Les soins du nourrisson : de la toilette à l’hydratation

L’hygiène

                Au moyen-âge, l’enfant est beaucoup lavé, au moins trois fois par jour. Le bain est donné dans un cuvier, ancienne baignoire, ovale ou ronde dimensionnée à la taille des enfants allongés. On peut les trouver en bois dans les campagnes et les milieux pauvres, ainsi qu’en métal dans les milieux plus aisés. Le cuvier était généralement positionné proche de la cheminée, et recouvert d’un dais (tissus formant un dôme au-dessus du cuvier) afin de protéger l’enfant des courants d’air et du froid. Un lange est placé au fond de la cuve pour éviter les échardes. Les nourrices tâtent l’eau pour en vérifier la température avant d’y plonger l’enfant afin d’éviter les coups de froid et les brûlures, comme on peut le voir dans l’illustration ci-dessous.(Fontanel et Harcourt 2010) De nombreux textes, décrivent les méthodes à utiliser pour prendre soin des nourrissons, allant même jusqu’à l’obsession de la propreté comme on peut le lire dans les traités de médecine et d’éducation de Barthélemy l’Anglais, Vincent de Beauvais, Aldébrandin de Sienne. Le bain est donné « quand l’enfant ara assez dormi, ci le doit-on laver trois fois par jour », « On le baigne et oint pour nourrir la chair nettement ». (Closson M. 1987)

Les kératinocytes

                La kératinisation, phénomène de différenciation progressive des kératinocytes entraîne la formation de différentes couches de cellules qui possèdent chacune un rôle particulier. Les différentes couches seront détaillées ci-dessous de la plus profonde à la plus superficielle.
La couche basale ou germinative On trouve dans cette couche les kératinocytes les plus jeunes, ainsi que des cellules souches. Cette structure ne possède qu’une seule couche de cellule avec un fort taux de division mitotique (jusqu’à 50% des cellules sont en division). A chaque division, une cellule va migrer dans la couche supérieure, le stratum spinosum tandis que la seconde va rester dans la couche basale pour se diviser de nouveau. Les kératinocytes sont reliés entre eux par des desmosomes et sont reliés au derme par des hémidesmosomes. Ils possèdent dans leur cytoplasme des grains de mélanine qu’on appelle mélanosomes.(Mélissopoulos et al. 2012) On trouve dans cette couche d’autres cellules telles que des mélanocytes (10-25%) et quelques cellules de Merkel.(Marieb et Hoehn 2010)
La couche épineuse ou stratum spinosum Cette couche est composée de cellules polyédriques et est aussi appelée corps muqueux de Malpighi. Les cellules sont fortement reliées entre elles par un grand nombre de desmosomes ce qui donne une forte résistance mécanique. On trouve entre 5 et 6 couches de cellules qui sont de plus en plus aplaties dans la partie supérieure du stratum spinosum. Un grand nombrede tonofilaments et de ribosomes entraînent une synthèse importante de kératine.(Mélissopoulos et al. 2012)
La couche granuleuse ou stratum granulosum Les kératinocytes s’aplatissent fortement et commencent à perdre leur caractère vivant avec la désintégration des noyaux et des organites. On trouve maintenant deux types de granulations : les granulations de kératohyaline et les corps lamellaires d’Odland ou kératinosomes. Les granulations de kératohyaline favorisent la formation de kératine dans la couche claire. Les corps d’Odland vont migrer vers la membrane des kératinocytes, fusionner puis libérer leur contenu dans l’espace extra cellulaire ce qui permettra de former un « ciment » et renforcer la peau.(Marieb et Hoehn 2010)
La couche claire ou stratum lucidum La couche claire n’existe que dans la peau épaisse. On y trouve des kératinocytes clairs dépourvus de noyau. C’est une couche de transition où la kératohyaline se lie aux filaments de kératine des cellules pour solidifier les liens entre les cellules.(Marieb et Hoehn 2010)
La couche cornée ou stratum corneum La couche cornée est la plus superficielle de l’épiderme, elle peut être composée de 20 à 30 rangées de cellules. Les cellules sont dépourvues de noyau et d’organites et ne sont constituées que de kératine, ce sont donc des cellules mortes qu’on appelle les cornéocytes. Les membranes plasmatiques sont épaisses, renforcées par la kératine, et rendues imperméables par des glycolipides. Une couche desquamante à la surface, le stratum disjonctum, est le lieu de desquamation des cellules cornées.(Mélissopoulos et al. 2012) Le stratum corneum a un rôle considérable en particulier dans l’effet barrière de la peau contre les agressions physiques, bactériennes et virales. Malgré le fait que la couche cornée est la plus fine couche de la peau, le positionnement des cornéocytes comme des tuiles et la présence importante de kératine (protéine très résistante) et de ciment lipidique (acides gras polyinsaturés, cholestérol et céramides) entre les cornéocytes entraîne une cohésion importante et donne donc un effet barrière remarquable. La couche cornée est aussi une réserve de lipides au niveau du ciment lipidique, ces lipides vont migrer ensuite vers les couches les plus profondes de la peau. La couche cornée joue aussi un rôle important dans l’esthétique car celle-ci est la plus superficielle et donc celle visible. La capacité de desquamation et le taux d’eau fixée sont les facteurs qui modifient l’état de la peau. La desquamation varie en fonction de l’âge et des pathologies cutanées. Un taux d’hydratation trop faible (inférieur à 10%) entraîne une peau sèche, rugueuse, écaillée, blanchie et inconfortable. Un taux d’hydratation trop élevé engendre des cellules squameuses, détrempées, et une déshydratation très rapide. Le taux idéal qui doit être maintenu est aux alentours de 13%.(Martini 2011)

Les glandes sudoripares apocrines

               Les glandes sudoripares apocrines sont localisées au niveau des aisselles et du pubis. Elles sont plus profondément ancrées dans le derme et l’hypoderme que les glandes sudoripares eccrines et débouchent non pas directement à la surface de la peau par un pore mais dans le follicule pileux. La composition de la sécrétion varie en fonction du sexe, de la pigmentation cutanée et du régime alimentaire. En plus de la composition classique des glandes sudoripares, elle est riche en protéine et en lipide ce qui lui confère un caractère visqueux parfois laiteux ou jaunâtre. Cette sécrétion est inodore mais la destruction de ses molécules organiques par les bactéries de la flore cutanée engendre une odeur musquée généralement désagréable.(Marieb et Hoehn 2010)

Les annexes cutanées : sécrétion sébacée et sudorale

                 Les sécrétions sébacées sont extrêmement faibles pendant toute la durée de l’enfance et augmentent lors de la puberté. Cette absence de sébum diminue la fonction de barrière cutanée car ce dernier entre dans la composition du film hydrolipidique. (Fernandes, Machado, et Oliveira 2011) Le manque de sébum peut entraîner un dessèchement cutané, la xérose. Dans certains cas, on voit apparaître une sécrétion anormale de sébum lors des premières semaines de la vie, ces sécrétions entraînent une couche de matière grasse difficile à éliminer. Cette pathologie appelée croûte de lait est une dermatite séborrhéique présente surtout sur le crâne.(Martini 2011) Les sécrétions sudorales ne sont composées que des sécrétions eccrines car les glandes apocrines ne sont actives qu’à la puberté. Les glandes eccrines sont actives dès la naissance mais elles sont immatures et leurs sécrétions peuvent être anarchiques. Ces sécrétions inégales peuvent entraîner des irritations cutanées sous forme de petits points rouges accompagnés de prurit.(Martini 2011)

La Méthylisothiazolinone (MI)

                 Le MI est un conservateur qui était utilisé dans les années 1980 en mélange avec le méthylchloroisothiazolinone (MCI) dans les produits cosmétiques, peintures, vernis, laques, etc.… En cosmétique, le MI est surtout présent dans les produits sans rinçage et dans les lingettes. Une forte épidémie de dermatite allergique a suivi les premières utilisations du mélange MI/MCI. De ce fait, l’union européenne a baissé à 15ppm la concentration maximale du mélange dans les produits cosmétiques. Depuis les années 2000 l’utilisation de MI seule (à une concentration maximale de 100ppm) dans les produits cosmétiques est en augmentation, avec une recrudescence des réactions allergiques en parallèle. Cette concentration de 100ppm de MI est 25 fois supérieure à celle autorisée lors du mélange MI/MCI.(Giordano-Labadie 2014) Le SCCS a publié en 2013 un rapport pour l’Union Européenne préconisant l’arrêt de l’utilisation du MI dans les cosmétiques sans rinçage et à une concentration maximale de 15ppm dans les produits à rincer.(Hosteing et al. 2014) Le 9 février 2016, l’ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire, environnement, travail) a publié un rapport demandant le retrait du MI des produits cosmétiques sans rinçage.(ANSES 2016a)

Les composants nanoparticulaires : MBBT (Methylène bis-enzotriazol tetraméthylbutylphénol), dioxyde de titane, oxyde de Zinc, etc…

                  Les nanoparticules sont autorisées et utilisées en cosmétique surtout comme filtre UV, colorant ou opacifiant. Leur inscription sur l’étiquette des produits cosmétiques est précédée ou suivie de la mention [nano]. Le MBBT est un filtre UV protégeant à la fois des UVA et des UVB. En 2015, le SCCS a étudié le MBBT sous forme nanoparticulaire et a conclu que l’utilisation de ce dernier à une concentration maximale de 10% en tant que filtre UV ne présente pas de risque pour l’Homme lors d’un usage normal sur peau saine.(SCCS 2013) Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est utilisé dans les produits solaires en tant que filtre UV, opacifiant ou colorant. L’ANSM en 2011 recommande de ne pas utiliser le dioxyde de titane sur la peau lésée ou après un coup de soleil, ainsi que de ne pas pulvériser sur le visage ou dans une pièce close lorsque le produit solaire est sous forme de spray.(ANSM 2011) L’oxyde de zinc sous forme nanoparticulaire a été validé par le SCCS pour l’utilisation en tant que filtre UV en émettant des réserves sur l’utilisation sous forme de spray. En Europe, les sprays solaires avec de l’oxyde de zinc ne sont pas disponibles à la vente. (ANSM 2011) Le dioxyde de titane et l’oxyde de zinc seraient responsables de pollution environnementale mais les études sur leurs impacts sont encore en cours.

Les soins du siège lors du change

Définition et méthode Le change doit être fait plusieurs fois par jour et si possible après chaques selles ou après les urines, pour éviter au maximum la macération. En général ils sont faits après les repas ou avant et après les siestes. Il ne faut jamais laisser un enfant sans surveillance sur une table à langer. Tout d’abord il faut déshabiller l’enfant, pour cela on enlève le bas et on remonte le body au niveau du torse, on évite de déshabiller entièrement le nourrisson pour qu’il ne prenne pas froid. Si l’enfant a des selles, on retire la couche en enlevant les excédents de selles avec un coin propre de la couche ou un papier jetable. Ensuite il faut nettoyer le siège à l’aide d’un gant de toilette propre et d’un produit nettoyant dans un ordre précis. On commence par nettoyer le bas du ventre, le pubis, le haut des cuisses puis les organes génitaux. Chez un garçon on oublie pas de nettoyer l’extrémité de la verge, chez la fille on écartera délicatement les grandes lèvres pour les nettoyer en douceur. Avec l’autre côté du gant, on va nettoyer le bas du dos, les fesses puis le plis interfessier et l’anus. On sèche assidûment en tamponnant, on insiste bien sur les plis pour éviter les irritations et la macération. Une fois la toilette finie, on replace une couche propre sous les fesses et on applique les soins nécessaires pour la prévention ou le traitement de l’érythème fessier.(Camus et Millet 2013) L’érythème fessier se caractérise par une rougeur au niveau du siège qui peut être douloureuse et parfois prurigineuse. La peau prend un aspect plissé. L’érythème fessier est une irritation due à la macération des urines et des matières fécales lorsqu’il y a un contact long avec le siège. Les nouvelles technologies utilisées pour les couches modernes limitent les contacts des selles et urines avec la peau du nourrisson. L’irritation est accentuée lors d’épisodes diarrhéiques, de poussées dentaires et d’épisodes fébriles.(Korsaga-Somé et al. 2015) Lorsque l’érythème fessier est très inflammatoire et étendu, le fait de laisser la peau à l’air libre permet d’améliorer l’aspect de la peau. La peau très inflammatoire devient beaucoup plus perméable et permet le passage plus simple de nombreuses molécules, il est donc nécessaire de limiter l’utilisation de produits potentiellement toxiques.(Martini 2011)

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
Partie I : Place de l’hygiène des nourrissons de l’Antiquité à nos jours
1. L’Antiquité (-2000 ans avant JC à 476 ans après JC)
1.1. Le contexte historique
1.2. L’hygiène
1.3. L’emmaillotement
2. Le Moyen Age (477 à 1492)
2.1. Le contexte historique
2.2. L’hygiène
2.3. L’emmaillotement
3. La Renaissance et les Temps Modernes (1493 à 1789)
3.1. Le contexte historique
3.2. L’hygiène
3.3. L’emmaillotement
4. La Révolution et l’Epoque Industrielle (1790 à 1980)
4.1. Le contexte historique
4.2. L’hygiène
4.3. L’emmaillotement
5. L’Epoque Contemporaine à aujourd’hui
5.1. Le contexte historique
5.2. L’hygiène
5.3. L’emmaillotement
Partie II : Caractéristiques de la peau : structure et physiologie
1. Structure générale de la peau
1.1. Introduction
1.2. L’épiderme
1.2.1. Les kératinocytes
1.2.1.1. La couche basale ou germinative
1.2.1.2. La couche épineuse ou stratum spinosum
1.2.1.3. La couche granuleuse ou stratum granulosum
1.2.1.4. La couche claire ou stratum lucidum
1.2.1.5. La couche cornée ou stratum corneum
1.2.2. Les mélanocytes
1.2.3. Les cellules de Langerhans
1.2.4. Les cellules de Merkel
1.3. La jonction dermo-épidermique
1.4. Le derme
1.4.1. Les deux couches de derme
1.4.1.1. Le derme papillaire
1.4.1.2. Le derme réticulaire
1.4.2. Les principaux constituants du derme
1.4.2.1. Les fibroblastes
1.4.2.2. La matrice extracellulaire
1.4.3. Les principaux rôles du derme
1.5. L’hypoderme
1.5.1. La structure de l’hypoderme
1.5.2. Les fonctions de l’hypoderme
1.6. Le film hydrolipidique
1.6.1. La composition du film hydrolipidique
1.6.2. Le rôle du film hydrolipidique
1.7. La flore cutanée
1.8. Les annexes cutanées
1.8.1. Les glandes sudoripares
1.8.1.1. Les glandes sudoripares eccrines
1.8.1.2. Les glandes sudoripares apocrines
1.8.2. Les glandes sébacées
1.8.3. Les follicules pileux et les poils
1.8.4. Les ongles
2. Spécificité de la peau des nourrissons
2.1. La structure de la peau
2.1.1. L’épiderme
2.1.2. Le derme et l’hypoderme
2.1.3. La flore cutanée
2.1.4. Les annexes cutanées : cheveux et ongles
2.1.5. Les annexes cutanées : sécrétions sébacées et sudorales
2.2. La perméabilité cutanée du nourrisson
2.2.1. L’absorption
2.2.2. La perte d’eau trans-épidermique
2.2.3. Le pH cutané
Partie III : Rapport de WECF sur les substances nuisibles dans les produits cosmétiques pour nourrissons
1. L’organisation non gouvernementale (ONG) WECF
2. Résumé du rapport
3. Les substances incriminées
3.1. Les substances à risque élevé
3.1.1. Le méthylisothiazolinone
3.1.2. Le phénoxyéthanol
3.1.3. Les parfums
3.2. Les substances à risque modéré
3.2.1. Les huiles minérales
3.2.2. Les sulfates
3.2.3. L’EDTA
3.2.4. Les composants nanoparticulaires : MBBT, dioxyde de titane, oxyde de zinc, etc
3.3. Les substances à risque faible ou non identifié
3.3.1. Le méthylparabène et l’éthylparabène
3.3.2. Le BHT (Butyl hydroxytoluène)
Partie IV : Recommandation d’utilisation des cosmétiques pour nourrisson
1. La toilette
1.1. Définition et méthode
1.2. Les produits disponibles
1.2.1. Les eaux nettoyantes
1.2.1.1. Les propriétés
1.2.1.2. Le résultat du comparatif
1.2.2. Les laits de toilette
1.2.2.1. Les propriétés
1.2.2.2. Le résultat du comparatif
1.2.3. Les lingettes nettoyantes
1.2.3.1. Les propriétés
1.2.3.2. Le résultat du comparatif
1.2.4. Les eaux rafraîchissantes
1.2.4.1. Les propriétés
1.2.4.2. Le résultat du comparatif
2. Le bain et le shampooing
2.1. Définition et méthode
2.2. Les produits disponibles
2.2.1. Les gels et crèmes lavants
2.2.1.1. Les propriétés
2.2.1.2. Le résultat du comparatif
2.2.2. Les huiles de bain
2.2.2.1. Les propriétés
2.2.2.2. Le résultat du comparatif
2.2.3. Les pains de savon
2.2.3.1. Les propriétés
2.2.3.2. Le résultat du comparatif
2.2.4. Les 2 en 1 : nettoyants corps et cheveux
2.2.4.1. Les propriétés
2.2.4.2. Le résultat du comparatif
2.2.5. Les shampooings
2.2.5.1. Les propriétés
2.2.5.2. Le résultat du comparatif
2.2.6. Les bains moussants
2.2.6.1. Les propriétés et inconvénients
3. Les soins hydratants
3.1. Définition et méthode
3.2. Les produits disponibles
3.2.1. Les crèmes hydratantes corps et visage
3.2.1.1. Les propriétés
3.2.1.2. Le résultat du comparatif
3.2.2. Les crèmes et laits hydratants pour le corps
3.2.2.1. Les propriétés
3.2.2.2. Le résultat du comparatif
3.2.3. Les crèmes hydratantes pour le visage
3.2.3.1. Les propriétés
3.2.3.2. Le résultat du comparatif
3.2.4. Les huiles de massage
3.2.4.1. Les propriétés
3.2.4.2. Le résultat du comparatif
3.2.5. Les sticks hydratants
3.2.5.1. Les propriétés
3.2.5.2. Le résultat du comparatif
4. Les soins du siège
4.1. Définition et méthode
4.2. Les produits disponibles
4.2.1. Les crèmes pour le change
4.2.1.1. Les propriétés
4.2.1.2. Le résultat du comparatif
4.2.2. Les sprays apaisants
4.2.2.1. Les propriétés
4.2.2.2. Le résultat du comparatif
4.2.3. Les liniments oléo-calcaires
4.2.3.1. Les propriétés
4.2.3.2. Le résultat du comparatif
Conclusion
Annexes
Bibliographie
Sitographie
Serment de Galien

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *