les traits distinctifs qui caractérise le projet PIC à d’autres projets de la BM

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la promotion des « IDE, ZES »

Différentes mesures et décisions ont été prises pour promouvoir l’attraction des IDE (Investissements Direct Etrangers) : des mesures législatives, foncières, institutionnelles. Dans cette optique, l’EDBM (Economic development board of Madagascar) joue un rôle important. L’action de l’EDBM se focalise sur 03 trois volets principaux :
-promotion des investissements ;
-facilitation des investissements ;
-amélioration du climat des affaires.
Historiquement, l’EDBM est une entité créée par le PIC1, mais après elle est autonome donc a acquis une autonomie de gestion et aussi financière. L’EDBM est maintenant rattachée à la présidence de la république et sous tutelle direct du ministère des finances et du budget pour son statut d’EPIC(Etablissement public a caractère Industriel et commercial).Pour promouvoir les investissements privés , il est en étroite collaboration avec quelques ministères stratégiques :ministère de justice ,du tourisme ,du fonction publique ,et aussi avec l’INSTAT. L’EDBM a opté pour la création d’un guichet unique qui permet aune création d’une entreprise en 04 quatre jours seulement.les actions de l’EDBM se focalise sur quelques secteurs porteurs : l’agri business, l’industrie textile, l’agronomie, le tourisme, mine, énergie et infrastructure. l’EDBM élabore des stratégie pour le développement de chaque secteur, l’EDBM va vers les investisseurs nationaux surtout internationaux pour faire du lobbying pour Madagascar, il participe à des forums mondiaux, il facilite les démarches juridiques ,foncières et institutionnelles pour les investisseurs, il est en étroite collaboration avec des groupement d’entrepreneurs, il a beaucoup œuvrer pour l’instauration d’’un ZEI(Zone économique spéciale ) à Taolagnaro près du port d’Ehoala ,c’est une zone franche de 440 ha appelée Ehoala parc ; tout cela pour attirer les IDE.

notion et concept de base de la croissance

Croissance exogène
La croissance exogène est une théorie de croissance économique qui considère le progrès technique comme exogène. le modèle de croissance exogène le plus connu est le modèle de Solow, la croissance viendrait d’un phénomène extérieur, en quelque s sorte comme « tombée du ciel », selon Solow la population connait un taux de croissance exogène, c’est-à-dire qui n’est pas de nature économique. Il en est de même pour les inventions scientifiques, médicales, techniques.
Croissance endogène
La croissance endogène est une théorie évoquée par l’économiste Paul Römer, et qui démontre comment des facteurs endogènes (internes) peuvent amener la croissance. Elle explique le progrès économique par la technologie et approfondit l’analyse de progrès par les politiques que le gouvernement peut mener en matière de recherche et développement, ainsi que les aides et les subventions apportées par l’Etat pour le développement technologique et humain. Elle complète la théorie de la croissance exogène, développé par Solow ; un gouvernement qui investit dans la formation, la recherche technologique, l’innovation s’inspire de cette théorie de croissance endogène.
Economie a « l’état stationnaire »
Une économie à l’état stationnaire correspond au stade ou une économie a atteint un niveau optimal, un niveau d’équilibre entre la croissance, la consommation et la démographie, il s’agit d’une théorie développée par Solow et Trevor Swan en 1950, selon eux, l’économie d’un pays croit parallèlement à sa démographie ; toutes économies tendent vers un état stationnaire à un moment de son existence.
La croissance verte
La croissance verte consiste à favoriser la croissance économique et le développement tout en veillant ace que les actifs naturels continuent à fournir les ressources et les services environnementaux sur lequel repose notre bien – être. Pour ce faire elle doit catalyser l’investissement et l’innovation qui étaieront une croissance durable et créer de nouvelles opportunités économiques. en résume, la croissance verte est l’art de continuer le développement économique tout en préservant nos ressources naturelles indispensables a ce propre développement .on n’est pas du tout dans une logique de croissance zéro comme on le dit trop souvent, mais bien dans l’idée de trouver un compromis entre le développement durable et une progression économique constante ,même si la logique de la croissance continue et perpétuelle parait impossible a long terme sans un contrôle au niveau de la croissance démographique.
Le produit intérieur brut
Produit intérieur brut ou PIB est l’un des indicateurs économiques le plus important. Cet indicateur mesure le niveau de production d’un pays pour une période donnée. La croissance du PIB est synonyme de croissance économique. Cet indicateur permet de mesurer la production économique annuelle c’est-à-dire le revenu provenant de la production a l’intérieur d’un territoire pour une année donnée. Le PIB a été inventé par l’économiste américain Simon KUZNET en 1934. C’est un indicateur très utile mais qui a ses limites. On lui reproche notamment de ne pas refléter les effets de l’activité économique sur l’environnement et la société.
Calcul du PIB
Le PIB est calculé en additionnant les valeurs ajoutées des différents agents économiques. Ce calcul est basé sur les résultats fournis par les entreprises et les administrations publiques .seuls les biens et services finaux sont inclus dans le calcul du PIB, les biens intermédiaires sont exclus.
Le PIB par habitant se calcule en divisant la valeur du PIB par le nombre d’habitant d’un pays. Le calcul du PIB se fonde sur le principe de territorialité .cet indicateur mesure l’activité de production sur le territoire national quelle que soit la nationalité du producteur.

description géographique et économique de la région Anosy

Anosy une vaste région composée de 09 neuf sous –territoires riches avec une population qui survie d’une économie agricole : situation géographique diversifiée, population jeune et rurale.
-Localisation géographique
Faisant partie de la province de Toliara, la région de l’Anosy se trouve sur l’extrême Sud-Est de Madagascar. Délimité au Nord par les régions d’Ihorombe et d’Atsimo-Atsinanana, au Sud et à l’Est, elle est délimitée par l’océan Indien et à l’Ouest par deux régions qui sont la région de l’Androy et celle d’Atsimo-Andrefana.
La région Anosy est située dans les latitudes 22,27° et 25,20° Sud et les longitudes 45,18° et 47,40° Est.
La région Anosy est composée de 3 districts : Amboasary-Atsimo, Betroka et Taolagnaro avec des superficies respectives : 10173 km2, 14060 km2 et 5498 km2. Le chef-lieu de la région est la ville de Taolagnaro située à 1120 km de la capitale Antananarivo. Le district de Betroka a été inséré à la région en 2004.
Le district de Taolagnaro avec 5498 km2 est le plus peuplé, pourtant, moins étendu, avec une densité de 40 hab. /km2. Le district de Taolagnaro est composé de 24 communes avec une seule commune urbaine qui est la capitale régionale. Etant auparavant chef-lieu de préfecture, ce district dispose tous les services et prérogatives. Assimilé à cette fonction, la ville constitue les principaux débouchés de bon nombre des productions de l’arrière-pays. Et cette tâche à été renforcer par la construction du port d’Ehoala qui est actif depuis l’année 2009. La RN12a, la RIPH8 et la RN13 constituent les voies qui relient les communes rurales du district au chef-lieu. Ces routes servent également de liaison avec le reste du pays. Avec plus de 160 km de littorale qui favorisent les activités halieutiques. Les crevettes et les langoustes constituent les principaux produits d’exportations dans ce cas.
Les fonctions d’enrichissement comme les entreprises, les banques, les assurances, commerces, exportation de cobalts renforcent les activités administratives. Tout cela provoque un flux migratoire positif stimulé par l’augmentation des offres d’emploi.
Doté d’un plan d’urbanisme directeur en 2004, de nombreuses réalisations ont commencé mais beaucoup de tâches restent à réaliser afin de mieux encadrer la croissance urbaine accentuée. Par l’existence de Rio-Tinto-QMM, une société minière qui exploite l’Ilménite pour une quarantaine d’année.
Le district d’Amboasary-Atsimo, avec 10173 km2 est en position intermédiaire par rapport aux deux autres districts en matière de surface et du peuplement, avec une densité de 19,49 hab/km2. Composé de 16 communes dont le chef-lieu est la seule commune urbaine. La bourgade est reliée au chef-lieu par la RIP117, avec 28000 habitants, Amboasary dispose tous les équipements appropriés à son statut mais cela n’exclus pas la nécessité de réhabiliter certains bâtiments. La ville d’Amboasary est célèbre pour la culture du sisal, Amboasary est un carrefour routier et commercial, et elle tient une position de transition entre la région Anosy et Androy. Cela lui donne une rente de situation qui doit être mieux valorisée.
Le district de Betroka, avec 14060 km2 est le plus vaste et le moins peuplé avec une densité de 13,32 hab. /km2composé de 24 communes et le chef-lieu est la seule commune urbaine. L’étendu des CR est grande et l’insuffisance des voies de communication contribuent à renforcer leur enclavement, le passage de la RN13 donne une position privilégiée aux communes riveraines, leurs permettant une évacuation de leurs excédents de productions. En 2004, Betroka est rattaché à la région d’Anosy, le district de Betroka est plutôt tourné vers le Nord vers le HTC qui sert de débouchés pour les richesses locales comme les bœufs et les maniocs. Avec plus de 9000 habitants, la ville dispose des services correspondants à son statut de sous-préfecture, pourtant, le fonctionnement des services n’est pas satisfaisant.
En totalité, l’étendu de la région d’Anosy est de 29731 km2, avec une population de 619525, une densité de 21 qui est encore sous-peuplé. On observe aussi une inégale répartition dans la région.
Les caractéristiques du relief
Le paysage de la région d’Anosy est caractérisé en 3 types du Nord vers le secteur Sud-Est :
– Un secteur Nord couvrant une partie du plateau d’Ihorombe et dominé par un vaste plateau de colineaux, subordonné par des plaines alluvionnaires avec une altitude de plus de 800m ;
– Une partie Sud montagneuse, situé sur une partie des massifs montagneux qui sépare longitudinalement la grande ile en deux versants (Ouest et Est) et qui se termine à l’extrême Sud, d’une part, par le massif d’Ivakoana (point culminant : mont Ivakoana, 1632 m) au niveau de Tsivory et de l’autre, par les chaines Anosyennes (point culminant : mont Beampigatra, 1956 m.
– Les zones côtières marquées par des pentes à la terminaison des massifs montagneux et une longue de sable d’une largeur de 30 km qui s’enfonce dans l’Océan Indien.
Si on résume, la région Anosy est marqué par une opposition nette entre :
• une zone à basse altitude (ne dépassant pas le 75 m). Constitué à l’Est par une littorale étroite de 194 km et par la vallée basse de la Mandrare, délimité au Nord-Ouest par le rebord Manambien.
• Une zone à haute altitude qui peut dépasser les 1500 m dont les points culminants sont Ivakoana et Beampiangaratra.
• Les bassins versants de la région sont localisés dans les parties Ouest. On y trouve :
– le bassin versant de Mandrare qui s’étale sur une superficie de 12435 km2 localisé à Amboasary-Atsimo
– Il y a aussi le fleuve de Mangoky qui s’étale sur les 2345 km2 qui prend source au pied de la chaîne Ivakoany à Betroka
LES REALISATIONS DU PROJET PIC ET SES EFFETS DANS LA REGION ANOSY
Renforcement de la capacité locale et concrétisation effective de l’initiative 3p en vue d’une attractivité des IDE
Création d’un environnement favorable aux IDE
Les IDE (les Investissements Directs à l’Etranger) sont les flux des capitaux dans le monde dans le but de créer, de promouvoir et/ou de garder une succursale à l’étranger et / ou d’exercer une importante influence sur la gestion d’une entreprise étrangère. On appelle IDE les créations de filiales à l’étranger ainsi que les fusions-acquisitions transfrontières ou les autres liaisons financières (les prêts et emprunts intragroupes). Les IDE offrent une opportunité pour les entreprises une réduction des coûts (exploitation à distance des ressources naturelles couteuses, utilisation d’une main d’œuvre moins couteuse). Les attractivités (la création d’une agence de promotion des investissements) économiques d’un pays sont mesurées par le volume des IDE. Les IDE sont aussi un outil efficace pour l’acquisition d’un nouveau marché difficile à pénétrer par les seules exportations. Ils jouent aussi un rôle déterminant dans la stabilisation de la monnaie nationale. Diverses mesures doivent être prises pour promouvoir les IDE :
La création d’une agence de promotion des investissements
Pour Madagascar, la promotion des investissements surtout les IDE est confiée à l’EDBM (Economic Development Board of Madagascar). Selon l’histoire la source de l’EDBM est l’organe de la banque mondiale appelée EDI (Economic Development Institute), c’était en 1956 que l’EDI a été créé par le biais des fonds venant de la fondation Rockefeller et la fondation Ford. L’EDI dispense des formations durant 6 mois auxquelles des hautes personnalités et hauts responsables sont formés, beaucoup parmi ces gens formés deviennent des ministres des finances, premier ministre. En 1999, l’EDI a changé de nom et devient WBI (World Bank Institute). Pour Madagascar, l’EDBM a été créé en 2009. Ses activités se focalisent sur la promotion du secteur privé, l’amélioration du climat des affaires à Madagascar pour l’attraction des IDE. Ils jouent un rôle important dans l’élaboration d’un plan de développement, des secteurs clés : l’exportation, la production, la transformation, l’extraction minière et le tourisme. L’EDBM a le pouvoir de faciliter les démarches de création d’entreprises étrangères, de donner et de prolonger les VISA des investisseurs étrangers résidant à Madagascar. C’est la loi n°2007-036 du 14 janvier 2008 qui définit le code des investissements à Madagascar, qui autorise l’EDBM à s’inclure dans les affaires économiques de l’Etat. L’article 4, alinéa 15 de cette loi stipule que l’EDBM a le pouvoir de consulter les bases de données du registre national du commerce et des sociétés pour son compte ou pour le compte des investisseurs étrangers, l’EDBM est aussi apte à faciliter l’acquisition des fonciers pour les investisseurs étrangers selon l’article 19 : l’EDBM donne des terrains pour les investisseurs étrangers au nom du ministère chargé de domaine. L’EDBM est un organisme créé par le projet PIC dans sa phase 1 mais qui est actuellement autonome financièrement et en matière de gestion rattaché directement à la présidence de la république et sous tutelle du ministère des finances et du budget en tant que EPIC (Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial)
Electrification et adduction d’eau potable
Conscient que l’Etat Malagasy est un Etat faible, un Etat qui n’arrive même pas à subvenir aux moindres besoins de sa population et conscient du fait qu’aucun développement et industrialisation n’est possible sans une politique efficace et durable en matière d’énergie. Le projet PIC, Rio-Tinto/QMM en partenariat avec la JIRAMA ont essayé encore une nouvelle fois à montrer que l’initiative 3P est efficace surtout pour solutionner les problèmes d’énergie dans la région Anosy :
Le PIC finance la restauration des réseaux de distribution d’électricité. Son coût s’élève à 2,5 millions de Dollar et c’est la JIRAMA qui fait les travaux. Le géant Rio-Tinto a aussi investi pour la construction d’un central thermique de 25 Mégawatt, ce central marche avec du fuel lourd. Rio-Tinto a conclu un contrat de vente d’énergie avec la société JIRAMA. Le projet PIC et Rio-Tinto ont aussi conclu un contrat d’amélioration du système d’adduction d’eau potable pour Taolagnaro. Le projet PIC rénove le système de distribution pour un coût de 2,2 millions de Dollar tandis que Rio-Tinto s’active pour la réhabilitation et le renforcement de la capacité du lac Lanirano. La JIRAMA opte une nouvelle fois pour un contrat d’achat avec Rio-Tinto. Cette électrification intensive et cette adduction d’eau est surtout nécessaire pour catalyser les investissements sur l’Ehoala parc mais la première raison de ces investissements est de faciliter l’exploitation minière de Rio-Tinto.
En résumé, tout le monde est conscient que la promotion de l’énergie est primordiale pour le développement et l’industrialisation mais la question se pose sur les vrais bénéficiaires de ces infrastructures électriques parce que nous voyons ici que la société JIRAMA, une société en faillite, et pénalisée par les conditionnalités de la banque mondiale et du FMI (pas de subvention, processus vers la privatisation) et encore obligée à se soumettre à l’achat de l’eau et de l’électricité venant de Rio-Tinto. Alors dans ce cas, c’est le géant Rio-Tinto/QMM qui gagne et le concept 3P (Partenariat Public Privé) se transforme en un autre 3P (Profit Pour les Privés).
Renforcement de la capacité locale à travers le renforcement des capacités des entreprises privées et à travers des diverses formations professionnelles
Concernant les entreprises privées, puisque la région Anosy est une zone à forte potentialité en matière de ressource naturelle et troisième destination touristique à Madagascar, les principales activités des entreprises locales se focalisent sur la restauration, hôtellerie, agriculture. Des séances d’informations sont organisées avec le projet PIC avec comme participant des opérateurs touristiques, des propriétaires des PME. Des sociétés et des opérateurs touristiques qui ont des projets à réaliser proposent leurs projets aux partenaires financiers et techniques en vue de gagner des financements. Tout cela dans le but d’accroître les chiffres d’affaires de ces entreprises.
Concernant la formation professionnelle :
Partant du fait que la région ANOSY est une région à faible capital humain, la majorité de la main d’œuvre locale est alors non qualifiée, donc non disponible à accueillir les opportunités des emplois générés par les IDE et leurs effets .Pour remédier à ce problème ,la résolution venant de l’initiative 3p est encore soulevée :stimulé par le projet PIC un centre de formation professionnelle et technique de l’ANOSY a été créé (CFPTA)grâce au partenariat entre PIC, Rio-Tinto,le systèmes des nations unies et le ministère de l’éducation nationale.la formation est élargie sur de nombreux
domaines :l’informatique,commerce,langues ;sécretariat,comptabilité,management,batiment, plomberie et couture. Le tableau n°3 suivant montre La sortie de la première promotion nommée VAHATSY s’est tenue en octobre 2008 avec 223 apprenants

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : LE PROJET POLES INTEGRES DE CROISSANCE ET SES REALISATIONS DANS LA REGION ANOSY
CHAPITRE I : METHODOLOGIE
1-1 : Présentation et caractérisation du projet pic
1-1-1 : présentation générale du projet PIC
1-1-2 : les traits distinctifs qui caractérise le projet PIC à d’autres projets de la BM
1-2 : Notion et concept
1-2-1 : la promotion de la « coopération 3p »
1-2-2 : la promotion des « IDE, ZES »
1-2-3 : notion et concept de base de la croissance
1-2-4 : description géographique et économique de la région Anosy
1) les forêts primaires
2) les forêts secondaires
3) les savanes
1) température
2) pluviométrie
CHAPITRE II : LES REALISATIONS DU PROJET PIC ET SES EFFETS DANS LA REGION ANOSY
2-1 : Renforcement de la capacité locale et concrétisation effective de l’initiative 3p en vue d’une attractivité des IDE
2-1-1 : Création d’un environnement favorable aux IDE
2-2 : Une politique centrée sur le développement industriel et des infrastructures appuyée par la promotion du secteur tourisme
2-2-1 : Implantation de la filiale QMM du Géant Rio-Tinto
2-2-2 : construction et réhabilitation des diverses infrastructures socio- économiques
2-2-3 : une importante création d’emploi
Partie II : LES ENJEUX ET LES VRAIS BENEFICIAIRES DE LA REALISATION DU PROJET PIC DANS LA REGION ANOSY
CHAPITRE I : LA DOMINATION DES ENTITES DU SYSTEME FINANCIER MONDIAL DES INVESTISSEMENTS DANS LA REGION ANOSY
1-1 : La BM : acteur dynamique de la mondialisation financière
1-1-1 :L’implantation de QMM RIO TINTO à Madagascar : un pilier de la mondialisation
1-1-2 :L’EDBM : MARQUE DE L’INGERENCE DE LA BM
1-1-3 : MADAGASCAR SE PERD DANS LES TERMINOLOGIES DE LA BANQUE MONDIALE : la Bonne gouvernance, le renforcement de capacité et l’amélioration de la fiscalité
1-2 : la région ANOSY proie de la manipulation de la géopolitique mondiale
1-2-1 : Les PCD, SRD et les SRAT sont des plans d’ajustement structurels décentralisés
1-2-2 : Madagascar, un enjeu de la concurrence des entreprises extractives étrangères
CHAPITRE II : LES EFFETS NEGATIFS DU PROJET
2-1 : des bouleversements écologiques ainsi que socio-économiques
2-1-1 : des environnements sociaux et naturels dévastés par des constructions routières et portuaires
2-1-2 : mouvement migratoire incontrôlable et tendance inflationnistes suite à l’augmentation des besoins dans la région
2-2 : acculturation de la population locale et renforcement de la mondialisation et du cercle vicieux de l’endettement
2-2-1 : la dérive d’une économie accès trop au tourisme et revirement forcé vers une vision propriétaire de la terre.
2-2-2 : nouvelle approche de financement de la Banque Mondiale privilégiant les FMN en surrendettant les pays fragiles
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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