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La collecte des données de terrain
La collecte et analyse des données climatiques
L’accent est mis sur l’analyse des relevés pluviométriques de la station synoptique Ziguinchor de 1918 à 2012 qui présentent deux années manquantes, mais aussi des postes pluviométriques de Bignona et Tenghory (1970-2012) qui encadrent notre zone d’étude. Les données climatiques telles que direction et vitesse des vents, température, humidité relative, insolation, précipitations et évaporation ont été collectées à la station synoptique de Ziguinchor. Ces données sont fournies gratuitement et elles influent sur le résultat des rendements agricoles.
L’analyse de la pluviométrie est importante, dans la mesure où les précipitations constituent l’élément le plus important dans l’agriculture, mais aussi les activités menées pendant l’hivernage sont entièrement dépendantes des conditions pluviométriques.
Ainsi, nous nous sommes intéressés à l’analyse des cumuls annuels de ces données pluviométriques. La détermination de l’écart à la moyenne se fait en comparant le cumul de chaque année par rapport à la moyenne de la série. Si le cumul annuel est supérieur à la moyenne de la série, l’année est qualifiée d’humide ; au cas contraire, c’est une année sèche.
La collecte des données de productions agricoles
Les résultats statistiques des campagnes agricoles de 1960 à 2009 ont été collectés à la direction de l’agriculture de Bignona. Ces données présentent trois années manquantes. Elles sont renforcées par données collectées à l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD). Ces données nous serviront d’analyser la relation entre la variabilité pluviométrique et les rendements agricoles des cultures de plateau.
Les données démographiques
Les données relatives à la population ont été également collectées à l’ANSD, mais aussi au niveau de l’Agence Régionale de la Statistique et de la Démographie (ARSD) de Ziguinchor. Elles sont renforcées par celles tirées dans le PLD. Ces données démographiques nous ont aussi été fournies gratuitement. Elles nous ont permis de connaître la composition par sexe de la population de la commune et sa répartition ethnique.
Les données relatives à la végétation
Les données relatives à la végétation sont collectées au niveau du Service Départemental des Eaux et forêts de Bignona. Ces données concernent les superficies des aires protégées telles que de Boutolate, les forets classées de Bignona, de Diégoune, Kalounayes Kourouk, Tendième etc. En outre, l’étude de la formation végétale nous parait très importante dans la mesure où elle constitue un facteur limitant les effets de l’érosion éolienne et hydrique et conserve la fertilité des sols. Cette couverture végétale subit aussi l’influence de la variabilité pluviométrique durant les longues périodes de saisons sèches.
Les enquêtes sociodémographiques
Le PLD de Tenghory nous a permis d’avoir une première impression de la structuration de la zone; et en fonction de ces observations, nous avons réparti les questionnaires. Pour ce qui est des enquêtes proprement dites, nous avons établi un questionnaire qui est administré aux chefs de ménages. Ainsi, les personnes âgées de 40 ans et plus ont été ciblées. En effet, le choix de cette catégorie de personnes se justifie par le fait qu’elle est sensée fournir des informations fiables sur le rapport variabilité pluviométrique et production agricole.
Pour biens mener les travaux, l’échantillonnage a porté sur 15 % des 381 ménages que compte la commune de Tenghory. Et sur cette base, nous avons obtenu un échantillon de 57 ménages, réparti dans 10 villages en fonction de (O5) cinq grandes zones géographiques qui regroupent pour chacune un certain nombre de villages. Le tableau I indique cette répartition des questionnaires en fonction de zones.
Les difficultés rencontrées lors de la collecte des données.
Comme dans toute recherche scientifique les difficultés rencontrées sont nombreuses et variées. On peut citer de rares études effectuées dans la zone, le refus de certains paysans à coopérer, l’éloignement des villages les uns par rapport aux autres. Les données agricoles récoltées à la direction de l’agriculture de Bignona sont à l’échelle départementale. A cela s’ajoute les données manquantes notées en 2008 et en 2010. En outre les difficultés sont d’ordre technique. En effet, la non maîtrise de l’outil informatique à beaucoup pesé sur la réalisation du travail surtout pour la réalisation des cartes. Ces difficultés techniques nous ont rendus dépendant des autres. Les cartes sont confectionnées au CSE auprès de Aliou Goudiaby. A ces difficultés, s’ajoutent celles liées à notre statut d’enseignant au lycée de Golmy (département de Bakel), située à 750km de Dakar. Cependant, toutes ces difficultés ont été affrontées dans l’espoir de terminer le M2 en beauté. Cette volonté nous motive chaque jour davantage à persévérer et de tout faire pour mener à bien ce travail.
Le traitement et l’analyse des données collectées
C’est la dernière phase de la méthodologie de recherche. Cette phase consiste au dépouillement, au traitement et à l’analyse des données recueillies sur le terrain. Ainsi, pour réussir ce travail, l’utilisation d’un certain nombre de logiciels s’est avérée nécessaire.
Parmi ces logiciels nous avons :
– Sphinx pour l’élaboration et le dépouillement de nos questionnaires ;
– Excel pour l’exploitation des données climatiques, démographiques et la confection des diagrammes ;
– Arcview GIS 3.2a pour la confection de nos cartes ;
– Word pour la saisie du travail.
La situation géographique de la commune de Tenghory
Casamance, région géographique située au Sud du Sénégal, porte le nom du fleuve long de 300 km qui la traverse. La région de Ziguinchor est localisée en Basse Casamance entre la république de la Gambie au Nord et la Guinée-Bissau au Sud. Elle est limitée à l’Est par la région de Sédhiou et à l’Ouest par l’océan Atlantique avec une superficie de 7339 km2. La région de Ziguinchor est subdivisée en trois (3) départements que sont : Ziguinchor, Bignona et Oussouye.
Bignona qui englobe notre zone d’étude est le plus grand département de la région de Ziguinchor. Il occupe une position carrefour, à la jonction de la Transgambienne (RN4) et la route menant vers Banjul (Gambie) la RN5. Il comprend une population pluriethnique en majorité Diolas. La commune de Tenghory couvre une superficie de 302 km2 regroupant 35 villages autour de la commune de Bignona qui exerce une forte polarisation. Elle est traversée par la Transgambienne (RN4). Elle est limitée au Nord par l’arrondissement de Sindian; au Sud par la commune de Coubalan à l’Est par la commune de Ouonk et à l’Ouest par l’arrondissement de Tendouck. La carte n°1 précise la situation de la commune de Tenghory dans le Sénégal.
L’hydrogéologie
Les études géophysiques et l’exploitation des données obtenues à partir des forages ont permis de distinguer trois groupes d’aquifères en basse Casamance : l’aquifère profond, semi profond et l’aquifère superficiel.
L’aquifère profond ou nappe du Maestrichien.
Cette nappe profonde est captée par des forages qui vont, jusqu’à 200 à 400 m avec une eau peu minérale et de bonne qualité, mais aussi salée dans la frange maritime. Le débit moyen obtenu par les forages varie entre 60 et 200 m3/h.
La nappe semi profonde
C’est l’aquifère du Miocène. Cette nappe est captée par des forages qui vont jusqu’à 50m de profondeur pour un débit moyen de 20 à 40 m3/h. Son eau est également douce sauf dans la frange maritime où elle est salée du fait de la proximité de l’océan ;
La nappe superficielle
La profondeur de cette nappe est fonction de la topographie du sol : Elle varie de 0 m dans les bas-fonds à 20-25 m sous le plateau. Il s’agit de l’aquifère du Continental Terminal et des alluvions quaternaires. Selon (Ndécky, 2009), elle est captée par les puits traditionnels entre 2 et 15 m avec un débit 2 à 10 m3/h et demeure très sensible à la pluviosité insuffisante. Son eau est douce et sur les plateaux sa profondeur peut atteindre 20 m. Ces nappes superficielles sont également constituées de mares et de marigots caractéristiques d’un assèchement précoce en saison sèche.
Le réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune de Tenghory est formé par un affluent du marigot de Bignona, long de 5km. Ce cours d’eau est fortement conditionné par la forme du bassin versant. Ce réseau hydrographique s’incruste dans les formations géologiques sablo-argileuses du Continental terminal. De nature temporaire ce cours d’eau dépend de l’alimentation des eaux de pluies pendant la courte saison des pluies. L’eau de ce marigot est douce en amont de la zone de confluence et salée en aval à cause de la remontée de la langue salée. Le barrage d’Affiniam a été construit sur le marigot de Bignona pour arrêter la remontée de la marée. Ce dernier a plus d’effets négatifs que positifs : disparition de la mangrove, baisse du niveau de la nappe superficielle en saison sèche, intrusion des eaux marines etc. L’accès aux ressources halieutiques est très difficile. Les poissons deviennent une denrée rare à cause d’un assèchement précoce du réseau hydrographique etc.
La répartition spatiale de la population
La densité de la population de la commune de Tenghory est de 65,64 hts / km². Cependant, il y’a une inégale répartition de la population. La population est inégalement répartie. Plus de la moitié des villages de la Commune compte moins de 400 habitants par localité, seulement trois villages ont plus de 1000 habitants que sont : Badiouré (1259 hbts) Tenghory arrondissement (1622 hbts) et Tenghory Transgambienne (12322 hbts). Ce dernier (cf. figure ci- dessous) occupe la part du lion. La Commune de Tenghory présente un caractère rural. Parce que la plupart des villages de la zone ne pratique que l’agriculture. La particularité de ces trois localités les plus peuplées s’explique par leurs positions stratégiques. Badiouré et Tenghory arrondissement sont situés sur la nationale n°4. Tenghory Transgambienne est non loin de la route nationale mais aussi elle est très proche de la commune de Bignona et bénéficient de l’influence de cette dernière.
La composition par sexe et par âge.
Les rapports par genre et par âge présentent deux caractéristiques essentielles : une population jeune, dominée par le genre féminin où les moins de 30 ans font 60,7% (PLD 2009). Il s’agit d’une population à forte croissance démographique. Le rapport hommes/femmes est en faveur de ces dernières avec 20672 soit 59.8% contre 13945 soit 40.2% pour les hommes.
Cette situation peut s’expliquer par un certain nombre d’événements qui ont marqué la vie de la population dans cette localité. Parmi ces événements on peut noter:
– La baisse de la pluviométrie, entrainant une forte diminution de la production agricole a provoqué le départ massif des jeunes vers les villes (Ziguinchor, Kafountine, Dakar), mais aussi vers les pays limitrophes comme la Gambie. Ce mouvement migratoire (exode rural) des jeunes vers les centres villes est en partie le facteur explicatif de l’abandon des cultures de plateau. En effet, cet exode rural des jeunes vers les villes a diminué la main d’oeuvre dans l’agriculture.
– Le conflit Casamançais est aussi un facteur qui permet d’expliquer le départ des jeunes de la zone. En effet ce conflit a plus marqué dans la vie des populations au cours de la période allant de l’année 1990 à l’an 2000. Beaucoup de gens surtout le genre masculin terrorisés par cette situation ont préféré trouver refuse en Gambie. C’est ce qui explique ce déséquilibre du genre illustré par la figure n°11.
Cependant notons que cette disparité entre hommes et femmes est aussi constatée dans les grandes zones géographiques. Presque partout les femmes sont plus nombreuses.
Ce graphique confirme la domination du genre féminin dans la quasi-totalité de toutes les zones de la Commune de Tenghory. Cette différence n’est nette qu’à Tenghory et dans le Yameukeye. Cependant la zone de Fogny est caractérisée par une légère prédominance des hommes. La population de la Commune de Tenghory est dominée par les femmes.
Ainsi en analysant l’évolution de la population de chaque zone de la Commune de Tenghory, on constate que, seule la zone de Tenghory a un nombre de population significatif de l’effectif. Actuellement, cette zone compte plus de la moitié de la population de la commune. Cette croissance spectaculaire de sa population s’explique par deux principales raisons :
sa proximité avec la commune de Bignona fait que plusieurs individus viennent chercher des terres d’habitation à Tenghory ;
La traversée de la RN4 au coeur de Yameukeye a favorisé le développement de diverses activités par conséquent, il est la zone la plus peuplée de la commune. Cela est illustré par la figure suivante.
Les mouvements de la population
La population de la commune de Tenghory est très mobile. Les principales causes de la migration sont : la recherche des meilleurs conditions de vie, le bien être sociale l’insécurité qui règne dans la zone etc.
L’exode et/ou la migration est particulièrement important dans la commune de Tenghory. Tous les villages sont presque concernés. Ce phénomène est fortement sélectif et touche principalement les jeunes. Zones d’accueil sont principalement Bignona, Ziguinchor, Dakar etc. Ce mouvement de la population est parfois en direction des pays limitrophes comme la Gambie qui représente le principal lieu de migration avec une forte colonie et un peu vers la Guinée Bissau, le Mali et la Mauritanie etc. Mais également elle se dirige vers l’extérieur. On peut citer, la France, l’Allemagne et surtout l’Italie. Qui sont les principales zones d’accueil.
Les caractéristiques socioculturelles.
A l’image de la Casamance d’une manière générale, la Commune de Tenghory est caractérisée par une diversité ethnique. La population est organisée en groupes religieux et ethniques.
Les groupes religieux
La commune de Tenghory est dominée par deux religions : l’Islam et le christianisme. Dans cette zone le christianisme est surtout pratiqué par l’ethnie Diola. La religion dominante est l’islam avec près de 95% de fidèles. Le reste soit 5% est constitué de chrétiens présents surtout dans les villages de l’Ouest et du Nord (Soutou, Diourou, Boutolate, Bindago….) (PLD 2009). Les musulmans et les chrétiens vivent en harmonie cette zone. Cette cohabitation est facilitée par un certain nombre de valeurs telles que les liens de voisinages, de cousinages et de parentés à plaisanteries. Ce tableau suivant illustre la répartition de la population en fonction des religions.
IMPACTS DE LA VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE SUR LES CULTURES DE PLATEAU
La variabilité pluviométrique est un phénomène naturel qui se manifeste à travers la température, l’humidité relative, évaporation, insolation et les précipitations. La variabilité pluviométrique interannuelle et l’irrégularité pluviométrique ont des conséquences directes sur les cultures de plateau. En effet les fluctuations de la production agricole d’année en année constatées dans la commune dans ces dernières années sont les conséquences de l’irrégularité de la pluviométrie. Cette crise agricole est même remarquée à l’échelle régionale (Afrique de l’ouest) depuis la fin des années 1960 marquées par une grande sécheresse. L’agriculture dépend essentiellement des précipitations. Ainsi la variabilité pluviométrique qui se traduit par une répartition spatio-temporelle des précipitations est un facteur remarquable dans la production agricole. La faiblesse de la production agricole est due à plusieurs facteurs : la variabilité des pluies annuelles, mensuelles, déficit pluviométrie, début tardif et fin précoce de l’hivernage, la pauvreté des sols est due à l’exploitation abusive des terres, à l’érosion hydrique ou éolienne et à la destruction de la couverture végétale etc. Les conséquences de ces aléas climatiques sur les cultures sont observées à partir de leurs rendements. Impacts de la variabilité pluviométrique sur les cultures est l’objet de cette troisième partie. Ainsi nous étudierons d’abord les différents types de cultures sont pratiquées sur le plateau et en fin nous essayerons d’analyser les impacts de la variabilité pluviométrique sur ces cultures.
LES TYPES DE CULTURES SUR LE PLATEAU DE LA COMMUNE DE TENGHORY
L’agriculture constitue la principale activité dans l’économie de la zone et reste dépendante de la pluviométrie. Elle repose principalement sur les cultures vivrières pratiquées sur le plateau (mil, maïs, sorgho, fonio, etc.), les cultures commerciales (arachide le plus souvent) et les cultures dans les bas-fonds (le riz). Elle assure la sécurité alimentaire des familles. L’activité agricole présente une division du travail entre hommes et femmes. Ainsi dans la commune les travaux sur le plateau sont l’apanage des hommes tandis que l’exploitation des bas-fonds relève du domaine des femmes. L’agriculture renferme quelques atouts :
Le matériel agricole utilisé est très rudimentaire : Le kadiandou, la houe, la daba etc. Dans ces conditions le travail reste toujours lent et nécessite beaucoup d’efforts physiques. Le manque ou l’absence de moyens d’exploitation modernes (tracteurs, motoculteurs etc) ; rende très difficile le travail. Cela favorise le déplacement des jeunes à la recherche de meilleurs conditions de vie dans les grandes villes ou à l’étranger. L’engrais minéral est faiblement utilisé à Tenghory à cause de son indisponibilité et de sa cherté. Cependant, certains agriculteurs utilisent l’engrais organique (fumier, compost…) pour fertiliser leurs champs. Avant la crise, il existait une complémentarité fonctionnelle entre l’élevage et l’agriculture. Les animaux étaient souvent parqués au niveau des espaces de cultures pour fertiliser les sols à partir de leurs déjections. Mais, depuis quelques années, cette pratique a connu un net recul dans la Commune à cause de la disparition des grands troupeaux accentuant ainsi l’appauvrissement des sols dû à la surexploitation des terres.
Les principales spéculations sont : le mil, l’arachide, le maïs, le sorgho etc. A Tenghory les cultures se font principalement pendant la saison des pluies.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Problématique
I°) Contexte et justification
II°) Critique de la littérature
III°) Méthodologie de recherche
1. La recherche documentaire
2. La collecte des données de terrain
3. Les difficultés rencontrées lors de la collecte des données
4. Le traitement et l’analyse des données collectées
IV°) PLAN
PREMIERE PARTIE : LA PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
CHAPITRE I : SITUATION ET DIVERSITE PHYSIQUE DE LA ZONE
I°)La situation géographique de la commune de Tenghory
II°) Diversité physique de la zone
II. 1 Etude géologique
II.2. Relief et sols
II.3 L’hydrogéologie
II3.1 L’aquifère profond ou nappe du maestrichtien
II.3.3 La nappe superficielle
II.4 Le réseau hydrographique
II.5 Végétation et faune
CHAPITRE II: CADRE CLIMATIQUE DE LA ZONE
I. Le climat
II. ETUDE DES PARAMETRES CLIMATIQUES
II.1 La direction des vents
II.2 La température moyenne
II.3 Les précipitation
II.4 L’humidité relative
II.5 L’évaporation
II.6 L’insolation
DEUXIEME PARTIE : CADRE HUMAIN
I : LES CARACTERISTIQUES DEMOGRAPHIQUES
I.1. L’évolution de la population
I.2 La répartition spatiale de la population
I.3 La composition par sexe et par âge.
I.4 Les mouvements de la population
II : LES CARACTERISTIQUES SOCIOCULTURELLES.
II.1 Les groupes religieux
II.2 Les groupes ethniques
TROISIEME PARTIE : IMPACTS DE LA VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE SUR LES CULTURES DE PLATEAU
CHAPITRE I : LES TYPES DE CULTURES SUR LE PLATEAU DE LA COMMUNE DE TENGHORY
I°) Les différents types de cultures
I.1 Le mil
I.2 Le maïs
I.3 Le sorgho
I.4 L’arachide
II°) Les problèmes à la productivité des cultures sur le plateau
CHAPITRE II : IMPACTS DE LA VARIBILITE PLUVIOMETRIQUE SUR LES CULTURES DU PLATEAU
I°) Les facteurs de la production non liés à la pluviométrie
I.1 Les intervenants dans les champs
I.2 Les superficies cultivées en 2013
I.3 Utilisation ou non d’engrais dans les champs
II°) Variation de la pluviométrie et de la production agricole.
II.1 Analyse des données agricoles et de la pluviométrie du département de Bignona
II.2 Etude des données récoltées sur le terrain.
III°) Impacts de la pluviométrie sur les cultures
III.1 Impacts sur le mil
III.2 Impacts sur le maïs
III.3 Impacts sur le sorgho
III.4 Impacts sur l’arachide
CONCLUSION GENERALE
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