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Les crédits par caisse:
Ils font partie intégrante de ce qu’on appelle « crédits de trésorerie ». Les crédits par caisse sont des crédits accordés par le banquier par lesquels, il autorise un client à rendre son compte débiteur. Ils sont destinés à financer les actifs courants. Les crédits de trésorerie comprennent: les découverts et la facilité de caisse.
Le découvert :
Le crédit de trésorerie appelé « découvert » est mis à la disposition des clients pour faire face à un fonds de roulement temporairement insuffisant. C’est une autorisation donnée par la banque à l’entreprise, afin d’assurer le fonctionnement de son compte en ligne débitrice. Cette autorisation est accordée pour une période déterminée, c’est-à-dire de 6 mois à 1an, mais renouvelable.
La facilité de caisse :
Elle est destinée aux entreprises dont le but est de faire face à un problème de trésorerie dû à un décalage d’une courte durée entre les paiements à effectuer et les règlements à recevoir. C’est le cas généralement lors des paies du personnel, du règlement de la TVA et des devises échéances fournisseurs.
Les crédits avec mobilisation de créances
L’escompte, est l’une des opérations bancaires qui constituent ce qu’on appelle: les crédits avec mobilisation de créance.
L’escompte:
Les ventes et les prestations facturées ont un coût de revient et un coût financier qui pèsent pour les entreprises tant qu’elles ne sont pas réglées, pour autant elles disposent bien d’une créance. Il est possible de transférer ces créances à un établissement de crédit, de les mobiliser pour obtenir un crédit en contrepartie de ces valeurs. L’opération permet à un créancier de se procurer auprès d’un tiers des moyens de paiement immédiatement disponible en échange d’une créance interne: L’escompte est la forme la plus classique de mobilisation des créances, qui permet de se procurer un financement à court terme. L’opération permet de couvrir les besoins de trésorerie, liés au délai de paiement que l’entreprise supporte de la part de ses clients en contre partie de la cession d’une créance, la banque consenti à l’entreprise une avance qui sera remboursée par le recouvrement de cette créances. [11]
L’opération se réalise souvent par le biais d’un compte courant sur lequel, le client porte ses effets de commerce, que la banque crédite immédiatement moyennant intérêts et commissions. A l’échéance, le titre est payé et la banque se trouve créditée du nominal.
Nous allons voir ci-dessous quels sont les moyens de paiement relatifs à ces différentes opérations.
La mise à disposition des moyens de paiement
Un des services bancaires le plus primordiale, mais également, une des prérogatives essentielles dont bénéficie les établissements financiers est le transfert de fonds. C’est un complément des deux services évoqués précédemment, c’est-à-dire, la réception de fonds de public et les opérations de crédit.
Le transfert de fonds
Le transfert de fonds peut prendre plusieurs aspects et il est souvent utilisé pour réaliser des règlements que ce soit par virement ou par des moyens de paiement tel que la carte bancaire. Comment ce fait un transfert de fonds dans le cas d’un règlement par virement ?
Le règlement par virement4
Le virement est l’opération par laquelle une banque, sur l’ordre d’un client, enregistre une certaine somme au compte de ce client pour l’imputer soit à un autre compte du donneur, soit au compte d’un tiers. Autrement dit, la banque joue le rôle d’intermédiaire entre le compte du donneur qu’il convient de débiter et celui du bénéficiaire qu’il faut créditer. Le virement peut être effectué entre deux comptes ouverts dans la même banque ou encore dans deux banques différentes. Une opération de virement peut être simple, dans le cas où il s’agit d’une seule opération ; elle est dite permanente dans le cas où elle est considérée comme un moyen de payer d’une manière régulière une somme dont le montant est fixe. Citons à titre d’exemple: le loyer, la pension alimentaire,…
Le prélèvement5
C’est l’opération par laquelle le client ordonne à sa banque de porter une certaine somme au compte de ce client en l’imputant au compte d’un tiers. Le prélèvement n’est réalisé qu’avec autorisation écrite du débiteur. Un prélèvement se fait à plusieurs étapes.
Dans un premier temps, le débiteur autorise le créancier à prélever sur son compte ensuite la banque effectue le prélèvement. En second lieu, avant la date de paiement, le créancier adresse au débiteur un avis mentionnant la somme et la date de prélèvement. Et finalement, le créancier présente des avis de prélèvements à la banque du débiteur qui paye si les provisions sont suffisantes. C’est donc une opération qui permet à la banque, avec l’accord du client (autorisation de prélèvement) de payer le créancier de ce dernier (société ou organisme à qui il doit de l’argent) sur sa demande, en débitant directement le compte de dépôt du client.
Mode de fonctionnement
D’un côté, la banque qui a reçu un ordre de paiement permanent signé par le titulaire, c’est-à-dire un mandat, payera alors les quittances qui lui seront présentées et en inscrira la somme au débit de son compte. De l’autre côté, le client reçoit les factures des sociétés ou des organismes quelques jours avant qu’elle ne soit débitée. Ainsi, le client pourra effectuer des contrôles et éventuellement les contester. La date du prélèvement doit être indiquée sur les factures.
Le chèque et la carte bancaire
Outre les moyens de paiement cités ci-dessus, la banque en emploie aussi d’autres que nous allonsdécrire ci-suit.
Le chèque6
Le chèque est un instrument à double rôle du fait qu’il permet à son titulaire, d’une part, de retirer de l’argent de son compte; et d’autre part, d’effectuer des règlements. C’est donc un instrument de retrait de fonds, mais également un instrument de paiement. Le chèque est un document écrit par lequel le titulaire d’un compte en banque donne à cette banque l’ordre de payer une certaine somme à un bénéficiaire7. Le chèque est établi au porteur ou à l’ordre de tel ou tel bénéficiaire. C’est un titre de propriété monétaire permettant au bénéficiaire de se servir. Le chèque met en relation trois personnes: d’abord, celui qui établit le chèque appelé le tireur ou encore le débiteur, puis, celui qui détient l’argent c’est-à-dire la banque ou d’autres institutions financières appelé le tiré et enfin celui qui reçoit le fonds appelé le bénéficiaire qui peut le tireur lui-même.
Sur le chèque doivent figurer les mentions suivantes qui sont considérées comme étant obligatoires:
– la dénomination du chèque
– l’ordre pur et simple de payer une somme déterminée. Pour cela, la formule la plus connue est: veuillez payer contre ce chèque.
– le nom de celui qui doit payer, nommé le tiré, c’est la banque.
– le lieu où doit s’effectuer le paiement c’est-à-dire l’adresse de l’agence où est tenu le vôtre compte.
Il est à préciser que le nom du bénéficiaire peut être mentionné ou pas dans le chèque, c’est une mention facultative car le chèque peut-être émis au porteur dans la mesure où ils ne sont pas barrés. On distingue généralement les types de chèques suivants: le chèque de banque, le chèque visé, le chèque certifié, le chèque barré, le chèque non barré et le chèque en blanc.
La carte bancaire8
C’est un moyen de paiement qui permet au titulaire du compte de retire ou de transférer des fonds, en d’autres terme, d’effectuer de paiement. La carte bancaire est donc liée à la détention d’un compte bancaire, elle permet d’utiliser les sommes portées au crédit du compte. On distingue deux sortes de carte bancaire: la carte de retrait et la carte de paiement.
La carte de retrait: ce type de carte permet uniquement les retraits d’espèces au guichet automatique de la banque. Mais certaines cartes ne peuvent-être utilisées que dans les distributeurs de l’établissement teneur du compte.
A côté des opérations de banque qui constituent le cœur du métier de banquier, le service bancaire comprend une série d’opération connexe. Un établissement de crédit est par exemple autorisé à détenir des participations dans des entreprises existantes ou en création.
Mais en marge de ces activités, la loi envisage également la catégorie des opérations connexes aux opérations bancaireset la catégorie des activités de conseil.
De ces services bancaires naissent la relation qui lie les entreprises et la banque, mais d’eux tienneégalementsa continuité.
Une relation interentreprises est souvent caractérisée par des déterminants que les entreprises cherchent à travers les services qu’elles choisissent et que les établissements essayent de maîtriser afin de permettre une adéquation entre les attentes des clients et les objectifs de la société. Nombreuses sont les théories qui définissent et expliquent ces déterminants comme étant un ensemble de facteur liés aux succès et aux défaites de la relation qui existe entre les entreprises et la banque. Appréhender ces déterminants ne suffit pas pour autant pour permettre un épanouissement de cette relation. Cependant, il faudrait penser à des méthodes de gestions se rapportant à ces déterminants, autrement dit, faire recours à ce qu’on appelle « la gestion relationnelle ». Dans un premier temps, nous allons faire un petit rappel de ce que l’on entend par la gestion relationnelle d’une relation. Ensuite, nous allons définir selon quelques théories les déterminants relationnels.
La gestion relationnelle de la relation9
Le terme gestion a été défini par Cohen (1996), comme «un ensemble de pratiques… ». Il considère la gestion comme une combinaison d’opérations, de pratiques, d’interventions qui se déroulent dans les entreprises ou les organisations. C’est donc du domaine de « l’agir », d’où l’importance de la mise en évidence du rôle « actif » des acteurs. Dans le cadre des relations interentreprises, la gestion peut être soit contractuelle, soit relationnelle.
définitions
Les entreprises doivent faire en permanence des choix pour survivre. La gestion peut se définir comme la science de choix quel que soit la taille et l’objectif de l’entreprise. L’ensemble de toutes les décisions prises à tous les niveaux de l’organisation, au sein même de toutes les fonctions constituant, la gestion même de l’organisation. On rencontre plusieurs types de gestion dans les théories: la gestion stratégique, la gestion opérationnelle. Mais nous allons surtout nous concentré sur les deux définitions suivantes.
la gestion contractuelle
La gestion contractuelle de la relation considère le contrat comme mécanisme de coordination des relations interentreprises. L’inclusion de la dimension temporelle de la relation a rendu celle-ci plus complexe. Le contrat comme mécanisme de gestion a par conséquent montré ses limites. Les mécanismes relationnels viennent donc compléter et enrichir le fonctionnement des relations interentreprises.
la gestion relationnelle
La gestion relationnelle telle qu’elle est perçue par le marketing relationnel, regroupe l’ensemble des moyens destinés à créer, maintenir et développer des relations de long terme avec les partenaires. La gestion relationnelle signifie pour une entreprise: maintenir une relation à moindre coût, tenter de la renforcer et de la pérenniser. Plusieurs mécanismes ont été repérés à travers les ouvrages ainsi que la littérature traitant les relations interentreprises.
Morgan et Hunt (1994) et Claro et al. (2003) insistent généralement sur l’investissement dans la relation et ce, en matière de ressources, d’efforts et de l’attention pour perdurer la relation avec un partenaire. Mais à ces deux définitions viennent s’ajouter les différents déterminants qui se rapportent aux relations interentreprises.
Les déterminants de la relation interentreprises
Plusieurs éléments entrent en jeu et tiennent une importance considérable dans une relation interentreprises. Selon leurs dimensions, on peut les classifier en deux catégories bien distinctes dont: les déterminants transactionnels et les déterminants relationnels.
Les déterminants transactionnels
Ils regroupent l’ensemble des facteurs qui poussent une entreprise à maintenir ou à interrompre sa relation avec sa banque. Ces facteurs sont entre autres: l’incertitude de l’environnement, le coût de transfert et la dépendance. D’après Miller et Friesen (1983), l’incertitude, la turbulence, l’hétérogénéité et le dynamisme de l’environnement désignent le même phénomène. Ils mettent l’accent sur les changements persistants liés aux évolutions technologiques et à l’impossibilité de prévoir les actions futures des individus. Ils insistent aussi sur la diversité qui peut influencer les stratégies et les performances des entreprises qui sont dans l’incapacité de prévoir les événements futurs.
Les coûts de transfert ou switching-cost peuvent être définis comme les coûts de changement d’une banque. Selon Lavastre (2002), les coûts de transfert, ou coûts de mobilité sont l’ensemble des coûts que doit, a dû et devra supporter une entreprise en cas de modification de sa relation d’échange. En effet, ces coûts auront tendance à augmenter avec la durée de la relation. La rupture de la relation ou le changement de partenaire entraîne des coûts supplémentaires pour l’entreprise. Pour ce qui est de la variable dépendance, Ganesan (1994) la conçoit comme le besoin d’une entreprise de maintenir une relation pour atteindre des objectifs spécifiques. Cette définition nous semble intéressante dans la mesure où elle établit un lien direct entre la dépendance et la volonté de maintenir des relations durables. Il en découle que l’entreprise dépendante peut choisir de maintenir sa relation en vue de gérer sa dépendance.
La variante confiance et satisfaction nous servira de modèle pour les déterminants relationnels. [16]
Les déterminants relationnels10
La confiance reste au cœur des problématiques des relations interentreprises. Selon Dwyer et al. (1987), c’est la seule variable qui explique le comportement des organisations.
En effet, les relations ne peuvent exister ni résister au temps sans la confiance. Si l’entreprise estime pouvoir faire confiance à la banque, elle résout la question de l’incertitude en s’engageant dans une relation avec elle. Les conséquences de la confiance se traduisent par l’existence d’un engagement envers son partenaire. Pour Morgan et Hunt (1994). Ces auteurs affirment que la confiance existe lorsque « une partie a confiance dans la fiabilité et l’intégrité d’un partenaire dans l’échange ». Cette définition met en évidence l’importance du sentiment de confiance et sa centralité dès qu’il s’agit de relations de long terme. La fiabilité et l’intégrité pour Morgan et Hunt font référence à des qualités telles que la fidélité, cette dernière qui caractérise également une relation interentreprises. Concernant la variante satisfaction, elle résulte des expériences individuelles des individus après l’utilisation d’un bien ou service. Plusieurs auteurs ont établi un lien direct entre la satisfaction, la continuité et la stabilité des relations interentreprises (Frazier, 1983 ; Anderson et Narus, 1990). D’autres auteurs ont retenu la satisfaction comme un moyen d’évaluation de la relation (Prim et al. 2003). Perrien et al. (2005), de leur côté se sont penchés sur la mise en évidence des micros, petites et moyennes entreprises à travers quelques régions de la grande île, grâce à l’intermédiaire de ses 14 agences. Et ce touchant trois secteurs d’activités dont : Le commerce (épicerie, grossistes, marchand de produits locaux,…), le service (cybercafé, hôtel-restaurant, déterminants de la satisfaction. Et d’autres se sont focalisés sur ses résultants de celle-ci vis-à-vis de la relation entre deux parties.
Nous avons exposé ces théories afin de les comparer ultérieurement avec le cas réel observé au sein d’une entité. Cependant, nous avons intégré le groupe MicroCred pour concrétiser notre travail.
Présentation de la banque MicroCred Madagascar
Sise à Ambodivona, la banque MicroCred Madagascar est une société Anonyme (S.A) qui opère depuis 2006 dans la microfinance. Elle offre des services financiers aux multiservice,…), et la production (artisanat, atelier de menuiserie, de confection,…). A part offrir ses services financiers au profit des types d’entreprises citées précédemment, sa mission consiste également à:
Permettre à l’entrepreneur malgache de développer son entreprise en lui fournissant le conseil et les fonds nécessaires et d’améliorer ainsi le niveau de vie de sa famille et par extension celui de sa communauté et de son pays.
Contribuer au développement de l’économie du pays en adoptant une politique commerciale dynamique et rigoureuse.
La société est composée de plusieurs actionnaires œuvrant dans le monde bancaire. Parmi ces actionnaires, la banque MicroCred détient 52% du capital de l’établissement et en assure sa gestion, la Société Financière Internationale (IFC) et AfricInvest Financial Sector (AFS): nouvel actionnaire – octobre 2009, en dispose chacune 13% et le reste, c’est-à-dire le 22% détenus par la Bank of Africa Madagascar (BoA).
Les théories que nous venons d’exposer ci-dessus, concernent d’un côté, l’ensemble des services qui matérialisent une relation bancaire et de l’autre côté, elles nous évoquent les dimensions qui y sont liées de point de vue transactionnel et relationnel. Ces théories feront l’objet d’une confrontation avec les réalités observées sur le terrain et seront également accompagnées d’une démarche méthodologique qui va permettre d’en mesurer l’exactitude. D’où, il nous a été d’une importance utilité de passer sur une description de notre zone d’étude. Nous allons voir ci-après, les différents instruments ayant servi à la recherche jusqu’au traitement des données, jugées nécessaires pour la réalisation de cette étude. Ce second volet traitera nos choix méthodologiques notamment, en matière d’élaboration du questionnaire, ainsi qu’en matière de collecte et de traitement des données.
Analyse FFOM (Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces)
D’une part, ce volet vise à distinguer les forces et faiblesses de la banque MicroCred, et d’autre part à énumérer les opportunités et les menaces qui composent son environnement. Nombreux sont les outils de diagnostic que les théories proposent pour distinguer ces quatre caractéristiques pour une organisation donnée, on peut citer entre autres: l’analyse sectorielle qui met en relief les différentes forces qui interagissent au sein d’un secteur et qui influencent les jeux des acteurs qui s’y exercent. On peut aussi faire un diagnostic suivant une étude accentuée sur l’environnement PESTEL qui entoure l’entreprise. Mais en ce qui concerne notre cas, il est préférable de choisir le premier modèle, qui est le SWOT. Nous allons donc structurer cette analyse en deux sections dont la première sera consacrée à une mise en exergue des forces et faiblesses de la banque MicroCred; et la seconde à une mise en relief des opportunités et des menaces qui l’entourent.
Les forces et faiblesses de la banque MicroCred
Les forces, ainsi que les faiblesses sont des facteurs liées directement à l’environnement interne de la banque MicroCred, pouvant ainsi, avoir des impacts sur sa bonne marche. Nous allons voir ci-après les points qui constituent les points forts de la société MicroCred.
Les forces
Les points forts de la société MicroCred résident au niveau de la diversité de ses produits, de sa couverture et au niveau de ses ressources disponibles.
Au niveau des produits offerts
Les produits qui constituent l’activité de base de la société se divisent en deux grandes catégories: les opérations de crédit d’une part et les services épargne d’autre part. Le service transfert d’argent est associé à ces deux types de produits, seulement à titre d’activité périphérique. Les opérations de crédit sont reparties selon la forme juridique de l’entreprise bénéficiaire, on distingue généralement: les crédits offerts aux TPE, les crédits offerts aux PME et le service épargne.
Les crédits offerts aux très petites entreprises ou TPE
Les clients qui composent cette catégorie sont des entreprises dont l’activité principale est de très petite taille, des entreprises qui exercent des activités saisonnières donc fait face à des décalage entre la période d’encaissement et de décaissement, une situation qui leur contraint par la suit le recours à des moyens de financements. Ces entreprises ne sont pas enregistrées dans le registre de commerce et de société RCS, elles ne possèdent pas non plus de NIF ou numéro d’identification fiscale. Les services destinés à ces types de clients sont souvent matérialisés par des biens d’équipements ou encore des fonds.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I. METHODOLOGIE
CAPITRE 1– CADRE THEORIQUE
Section1.Les services bancaires
1.1.La réception de fonds de public
1.1.1 Le compte de dépôt
1.1.2 Le compte courant
1.2.Les opérations de crédit
1.2.1 Les crédits par caisse
Le découvert
La facilité de caisse
1.2.2 Les crédits avec mobilisation de créances
L’escompte:
1.3.La mise à disposition des moyens de paiement
1.3.1 Le transfert de fonds
1.3.1.1 Le règlement par virement
1.3.1.2 Le prélèvement
Mode de fonctionnement
1.3.2 Le chèque et la carte bancaire
1.3.2.1 Le chèque
1.3.2.2 La carte bancaire
Section2- La gestion relationnelle de la relation
2.1.définitions
2.1.1 la gestion contractuelle
2.1.2 la gestion relationnelle
2.2.Les déterminants de la relation interentreprises
2.2.1. Les déterminants transactionnels
2.2.2. Les déterminants relationnels
Section3.Présentation de la banque MicroCred Madagascar
CHAPITRE2- METHODOLOGIE D’APPROCHE
Section1. Construction du questionnaire de recherche
1.1.Les types de questionnaire
1.1.1 Les questions fermées
1.1.2 Les questions ouvertes
1.1.3 Les questions à choix multiple ou QCM
Section2. Les techniques de recueil et le traitement des données
2.1.Techniques de collecte des données
2.1.1 La documentation
2.1.2 L’entretien
2.2 Traitement et analyse de données
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II.RESULTATS
CHAPITRE 1–ANALYSE FFOM (forces, faiblesses, opportunités, menaces)
Section1. Les forces et faiblesses de la banque MicroCred
1.1.Les forces
1.1.1. Au niveau des produits offerts
d) Les crédits offerts aux très petites entreprises ou TPE
e) Les crédits offerts aux petites et moyennes entreprises ou PME
f) Le service épargne
1.1.2. Au niveau de la couverture et des ressources disponibles
1.2. Les faiblesses
1.2.1 Au niveau des formalités requises et des activités financées
1.2.2 Au niveau de la communication
Section2. Les opportunités et les menaces
2.1.Les opportunités
2.1.1 Le financement d’autres activités
2.2.Les menaces
2.2.1 Les facteurs environnementaux
CHAPITRE 2- LES SPECIFICITES DE LA RELATION ENTRE LES ENTREPRISES ET LA BANQUE
Section1.Les dimensions transactionnelles
1.1.Cycle de vie d’une relation bancaire
1.2.La relation de dépendance:
1.3.Le changement au niveau de l’environnement:
Section2. Les dimensions relationnelles
2.1.La satisfaction des clients par rapport à la relation interentreprise
2.2.La fidélité des entreprises aux produits et services
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE III: DISCUSSION
CHAPITRE.1-ANALYSE DES OPERATIONS BANCAIRES ET DE LA RELATION ENTRE LES ENTREPRISES ET LA BANQUE
Section1. Analyse des opérations bancaires
1.1.Au niveau des dépôts et des opérations de crédits bancaires
1.2.Au niveau des moyens de paiement
Section2. Analyse de la relation bancaire
2.1.Au niveau des grandeurs transactionnelles
2.2.Au niveau des aspects relationnels
CHAPITRE.2- VERIFICATION DES HYPOTHESES
Section1. Les variables génératrices de coût dans les relations interentreprises
1.1 L’influence de l’environnement dans la relation interentreprises
1.2 le niveau de dépendance des entreprises par rapport à l’établissement bancaire
Section2. Les variantes liées à la pérennisation des relations entre les entreprises et la banque
2.1.La satisfaction et la confiance des entreprises par rapport à l’ensemble des services
2.2.La qualité de la communication entre les entreprises et la banque
CHAPITRE.3-PROPOSITION DE SOLUTIONS
Section1. Au niveau des procédures et formalités requises
1.1.Allègement des procédures et formalités
Section 2. Au niveau des activités financées
2.1.Le financement des projets
2.2.Une montée en gamme des crédits offerts
Section 3. Au niveau de la communication
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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