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Les variétés cultivées et l’accès à la semence
Une partie de l’oignon produite dans la région est issue d’une variété locale autoproduite par les paysans, par conséquent cette variété locale connaît un problème de qualité germinative, signe de dégénérescence confirmé par des résultats d’analyse réalisés par le Projet d’Appui à l’Exportation Agricole en 1999. Un autre problème de cette variété locale est la forte dose de semence nécessaire pour un hectare (pouvant aller jusqu’à 10kg/ha). Depuis, d’autres variétés ont été recommandées pour les paysans :
• la variété rouge de Tana donnant un rendement plus meilleur de l’ordre de 20 à 50T/ha.
• La variété Noflaye : il s’agit de la variété la plus appréciée à Madagascar. Ces variétés ne sont pas encore assez disponibles sur le marché, elles sont chères. Dans la Région, l’approvisionnement en ces semences sont assurés par la coopérative des producteurs d’oignon : Mpamboly par le biais de l’importation de l’île de La Réunion. Le rendement de cette variété est le même que celui de la première.
Dans cette étude, les variétés utilisées par les exploitations sont toutes issues de l’oignon rouge de variété Noflaye. Pour cela, nous étudierons particulièrement ci après les caractéristiques de cette variété. Pour ce qui est des caractéristiques des autres variétés, elles sont données en annexe n°1.
En effet, la variété Noflaye est classée parmi les oignons rouges, elle est très appréciée non seulement par les malgaches, mais surtout par les importateurs. Il s’agit d’une variété à cycle de culture court ou semi précoce (maturité à 145à 155jours), qui se cultive en milieu tropical et subtropical. Elle est reconnue pour sa qualité gustative (pimentée). Dans de bonne condition, le rendement de cette variété est beaucoup plus élevé que celui de la variété locale et peut aller jusqu’à 50T à l’hectare. Du point de vue technique, cette variété est beaucoup moins exigeante en eau, mais demande une bonne préparation du sol. En outre, du fait que ces feuilles ne tombent et ne fléchissent pas, mais restent dressées, cette variété n’exige pas un écartement trop large pouvant aller jusqu’à 10*10cm. Son bulbe est de couleur violet-marron, de forme plutôt aplatie et de calibre moyen à gros. Sa capacité de conservation est la plus grande comparée aux autres variétés cultivées à Madagascar (variété pour l’exportation)…
Les typologies des exploitations dans la région Boeny
D’après les enquêtes menées auprès de l’ABC Boeny, on peut distinguer trois types d’exploitation :
• Exploitation améliorée
• Exploitation semi traditionnelle
• Exploitation traditionnelle
Exploitation améliorée :
Elle représente seulement 5% des exploitations qui cultivent l’oignon. Ces exploitations sont caractérisées par l’utilisation de technique améliorée en irrigation telle la technique par aspersion et/ou par tuyauterie. Les travaux de préparation du sol sont mécanisés. Dans ce type d’exploitation, les mains d’œuvres sont du type salarial et ne sont pas importantes. Elles s’approvisionnent elles mêmes en intrants et en équipement agricole. Ces exploitants sont tous des fermiers, moyennant un contrat de bail renouvelable. En outre, elles utilisent de semence améliorée, ainsi qu’une importante quantité d’intrant.
Exploitation semi traditionnelle
L’exploitation semi traditionnelle constitue la majeure partie des exploitants et représentent 60% des producteurs d’oignon. Elles ont comme caractéristiques : l’utilisation du système d’irrigation moyennant un exhaure par motopompe mais avec distribution par arrosoir. Pour les travaux agricoles, elles combinent les travaux manuels et les travaux d’attelage. Le nombre de main d’œuvre est assez important. La plupart des exploitants sont des propriétaires de terrains. Elles dépendent des organismes de développement rural (ABC Boeny, MCA Madagascar,…), et des organisations paysannes (association Mpamboly) pour l’approvisionnement en intrant et en équipement agricole. Souvent, on assiste à l’utilisation moins importante d’intrant agricole du fait de la non disponibilité de ces derniers.
Exploitation traditionnelle
Ce sont des exploitations qui jusqu’à maintenant n’ont pas encore modifié leur technique de culture. Ces exploitations représentent environ 35% des exploitations pratiquant la culture d’oignon. Tous les travaux sont réalisés manuellement pour ce type d’exploitation (du travail du sol à la récolte). L’irrigation est aussi manuelle avec de l’arrosoir. On assiste à d’importante main d’œuvre salariale. Elle dépend des autres en l’approvisionnement en intrant et matériel agricole. Leur superficie cultivée est assez restreinte. Ces exploitations manquent souvent d’intrant et équipement agricole. Elles sont aussi des propriétaires de vastes terrains non exploités.
La situation du marché de l’oignon dans la région Boeny
Situation de la demande
Dans la région Boeny, la demande locale est surtout formée par les consommateurs locaux. Le choix de ces derniers dépend plutôt du prix du kilogramme d’oignon que de la qualité des bulbes. En général, ce sont les oignons de petit calibre qui s’écoulent sur le marché local. Peu de quantité s’écoule dans les autres régions de l’île.
En ce qui concerne l’oignon produit dans la région Boeny, ce sont L’île de la Réunion et Mayotte qui constituent les principaux importateurs. Ces pays demandent de l’oignon de bonne qualité et de grosseur supérieure à 40mm (cf. annexe 9). Actuellement, vu d’une part l’importance de la demande interne en oignon et d’autre part, vu la qualité de nos bulbes, cette exportation ne concerne encore que 40% de la production de la région. (Source ABC Boeny)
La situation de l’offre
Dans la Région Boeny, la pratique de la culture d’oignon est récente. Pour preuve, une superficie d’environ 30ha seulement occupe cette culture, dont 14ha appartiennent aux bénéficiaires de l’ABC Boeny et le reste aux particuliersvi. La production avoisine 300 tonnes environ soit 0,6% seulement de la production nationale (source ABC Boeny), contre une production nationale de 18 498 de tonnes (source INSTAT 2006). Malgré ce contexte, elle assure l’approvisionnement de son marché et une partie est destinée à l’exportation. Cf. annexe 3
Le pic de production se situe au mois d’octobre dans la région. Ceci s’explique par le fait que le calendrier de production de la région se situe entre début mai et fin septembre.
Analyse de prix
Le prix de l’oignon fluctue d’une part selon la loi de l’offre et de la demande et d’autre part suivant la qualité du produit. En effet, en période de récolte c’est-à-dire en Octobre, novembre, le prix de l’oignon sur le marché local est relativement bas allant jusqu’à vi Source ABC et GTDR Boeny 700 à 800Ariary le kilogramme contre un prix allant jusqu’à 1400 Ariary d’avril en août. Du fait de l’impossibilité de stockage, les producteurs sont obligés de vendre leur produit dès la récolte. D’où son prix assez bas et ces derniers préfèrent vendre aux importateurs ou leurs représentants pour avoir un meilleur prix. La région ne connaît pas de pénurie car sa production est complétée par celle de Mampikony, premier producteur d’oignon de Madagascar, et celle des Hauts Plateaux. (Source enquête)
Pour le marché de l’exportation, le prix du kilogramme d’oignon est plus rémunérant, car il peut varier de 45 à 60 centimes d’euro selon les exportateurs. C’est le cas par exemple de l’Association Mpamboly, organisation paysanne en jumelage avec la Coopérative Vivéa de La Réunion qui est un important importateur.
1er circuit : L’oignon part du producteur, passe par l’organisme de développement (ABC/ CHEMONICS International), qui fournit des débouchés potentiels (Exportateurs, et/ou promoteurs). L’avantage de ce circuit, c’est qu’il va directement du producteur aux promoteurs, excluant ainsi les intermédiaires, et augmentant les marges du producteur. Cependant, le promoteur doit avoir l’exclusivité des produits, autrement dit, les producteurs ne peuvent vendre leur produit qu’au promoteur. Parfois, le producteur peut appartenir à une Association. Dans ce cas, c’est l’Association elle-même qui traite avec l’organisme de développement.
2ème circuit : Ce circuit fait intervenir plusieurs intermédiaires tel les démarcheurs et collecteurs, qui à leur tour, traitent avec les exportateurs, les grossistes et même les détaillants. Ce circuit fait bénéficier plus les collecteurs, au dépens des producteurs.
II-3-5. Les acteurs de la filière
Plusieurs acteurs de développement interviennent dans la filière oignon dans la région Boeny, tous jouent un rôle important et contribuent à la structuration de la filière oignon : à commencer par les producteurs eux même, les techniciens qui assurent les encadrements techniques par le biais des organismes de développement rural tel CHEMONICS International, ainsi que les promoteurs internes et externes. La figure suivante résume les principaux acteurs et leur rôle respectif :
Figure 3 : Principaux acteurs de la filière oignon dans la Région Boeny et rôles respectifs
CONTEXTE ET PROBLEMATIQUE
Dans la région Boeny, lieu d’intervention de l’étude, la culture d’oignon fait partie des trois filières clés, après le riz et le maïs. De plus son prix est encore rémunérateur sur le marché intérieur. A cela s’ajoute l’ouverture du marché de l’oignon vers les îles de l’Océan Indien (Ile de La Réunion). Ayant d’une part une forte consommation en oignons rouges, et d’autre part une faible production annuelle, ces pays ont recours à l’importation qui ne cesse de croître d’une année à l’autre. Cependant, d’autres pays exportateurs (Inde, Egypte,…) existent. Madagascar est alors soumis à la concurrence de ces pays qui produisent de l’oignon à faible coût de production.
La question qu’on se pose et qu’on se doit de répondre c’est comment rester compétitif pour essayer de contenir le marché d’exportation face à cette concurrence ?
OBJECTIFS DE L’ETUDE
Ainsi, ayant pour objectif global, l’optimisation du coût de production et du rendement de la culture oignon, une étude sur la détermination de la rentabilité des techniques améliorées nouvellement introduites, et des autres cultures déjà existantes (traditionnelle et semi traditionnelle) dans la région Boeny est entreprise. L’objectif spécifique est de déterminer le potentiel de production de l’oignon selon l’itinéraire technique amélioré d’une part et selon l’itinéraire technique traditionnel et semi traditionnel d’autre part en réalisant une évaluation comparative des trois techniques sus indiqués.
HYPOTHESES DE TRAVAIL
Ainsi, pour mener à bien cette étude, les quatre hypothèses suivantes ont alors été émises :
• H1 : La technique améliorée est plus efficace
• H2 : Le prix des oignons de qualité exportable sur le marché local est aussi compétitif que sur le marché de l’exportation.
METHODOLOGIE DE TRAVAIL
La méthodologie adoptée comprend trois phase distinctes :
• Phase exploratoire
• Phase opérationnelle
PHASE EXPLORATOIRE
Elle englobe les recherches bibliographiques effectuées et les enquêtes auprès des personnes ressources. Ceci a permis d’avoir des orientations sur l’objet et les hypothèses de travail.
Recherches bibliographiques
La documentation a été réalisée dans les centres de documentation (ESSA, CITE, INSTAT…) et les services concernés par l’étude tel le service de l’agriculture de la région d’étude, (etc.…). Elle s’est beaucoup focalisée sur des consultations des différentes études
déjà menées dans la filière oignon. Cette étape est essentielle pour cerner le contexte actuel et former une base de données exploitables. A ceci s’ajoute les navigations sur Internet qui ont pu fournir des données sur la situation de l’exportation des différents pays de l’Océan Indien.
Entretien avec les personnes ressources
Les entretiens avec les personnes ressources, constituées notamment par les quelques membres de l’association MPAMBOLY, CHEMONICS International à Antananarivo et dans la région Boeny, ont permis de comprendre les enjeux et problématique de la filière oignon de la région Boeny. Des différents acteurs économiques ont été aussi identifiés. C’est de la qualité des informations qu’ils fourniront lors de l’enquête sur terrain que dépendra la fiabilité de cette étude.
Choix des zones d’enquête
Les zones d’enquêtes ont été choisies de façon à ce que les quatre exploitations ne s’éloignent pas trop pour faciliter le suivi et avoir le maximum d’information dans chaque exploitation. En outre, on a fait en sorte que les zones d’enquêtes disposent des quatre types d’exploitation mentionnés. Ainsi, le district de Mahajanga II correspond à ces critères.
PHASE OPERATIONNELLE
Les résultats de la phase exploratoire, ont permis de mener à bien la phase opérationnelle. Cette phase comprend deux étapes : le travail sur terrain et les traitements des données et rédaction.
Travail sur le terrain
Cette étape comprend essentiellement la mise en place de l’expérimentation suivie des observations culturales du début jusqu’à la fin du cycle cultural. Comme l’étude nécessite un suivi permanent, une présence continue sur le lieu d’étude a été indispensable. Ceci a durée cinq mois de Mai à Octobre 2008. Pendant cette période, l’oignon a été cultivé suivants trois systèmes de production différents : le premier, traditionnel, le second semi traditionnel et le dernier amélioré. Du fait de l’éloignement des zones d’études, on n’a pas eu de dispositif expérimental défini. En fait, l’oignon est cultivé directement sur une vaste superficie de 1 à 2ha selon la capacité des exploitations et suivant le système de production. Ces surfaces de 1 à 2ha sont divisées en plusieurs planches ou parcelles élémentaires de dimension de 20m*1m (20m²) séparées d’allée de 50cm.
Les données sont récoltées sur les bases de la superficie cultivée par chaque exploitation. C’est après, c’est-à-dire au moment de traitement qu’on les déduit en 1ha.
Observations et suivi
Les observations et suivi sont axés non seulement sur le plan technique, mais aussi sur le plan économique, entre autre, la conduite culturale de chaque exploitation, le dosage des produits, la croissance et évolution des plants (…).
Mesures
Par contre, pour les mesures, elles concernent le dosage et fréquence d’application des intrants agricoles, l’époque de l’épandage, le nombre de main d’œuvre…
Traitements de donnés et rédaction
Après les différents déplacements et travaux sur terrains, des traitements des données brutes sont nécessaires pour avoir des données synthétiques exploitables, puis, on procède à l’édification du rapport et à l’analyse des données.
CONTRAINTES ET LIMITES DE L’ETUDE
ELOIGNEMENT DES BASSINS DE PRODUCTION
La principale limite de l’étude se situe au niveau des bassins de production. En effet, les quatre exploitations sont assez éloignées les unes des autres (à peu près 13km), ce qui constitue un problème dans le suivi. A cela s’ajoute l’inexistence de moyen de déplacement permettant d’aller d’un site à l’autre pour une journée.
DECALAGE DU CALENDRIER DE PRODUCTION DES TROIS EXPLOITATIONS
Au niveau du calendrier de production, les quatre exploitations ont réalisé des semis à des dates échelonnées, de ce fait, les mêmes données n’ont pas pu être récoltées au même moment. En outre, des fois, à cause de la coïncidence d’une opération culturale donnée, on ne peut suivre qu’une seule exploitation, et on collecte les opérations auprès des salariés de l’exploitation. Parfois, du fait du débordement dans leur travail, ces derniers ne recueillent et ne communiquent pas les informations exactes.
VARIATION DES ELEMENTS FINANCIERS
Les éléments financiers sont très sensibles aux variations conjoncturelles assez fréquentes à Madagascar et aux facteurs de production de chaque exploitation, et dans la présente étude ils sont donnés à titre indicatif pour estimation.
DELIMITATION RESTREINTE DE LA ZONE D’ETUDE
La zone étudiée se limite au district de Mahajanga II, et les autres districts de la région Boeny sont ainsi susceptibles de ne pas présenter les mêmes réalités que les deux zones (par exemple en terme de disponibilité des intrants, de valeurs culturales, des conditions salariales des mains d’œuvre…).
Toutefois, on a pu surmonter ces problèmes et on a pu arriver au terme de nos travaux sur terrain grâce à une bonne organisation dans le planning.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE 1 : CADRE GENERAL DE L’ETUDE
I- Présentation de la zone d’étude
I-1. Localisation de la zone d’étude
I-2 GEOMORPHOLOGIE
I-3 Pédologie
I-4 Hydrographie
I-5 Climat
I-6. Végétation
II- GENERALITES SUR LA FILIERE OIGNON
II-1. Situation de la filière oignon dans le monde
II-2. Situation de la filière oignon a madagascar :
II-2-1 Les zones de production d’oignon à Madagascar
II-2-2 Les variétés cultivées
II-2-3 Les différentes techniques de production existantes à Madagascar
II-2-4 L’offre et la demande d’oignon à Madagascar
II-3. Situation de la filière oignon dans la Région Boeny :
II-3-1. Localisation des zones de production d’oignon
II-3-2. Les variétés cultivées et l’accès à la semence
II-3-3 Les typologies des exploitations dans la région Boeny
II-3-3-1. Exploitation améliorée :
II-3-3-2. Exploitation semi traditionnelle
II-3-3-3. Exploitation traditionnelle
II-3-4. La situation du marché de l’oignon dans la région Boeny
II-3-4-1. Situation de la demande
II-3-4-2. La situation de l’offre
II-3-4-3. Analyse de prix
II-3-4-4 Le circuit de commercialisation
II-3-5. Les acteurs de la filière
III-CONTEXTE ET PROBLEMATIQUE
IV- OBJECTIFS DE L’ETUDE
V- HYPOTHESES DE travail
VI- METHODOLOGIE DE travail
VI-1 Phase exploratoire
VI-1-1 Recherches bibliographiques
VI-1-2 Entretien avec les personnes ressources
VI-1-3 Choix des zones d’enquête
VI-2 Phase opérationnelle
VI-2-1. Travail sur le terrain
VI-2-2. Traitements de donnés et rédaction
VII-contraintes et Limites de l’etude
VII-1. Eloignement des bassins de production
VII-2 Décalage du calendrier de production des trois exploitations
VII-3. Variation des éléments financiers
VII-4. Délimitation restreinte de la zone d’étude
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE 2 : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
I- Résultats techniques de la culture d’oignon
I-1 Calendrier cultural de chaque modèle d’exploitation
I-2. Conduite culturale pour chaque exploitation
I-3. Temps de travaux : volume horaire
I-3-1. Exploitations améliorées
I-3-2 Exploitation semi traditionnelle (exploitation3)
I-3-3 Exploitation traditionnelle (exploitation 4)
I-4. Main d’oeuvre
II-Résultat économique de la culture d’oignon
II-1. Le coût de production
II-1-1 Les dépenses en intrants agricoles
II-1-1-1 Les fumures et engrais
II-1-1-2. Les produits phytosanitaires
II-1-1-3. Les semences
II-1-2. Les dépenses en carburant et lubrifiant
II-1-3 Les dépenses en main d’oeuvre
II-1-4 Les dépenses en équipement agricole
II-1-5 Les autres charges
II-1-6 Résumé récapitulatif du coût de production d’un hectare d’oignon
Tableau 11 : Tableau récapitulatif du coût de production
II-2 Le produit brut
II-2-1 Le rendement
II-2-2 Le produit brut
II-2-3. La marge nette
IV- synthese des resultats
IV- verification des hypotheses de recherche
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE 3 : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
I-DISCUSSIONS
I-1 Facteurs de variation
I-2 les atouts et contraintes de chaque systeme de production
II- RECOMMANDATIONS
II-1.Renforcements des capacités techniques des producteurs
II-1-1 Disposition de formation et de diffusion
II-1-2 Mise en place d’un suivi technique de proximité
II-1-3 Amélioration des conditions des paysans
II-1-4 Implantation de point de vente de produit phytosanitaire
II-1-5 ouverture d’un centre de production de semence d’oignon
II-2.Renforcements des capacités organisationnelles des producteurs
II-2-1 Mise en place d’une organisation paysanne
II-2-2 Création de « bureaux relais » de commercialisation
II-2-3 Favoriser le technique de warrantage
II-2-4 Financement
CONCLUSION
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