13. Les 30% qui ne sont pas des Joola comprennent au moins la langue. D’autres mêmes, surtout ceux qui sont nés là-bas et qui appartiennent à nos jours à la Commune, parlent Joola comme les natifs ou même plus que ces derniers. Cela est peut être dû au fait que la région de Ziguinchor est en majorité dominée par l’ethnie Joola. Le département d’Oussouye n’en est pas moins à cause de sa position reculée au Sud-ouest du pays et de la région.

Etude des toponymes : Noms de quartiers

    Nous avons dit ci-dessus dans la partie localisation administrative que les quartiers de la Commune d’Oussouye sont : Essenkine, Ethia, Kalobone et Buwentene. Dans chaque quartier, il y a des sous-quartiers que nous allons étudier dans le domaine des toponymes proprement dits.
Oussouye : Le nom d’Oussouye [husuy] est un nom Joola. Il désigne d’abord le village traditionnel avant que la Commune porte le même nom, de même que le département. Oussouye vient de Houssouyoune [husuyun] par une déformation phonologique. Houssouyoune [husuyun] est un « nom d’un oiseau rapace fréquent dans la région ». D’après nos enquêtes le village ne s’appelait pas Oussouye ce sont les colons qui l’ont baptisé. Etant des étrangers dans le territoire Joola les colons avaient besoin de repaires sur la base toponymique. Par faute de compréhension de la langue locale qui a suscité une grande improvisation de toponymes du coté de l’Homme blanc pour l’identification des territoires qu’il fréquentait en Afrique. Les habitants du village d’Oussouye se réclamaient des gens de Houlouf [huluf] qui était un grand royaume de dix-sept (17) villages et dont le noyau est Oussouye. C’est de ce fait qu’un membre de ce royaume se nommait [an alufay] ou [aluf]. Mais la plupart des villages ont des noms de gloire de même que certains quartiers ou sous-quartiers. Le nom de gloire du village d’Oussouye est [jiyingá] que nous considérons comme un exonyme par lequel il se distingue des autres villages. Donc le nom Oussouye nous pourrons l’étudier morphologiquement dans le cadre de la régression. Le quartier d’Essenkine [esenkin] : le territoire de ce quartier est constitué des sousquartiers traditionnels nommés : Etama, Batadjakène, kalèlame, et du nouveau sousquartier nommé : Escale.
Essenkine [esenkin]: Ce nom est d’origine « Joola kaasa huluf ». Il est créé par les autochtones et désigne l’ensemble des populations qui habitent au sud (à la terre basse) du village. Historiquement ce nom n’a pas subi aucune déformation phonologique. C’est un quartier traditionnel qui a été maintenu comme quartier administratif dès l’installation de la Commune. Nous étudierons la morphologie de ce toponyme dans le cadre d’affixation et de la dérivation impropre.
Etama [etama]: Ce nom de sous-quartier est d’origine « Joola kaasa huluf ». Ce nom désigne l’ensemble des gens qui occupent la terre la plus basse d’Essenkine. Il se situe à l’ouest du grand quartier traditionnel. Ce nom de quartier est répertorié dans certains villages joola et désigne toujours le quartier qui occupe la zone la plus basse. Il n’a pas subi de modification phonologique par influence étrangère. Ce sont les autochtones qui l’ont crée selon la logique naturelle de l’emplacement du quartier. Ce sous-quartier a un nom de gloire [bulikamo]. L’étude morphologique du nom Etama sera centrée sur l’affixation.
Batadjakene [batajaken] : Ce nom est un mot formé en langue « Joola kaasa huluf ». Il désigne un des sousquartiers d’Essenkine. Il se situe au centre entre Etama et Kal̥elam. Ce nom peut être considéré comme un exonyme de par sa signification. Ce mot n’a pas subi une influence linguistique qui pourrait le changer du point de vue phonologique. Son étude morphologique s’appuiera sur la composition et la dérivation impropre.
Kal̥elam [kal̥elam] : Ce nom est aussi un mot formé en langue « Joola kaasa huluf ». Il désigne le troisième sous-quartier d’Essenkine et se situe à l’est du quartier traditionnel. Ce sousquartier a un nom de gloire [Eela]. Il n’a subi aucune modification phonologique par influence étrangère.
Escale [Ɛskal] : Ce nom a était créé après la création de la commune. C’est un nom en langue française. Il désigne les nouveaux habitants (les étrangers) qui occupent la partie inhabitée d’Oussouye. C’est le sous-quartier qui se situe à l’entrée de la Commune, où montait la garde la brigade de la gendarmerie. C’est un sous-quartier contigu à Kal̥elam raison pour laquelle il est placé sous la responsabilité du quartier administratif Essenquine. C’est un nom de quartier est entrain de faire disparaitre l’appellation des autochtones du lieu avant son occupation. Car les villageois l’appellent en langue Joola [hussonten]. L’étude morphologique de ce nom sera centrée sur la partie des emprunts. Essinkine [esenkin] constitue avec Ethia [etiya] le « Oussouye traditionnel ». Le quartier d’Ethia [etiya] : il possède en son sein des sous quartiers traditionnels nommés : Soul̥euk, Batéfousse, Djivante et des nouveaux quartiers : Harlem et HLM.
Ethia [etiya]: Ce nom est d’origine « Joola kaasa huluf ». Il est créé par les autochtones et désigne l’ensemble des populations qui habitent au nord (à la terre haute) du village. Historiquement ce nom n’a pas subi aucune déformation phonologique. C’est un quartier traditionnel qui a été maintenu comme quartier administratif dès l’installation de la Commune en y rattachant les nouveaux sous-quartiers : Harlem et HLM. Nous étudierons la morphologie de ce toponyme dans le cadre de la dérivation impropre.
Soul̥euk [sulák] : Ce nom désigne l’ensemble des populations qui habitent le sous quartier qui se situe à l’ouest du quartier Ethia. Ce nom de sous-quartier est d’origine « Joola kaasa huluf » dont les générations actuelles ont du mal à nous fournir son étymologie lors de nos enquêtes. Mais il a un nom de gloire [esual] comme d’autres quartiers du village.
Batéfousse [batefus] : Ce toponyme désigne les populations qui habitent dans le sous-quartier qui se situe tout à fait au nord-est du village d’Oussouye dans le quartier Ethia. C’est un nom créé typiquement en « Joola kaasa huluf » qui n’a pas subi de modification phonologique par l’influence étrangère. Son étude morphologique pourra se faire autour de la composition et la dérivation impropre.
Djivante [jivant] : Ce sous-quartier regroupe l’ensemble des populations qui habitent au centre du quartier Ethia. Ce nom est aussi attribué à un village du département. Il se situe entre Batéfousse et Soul̥euk, et par rapport aux sous-quartiers d’Essenkine il a la même frontière avec Etama. C’est un nom d’origine « Joola kaasa huluf » qui a subi une modification phonologique par rapport à la prononciation des autochtones qui disent [jiyent] alors que les autres disent Djivante. Nous pourrons étudier la morphologie de ce mot dans le cadre de la suffixation. Ces trois premiers sous-quartiers sont ceux qui sont créés depuis la naissance du village d’Oussouye avant même celle tardive de la commune.
Harlem [arlɛm] : Le sous-quartier Harlem est un rattachement du quartier Ethia. C’est un des nouveaux sous-quartiers créé à cause de l’installation progressive des étrangers qui viennent à Oussouye et demeurent. Ce nom de sous-quartier n’est pas un nom créé par les autochtones. C’est un nom d’emprunt que les habitants se sont attribués à l’image du nom de quartier américain.
H.L.M. [aʃelɛm] : Le sous-quartier H.L.M. est aussi un rattachement du quartier Ethia comme Harlem. Ce nom est comme nous le savons tous un sigle en langue française (Habitation à Loyer Modéré). Donc, c’est un sous-quartier créé par l’administration communale après la création de la Commune et qui est rattaché au quartier Ethia. C’est un sous-quartier qui a ses limites avec les sous-quartiers : Soul̥euk, Harlem et le quartier Kalobone. Le quartier de Kalobone [kalobon] : le territoire de ce quartier est constitué des sous-quartiers traditionnels nommés : Batabalène, Houtouta, Oul̥ew, et du nouveau sousquartier nommé : Saré Demba.
Kalobone [kalobon] : Ce nom désigne l’ensemble des habitants du deuxième village traditionnel qui compose avec Oussouye la Commune. Ce village en entier a été considéré par l’administrateur communal comme un quartier contrairement à Oussouye qui a été divisé en deux quartiers. Ce nom est aussi recensé dans un village du même département comme nom de quartier. C’est un nom traditionnel créé en « Joola kaasa huluf » et n’a subi aucune modification phonologique. C’est un quartier situé au nord de la Commune. Nous étudierons sa morphologie dans le cadre de l’affixation.
Batabalène [batabaleen] : Ce nom de sous-quartier est un mot formé en langue « Joola kaasa huluf ». Il désigne l’ensemble des habitants qui occupent le premier sous-quartier que l’on atteint en quittant le village d’Oussouye pour se rendre à Kalobone. Ce nom peut être considéré comme un exonyme de par sa signification. Ce mot n’a pas subi une influence linguistique qui pourrait le changer du point de vue phonologique. Son étude morphologique s’appuiera sur la composition et la dérivation impropre.
Houtouta [hututa] ou Batahoutenou [batahutenu] : Le nom Houtouta désigne les populations qui habitent le sous-quartier central du village traditionnel de Kalobone. C’est un nom traditionnel créé en « Joola kaasa huluf ». C’est le deuxième sous-quartier traditionnel que l’on atteint après Batabalène. L’étude morphologique de ce mot tournera autour de la dérivation.
Oul̥ew [ul̥ew] : Ce nom désigne l’ensemble des populations qui habitent le sous-quartier qui se situe entre Houtouta et le village de Singhalène qui est la frontière nord entre la Commune d’Oussouye et celle d’Oukoute. C’est un nom traditionnel créé en « Joola kaasa huluf » selon le milieu habité par les populations. Ce toponyme sera étudié morphologiquement dans le cadre de la composition.
Ekinque [ekink] : Le toponyme Ekinque désigne les populations qui habitent à la limite nord-est entre la Commune d’Oussouye et le village de Kahindá de la Commune d’Oukoute. C’est un nom traditionnel créé en « Joola kaasa huluf » en tenant compte de la position géographique du sous-quartier.
Saré Demba [saredemba] : Ce nom désigne l’ensemble des populations qui habitent la partie est du quartier de Kalobone. C’est le sous-quartier le plus vaste de Kalobone. Ce toponyme est créé en langue Peul parce que c’est un sous-quartier habité par une majorité Peul (d’origine guinéenne) depuis sa création. Ce nom de lieu a connu une légère modification de prononciation de la part des autochtones (les Joola) qui en prononcent Sara Demba. C’est un toponyme que nous étudierons morphologiquement dans le cadre de la composition et de la dérivation.
Le quartier Bouwintène [buwenten] ou Djamaguëne [jamagën] : Le quartier Bouwintène est récemment créé à cause de la forte concentration de la population au sein des autres quartiers de la Commune d’Oussouye. Il est situé à l’extrémité ouest de la Commune sur la route d’Elinkine qui passe par Loudia wolof. Bouwintène est le nom que les autochtones ont nommé cette partie avant même qu’elle ne soit habitée. Les premiers habitants sont majoritairement des étrangers qui souhaitent demeurer à Oussouye. D’où ces derniers ont baptisé ce secteur Djamaguëne avant qu’il ne soit comme un quartier additionné aux autres quartiers de la Commune. C’est ainsi que ce quartier a connu une double appellation. Bouwintène est un nom traditionnel créé en « Joola kaasa huluf » selon le milieu géographique du site avant qu’il ne soit un lieu d’habitation. Mais Djamaguëne est un nom qui a été créé en langue wolof à l’image de certains quartiers du Sénégal. Donc ce mot est un emprunt attribué à ce sous-quartier par les habitants et non pas par l’administration communale.

Noms de forêts

    L’ensemble de ces forêts constitue un patrimoine secret de la communauté joola traditionnelle. Dans aucune de ces forêts un non initié n’a le droit d’y entrer et sera un éternel saurien de ce qui se passe comme activité traditionnelle initiatique. En ce qui concerne notre travail le sens exact de ces forêts était une impasse lors de nos enquêtes. Nous pouvions nous contenter de leur position et de savoir qu’elles sont sacrées. Kalem Sidiaak [kalem sidiaak]: Pour cet oronyme, le mot ‘‘kalem’’ signifie toujours forêt dense discontinue. C’est un mot qui est chaque fois suivi d’un autre nom pour spécifier la forêt. Donc ‘‘Sidiaak’’ est le nom spécifique de la forêt sacrée dont une des espèces dominante, des arbres qui s’y trouvent, est nommée en joola cassa badiaak. Kalem Sifoom [kalem sifoom]: Cet oronyme est formé comme le précédent : ‘‘kalem’’ avec le même sens et ‘‘Sifoom’’ qui est le nom spécifique de la forêt qui sert de cimetière pour les villageois traditionnalistes (les adeptes des fétiches). Kaboung [kaboung]: Cet oronyme spécifie une forêt dont sa raison d’être est top secret pour les initiés. Donc ce nom dont le sens ne nous a pas été révélé sert de différenciation des autres forêts sacrées. Kayiitaku [kayiitaku]: Cette forêt, qui est séparée de la précédente par un espace à peu près de soixante dix mètres (70ms) où passe un grand chemin, présente le même caractère secret que celle qui est dans le sens opposé. Kayii [kayii]: Ce nom signifie la forêt royale ou palais royal. Car, chez les Joola, un roi doit vivre dans une forêt bien aménagée où ses prédécesseurs ont vécu et ses successeurs vivront. D’où sa vie devient un grand secret que seuls les initiés détiennent.

Etude des hydronymes : noms de cours et d’étendue d’eau Kahuwen hulang [kahuwen hulang]

   Cet hydronyme est constitué du mot ‘‘Kahuwen’’ qui signifie une source naturelle d’eau souterraine et du mot ‘‘hulang’’ qui spécifie cette source naturelle. Souvent le nom spécifique détermine le lieu. Kaeelen [kaeelen]: Ce nom est attribué à chaque caniveau traditionnel qui sert d’évacuer les eaux drainées dans les rizières. Hulinga [hulinga]: Ce nom signifie un cours d’eau qui se déverse dans un fleuve dont la largeur ne dépasse pas plus de dix (10ms) mètres. Hukalunŋ [hukalunŋ]: Cet oronyme signifie un grand abreuvoir traditionnel que les villageois avaient décidé de creuser pour le bétail lors de la période de la saison sèche. Ebemul [ebemul]: Ce nom détermine une partie du ‘‘Hulinga’’ où l’eau douce qui sort de la source forestière se mélange avec l’eau salée qui provient des démembrements du fleuve. Ewáj Assay [ewáj assay]: Ce nom qui est composé de deux noms le premier ‘‘Ewáj’’ signifie une zone profonde d’une étendue d’eau. Quand le premier est prononcé il doit être accompagné d’un autre pour déterminer le lieu de son emplacement. Ainsi ‘‘Assay’’ c’est le nom du propriétaire terrien où est situé cette zone profonde. ‘‘Assay’’ est celui qui a eu à implanter un pont traditionnel à base de troncs de palmiers pour faciliter la traversé des populations. Ewáj kajimená [ewáj kajmená]: Comme nous l’avons expliqué ci-dessus le nom ‘‘Ewáj’’ a le même sens partout où il figure. Pour cet hydronyme le nom ‘‘kajimená’’ vient du verbe joola ‘‘kajimen’’ qui signifie ‘‘perdre ou faire perdre’’. ‘‘Kajimená’’ a ici le sens d’un lieu où se noient les mauvais nageurs. L’ensemble des deux noms forme un nouveau nom ‘‘Ewáj kajimená’’ qui indique tout simplement un lieu populaire de plage pour les jeunes du village. Huwajo [huwajo]: Cet hydronyme vient du verbe joola ‘‘kawaj’’ qui veut dire nager. Donc ‘‘huwajo’’ signifie ici le premier lieu où les villageois aller à la plage avant qu’on y installe un pont moderne. D’où le nom ‘‘huwajo’’ tend à disparaitre pour laisser la place à l’appellation ressente ‘‘pont d’Edioungou’’. Ewoñen [ewoñen]: Ce nom désigne généralement ‘‘un tourbillon’’ avec toutes les significations de ce mot en Français. Mais dans ce contexte, ‘‘Ewoñen’’ désigne un lieu où une partie de l’eau du marigot tournoie pour former une sorte d’entonnoir. Ehuwa Manel [ehuwa manel]: Cet hydronyme est constitué du nom ‘‘Ehuwa’’ et de ‘‘Manel’’. En joola le mot ‘‘Ehuwa’’ signifie un puits avec un grand diamètre du trou. Le nom ‘‘Manel’’ est celui du propriétaire qui était en même temps le puisatier. Donc cet hydronyme désigne le premier puits traditionnel où venaient s’approvisionner en eau un bon nombre des villageois avant l’urbanisation d’Oussouye.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: PRESENTATION DE LA COMMUNE D’OUSSOUYE
Chapitre I: SITUATION GEOGRAPHIQUE
1.1 Situation de la Commune d’Oussouye
1.1.1 Localisation géographique de la Commune d’Oussouye
1.1.2 Localisation administrative
1.2 Le milieu naturel de la Commune d’Oussouye
Chapitre II: SITUATION SOCIALE
2.1 La composition de la population d’Oussouye
2.2 Le mode de vie de la population
Chapitre III: SITUATION LINGUISTIQUE
3.1 La langue dominante: le Joola
3.2 La place des autres langues
3.2.1 Le Wolof
3.2.2 Le Peul
3.2.3 Le Mandingue
3.2.4 Les Autres
DEUXIEME PARTIE: ETUDE DE LA LINGUISTIQUE HISTORIQUE ET SEMANTIQUE DES NOMS DELIEUX
Chapitre I: ETUDE DE LA LINGUISTIQUE HISTORIQUE DES NOMS DE LIEUX
1.1 Etude des toponymes: Noms De Quartiers
1.2 Etude des microtoponymes: Les Noms de locaux
1.2.1 Les Noms d’Ecoles, Collèges Et Lycées
1.2.2 Autres Noms de lieux (Microtoponymes)
1.3 Etude des Hodonymes: LES noms de rues et de places publiques
1.3.1 Noms de places publiques et d’avenues
1.3.2 Noms de rues
1.4 Etude des Oronymes: les Noms de champs cultivables d’Oussouye
1.4.1 Les champs de la royauté: kuiinumaku
1.4.2 les autres champs
1.4.3 Noms de forêts
1.5 Etude des Hydronymes: Noms de cours et d’étendue d’eau
1.6 Etude des Hagiotoponymes: Noms de lieux de culte
1.7 Etude des Exonymes: les noms qu’une localité nomme une
autre
Chapitre II: ETUDE DE LA LINGUISTIQUE SEMANTIQUE DES NOMS DE LIEUX
2.1 Etude des Toponymes: Noms de quartiers
2.2 Etude des Microtoponymes: Les Noms de locaux
2.2.1 Les noms d’Ecoles, Collèges et Lycées
2.2.2 Autres Noms de lieux
2.3 Etude des Hodonymes: Les Noms de rues et de places publiques
2.3.1 Noms de places publiques et d’avenues
2.3.2 Noms de rues
2.4 Etude des Oronymes: Les Noms de champs cultivables d’Oussouye
2.4.1 Les champs de la royauté: kuiinumaku
2.4.2 Les autres champs
2.4.3 Noms de forêts
2.5 Etude des Hydronymes: Noms de cours et d’étendue d’eau
2.6 Etude des Hagiotoponymes: Noms de lieux de culte
2.7 Etude des Exonymes : Les Noms qu’une localité nomme une autre
TROISIEME PARTIE:ETUDE MORPHOLOGIQUE DES NOMS DE LIEUX
3.1 Etude des Toponymes: Noms de lieux: Les quartiers
3.2 Etude des Microtoponymes: les noms de locaux
3.2.1 Les noms d’Ecoles, Collèges et Lycées
3.2.2 Autres noms de lieux
3.3 Etude des Hodonymes: les noms de rues et de places publiques
3.3.1 Noms de places publiques et d’avenues
3.3.2 Noms de rues
3.4 Etude des Oronymes: les noms de champs cultivables d’Oussouye
3.4.1 Les champs de la royauté: kuiinumaku
3.4.2 Les autres champs
3.4.3 Noms de forêts
3.5 Etude des Hydronymes: Noms de cours et d’étendue d’eau
3.6 Etude des Hagiotoponymes: Noms de lieux de culte
3.7 Etude des Exonymes les noms qu’une localité nomme une autre
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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