Les théories classiques du commerce International

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le Gold Exchange Standard ou système d’étalon de change – or adopté en 1922 à la conférence de Gênes

L’idée de départ est la suivante : Le Gold ExchangeStandard doit permettre de rééquilibrer la situation. On assiste en effet à une pénurie mondiale d’or d’une part et à un déséquilibre dans la répartition des stocks d’or treen les pays. De l’autre, certains pays ont des réserves d’or importantes, voire même trop importantes alors que d’autres en sont totalement, ou quasi totalement dépourvus. L’or nepeut donc plus jouer le rôle qu’il jouait auparavant.
Le système de l’étalon de change – or se fonde doncsur le fait que certaines monnaies fortes peuvent jouer le rôle de l’or en tant qu’étalon. En pratique deux monnaies seulement pouvaient jouer ce rôle : il s’agissait bien sûr du dollar et dans une moindre mesure de la livre sterling. En fait, la conférence de Gênes procède à une distinction entre deux catégories de pays :
D’une part les pays qui disposent de réserves d’orimportantes (en pratique, USA et Grande-Bretagne). Ces pays peuvent continuer à se f onder sur l’étalon or. Toutefois, la convertibilité directe et intérieure est supprimée,il n’est plus possible, comme auparavant, à un possesseur de monnaie fiduciaire d’obtenir auprès d’une banque l’équivalent en or. 12
Seule la convertibilité internationale est maintenue, les banques centrales peuvent donc continuer à effectuer leurs règlements réciproques au moyen de transferts d’or. Un règlement effectué en or confère à un pays un gagede valeur de sa monnaie.
D’autre part, les pays qui ont des réserves d’or insuffisante ont désormais la possibilité de constituer des réserves de change en devises fortes convertibles en or (en pratique, bien entendu, toujours le dollar et la livre sterling – et surtout le dollar.) ou en or.
On constate donc que le système d’étalon change-orconsacre la puissance économique des USA via le dollar. Le billet vert est non seulement une monnaie permettant d’assurer des paiements mais devient une monnaie servant de réserve de change pour l’ensemble des pays.  » Le dollar devient donc de l’or « . Le dollar devient en tout cas la monnaie n°1 dans le monde. Le système d’étalon de change – or a assuré pendant quelques années l’expansion du commerce international. Mais, la grande crise de 1929 à remis en question l’ensemble du système. En 1931 la Grande-Bretagne bandonne l’étalon – or. Les crises monétaires touchent peu à peu l’ensemble des pays, de nombreuses dévaluations interviennent entre 1930 et 1940, les pays se protègent en adoptant des mesures protectionnistes.
Une réforme du S. M. I. apparaît donc indispensable. Cette réforme met en évidence la divergence des analyses théoriques concernant le SMI. Comme toujours, on retrouve l’opposition entre l’analyse libérale et l’analysekeynésienne.
–Dans l’analyse keynésienne :Keynes fut un participant actif aux négociations qui ont permis la création du système de Bretton-Woods en 1944 il s’agit prioritairement d’empêcher la déflation. Keynes pense qu’il faut s’assurer« que l’argent gagné en vendant des marchandises à un pays puisse être consacré à ‘achatl de produits de n’importe quel autre pays ». Une véritable banque centrale mondiale aurait pour but d’assurer aux pays déficitaires les moyens de continuer à commercer au lieu d’être contraint de rétablir brutalement l’équilibre par la réduction de leurs ommandesc. Keynes préconise donc la création d’une véritable autorité monétaire supranationale : la  » Clearing union « .
Cette institution internationale détenant de l’or déposé par les Etats participants, aurait créé en contrepartie le BANCOR, une nouvelle monnaie scripturale. Chaque pays se verrait attribuer un quota de BANCOR en fonction de sa part dans les échanges internationaux. De cette manière, la croissance de la monnaie internationale devrait être proportionnelle à la croissance des échanges internationaux. Le BANCOR aurait donc permis les règlements internationaux et l’institution internationale aurait accordé aux Etats débiteurs des crédits  sur des comptes en BANCOR. Par ailleurs, la  » Clearing Union  » aurait permis le maintien de la paix dans le monde grâce à l’arme du blocus f inancier. Keynes pensait finalement, qu’à tout point de vue, la supranationalisation du pouvoir monétaire pouvait permettre le maintien des grands équilibres. Le plan Keynes a ét rejeté et n’a, bien entendu, jamais été mis en application.
–L’analyse libérale :
Pour les libéraux, la monnaie internationale est un bien comme un autre. Le prix d’une monnaie ou son cours ne peut résulter que de la loi de l’offre et de la demande. Les libéraux avancent un certain nombre d’arguments enfaveur de leurs thèses :
– Tout d’abord, le maintien des parités fixes avec une marge de variation élimine le problème d’un éventuel déficit de la balance des paiements. Le raisonnement consiste à dire que si un déficit se produit, la monnaie du pays est moins demandée pour les transactions commerciales et son cours va baisser. Cette dépréciation va accroître le prix des importations et réduire celui des exportations, la balance commerciale va donc automatiquement s’améliorer. Inversement, un excédent de la balance des paiements entraînera une hausse de la monnaie, cette appréciation qui rendra les exportations plus difficiles réduira les exportations et l’équilibresera rétabli.
– Enfin, la flexibilité des taux de change donne à chaque pays une plus grande liberté de manœuvre concernant sa politique économique et monétaire. On constate donc que l’analyse libérale s’oppose totalement à l’analysekeynésienne, encadrement des politiques monétaires par une autorité supranationale pour l’analyse keynésienne, liberté totale de circulation des capitaux et déréglementation pour ‘analyse libérale. Au moment de la négociation des accords de Bretton-Woods en 1944, c’est finalement l’analyse libérale qui a prévalu. Le plan WHITE, du nom d’un financier américain, servit dans ses grandes lignes à élaborer les bases du système monétaire international. Ce plan écartait l’instauration d’une autorité supranationale ayantautorité sur les pays membres en matière monétaire.
La proposition américaine, menée par Harry Dexter White, rassemble les vues avancées par différents services de l’administration américaine. Elle met l’accent sur la fixité du taux de change, le rétablissement du libre échangeet la relance du commerce mondial. En effet, ce plan exige le démantèlement des politiques protectionnistes : la baisse des droits des douanes et l’élimination des barrières non tarifaires. Cette délégation veut surtout
obtenir le redressement d’une coopération monétaire internationale, en arguant que la grande crise des années trente a été provoquée parla surévaluation monétaire, en l’occurrence la livre, ce qui a aboutit à des dévaluations déstabilisantes.
En effet, il préconisait l’institution d’un fond de stabilisation monétaire à qui on confère les fonctions d’aider les pays connaissant des problèmes au niveau de la balance des paiements et qui ont du mal à assurer la stabilité de leur monnaie. Cette entité sera en mesure d’octroyer des crédits à partir des cotisations des pays membres. Aussi proposait-il, en fait un nouvel système étalon de change –or mais basé cette fois ci sur une seule devise clé : le dollar.
Aussi, les pays choisiraient une définition de la parité de leur monnaie soit en or, soit en dollar qui aurait un rôle de monnaie internationale et d’instrument de réserve. Cette plate forme prévoyait également la création d’une banqueinternationale pour la reconstruction et le développement ou la BIRD pour renflouer la reconstruction des pays, principalement européens, ruinés par les guerres. Ce tournant marque la fin de la domination de la monnaie anglaise et entérine la nouvelle fonction du dollar comme premier moyen de paiement international et surtout la naissance du FMI. Ce dernier aura pour mission principale d’être le garant de l’intégrité du système et de faire respecter les règles du jeu monétaire. La BIRD a été également formée et devenue la banque Mondiale qui est l’un des recours internationaux pour le financement des projets de développement notamment pour les pays en développement.
Ces deux institutions tendent à converger leurs act ivités depuis les années quatre-vingt dans les pays en développement. La conférence s’estterminée par l’adoption des statuts des deux institutions. Le plan White n’envisageait que la création de simples organes de coopération volontaire.
LE CONTENU DES ACCORDS DE BRETTON-WOODS (JUILLET 1944).
Les accords de Bretton-Woods reposent sur trois principes essentiels :
Permettre la conversion libre des monnaies entre elles.
Permettre aux pays dont la balance des paiements est déficitaire d’obtenir des crédits. Assurer la stabilité des taux de change donc la stabilité du commerce international.
L’instauration d’un système de parités fixes.
Au moment de l’adoption des accords de Bretton-Woods en 1944 chaque pays avait déclaré au FMI (Fonds Monétaire International créépar les accords) une parité de sa monnaie nationale par rapport à l’or et par rapport au dollar. Au 1er juillet 1944 un dollar était équivalent à 888,671 mg d’or soit approximativement à un gramme d’or. Une once d’or (31,1 grammes d’or) valait à 35 dollars. Partant de là, les parités ont été fixées à plus ou moins 1 % par rapport au dollar.
Mécanisme et caractéristique du système misen place
Une réduction de marge de manœuvre pour les pays co ncernant leur politique monétaire Q ainsi que la mise en place des DTS (Droits de Tirage Spéciaux).
c Le recours à la dévaluation ou à la réévaluation n’est admis que pour la correction d’un déséquilibre fondamental de la balance des paiements. Il devient nécessaire de prévenir le FMI pour les modifications de moins de 10 % par rapport à la parité choisie. Pour les modifications de plus de 10 %, une autorisation du FMI est nécessaire. Les DTS ont été mis en place au moment de la réforme de 1976 à partir du moment où le dollar n’a plus été en mesure de s’imposer aussi universellement qu’autrefois. L’ambition des DTS était de remplacer l’or en tant qu’instrument de réserve. Ils étaient définis par rapport à un panier de monnaie. Ils permettaient aux pays ayant besoin de régler des déficits de leur balance des paiements à faire appel au financement du FMI.  Mais, les DTS souffraient d’une trop grande complexité d’utilisation.

La libre convertibilité des monnaies entreelles.

Le  principe  de  la  liberté  de  convertibilité  des  monaies  entre  elles  impliquait  la suppression de tout contrôle des changes. Toutefois , le FMI a toléré quelques exceptions à la  règle  pour  les  pays  qui  voulaient  maintenir  des restrictions  sur  les  paiements  et transferts  relatifs  aux  opérations  internationales courantes,  à  condition  toutefois  de consulter le FMI chaque année sur l’opportunité demaintenir de telles  restrictions et surtout de s’engager à les supprimer dès que la situation de leur balance des paiements le permettra. En 1944 le dollar sert de monnaie de réserve dans les banques centrales. Les USA sont en effet en position de domination économique financière et, du fait qu’ils sont les  seuls  à  pouvoir  assurer  la  convertibilité  immédiate  de  leur  monnaie  en  or,  ils bénéficient d’un privilège de non intervention surle marché des changes. En d’autres termes, il existe deux catégories de monnaies : ledollar et les autres.
On se trouve donc en quelque sorte dans un système d’étalon de change or (GES) mais avec un organisme (le FMI) chargé de superviser le fonctionnement d’ensemble du système et de faire respecter les parités.
L’évolution du système de Bretton-Woods.
Au lendemain de la seconde guerre mondiale, les économies se caractérisaient par de très importants déséquilibres dans les échanges entreEuropel’ et les USA. En effet, les besoins de l’Europe en biens d’équipement étaient énormest ne pouvaient être satisfaits que par les USA. L’Europe était déficitaire, la balance despaiements américaine était au contraire  » excessivement excédentaire « . Le plan Marshall apermis à l’Europe de reconstituer peu à peu son potentiel productif. L’Europe a réussi une réduction spectaculaire du déséquilibre de ses échanges et ceci d’autant plus que l’on a assisté à de très nombreuses dévaluations européennes par rapport au dollar. La compétitivitéprix des produits européens s’est améliorée et la situation s’est progressivement renversée. La balance des paiements européenne est devenue excédentaire (époque des trente glorieuses) et la balance des paiements américaine s’est détériorée. A partir 1958de la situation s’est aggravée pour les USA en raison principalement de leurs importantes dépenses militaires à l’étranger ainsi que de très importantes sorties de capitaux américains dû aux investissements directs des entreprises américaines à l’étranger et surtout enEurope en raison des perspectives de profits élevés. Il en résulte une perte de confiance dans le dollar; il y a en quelque sorte une masse excessive de dollars par rapport à la par t relative détenue en or.
Le dollar deviendrait-il progressivement  » une monnaie de papier « , une monnaie inconvertible en or?
Pour éviter que cette perte de confiance n’entraînetrop de mouvements spéculatifs sur l’or, les dix pays industriellement les plus puissants ont constitués en 1961 le « pool de l’or « . Aux termes de cet accord, les banques centrales des dix pays concernés devaient vendre de l’or contre des devises chaque fois que le cours de l’or dépassait 35,20 dollars l’once. La spéculation n’a pas été enrayée, et, en 1968 le pool de l’or a été supprimée en1971, la balance américaine se dégrade à nouveau. L’inflation américaine est importante et les tauxd’intérêt pratiqués sont inférieurs aux taux d’intérêt européens. La spéculation change visage,de elle s’effectue désormais sur le mark et contre le dollar. C’est la raison pour laquelle le 15 août 1971, le président Nixon annonça la suppression de la convertibilité du dollar en or ainsi que la mise en œuvre d’une politique de rigueur aux USA. À la suite de c ette décision, la quasi-totalité des pays décide de laisser flotter leur monnaie. (Arrivée des changes flottants)
Les interventions des banques centrales se font rares, il devient nécessaire de réformer le système monétaire international. Suite à ces événements, le 14 décembre 1971, aux Açores, Pompidou et Nixon organisent la rencontre d es dix pays industriellement les plus développés. Cette rencontre aboutira à l’adoption esd accords du Smith Sonian Institute.
À la suite de ces accords une nouvelle grille de pa rités a été établie : les marges de fluctuation passent de plus ou moins 1 % à plus ou -2,25 %, toujours par rapport au dollar. Le dollar reste toujours le centre du système monétaire international malgré sa dévaluation par rapport à l’or (le prix de l’once d’or passe de 35 à 38 dollars). Compte tenu de ces modifications, toutes les monnaies se trouvent réévaluées par rapport au dollar. En théorie, on devrait assister à une augmentation des exportat ions américaines. Quelles furent les conséquences de l’augmentation des marges de fluctuation et de leur passage à plus ou moins de 2,25 %. Curieusement, cet élargissement aentraîné la naissance, le 12 avril 1972 (accords de Bâle) du serpent monétaire européen. Leserpent monétaire européen, destiné à assurer la stabilité des monnaies européennes entre elles, est considéré par beaucoup comme le premier pas vers ce qu’on aura à appeler l e moment venu l’Euro.
Explication :L’élargissement des marges de fluctuation présentait de graves inconvénients pour les échanges commerciaux intra uropéens en raison du cumul des marges entre monnaies européennes.
Description :
Le dos du serpent représente la monnaie européennela plus forte par rapport au Dollar. Le  » ventre  » du serpent représente la monnaie européenne la plus basse par rapport au Dollar.
Situation
Ici, l’idéal européen est atteint, la marge entre monnaies européennes est égale à 0 et leur position par rapport au dollar est bonne. En pratique, le serpent n’a jamais fonctionné :
En 1973 la Grande-Bretagne quitte le serpent à la s uite de l’effondrement de la livre sterling. Il en va de même pour l’Italie. En 1974 al France redoute les effets de la hausse du pétrole et quitte le serpent. En 1975 la France réintègre à nouveau le serpent. Pour conclure, nous pouvons dire que depuis 1978 les monnaies sont entrées et ont quitté le serpent quand bon leur semblait.

Le SMI soixante ans après Bretton Woods

Sur le plan financier, on assiste aujourd’hui à un processus de globalisation du marché financier, avec des masses considérables des capitaux engagées grâce à l’interconnexion des grandes places financières du monde. Le marchéfinancier et les facilités des crédits entre banques centrales sont actuellement les principaux recours financiers pour les pays industrialisés.
Durant l’année 2006, les flux nets des capitaux privés s’élèvent aux environs de 417 milliards de dollars dont 52 sous forme de placement de portefeuille, 200 d’investissements directs et 158 de prêts.
Dans la sphère monétaire, le SMI aurait une tendanc à s’orienter de plus en plus vers un polycentrisme monétaire. En effet, si la place du dollar dans les réserves officielles et dans les transactions internationales était prépondérante jusque dans les années 80, celle—ci est en déclin face à la performance économique des payseuropéens et asiatiques mais garde toutefois la première place. Si en 1982, les réserves officielles de change étaient formées à 70,5% de dollars, 12,3% de marks et de 4,7% de Yen, en 1997, les proportions passent respectivement à 55%, 15,5% et 10%. Le dollar doit désormais faire face à des concurrents, en l’occurrence l’euro et le Yen.
De fait, à notre époque, la plupart des pays développés laissent flotter leur monnaie, compte tenu des avantages de ce régime. Le dollar, la livre, l’euro et le franc suisse, par exemple, flottent sans que les banques centrales n’interviennent systématiquement.
Le FMI et la banque mondiale doivent alors son origine au compromis de Bretton Woods après la période des guerres politiques et commerciales et les crises économiques qui ont affligé l’histoire du monde dans la première moitiédu XX ème siècle. La raison d’être du Fonds est d’assurer le bon fonctionnement et l’intégrité du système monétaire international depuis le système de Bretton Woods en 1945. Or ce dernier présentait un caractère précaire et un handicap quant à sa conception.
Le fait que le dollar américain fût la seule référence dans SMI conférait à l’administration américaine une grande liberté en matière de politique monétaire de quoi dépend le système dans son fonctionnement. Cette asymétrie en faveur des Etats-Unis a fini par emporter le système de Bretton Woods, à l’instar de celle ayant assuré la suprématie britannique du temps de l’étalon –or. Toutefois la domination américaine contrairement à l’expérience britannique non seulement n’a pas disparu mais s’e st intensifié en ampleur et reste au demeurant significative tant sur le fonctionnement des institutions de Bretton Woods que sur leur structure en dépit de l’élargissement de al liquidité internationale depuis 1973. Jusque là, notre étude s’est plutôt orientée vers l’évolution et l’analyse du SMI en mettant en exergue la naissance des Institutions de Bretton Woods : La banque mondiale et le FMI, nous allons maintenant voir leurs objectifs et missions.

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Table des matières

INTRODUCTION
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS, SIGLES ET ACRONYMES
II.2 : Le rôle de la Banque mondiale
II.3 : Le groupe de la Banque mondiale
II.3.1 : La BIRD
II.3.2 : L’IDA
II.3.3 : La SFI
II.3.4 : L’AMGI
II.3.5 : Le CIRDI
Chapitre III : FMI et les théories sous-jacentes
Section I : Les fondements théoriques de stabilisation
I : Les fondements du libéralisme
I.1)- : Les théories classiques du commerce International
I.1.1 : Conception d’Adam Smith
I.2)- La théorie des rendements d’échelle croissant dans le commerce international
II : Les théories de l’endettement ..
II.1- Les causes de l’endettement extérieur
II.1.1-lié au déficit de la balance de paiement
II.1.2-lié à la pression fiscale
II.1.3- de l’effet d’éviction de l’Investissement privé par l’emprunt public
II.1.4- de désincitation (debt overhang)
II.2- La soutenabilité de la dette extérieure …
II.3- La solvabilité de la dette est le résultat d’un calcul d’optimisation des agents
II.4- La thèse de surendettement d’après Boreinsztein
II.5- Déterminants de la croissance des ressources
II.5.1- : Le modèle de la croissance à la « Harrod-Domar »
II.5.2- Les théories de la croissance endogène
i)-Le capital humain
ii)-L’investissement public et Investissement privé, le capital technologique
iii)-La taille du marché
iv)-Les analyses empiriques de la croissance
II.5.3-L’allègement de la dette et la relance économique
III : L’aide publique au développement
III.1 : Conception des économistes
III.2-Comment rendre l’aide efficace
III.3 : Problèmes potentiels de l’aide aux petits pays ..
III.3.1-Problème macro-économique
III.3.2 : Problème micro-économique
III.4-Typologies de critiques sur l’efficacité de l’aide
III.4.1-Critiques des méthodes
III.4.2-Critiques de la mauvaise allocation de l’aide, mauvaise utilisation de l’aide
Section II : Le FMI : Buts, objectifs, missions
II.1 : Présentation
II.2 : Mandat
II.3 : Composition
II.4 : Les buts originels du FMI
II.5 : Activités
II.5.1-Surveillance
II.5.2-Assistance financière
II.5.3-Assistance technique
II.6-Ressources
II.7 : Les emprunts
II.7.1 : Les AGE
II.7.2 : Les NAE
II.8 : L’opération de prêts du FMI
II.8.1-Les prêts du FMI
II.8.2-Les principales caractéristiques du financement du FMI
i)-L’achat
ii)-Le rachat
II.8.3-Politiques et mécanismes du FMI
i)-Mécanismes ordinaires
a)-Politiques de tranches
a.1)-Les politiques régissant les tranches de réserve
a.2)-Les politiques régissant les tranches de crédit
b) Mécanismes élargis de crédit
ii)-Mécanismes complémentaires
PARTIE II : NATURE ET CONTENU DU PARTENARIAT
Chapitre premier : Banque mondiale-Madagascar
Section I : Les programmes de la banque mondiale à Madagascar
I. Généralités
II. Les deux piliers de la stratégie de la Banque pour combattre la pauvreté
II.1-Premier pilier : améliorer le climat de l’investissement
II.2- 2eme pilier : Donner aux populations pauvres les moyens
Section II : Les différents projets financés par la Banque mondiale à Madagascar
II.1-Généralités
II.2-Les différents projets financés
II.2.1-Axe 1 : Améliorer la gouvernance
i)-Le PGDI
ii)-Le PGRM
iii)-Le programme environnemental
II.2.2-Croissance économique à base élargie ..
i) Le PST : Programme sectoriel des transports
i. a)-Le projet pour le transport rural …
i.b)-Projet d’investissement pour les infrastructure
ii)-Le PSDR
iii)-Le projet de micro-finance
iv)-Le projet de redressement et de restructuration du secteur énergies/eau
v)-Le second projet de développement du secteur privé
II.2.3-Développement humain et protection sociale élargie
a)-Le projet de renforcement du secteur éducation (CRESED II)
b)-Le projet d’amélioration du secteur santé (CRESAN II)
b1)-Le second projet d’appui au secteur santé
b2)-Le projet de développement d’un système de santé durable (SHSDP)59
c)-Le projet d’alimentation(SECALINE)
c.1)- Le second projet de nutrition communautaire
c.2)-La lutte contre le SIDA
d)-Le second projet multisectoriel de prévention de l’IST/VIH/SIDA
e)- Les liens de solidarité communautaire
e.1)-Le quatrième projet de développement communautaire
Chapitre II : FMI-Madagascar
Section I : Les différentes facilitées accordées
I : La FAS, FASR, actuellement rebaptisée FRPC
II- Le contenu du plan d’ajustement structurel
II.1-Une réduction des dépenses
II.2-Dévaluation de la monnaie
II.3-Elévation du taux d’intérêt
II.4-Une production agricole tournée vers l’exportation
II.5-Ouverture des marchés
II.6-La privatisation des entreprises
III : Les mesures de réformes prises à Madagascar
III.1-Réformes de fiscalité et du secteur public
III.1.1-Réforme fiscale
III.1.2-Réforme administrative et budgétaire
III.2-Réforme de la politique monétaire et du système financier
III.3-Le taux de change et les paiements
III.4-La restructuration des entreprises publiques et privatisation .
III.5-La libéralisation des prix et la déréglementation sur le commerce.
IV : Les critiques
IV.1 : Critiques de conditionnalité dites de l’ajustement structurel
IV.1.1.-Les finances publiques
IV.1.2-La politique monétaire
IV.1.3-La politique de change
IV.1.4-La libéralisation de l’économie
IV.2 : Critiques du montant financé
IV.2.1-Budget de l’Etat malgache
IV.2.2-Financement reçu
Section II : Les initiatives d’allègement de la dette
II.1-Initiative en faveur des pays pauvres très endettés(IPPTE)
II.1.1-Le point de décision
II.1.2-Le point d’achèvement
II.2-Initiative d’allègement de la dette multilatérale(IADM)
II.3-Convergence d’activités du FMI et de la Banque mondiale
Chapitre III : Les résultats macro-économiques de Madagascar
I : La croissance économique
I.1-Situation macro-économique
I.2-Situation monétaire
II-Les prix
III-Les finances publiques
IV-Le secteur extérieur
IV.1 : La balance des paiements
IV.2 : Le commerce extérieur
IV.2.1-Exportation
IV.2.2-Importation
IV.2.3 – Les dettes extérieures
IV.2.4 : Le taux de change et le Marché Interbancaire de Devises(MID)
IV.2.5-La monnaie et le crédit
a)-La monnaie
b)-Le crédit
IV.2.6-Les investissements
i)-Les investissements publics
ii)- Les investissements privés
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Annexe I .
Annexe II
Annexe III
Annexe IV
Annexe V
Annexe VI
LISTE DES GRAPHIQUES
LISTE DES TABLEAUX
TABLE DES MATIERES

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