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Loi de l’offre et de la demande
Un concept qui ne tiendrait pas compte des réalités du marché et en particulier de la très pragmatique loi de l’offre et de la demande ne pourrait survivre.
C’est une vérité essentielle. Or, cette loi du marché est la toute première limitation au succès même de ce concept.
En effet, s’il n’y a pas de demande ni d’engouement du public envers l’offre, le concept n’est tout simplement pas viable. D’ailleurs, il n’a été rendu visible, récemment, que parce que la sensibilité du public à ce concept et donc sa demande s’est accrue depuis une décennie environ. Cela est directement lié à une perception plus aiguë des problèmes de notre planète, et en particulier des menaces de la globalisation.
Auparavant, les gens étaient moins réceptifs à ces problèmes. Cependant, rien ne prouve que le phénomène devienne suffisamment important pour que le concept soit viable. En effet, comme nous l’avons déjà vue dans le chapitre précédent, il s’agit pour l’instant encore d’un marché de niche. La majorité de la population continue de s’intéresser uniquement aux voyages les moins chers.
Réalités du marché
Il faut tenir compte du fait que l’accès aux vacances n’est pas une réalité pour tous y compris dans les pays occidentaux. C’est parfois un choix mais c’est plus souvent pour des raisons économiques. Car si les voyages se sont beaucoup démocratisés, les destinations étrangères restent encore hors de portée pour de nombreuses familles.
En conséquence, on peut raisonnablement penser que le jour où ses familles auront la possibilité de partir en vacances, et de partir à l’étranger, elles se préoccuperont davantage de l’aspect financier que le l’aspect éthique des voyages qu’elles choisiront.
En d’autres termes, il faut être dans des conditions économiques optimales pour se préoccuper d’éthique. N’oublions pas qu’il subsiste des frustrations importantes dans nos sociétés et de ce fait, on peut estimer que ses personnes cherchent avant tout à pouvoir profiter de la société de consommation comme les autres, c’est-à-dire en quantité plutôt qu’en qualité, du moins dans un premier temps.
Nous pouvons également observer les habitudes touristiques passées afin de comprendre comment fonctionne la démarche touristique. Dans les années 60 et 70 où s’est produite une véritable explosion de la demande touristique, le public n’avait pas les exigences d’aujourd’hui en matière de consommation.
Exigences de qualité
Aujourd’hui, des exigences de qualité au niveau des hébergements, des équipements et des activités se font jour peu à peu. Mais pour d’autres familles, le simple fait de partir en vacances est encore un luxe et leur consommation serait, si elle existait, un peu à l’image des vacanciers de l’époque : peu exigeante.
A cet égard, la loi de l’offre et de la demande nous parait donc être la première règle naturelle qui peut venir freiner l’expansion de cette idée, aussi intéressante soit-elle. Et puisqu’il faut bien parler du tourisme équitable comme d’un marché, ce marché est encore de faible taille et n’est pas amené à croître aussi vite qu’on pourrait le souhaiter.
Si les prévisions s’avéraient plus optimistes, ce dont nous pourrions nous réjouir, d’autres pièges venant de l’extérieur menaceraient inévitablement ce concept. Entre autre, l’utilisation opportuniste que pourraient en faire les entreprises.
Les devises du tourisme
Ce chapitre va nous permettre de faciliter la compréhension des devises du tourisme. Pour que l’étude soit plus objective, nous allons d’abord faire un état des lieux concernant les points suivants : la domination des pays occidentaux du marché du tourisme et les concurrences internationales. D’ailleurs, au niveau macro-économique et suivant les analyses, on estime qu’au minimum 55 à 60 % des recettes du tourisme dans le monde reviennent aux pays occidentaux.
Premiers pays émetteurs de touristes
Les 5 premiers tours opérateurs du monde sont occidentaux, les 5 premières compagnies aériennes du monde sont occidentales, les 5 premières chaînes hôtelière du monde sont occidentales. Les fusions et acquisitions que connaît le monde du tourisme ces derniers temps vont accentuer le phénomène et ce, toujours au détriment des pays du Sud dont les entreprises et parfois même les Etats ne pèsent pas lourd face aux multinationales occidentales.
Les gouvernements des pays du Sud ouvrent librement leurs pays aux investisseurs étrangers qui leur font miroiter des devises alors que la réalité s’avère bien souvent différente. En effet, ce sont les Etats qui investissent massivement dans des infrastructures très lourdes : aéroport, ports, réseau routier, réseau de communication, voirie et assainissement, adduction d’eau, équipements sanitaires sans lesquels aucuns touristes étrangers ne viendraient dans leur pays.
Ces infrastructures sont les bien souvent construites par des sociétés étrangères et avec des matériaux étrangers payés en devises ce qui fait que le nombre d’investissement coûteux ne permettent pas aux pays du Sud de rentrer dans leurs fonds. Mais entre temps, ils auront permis d’enrichir un peu plus les pays occidentaux qui ont bénéficié des contrats et des intérêts sur des emprunts contractés auprès des banques occidentales.
Le président de l’entreprise touristique étrangère traite d’égal avec les autorités du pays, souvent au plus haut niveau : chef d’Etat, premier ministre ou ministre du tourisme. Il est reçu lui-même comme un chef d’Etat et se voit offrir les meilleurs terrains sur la promesse d’un formidable afflux touristique. Tout est mis en œuvre pour l’aider à réaliser son investissement dans les meilleures conditions alors que le bénéfice pour le pays est des plus aléatoires.
Tourisme « all inclusive »
La pire forme de cet arrangement est représentée par le tourisme enclavé, les fameux « ressorts » américains ou leur version française, le Club Méditerranée. Le touriste est conduit par avion de chez lui directement sur le lieu de vacances dont l’accès est strictement réservé aux étrangers. Son seul contact avec la population locale se fait par l’intermédiaire des petites mains du tourisme : femmes de chambre, serveurs, balayeurs qui, pour des salaires minimes et des emplois précaires et saisonniers, assurent les tâches les moins nobles.
Tout l’investissement est d’origine étrangère ou peu s’en faut, le terrain est souvent gracieusement donné ou prêté par les autorités locales sur la foi d’une rentabilité « exceptionnelle pour le pays » aux dire des investisseurs ; les équipements, pour être à la hauteur de ce qu’attendent les touristes sont massivement importés, tout le personnel dirigeant est d’origine étrangère, jusqu’à la nourriture qui doit être parfaitement conforme aux attentes des touristes.
Ce tourisme « all inclusive » a la préférence des gros tours opérateurs étrangers car c’est celui qui leur permet de mieux maîtriser le produit. Dans ce cas, ce n’est pas 60 mais plutôt 90% du montant total des forfait qui retombent entre leurs mains puisqu’ils ont pris la précaution de s’assurer la gestion directe de l’ensemble des prestations vendues au touriste.
C’est la stratégie de l’intégration verticale : depuis la distribution en agence, en passant par le transport sur lignes aériennes spéciales, l’hébergement et la restauration, les boissons, l’artisanat, les souvenirs et les articles de bazars et jusqu’aux excursions, tout est organisé et vendu par le tour opérateur lui-même.
Principaux bénéficiaires
Au niveau micro-économique, la règle est identique : prenons le cas d’un circuit d’une semaine à Madagascar (avion + hébergement + restauration + visites) vendu à 5000 euros dans une agence de voyages. Dans le meilleur des cas, seuls 20 à 40% du total reviendront au pays récepteur. En effet, il convient de défalquer tout d’abord la commission de l’agence, situé bien entendu dans le pays émetteur, soit environ 900 euros la marge brute du tour opérateur, soit environ 350 euros ; puis le transport par la compagnie régulière du pays émetteur, soit environ 946 euros ; l’hébergement dont plus de la moitié tombent dans l’escarcelle des chaînes hôtelières internationales, soit 2 600 euros, ce qui fait un total de 4 500 euros pour le pays émetteur et laisse une somme de 500 euros pour le pays récepteur, à partager entre la restauration locale, les visites (guides et entrée aux monuments), le transport local, les salaires et commissions des différents intervenants, les taxes gouvernementales, etc.
Concurrences internationales
Le deuxième constat de ce secteur, c’est que l’offre touristique s’est considérablement étoffée face à une demande qui, nous l’avons vue, ne cesse de croître. Au niveau national, les pays développent quantitativement leur offre en multipliant les lieux de villégiature et les régions à visiter ; au niveau international, les Etats ouverts au tourisme sont de plus en plus nombreuses tandis que les barrières policières et douanières sont toujours moins hautes.
THEORIE GENERALE SUR L’OUTIL DE GESTION
Ensuite nous pourrons voir la stratégie Marketing nécessaire pour mieux appréhender la notion d’application du commerce équitable à travers le tourisme.
Définition et démarche
Avant d’aboutir aux démarches utiles, nous allons voir la définition de cette stratégie. On peut compter sur les payement des touristes pour soutenir la protection environnementale ou culturelle, soit par le biais de droit d’entrée, de taxes de départ ou d’autres taxes…, soit par des contributions volontaires. D’autres part, les unités d’accueil plus grand et celles situés dans les zones écologiquement sensibles devraient chercher l’accréditation qu’elles ont satisfait à des normes environnementales claires. Ce précieux outil de marketing rehaussait l’image de l’île et aiderait à préserver la base des ressources naturelles.
Définition
On peut compter sur les payement des touristes pour soutenir la protection environnementale ou culturelle, soit par le biais de droit d’entrée, de taxes de départ ou d’autres taxes…, soit par des contributions volontaires. D’autres part, les unités d’accueil plus grand et celles situés dans les zones écologiquement sensibles devraient chercher l’accréditation qu’elles ont satisfait à des normes environnementales claires. Ce précieux outil de marketing rehaussait l’image de l’île et aiderait à préserver la base des ressources naturelles.
En créant les liens en amont et en aval avec d’autres secteurs de production et de services, l’industrie du tourisme peut apporter des contributions significatives à la lutte contre la pauvreté. Premièrement parce que des ressources touristiques existent dans toute l’île et les autres régions qui n’ont pas de sources de revenus et d’emploi.
Démarche
Deuxièmement, aussi bien que l’éco-tourisme que le tourisme estival, s’ils sont correctement gérés, peuvent aider à préserver les ressources environnementales. Davantage doit être donc faite pour développer un partenariat dynamique entre l’industrie et la conservation, en raison du fait qu’un bon plan d’industrie touristique, un bon plan de conservation environnementale et un bon cadre d’inclusion sociales se renforcent mutuellement et que l’absence de l’un peut compromettre l’efficacité des 2 autres.
Le tourisme a un impacte bénéfique sur la vie économique de la population locale en créant des emplois et en offrant des sources supplémentaires de générations de revenus et de richesse. D’autre part, la qualité des ressources touristiques est également affectée par la pauvreté. Le déboisement, une menace permanente à Madagascar reflète la tentative désespérée de la population rurale très pauvre pour survivre, disposant de peu de solutions économiques de rechange à l’agriculture de subsistance et à l’utilisation des arbres comme bois de chauffages. De même, la pression et la surexploitation pratiquées par la population sont parmi les principales menaces de la zone côtière. Néanmoins, quelques ONG aident les communautés locales à introduire le tourisme comme activité génératrice de revenus et ces études de cas offrent des modèles qui pourraient être reproduit ailleurs dans le pays.
Stratégie Marketing
Madagascar, a travers sa position géographique dans l’océan Indien dispose d’atouts naturels doublé d’un héritage culturel qui lui permettent de se positionner par rapport aux pays voisins. Toutefois, ses concurrents directs disposent de potentiels équivalents si ce n’est plus prestigieux. Du coup, Madagascar doit engager une politique offensive contrecarrer la concurrence.
Objectifs
Il est à noter qu’ Madagascar à traves son organe de communication et de promotion du tourisme établit une politique de lutte concurrentielle et ou une politique extensive, uniquement à travers les foires et salons internationaux de tourisme (une politique Push seulement) contrairement à certains pays qui consacrent à la communication visuelle et écrite (politique pull) des budgets plus importants que ce soit au niveau national ou international dont beaucoup de pays excellent dans ce domaine. Ainsi, Madagascar devrait concentrer ses efforts dans différentes politiques.
La stratégie pull pourrait être intéressante et bénéfique pour promouvoir le tourisme qui devrait montrer les potentialités de Madagascar à travers des publicités qui montrent ses richesses naturelles, son patrimoine culturel et la beauté de sa faune et flore. Le message publicitaire doit être claire, fort et frappant, afin d’attirer les touristes et les persuader que Madagascar est différent des autres pays, notamment dans l’océan Indien. Par rapport à la Maurice et à la Réunion, Madagascar peut mettre l’accent sur son avantage qui est le fait d’avoir une grande superficie, ainsi que la diversité des paysages naturelles, ce qui constitue un atout concurrentiel très important. Madagascar peut encore également concentrer ses publicités sur la diversité culturelle que les autres pays ne possèdent pas forcement, qui lui permet aussi d’organiser plusieurs festivals et d’avoir un patrimoine culturel et artisanal varié, qui offre l’occasion aux visiteurs de rapporter des souvenirs avec eux et garder une trace de leurs visites (joindre l’utile à l’agréable).
De nos jours, la sécurité est un critère principal de choix des destinations touristiques, Madagascar peut donc assurer ses touristes à travers ses campagnes publicitaires et gagner des points par rapport aux autres pays.
A part, Madagascar pourrait développer dans le cadre d’une politique push, l’activité des offices de tourisme malgache à l’étranger.
Celles-ci doivent avoir obligatoirement des objectifs annuels en termes de nombre d’arrivées et de nuitées issues de la localité de laquelle elle est responsable, et essayer à les atteindre efficacement, et pourquoi pas les dépasser. Madagascar doit dans ce sens renforcer le contrôle des organes et institutions chargés de promouvoir le tourisme.
La stratégie de la lutte concurrentielle ne se présente pas comme une bague magique. La seule façon pour essayer d’attirer les clients potentiels consiste à offrir des prestations de qualité meilleure avec le prix concurrentielle possible. Toutefois, le prix ne peut pas dépasser un certain niveau car cela pourra donner l’impression que le produit offert n’est pas de bonne qualité et que le prix compense le manque de qualité.
C’est ainsi que les campagnes publicitaires ou les affiches doivent savoir mettre en valeur ce rapport qualité prix. Pour cela, Madagascar pourra recourir à des stars de cinéma nationales et internationales qui, malgré leur pouvoir d’achat, choisissent Madagascar pour profiter des prestations offertes à bon prix, dans le but de passer plus de temps et non dans un intérêt d’économie. Une politique d’affichage dans tous les coins du monde est nécessaire ; ça ne coûte pas excessivement cher et elle a un effet très positif sur le consommateur.
Par contre, la politique intensive, qui vise à fidéliser les touristes et inciter à revenir à Madagascar, peut s’avérer très prometteuse. Madagascar, afin d’atteindre son objectif ultime, doit catégoriquement procéder à une politique de fidélisation des clients. Les acteurs qui seront supposés être les plus actifs dans cette politique sont les hôtels. Des offres attrayantes pour fidéliser n’en manquent pas : offrir par exemple, 2 jours gratuits si la durée du séjour du client dépasse une semaine. Le client peut bénéficier de ces 2 jours à n’importe quel moment, dans la limite de 3 ans. Une deuxième offre parait très intéressante. Chaque personne qui revisite l’hôtel et qui réussit à apporter une nouvelle personne aura droit à une réduction qui peut aller de 20% jusqu’à 50% sur toute la durée de son séjour.
– Les hôteliers peuvent même proposer la deuxième chambre pour les familles, soit pendant les basses saisons soit lorsque la famille compte rester pendant une longue durée.
– En addition, Madagascar devrait essayer de constituer une base de données, où seraient regroupées toutes les informations concernant les touristes : Nationalité, durées de séjour, villes visitées, hôtels,… Ces informations vont servir à monter des packages personnalisés, des offres très spécifiques et surtout très attrayantes pour inciter les touristes à revenir. Ces informations seront communiquées par E-mail ou Boite Postale. Dans cette même voie, les Hôtels, Restaurants, les sociétés des visites guidées, les Agences de Voyages, doivent absolument administrer un questionnaire à la fin du séjour, qui mesurera le degré de satisfaction des touristes, et dans lequel le touriste propose des améliorations.
– Madagascar devrait aussi adapter sa politique du tourisme à l’Internet par rapport aux objectifs Marketing, sachant que la politique Internet est complémentaire des techniques Marketing traditionnelles.
Pour définir sa stratégie, l’important est de savoir combien d’accès souhaite-t-on obtenir par période : jour, semaine, mois, année. La société doit être capable de quantifier le taux de progression des accès de la clientèle ciblée, de prévoir en combien de temps le but optimal sera atteint et où trouver les estimations de l’activité avant même que le site ne soit installé.
Alors la question se pose : que peut apporter votre entreprise aux clients via Internet ?
L’entreprise se doit d’interroger et d’apprécier :
. Les services clients et vente qui connaissent les questions les plus fréquemment posées et les besoins des clients par rapport aux produits et la façon dont ils cherchent et trouvent l’information ;
. Les partenaires commerciaux, vendeurs, distributeurs, qui sont autant de sources des idées et des questions. Il faut les écouter et les proposer une place au sein du site au moyen de liens hypertextes ;
. Les prospects : que voudriez vous qu’ils fassent, où voudriez vous qu’ils aillent, comment mesurerez-vous les retours ;
. La concurrence : comparez vos atouts face à la concurrence, repérez votre différence ou votre originalité ;
. Les bénéfices qu’un client tirera de vos produits et services sur l’Internet et y augmenté votre impact ;
Le marketing traditionnel avec l’e-marketing afin d’envisager le marché potentiel et votre pénétration de marché. Etant donné la rapidité à laquelle le paysage du marketing sur le Web évolue, il est nécessaire de sa renseigner auprès des sites spécialisés en tactiques pour affiner votre projet et choisir les meilleures listes où passer les annonces.
Tous les ingrédients susceptibles de valoriser votre site et de vous faire gagner une clientèle fidèle sont réunis.
Veille technologique par l’application du Marketing Mix Internet
La veille technologique permet de profiter de l’expérience des autres et d’appliquer les règles d’or du marketing Mix Internet que se décline en 4 C :
. Contenu de l’info
. Commodité de navigation sur le site
. Convivialité
. Communication interactive
L’accès au site doit être rapide et la mémorisation de son adresse facile grâce l’adéquation du nom avec son objet.
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Table des matières
Introduction
Première partie : Présentation générale de la recherche
Chapitre I : Le secteur touristique à Madagascar
Section 1 : Définition du tourisme
1.1 : Différenciation de l’activité touristique par rapport aux autres secteurs de services
1.2 : Système touristique
Section 2 : Historiques
2.1 : Les différentes caractéristiques du tourisme à Madagascar
2.2 : Milieu touristique à Madagascar
Section 3 : Loi de l’offre et de la demande
3.1 : Réalités du marché
3.2 : Exigences de qualités
Chapitre II : Les devises du tourisme
Section 1 : Domination des pays occidentaux du marché du tourisme
1.1 : Premiers pays émetteurs de touristes
1.2 : Tourisme « all inclusive »
1.3 : Les principaux bénéficiaire
Section 2 : concurrences internationales
2.1 : Monopole européen
2.2 : Globalisation irréversible
Chapitre III : Théorie générale sur l’outil de gestion : « stratégie Marketing »
Section 1 : Définition et démarche
1.1 : Définition
1.2 : Démarche
Section 2 : Stratégie Marketing
2.1 : Objectifs
2.2 : Veille technologique par l’application d Marketing Mix Internet
Deuxième partie : Analyse critique de la situation existante
Chapitre I : Problème au niveau de la notation du commerce équitable
Section 1 : Notion limité au niveau du commerce équitable
1.1 : Manque d’authenticité de la production
1.2 : Intégration verticale des grands tours opérateur
Section 2 : Mauvaise gestion touristique
2.1 : Administration hôtelière
2.2 : Mode inégal de la répartition des devises du tourisme
2.3 : Difficulté de communication sur le tourisme équitable
2.4 : Impossibilité d’utilisation du concept de labellisation
Chapitre II : Les conséquences néfastes
Section 1 : Fléau du tourisme de masse
1.1 : Tourisme sexuel
1.2 : Utilisation des mineurs et travail
Section 2 : Fragilité des populations
2.1 : Impact négatif sur l’environnement
2.2 : Inconvénient des pays du Sud pour la protection de l’environnement
Chapitre III : Limites externes aux concepts
Section 1 : Les pièges du marketing humanitaire
1.1 : Moralisation de la chaîne touristique
1.2 : Publicité mensongère
Troisième partie : Les solutions envisagés et les résultats attendus à l’adéquation du tourisme équitable à Madagascar
Chapitre I : Solutions concernant la notion
Section 1 : Aspect de renforcement du tourisme équitable
1.1 : Pratique d’un lobbying intensif
1.2 : Proposition de modèle en assurant un développement touristique durable
Section 2 : Adéquation du concept
2.1 : Création d’organisme de contrôle indépendant
2.2 : Elargissement du produit à des cibles plus large
2.3 : Développement du tourisme de masse
Chapitre II : Application du Commerce équitable
Section 1 : Adoption du tourisme équitable
1.1 : Responsabiliser les touristes
1.2 : Création d’une nouvelle charte sur le tourisme équitable
Section 2 : Engagements des acteurs du tourisme équitable
2.1 : Organisation et partenariat environnementale
2.2 : Contribution pour le développement local
Chapitre III : Solutions retenues et Résultats attendus
Section 1 : Solutions retenues
1.1 : Modèle de répartition des organisations internationales origine des principaux textes de référence du tourisme
1.2 : Renforcement des collaborations des acteurs su tourisme équitable avec les autorités locales
1.3 : Perfectionnement de l’accès à l’information et à la formation
Sections 2 : Mise en disposition de placements éthiques
2.1 : Aide des entreprises du secteur privé
2.2 : Mise en place d’organisme d’observation
Section 3 : Résultats attendus et Recommandations générales
3.1 : Résultats attendus
3.1.2 : Résultats sociales
3.1.3 : Résultats économiques
3.2 : Recommandations générales
3.2.1 : Développement de série de partenariat entre autorités, entreprises et ONG.87
3.2.2 : Transparence des rapports commerciaux
3.2.3 : Améliorations des activités touristiques
3.2.4 : Politique d’extension des ressources touristiques
Conclusion générale
Annexes
Bibliographie
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