LES STRATEGIES PENDANT UNE SEANCE D’ENSEIGNEMENT DE GEOGRAPHIE

Définition de la géographie

              Le terme « géographie » vient du grec ancien: «Gê» (géo) qui veut dire la Terre, et de «Graphein» (Graphique) qui signifie dessin et/ou écriture. Ainsi, géographie signifie « description écrite de la Terre ». La géographie est donc l’étude de la Terre, mais aussi l’étude de l’homme dans son milieu10. Selon le dictionnaire Larousse, la géographie est une science qui a pour objet la description et l’explication de l’aspect actuel, naturel et humain de la surface de la Terre11. Pour certains auteurs, la géographie est « la description et l’explication des paysages terrestres12», « une description scientifique des paysages humains et de leur répartition sur le globe13 ». Elle est un ensemble de caractère qui constitue la réalité physique et humaine de telle ou telle région14. Exemple : la géographie de Madagascar, la géographie de la France… Pour Jacqueline Beaujeu GARNIER, la géographie «c’est l’observation de faits concrets inscrits à la surface de la Terre.15 » Ici, la géographie est à la recherche des rapports entre les phénomènes de nature différente, le cadre naturel et les sociétés établies. Emile DURKHEIM a insisté sur ce qu’il appelle la notion-mère que la géographie doit développer : « notion de milieu et d’espace géographique16 . » Le philosophe Éric DARDEL, pour sa part, prétend que « la géographie, en saisissant la réalité du monde en tant que spatiale et l’espace en tant que visage de la Terre, exprime une inquiétude fondamentale de l’homme17 ». La géographie est la science de l’organisation actuelle de l’espace terrestre par l’homme. Elle s’intéresse aux problèmes de l’habitat et de la population, de la production, des services, des transports et des échanges18

La formation de l’esprit géographique

                      Tout enseignement de la géographie conduit à « savoir penser l’espace » c’est-à-dire acquérir les dimensions spatiales des phénomènes49. Avoir un esprit géographique ; c’est avoir la capacité de comprendre son environnement et celui des autres. En effet, on conduira l’élève à une vision synthétique, lui permettant de s’élever à une vue d’ensemble tout en saisissant les rapports qui unissent les phénomènes entre eux, au sein de l’ensemble50. Bref, l’enseignement de la géographie doit tendre à susciter la curiosité géographique (but immédiat), tout en visant le but final, qui est d’inculquer un esprit géographique, cadrant avec la formation générale de l’élève. Ce processus permettra à ce dernier de déceler les problèmes actuels, de se former un jugement de valeur sur les solutions proposées ou sur l’absence de solution51 . Muni de l’esprit géographique, l’élève adoptera une attitude active en face des paysages. On développe ainsi, chez l’enfant, la mémoire visuelle, en lui faisant apprendre les termes géographiques pour leur localisation exacte, sur des croquis et des cartes murales ou sur un atlas. Le processus mental qui est alors mis en œuvre consiste à obtenir la mémorisation à partir de l’observation52. Penser géographiquement, c’est non seulement avoir sur le monde des connaissances précises, mais aussi savoir établir une juste mesure dans le choix et le dosage des éléments qu’on emprunte aux autres sciences relatives à la terre et à l’homme. Basée sur l’observation, complétée et contrôlée par le principe de causalité, la géographie nous fait comprendre les caractéristiques de chaque pays, de chaque région. Grace à la géographie, l’homme peut expliquer les caractéristiques essentielles du paysage. Si tels sont donc les intérêts et la valeur de la géographie, quelles sont les stratégies pouvant être mises en œuvre par les enseignants pour conduire le cours ?

La didactique des disciplines

                       Le mot « didactique » vient du grec ancien didaktikόs qui veut dire « doué pour l’enseignement », dérivé du verbe didáschein qui signifie « enseigner » et/ou « instruire ». La didactique, c’est l’étude systématique des méthodes et des pratiques de l’enseignement en général, ou de l’enseignement d’une discipline ou d’une matière particulière90 . La didactique d’une discipline est la science qui étudie, pour un domaine particulier, les phénomènes d’enseignement, les conditions de la transmission de la « culture » propre à une institution et les conditions de l’acquisition des connaissances par un apprenant91.» La didactique des disciplines constitue un nouveau champ de connaissances bien distinct de la discipline objet d’enseignement, et distinct de sciences de l’éducation. A ce titre, elle revendique une place spécifique dans le cursus de formation. La didactique des disciplines s’intéresse à l’enseignement et à l’apprentissage des contenus disciplinaires (biologie, français, mathématiques, mécanique, géographie etc.). Elle a pour vocation d’étudier les processus de transmission et d’appropriation des connaissances au sein d’une discipline donnée, en vue de les améliorer. « Elle étudie ainsi les conditions dans lesquelles les sujets apprennent ou n’apprennent pas, en portant une attention particulière aux problèmes spécifiques que soulèvent le contenu des savoirs et des savoir-faire dont l’acquisition est visée » (VERGNAUD, 1992) dans une discipline donnée92. Les didactiques disciplinaires appellent trois attentions conjointes : aux savoirs concernés, aux pratiques des enseignants et aux appropriations et aux apprentissages vécus et construits par les élèves, ce que la littérature spécialisée appelle volontiers « le triangle didactique »93 . (cf figure n°1)

Les résultats scolaires obtenus

                   Si telles sont les notes des élèves durant les deux trimestres, que peut-on dire des résultats obtenus de chaque établissement ?
1. Cas du lycée T.II : Pour le lycée de T.II, les notes des élèves sont à majorité mauvaises. Ce qui veut dire que, la performance des élèves à la matière géographie est faible.1 sur 6 enseignants seulement a de bons résultats scolaires à la matière avec l’E1. Ce qui signifie que, le résultat scolaire dépend beaucoup des stratégies utilisées par les enseignants. Comme, la plupart sollicitent la méthode magistrale ou expositive qui ne donne pas la chance aux élèves de s’exprimer, ou de construire ses savoirs par eux-mêmes, ou encore de motiver les élèves par des questions/réponses ; sans utiliser un minimum d’outils ou des matériels didactiques; et surtout qu’ils négligent la partie la plus importante de la séance qui n’est autre que l’évaluation, ce n’est pas évident si les résultats scolaires tombent dans un fiasco, la classe modale se trouve à l’intervalle [8,10[. Parallèlement s’ajoute l’hétérogénéité des élèves sur le plan cognitif à la matière géographie en classe. Nous avons vu que, la marge de variation des notes des élèves s’écarte jusqu’à 10, 12, 16 points ; cela représente la disparité des élèves sur les connaissances géographiques. Ensuite, nous avons remarqué que, le niveau cognitif des élèves venant de la zone rurale est déjà assez faible. A cela s’ajoute, la négligence des stratégies utilisées par les enseignants. Nous avons constaté que le variable de présage contraignant des enseignants tient compte dans l’accomplissent de sa tâche : les mauvaises notes, l’hétérogénéité des élèves dans le domaine cognitif montrent que les stratégies utilisées par ces enseignants ne sont pas efficaces.
2. Cas du LMA : Pour celui du LMA, nous avons remarqué que, 3 enseignants adeptes de la pédagogie nouvelle affichent de bons résultats à la matière géographie avec plus de 80% des élèves ayant la moyenne supérieure à 10. Ce qui veut dire que, la participation des élèves en classe aide les élèves dans leurs constructions du savoir. En tenant compte des grandes étapes du déroulement de la leçon pendant une séance, sans négliger la dernière étape : l’évaluation. Aussi, les utilisations des matériels différencient ces enseignants des autres. A cela s’ajoute, le niveau cognitif des élèves de la ville qui est assez élevé par rapport à celui de la zone rurale ; sur le plan d’ordre communicatif et sur plan linguistique. Tandis que pour les adeptes de la pédagogie traditionnelle, les notes des élèves sont en majorité mauvaises. Ce qui prouve que, la performance des élèves à la matière dépend de la stratégie utilisée par les enseignants. Nous avons remarqué que, les enseignants du LMA sont des enseignants qualifiés et expérimentés par rapport aux enseignants du lycée de Toamasina II.

L’insuffisance de temps d’apprentissage

                   Les enseignants enquêtés dans les établissements échantillons se plaignent de la restriction de la durée d’enseignement/apprentissage affiché dans le programme scolaire. Le temps (deux heures par semaine) consacré à cet enseignement/apprentissage de la géographie ne suffit pas pour les classes de premières et terminales147. Les heures très limitées pour l’enseignement de la matière laquelle ne dispose que de quatre séances de 2 heures par mois malgré sa difficulté148. Cette insuffisance du temps d’apprentissage limite les activités des enseignants pendant l’enseignement/apprentissage de géographie à la pratique de la méthode magistrale ou expositive, et à la négligence de la pratique de l’évaluation

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Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES ACRONYMES
LISTE DES SIGLES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES CARTES
LISTE DES GRAPHIQUES, DES FIGURES ET DES PHOTOS
LISTE DES ANNEXES
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : LES METHODES ADOPTEES PAR LES ENSEIGNANTS AU LYCEE DURANT LE COURS DE GEOGRAPHIE
Chapitre I : Quelques notions sur la géographie, objet de l’enseignement
I. Définition de la géographie, objet, objectifs et finalités
A. Définition de la géographie
B. L’objet, les objectifs et les finalités de la géographie dans l’enseignement secondaire
II. Les domaines d’études de la géographie au lycée
A. La géographie générale
1. La géographie physique
2. La géographie humaine
3. La géographie économique
B. La géographie régionale
III. L’intérêt pratique et la valeur éducative de la géographie
A. L’intérêt pratique de la géographie
1. Les intérêts de la géographie dans la vie quotidienne de l’homme
2. L’importances de la discipline géographie dans la vie scolaire
a. Pourquoi enseigner la géographie ?
b. La mission de l’enseignant
B. La valeur éducative de la Géographie
1. L’esprit d’observation
2. La mémoire et l’imagination
3. Le jugement et le raisonnement
4. La formation de l’esprit géographique
Chapitre II : Les méthodes et stratégies pouvant être utilisées par les enseignants : éclércissements de certains concepts, et présentation des méthodes et moyens existants
I. Les méthodes d’enseignement
A. Définition
B. Les avantages de la bonne méthode
C. Les différentes méthodes d’enseignement
1. La méthode magistrale ou expositive
a. Les caractéristiques
b. Les Techniques utilisées
c. Avantages et inconvénients
2. La méthode démonstrative
a. La techniques utilisée
b. Les avantages et inconvénients
3. La méthode interrogative
a. Les caractéristiques
b. Les techniques utilisées
c. Les avantages et inconvénients
4. La méthode de découverte ou active ou nouvelle
a. Les caractéristiques
b. Les techniques utilisées
c. Les avantages et inconvénients
II. Les démarches majeures à suivre pour l’enseignement de la géographie
A. Qu’est-ce qu’une démarche ?.Quels en sont les différents types
B. Les Particularités de ces démarches
1. La démarche inductive
2. La démarche déductive
III. Les stratégies d’enseignement/apprentissage
A. Définitions
1. La Stratégie
2. L’enseignement
3. L’apprentissage
4. L’enseignement/apprentissage
B. Les différentes stratégies pouvant être utilisées par les enseignants
1. Des objectifs d’apprentissage clairs
2. Montrer et Dire
3. Questionner et vérifier la compréhension
4. Résumer les nouveaux apprentissages de manière graphique
5. Donner de la rétroaction aux élèves
6. Soyons flexible sur le temps nécessaire à l’apprentissage
7. Faire travailler les élèves ensemble
8. Enseigner des stratégies et pas seulement des contenus
9. Utiliser la métacognition
IV. La didactique de Géographie
A. La didactique des disciplines
B. La transposition didactique
C. Les choix didactiques en fonction de modèles généraux de l’apprentissage
1. Didactique transmissive, empiriste
2. Didactique béhavioriste, empiriste
3. Didactique constructiviste absolue
4. Didactique socio-constructivisme
D. Les différents moyens d’enseignement/apprentissage
1. Les moyens matériels
a. Les matériels didactiques
b. Les outils didactiques
2. Les moyens humains (outils pédagogiques d’ordre humain)
a. La voix
b. La langue
c. Le geste et le regard
d. L’écriture
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LES STRATEGIES GENERALEMENT UTILISEES PAR LES ENSEIGNANTS ET LES CONSEQUENCES DE LA NEGLIGENCE DE CES STRATEGIES
Chapitre I : Les stratégies utilisées par les enseignants observés dans les deux lycées cibles pendant une séance de cours de géographie
I. La pratique courante des enseignements de type traditionnel
A. La manifestation
B. La particularité
C. Les adeptes
II. La pratique de la pédagogie nouvelle
A. La manifestation
B. La particularité
C. Les adeptes
III. Les moyens de transmission
A. Les étapes suivies par les enseignants pendant une séance de géographie
B. Le Choix de documents
C. Les matériels didactiques utilisés
D. Les outils didactiques utilisés
E. La place des traces écrites pendant une séance
IV. La prise de parole des enseignants pendant une séance du cours de géographie et le comportement observable des élèves en classe de chaque lycée
1. Cas de Toamasina II
2. Cas du LMA
B. Des enseignements qui ne négligent pas la participation des élèves
1. Cas du lycée Toamasina II
2. Cas du LMA
C. Les comportements observables des élèves pendant une séance du cours de géographie
1. Des élèves attentifs
2. Des élèves inattentifs, facilement distraits
3. Des élèves qui ne participent pas aux activités pédagogiques
4. Des élèves faibles, peu performants et rejetés par leurs pairs
V. La pédagogie nouvelle : un recours mitigé
A. Les manifestations
B. Les particularités
C. Les problèmes adeptes
VI. Les acteurs de l’enseignement concernés
A. Qui sont les acteurs ?
B. Diplômes et autres formations reçues
C. Les expériences vécues
Chapitre II : Les conséquences néfastes de la négligence des stratégies d’enseignement/apprentissage utilisées par les enseignants durant une séance du cours de géographie
I. Aucune nouveauté dans le déroulement des cours
II. Le manque d’intérêt des élèves au cours de Géographie
A. La géographie : une discipline peu estimée par les élèves (affectivité de la matière par les élèves)
B. L’absence fréquentes des élèves durant le cours
C. La faible fréquentation de la bibliothèque
III. Les notes des élèves en géographie et les résultats scolaires obtenus
A. Pour les adeptes de la pédagogie nouvelle
B. Les adeptes de la pédagogie traditionnelle
IV. Les résultats scolaires obtenus
1. Cas du lycée T.II
2. Cas du LMA
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : LES PROBLEMES ET LES SOLUTIONS PROPOSEES POUR AMELIORER LA PERFORMANCE DES ELEVES
Chapitre I : Les problèmes relatifs à l’enseignement de Géographie
I. Les problèmes liés à l’enseignant
A. La prédominance des méthodes traditionnelles
1. La persistance de cours magistral
2. L’enseignement livresque des enseignants : des leçons non concrétisées
3. Des stratégies ou méthodes qui n’attirent pas l’attention des élèves: stratégies inadaptées : des leçons non attrayantes
a. Une prise en main mal effectuée
b. La transition : une opération ignorée
c. Des objectifs non annoncés
d. Des questionnements inappropriés ou mal posés
e. L’interaction Maître/Elève limitée aux questions – réponses
f. L’absence de l’esprit de synthèse ou de résumé
g. Une absence marquée de la pratique de l’évaluation durant la séance
B. L’ arrière plan culturel des enseignants
1.Des enseignants peu qualifiés
2. Une ancienneté
insuffisante
3. La non maîtrise de la langue d’enseignement par l’enseignant
4. La faible fréquentation de la bibliothèque des enseignants
II. Les problèmes liés aux élèves
A. La géographie : une discipline négligée par les élèves
1. La géographie, une discipline ennuyeuse
2. Une discipline qui exige un effort de mémoire
3. Une discipline qui nécessite d’analyse et d’explication
B. Des difficultés d’ordre communicatif
1. Le problème de la langue d’enseignement
2. Les faibles prises de parole des élèves durant le cours de géographie
3. L’effectif pléthorique des élèves en classe
C. Les problèmes personnels des élèves
1. Eloignement de l’établissement
2. La façon d’apprendre
3. Le niveau de vie des élèves
III. Les problèmes liés à la matière géographie elle-même
A. Sa situation carrefour, l’unité factice
B. L’insuffisance de temps d’apprentissage
C. Le programme officiel surchargé
IV. Les problèmes d’ordre matériel et infrastructurel
A. La situation dérisoire des matériels didactiques
1. L’insuffisance des matériels didactiques
2. Des matériels didactiques non utilisés et/ou mal appropriés
3. Les outils didactiques propres aux enseignants
4. Mauvais usage du tableau noir
B. Le problème d’infrastructure
1. L’insuffisance de tables-bancs
2. Des salles de classe en mauvais état et construite avec de matériaux locaux
Chapitre II : Les solutions pour redresser la situation
I. Agir sur la méthodologie
A. Des Méthode ou des stratégies appropriées à l’enseignement/apprentissage de la géographie compte tenu des objectifs de la leçon
1. Développer les méthodes centrées sur l’apprenant
a. La démarche scientifique
b. Se servir de l’OHERIC
c. Le travail par groupe
d. La pédagogie participative et/ou nouvelle
2. Technique permettant la libération de l’expression orale
a. La discussion-débat
b. Le brainstorming ou remue-méninge
3. Les sorties sur le terrain
B. Une bonne préparation de la leçon
C. Une pratique continue de l’évaluation
1. Une évaluation normative
2. Une évaluation sommative
3. Une évaluation formative
II.Améliorer l’utilisation des documents pour une meilleure exploitation et/ou concrétisation de la leçon
A. Des outils au service de l’apprentissage de la géographie
1. Les documents écrits et les manuels de l’élève
2. Les images
3. Le globe terrestre
4. Les cartes
5. Les croquis et les schémas
6. Les tableaux et les diagrammes statistiques
B. La NTIC ou Nouvelle technologies de l’information et de Communication
III. Tenir compte de la diversité des élèves
A. Mieux connaître les élèves
B. Connaître les représentations des élèves
C. Le perfectionnement linguistique à la rescousse
a. Des enseignants en difficulté
b. Des apprenants en difficulté
IV. L’intervention de l’Administration (Etat et Cisco)
A. Les rôles de l’Etat
1. La formation initiale
2. La formation continue
3. L’amélioration du niveau de vie des enseignants
4. Le mode de recrutement des enseignants qualifiés
5. La révision du programme scolaire
6. L’Etat : fournisseur de mobiliers scolaires et de matériels didactiques
B. Le rôle de la CISCO
1. La contribution à la formation continue de l’enseignant de géographie au niveau secondaire
2. Le suivi et l’encadrement des enseignants
3. Le soutien des matériels didactiques
C. Considérer la part de responsabilité des parents d’élèves
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE

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