Les situations écologiques, socio-économiques de la zone d‟avant TG

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Milieu humain

En 1998, le nombre de la population du district de Midongy du Sud était de 32874 habitants pour une densité d‟un peu plus de 12 habitants/km2 (INSTAT, 1998).
La population de Midongy du Sud est composée en majorité par les Antaisaka. Trois groupes formaient le noyau du peuple Antaisaka : Rabehava, Zafimahavaly et Zafimanga, tous descendants d‟Andriamandresy, de la grande dynastie de Maroseranana (Nord de Mangoky). Aux Antaisaka s‟ajoutent différents groupes tels : les Bara, les Tanala de Karianga, les Lahanosy et les Zafisoro (WWF Midongy).

Structure sociale

Il ya une organisation sociale bien structurée à Midongy du Sud. Celle-ci se rencontre surtout dans les zones rurales. Cette organisation sociale est fondée sur les liens de parenté selon la structure suivante :
• Le «Zokitany » : C‟est généralement l‟aîné, selon l‟arbre généalogique, des lignages regroupant les lonaky de même tribu (ou sous-tribu). Il n‟y a qu‟un seul zokitany dans un village.
• Le « Zokikibory » : C‟est celui qui décide sur toutes les activités relatives aux tombeaux.
• Les « Lonaky » ou les chefs de lignage qui gèrent en générale les affaires sociales au sein de ses grandes familles. Au niveau de la gestion du terroir, ils ont une grande influence sur l‟accès aux terrains de culture pour les immigrants. Il peut y avoir plusieurs lonaky dans un seul village.
• « Ambatolava et Ampitavàna » : Ce sont les adjoints des Lonaky
• Famille : C‟est la plus petite unité familiale et est assimilée au foyer (WWF Midongy, 2005).

Le pouvoir décisionnel

Le pouvoir traditionnel occupe une grande place dans la vie sociale et culturelle ainsi que la gestion des ressources à Midongy. Il intervient dans la gestion des conflits, l‟accès à certaines ressources. Le pouvoir à structure administrative n‟intervient qu‟en dernier recours (WWF Midongy, 2005).

PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES

Problématique

Comme la plupart des forêts de Madagascar, les forêts denses humides du Sud Est, n‟échappent pas aux différentes pressions qui les détériorent progressivement. La forêt de Midongy du Sud fait partie des forêts denses humides de l‟Est de Madagascar. Elle assure différentes fonctions indispensables aux populations locales dont : la protection des bassins versants, la production des bois d‟œuvres et d‟autres services associés aux fonctions de la forêt. A cause du mode de vie de la population, basé sur l‟exploitation des ressources naturelles, la pression qui sévit sur la forêt est plus que jamais persistante. De plus, l‟extrême pauvreté de ces populations rend plus ardue encore la stratégie de conservation. La flore et la faune sont menacées à cause des activités des populations locales qui, pour vivre dépendent de l‟exploitation des ressources naturelles en l‟occurrence la forêt.
Bien que les lois existantes interdisent formellement les pratiques dévastatrices vis-à-vis de l‟environnement, les pressions sur les écosystèmes naturels persistent. Diverses stratégies ont été menées pour pallier à cette dégradation des ressources naturelles. Parmi les plus récentes, il y a le transfert de gestion des ressources naturelles renouvelables (TGRNR) aux communautés rurales dans un objectif de responsabilisation de ces communautés par la gestion rationnelle et durable de leurs terroirs. C‟est dans ce cadre et pour faire face aux pratiques dépravantes pour les ressources naturelles que le WWF a mis en place un projet de foresterie communautaire dans cette partie du Sud Est. Le WWF a entrepris des activités au sein de ces localités, entre autres des activités alternatives au tavy et des activités de gestion durable des ressources forestières.
Il apparaît en effet que la stricte limitation du contrat à des fins de subsistance ou de conservation ne semble pas être un facteur d‟intérêt des populations qui finissent par « oublier » les termes du contrat. Certes, l‟approche adoptée par le WWF concilie conservation et développement local. Mais cela ne garantie en aucun cas l‟atteinte des objectifs assignés et les impacts du projet restent encore inconnus.
Ces années de TG et d‟appuis au développement ont-ils apporté des changements tant au niveau écologique qu‟au niveau socio-économique dans ces localités ? Toutefois, ces éventuels changements peuvent être à la fois positifs que négatifs, et peuvent varier selon les critères choisis. Par conséquent, l‟important est de connaître quels sont les impacts des TG et de déterminer les points à souligner pour améliorer les activités à y entreprendre.
Ainsi, cette réflexion nous amène à l‟objet même de ce présent mémoire qui s‟intitule : « Etude d’Impacts des transferts de gestion des forêts dans la gestion durable des ressources et l’amélioration des conditions de vie des Populations locales à Midongy du Sud»
La question principale qui se pose est donc : Dans quels sens ont évolués le milieu et le niveau de vie des membres des COBA depuis les transferts de gestion?

Hypothèses

Les hypothèses émises se basent à connaitre les impacts des transferts de gestion sur les plans écologique et humain auprès des COBA de Midongy du Sud. Les hypothèses suivantes ont été alors émises :
• H1: Les tranferts de gestion ont contribué à la diminution de la déforestation et de la dégradation des forêts.
Une des raisons ayant poussé le WWF à choisir Midongy du Sud pour site d‟action est de pouvoir relier le corridor forestier longeant cette écorégion qui est fragmenté aujourd‟hui. Comme la plupart des forêts de cette partie du Sud-est, la forêt de Midongy du Sud est soumise à un rythme de dégradation effréné. Durant ces années d‟installation du projet dans la région, des actions telles que la restauration du milieu, les éducations environnementales et le TG lui même ont été menées au sein des populations cibles afin de remédier à ces problèmes de dégradation. Mais nul ne peut parler objectivement des évolutions sur l‟environnement qui s‟y développent sans y avoir menées les études appropriées. C‟est la raison de cette hypothèse qui va tenter de répondre s‟il y a eu amélioration de l‟état de l‟environnement ou inversement, la poursuite des dégradations.
 SH1 : Les pressions ont diminué selon la perception des membres des COBA.
Pour tenter de répondre à cette première hypothèse, deux sous hypothèses sont énoncées. Comme il n‟y a pas de données de référence sur les pressions qui s‟exerçaient sur la forêt avant les TG, les populations locales sont celles qui sont les mieux placées pour percevoir les éventuels changements sur l‟état de « leur forêt ». En effet, en l‟absence quasi générale d‟une situation descriptive de référence de l‟état du milieu avant les TG, il ne peut y avoir de mesure précise des écarts positifs ou négatifs.
 SH2 : Les TG ont instauré un comportement plus écologique au sein des membres des COBA.
Le changement de comportement est un critère important pour la réussite d‟un TG surtout à long terme. Le changement de mentalité vis-à-vis de l‟importance que les populations accordent aux ressources est primordial car un individu qui veut conserver n‟est pas l‟égal de celui qui est contraint de conserver.
• H2: Les tranferts de gestion ont amélioré les conditions de vie des populations rurales.
Comme la plupart des populations rurales des régions à proximité des forêts, les membres des COBA de Midongy du Sud dépendent essentiellement de la forêt pour vivre. La dépendance accrue à ce capital épuisable est néfaste à la forêt évidemment mais aussi, en constituant un spiral vicieux va accentuer la pauvreté de la population. La protection de la forêt devrait aller de pair avec le développement économique. Une amélioration des conditions de vie des membres des COBA par les promotions d‟alternatives devrait alors impliquer une amélioration sur l‟état de la ressource naturelle. Pendant ces années de TG, des Activités Génératrices de Revenus y ont été vulgarisées et adoptées par la population. Mais les TG ont également engendré des manques à gagner à cause des prohibitions liées au contrat de TG. Cette hypothèse est nécessaire afin de pouvoir confirmer ou infirmer sur l‟amélioration du niveau de vie de la population.
 SH3 : Les AGR ont diversifié les activités des membres des COBA.
La diversification des activités agricoles de la population locale est un des premiers objectifs du projet. En effet, les activités agricoles dans la région ont été très restreintes avant l‟installation du projet. Il est donc essentiel de savoir si oui ou non ces activités ont été adoptées et ont-elles impliquées tous les membres.
 SH4 : Les AGR ont augmenté les revenus agricoles des membres des COBA malgré les restrictions.
Afin de déterminer la pertinence des AGR durant ces années de TG, il est nécessaire de savoir si les activités alternatives vulgarisées ont comblé les manques à gagner issus des restrictions. Mais l‟objectif du projet lors de la promotion de ces AGR n‟était pas seulement de combler le vide mais surtout d‟augmenter les revenus. Cette sous hypothèse va essayer de répondre à ces suppositions.
L‟enchainement des résultats qui suivront dans cette étude permettra d‟élucider la problématique par la vérification de ces deux hypothèses.

METHODOLOGIE

Pour mener à bien les recherches se rapportant au thème de l‟étude, la démarche méthodologique adoptée s‟est faite en trois grandes étapes :
– la phase préparatoire,
– la phase de terrain, et
– la phase d‟analyse et de traitement des données.

Phase préparatoire

La phase préparatoire se subdivise en deux sous-étapes : les investigations bibliographiques et la préparation de la descente sur terrain.

Investigations bibliographiques

Une investigation bibliographique (en bibliothèques et sur internet) a été réalisée au préalable pour avoir un aperçu général du thème de l‟étude et pour se faire une idée sur les étapes à suivre pendant la descente sur terrain. La documentation s‟est centrée sur les mots et expressions clés suivants : Midongy du Sud, le transfert de gestion des ressources naturelles renouvelables à Madagascar, étude d‟impacts des projets forestiers, enquêtes socio-économiques, méthodologie d‟enquête. Il est à remarquer que cette phase de documentation s‟est poursuivie tout au long de l‟étude, sur terrain et pendant la phase de traitement des données également.

Elaboration du protocole de recherche

Cette étape consistait à étudier la problématique et, à choisir les hypothèses adéquates pour pouvoir ensuite dégager les variables ainsi que les outils de collecte.

Dispositif d’échantillonnage

Rappelons qu‟actuellement, il y a onze TG officialisés à Midongy du Sud. Mais six d‟entre eux n‟ont été mis en place que depuis peu. Les cinq autres, constituant les cibles de cette étude ont au moins cinq ans (cf annexe 1 : informations sur les COBA). Le choix des cinq sites d‟études est ainsi basé sur « l‟âge » des COBA. Ainsi, les éventuels changements apportés par les TG seront mieux perceptibles. La population mère de l‟étude est donc tous les ménages membres de ces cinq COBA et chaque ménage membre est l‟unité d‟échantillonnage.
Notre typologie de départ était axée sur la pratique des AGR (alternatives génératrices de revenus) lancés par le projet à Midongy. Force est de constater sur le terrain après entretien avec les responsables du projet que presque tous les membres pratiquent les mêmes AGR. Du coup, un échantillonnage aléatoire dans les cinq COBA a été adopté.

Phase de terrain

La descente sur terrain a duré cinq semaines et s‟est faite en une seule fois. Trois COBA ont été d‟abord visitées et quelques jours de reculs ont été pris pour réadapter les questionnaires avant de continuer avec les deux autres COBA. 65 ménages ont été enquêtés pour l‟ensemble des cinq COBA. En tout, il ya 274 ménages membres dans ces cinq COBA. Le taux d‟échantillonnage est donc de 23,72 %.
La collecte des données s‟est surtout basée, à part les observations directes, sur des enquêtes individuelles auprès de chaque personne membre de chaque ménage. Elles ont été complétées par des entretiens que ce soit individuels ou par groupe. Les entretiens ont été utilisés pour réajuster et pour affiner les données. Les observations directes lors des visites des lieux ont permis de connaître l‟état général du milieu à savoir les parcours de feux, les reboisements, les défrichements récents et les situations générales de l‟environnement.
Notons qu‟une petite visite de courtoisie auprès de l‟autorité traditionnelle et du président de la COBA a précédé toute collecte de données.

Par questionnaire

Le questionnaire est une technique de collecte de données auprès de personnes physiques mouvantes qui peuvent facilement changer d‟attitude, c‟est pourquoi les questions sont agencées de façon à prévoir toutes les situations possibles (RAMAMONJISOA, 1996). Il s‟agit ici d‟un questionnaire de type administration indirecte où l‟enquêteur lui-même note les réponses de l‟enquêté.
Le traitement des données acquises par questionnaire a permis de mettre en exergue :
• Les perceptions des ménages
• L‟évolution des systèmes de production
• L‟évolution des revenus agricoles des COBA

Par entretien individuel

Afin de recouper les données récoltées grâce au questionnaire, des entretiens avec des responsables techniques qui sont le CEEF et le WWF ont été réalisés. Les appréciations recueillies sont donc des appréciations à dire d‟acteurs. Durant cette étape, l‟entretien semi-directif a été adopté.
C‟est un entretien qui n‟est ni entièrement ouvert, ni canalisé par un grand nombre de questions précises. Autant que possible, il « laissera venir » l‟interviewé afin que celui-ci puisse parler ouvertement, dans les mots qu‟il souhaite et dans l‟ordre qui lui convient. (QUIVY et VAN CAMPENHOUDT, 1995). Le guide d‟entretien utilisé comportait essentiellement les indicateurs suivants :
• L‟évolution des tavy et feux de brousse ;
• Le rôle du service forestier ;
• Les différentes AGR.

Par focus groupe

Les principes sont les mêmes que pour l‟entretien individuel semi-directif mais les cibles sont les COBA. L‟utilisation de cet entretien de groupe a permis, d‟une part la confrontation directe des diverses versions des personnes lors des enquêtes et d‟autre part, le recoupement des données sur les différentes thématiques de l‟enquête.

Phase de traitement et d’analyse des données.

Les hypothèses ont guidé l‟analyse des résultats. Les données obtenus sur le terrain ont été dépouillées et triées. Les données pertinentes pour caractériser les indicateurs ont été retenues et constituent la base de données de l‟étude.
Le traitement des données sur le tableur « Microsoft Excel » s‟est avéré nécessaire afin de faciliter la manipulation des chiffres et l‟établissement des différents graphes.
Pour la première hypothèse, après la collecte de données concernant les perceptions des ménages sur l‟évolution des feux de brousse et du tavy, des recoupements par des entretiens avec les responsables techniques à savoir la CEEF ont été faits. Des observations en forêts ont été utilisées pour estimer à peu près le niveau des menaces. A partir de ces données, l‟étude s‟est penchée sur la tendance des perceptions des ménages au sein des COBA concernant l‟évolution des paramètres tavy et feux de brousse. Ensuite, le travail consistait à quantifier le niveau de pression perçu par les ménages par la comparaison des perceptions de pression entre les époques avant TG (avant 2005) et après TG. Un barème comprise entre 1 et 10 a été utilisé, dont la valeur est ascendante c’est-à-dire que le niveau 1 correspond à une pression moindre et le niveau 10 à une pression maximale.
Toujours concernant les changements sur l‟écologie du milieu, le paramètre production rizicole va évaluer l‟évolution de l‟utilisation des terres forestières en prenant comme indicateurs les productions rizicoles suivant le mode de culture (sur tanety ou sur bas fond). Les productions rizicoles pluviales d‟avant et d‟après TG ont été comparées et il a été fait de même avec les productions rizicoles irriguées. De ces comparaisons, la tendance des pratiques des ménages en ce qui concerne le tavy peut être appréciée. Ces données sont issues des enquêtes. Encore dans cette partie écologique, pour le paramètre restauration du milieu, des données sur le nombre de plants reboisés du projet WWF Midongy ont été consultées et des questions ont été posés pour évaluer la conscience écologique des enquêtés.
Dans la seconde hypothèse, l‟estimation de l‟augmentation éventuelle des mains d‟œuvres précèdent les autres paramètres. Outre la perception des ménages concernant les changements sur leur revenu agricole, des données sur leurs productions ont été récoltées. Les données, que ce soient avant ou après TG sont issues des enquêtes auprès des ménages dans les cinq COBA. Les prix utilisés pour évaluer les revenus agricoles des ménages sont ceux actuellement. Ainsi, les deux revenus à comparer (avant et après TG) ont été traités sur la même base.

Les limites de l’étude

Limites méthodologiques

Dans le cycle d‟un projet, une étude des impacts se situe nettement après clôture de l‟action c’est-à-dire qu‟elle s‟intéresse aux effets à moyen ou à long terme. Alors que dans cette étude, ce facteur temporel n‟est pas respecté. La situation des TG à Midongy du Sud correspond à peu près à une évaluation finale c’est-à-dire aux observations des effets. Effectivement par définition, l‟effet est l‟incidence de l‟action sur le milieu physique alors que l‟impact est la nouvelle situation issue de l‟ensemble des effets.
Comme ce travail traite beaucoup de données basées sur les perceptions et du fait du manque de situation de référence, des travaux de recoupement ont été effectués afin d‟éviter ou du moins de diminuer l‟éventuelle subjectivité des données.
Certains enquêtés ont voulu faire bonne figure et prétendre que les termes du contrat de TG sont bien respectés et faire entendre à l‟enquêteur que tout va dans le sens des règles stipulées par les TG. Ce qui aurait entraîné des réponses de complaisance dans certains cas.
Notre séjour dans les COBA de Midongy coïncidait avec des travaux d‟entretien de la RIP 9 par CARE. Beaucoup des membres travaillaient dans ces chantiers et ne sont disponibles que très tard
à la fin de la journée. Cette situation a rendu les proportions de notre stratification non respectée. De plus, certains villageois préfèrent vivre à proximité de leurs terrains de culture. Ainsi, la répartition spatiale des villageois est parfois très étendue et a rendu plus difficile encore les travaux de terrain.
Comme il s‟agit d‟une étude socio-économique, les outils et méthodes utilisés aussi pertinents soient-ils, ont eu besoin de réadaptation à la réalité rencontrée sur le terrain.

Limites sur la portée des impacts

Cette étude concerne uniquement cinq COBA à Midongy du Sud mais pas toute la population rurale de Midongy. Par conséquent, les résultats issus de cette étude ne peuvent être généralisés de manière intégrale à une échelle plus grande. Néanmoins, cette étude reflète des changements dans les zones d‟intervention.

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Table des matières

INTRODUCTION
Partie 1 : PRESENTATION DU MILIEU D‟ETUDE
1.1. Milieu physique
1.1.1. Localisation
1.1.2. Climat
1.1.3. Sol
1.1.4. Végétation
1.1.5. Hydrographie
1.2. Milieu humain
1.2.1. Structure sociale
1.2.2. Le pouvoir décisionnel
Partie 2 : PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES
2.1. Problématique
2.2. Hypothèses
Partie 3 : METHODOLOGIE
3.1. Phase préparatoire
3.1.1. Investigations bibliographiques
3.1.2. Elaboration du protocole de recherche
3.2. Phase de terrain
3.2.1. Par questionnaire
3.2.2. Par entretien individuel
3.2.3. Par focus groupe
3.3. Phase de traitement et d‟analyse des données
3.4. Les limites de l‟étude
3.4.1. Limites méthodologiques
3.4.2. Limites sur la portée des impacts
Partie 4 : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
4.1. Les situations écologiques, socio-économiques de la zone d‟avant TG
4.1.1. L‟utilisation des espaces avant TG
4.1.2. Les pressions sur les ressources forestières avant TG
4.1.3. Activités agricoles avant TG
4.1.4. La conception de genre avant TG
4.2. Les impacts écologiques des transferts de gestion
4.2.1. Le recul de la fréquence de feux de brousse et de la pratique du tavy
4.2.2. Utilisation plus écologique des espaces
4.2.3. Les autres impacts écologiques ressentis
4.3. Les impacts socio-économiques des transferts de gestion
4.3.1. Augmentation de la main d‟œuvre des COBA
4.3.2. Augmentation des revenus agricoles des ménages
4.3.3. Les autres impacts socio-économiques ressentis
Partie 5 : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
5.1. Discussions sur les hypothèses
5.2. Recommandations
5.2.1. Au niveau de la pérennisation des activités
5.2.2. Au niveau de l‟environnement
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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