LES SALMONELLOSES AVIAIRES ET MOYENS DE LUTTE

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L’élevage avicole dans la région périurbaine de Dakar

Les systèmes d’élevage

De façon générale, selon la FAO (2014), les systèmes d’aviculture en termes de classification se résument en quatre (04) secteurs (tableau I, page 9).
Au Sénégal, et particulièrement dans la zone de Dakar, l’aviculture est caractérisée par deux (02) systèmes d’élevage à savoir un système traditionnel et un système moderne.

Système avicole traditionnel

Au Sénégal, les productions aviaires sont dominées par le système d’élevage traditionnel ou familial qui est très répandu en milieu rural. Ces petites unités d’exploitation pratiquent de l’élevage extensif à faibles effectifs et à faibles niveaux de production (FAO, 2014). Elles regroupent en moyenne 5 à 20 poulets par ménage dispersés en de petites unités de production. Elle se pratique dans la presque totalité du territoire national, mais est particulièrement important dans les zones rurales les plus démunies. Ce système est pratiqué principalement par les femmes et les enfants (TRAORE, 2006). Bien que son évolution soit faible (4,6% en 5 ans) par rapport à l’aviculture moderne, son effectif représente 64% du cheptel avicole national en 2009 contre 80% en 2004 (SENEGAL, 2004 et 2009).
L’aviculture traditionnelle joue un rôle important sur le plan socioculturel, nutritionnel et socio-économique. Sur le plan socioculturel, en milieu rural lors des fêtes, des cérémonies religieuses ou des mariages, le poulet joue un rôle extrêmement important dans la couverture des besoins protéiques mais aussi pour certains rites. Sur le plan nutritionnel, la volaille reste pratiquement en dehors des grandes fêtes (Tabaski) ou cérémonies, l’espèce la plus utilisée en milieu rural pour couvrir les besoins en protéines animales (GUEYE et BESSEI, 1995). Sur le plan économique, les revenus de l’aviculture rurale viennent de la vente des œufs, du poulet vivant, mais aussi du troc (GUEYE, 2000). En général, dans les pays en voie de développement, la volaille rurale représente une des rares opportunités d’épargne, d’investissement et de protection contre le risque sous-alimentation (FAO, 2004). Elle constitue un revenu pour les couches les plus vulnérables de la société à savoir les femmes (70%) et les enfants (MISSOUHOU et al., 2002).

Système avicole moderne

En Afrique subsaharienne de façon générale et au Sénégal en particulier, l’application directe de la typologie des élevages avicoles selon la nomenclature de la FAO s’avère très difficile. C’est pourquoi, la catégorisation des secteurs a été revue comme suit. En plus du système d’exploitation avicole traditionnel précédemment décrit et qui correspond au secteur 4, le système d’élevage dit commercial peut être divisé en trois sous-systèmes ou secteurs (TRAORE, 2006).
• Secteur 1 ou système d’élevage industriel et intégré
Il correspond à un haut niveau de biosécurité clairement défini et exécuté, avec des effectifs importants d’oiseaux. Les oiseaux sont nourris avec des aliments complets produits par des industries spécialisées. Dans cet élevage, on utilise des équipements modernes tels que : les abreuvoirs automatiques, les chaînes d’alimentation, les systèmes d’évacuation automatique des déjections. Ce système a nombre d’éleveurs limité, n’est pas fréquent mais commence à se développer et regroupe moins d’une dizaine de producteurs majoritairement installés à Dakar. Toutefois, un aviculteur intensif est installé à Saint-Louis.
• Secteur 2 ou système d’élevage intensif de poulets commerciaux
Il correspond à un niveau modéré à élever de biosécurité. Les oiseaux sont en permanence confinés, empêchant rigoureusement le contact avec d’autres volailles domestiques ou sauvages. Ce secteur de haute production, regroupe l’essentiel des aviculteurs dits du secteur commercial (plus de 80% des effectifs avicoles élevés). Les oiseaux produits sont destinés habituellement au marché local. Les producteurs de ce groupe se rencontrent surtout dans la zone des Niayes de Dakar et de Thiès. Le plus souvent, ce type d’élevage est pratiqué par des salariés et des personnes de professions libérales, ou exerçant dans le tertiaire et qui engagent des contremaîtres pour gérer leurs fermes.
• Secteur 3 ou système d’élevage semi-intensif et élevages amateurs
Correspond à un niveau faible à minimal de biosécurité. C’est le système le plus répandu surtout dans la région de Dakar. Il se rencontre essentiellement dans les habitations en centre et en banlieue des grandes villes et autour de quelques autres agglomérations et communes rurales. Il utilise des poussins d’un jour importés ou produits localement par des couvoirs installés dans la région de Dakar et des aliments complets achetés sur place ou fabriqués par les éleveurs eux-mêmes. Cependant, on note dans la plupart de ces élevages, une mauvaise conduite de l’élevage et un non-respect des normes prophylactiques.

Contraintes zootechniques et économiques

On constate essentiellement un manque de professionnalisation dans la filière. La plupart des employés des fermes avicoles n’ont aucune formation de base en aviculture (BIAGUI, 2002). Ceci entraîne des défaillances observées dans l’application des normes techniques d’élevage qui sont à l’origine de mauvaises performances. De même, la mauvaise conception et orientation des bâtiments d’élevage, l’absence d’hygiène, les vides sanitaires mal effectués, la mauvaise qualité de la litière ajoutés à une distribution irrégulière et en quantité insuffisante d’aliments et d’eau, ont des conséquences néfastes sur la croissance des oiseaux.
Du point de vue économique, les producteurs éprouvent d’énormes difficultés à obtenir des financements nécessaires à l’achat d’équipements avicoles (HABAMENSHI, 1994). La mauvaise organisation du marché et les problèmes de commercialisation sont liés à l’absence chez l’éleveur d’une politique de vente du type « vendre avant de produire ». Ainsi, l’inexistence d’une chaîne de froid, de moyens de conservation au niveau des éleveurs, le non-respect de contrats de livraisons sont autant de points faibles qui fragilisent la filière. Par conséquent, beaucoup d’aviculteurs sénégalais se limitent à des opérations ponctuelles liées à des festivités d’origine religieuse, coutumière ou familiale.

Contraintes alimentaires

L’alimentation représente plus de la moitié des coûts de production en aviculture moderne. Cette alimentation n’est pas maitrisée et reste tributaire vis à vis de la production du maïs qui est sa principale composante. Mais aussi du prix et de la qualité des autres intrants à savoir le son de blé, les tourteaux, le pré mix, etc. (LARBIER et LECLECRQ, 1992).
La jeune industrie sénégalaise de l’alimentation animale est confrontée en permanence à des problèmes d’approvisionnement en céréales. Une proportion importante des matières premières entrant dans la fabrication des aliments de volailles (maïs, tourteau de soja, acides aminés synthétiques, par exemple) est donc importée. Cela constitue une entrave au développement de l’aviculture moderne du fait de l’augmentation sans cesse du prix de ces matières premières. Les contraintes les plus soulevées portent essentiellement sur le coût de plus en plus élevé des ressources alimentaires, notamment celles en protéines, les difficultés d’approvisionnement en matières premières du fait de leur faible disponibilité. A cela, s’ajoute la rupture prolongée des stocks d’intrants (aliments volailles, produits vétérinaires) et l’étroitesse du marché, qui sont autant de facteurs ne favorisant pas une production avicole optimale (SORO, 2011).

Contraintes sanitaires

Les contraintes sanitaires sont représentées par une insuffisance de mesures de biosécurité et la persistance des maladies.
 Mesure de biosécurité
Malgré l’existence de mesures de biosécurité dans les exploitations du secteur avicole dakarois, des contraintes sanitaires subsistent, notamment en matière de ressources humaines qualifiées pour l’encadrement sanitaire ; d’hygiène d’habitat de la volaille ; de veille sanitaire et épidémiologique ; de normalisation de la biosécurité dans les élevages et sur les marchés.

LES SALMONELLOSES AVIAIRES ET MOYENS DE LUTTE
Salmonellose aviaires
Généralités sur les salmonelles
Les salmonelles sont des bactéries étudiées depuis le XIXème siècle. Elles sont non seulement pathogènes pour l’homme mais aussi pour de nombreuses espèces animales.
Historique et classification
 Historique
L’intérêt porté aux salmonelles n’est pas récent. Dès 1875, KOCH et PASTEUR s’y sont intéressés en mettant en place les bases de la bactériologie (LE MINOR et VERON, 1989). Le bacille d’EBERTH (ou Salmonella typhi) fut décrit par SCHROETER en 1886 comme agent de la fièvre typhoïde chez l’homme. Puis KLEIN isola en 1889 l’agent de la typhose aviaire (S. gallinarum). Le bacille de LOEFFLER (S. typhimurium) a ensuite été isolé à partir de sang de souris atteintes de salmonellose en 1890. Enfin, en 1894, SMITH a décrit Bacillus cholerae, l’agent responsable du choléra du porc et l’a nommé S. cholerasuis.
En 1900, l’agent causal de ces maladies fut nommé Salmonella en l’honneur de Salmon vétérinaire des Etats-Unis. De nos jours, la salmonellose est décrite partout dans le monde et chez nombreuses espèces.
• Classification
WHITE en 1925 et KAUFFMANN à partir de 1930 établirent un système de classification basé sur l’identification antigénique des Salmonelles qui sont des bactéries appartenant à la famille des Enterobacteriaceae et au genre Salmonella. Dans les années cinquante, une centaine de sérovars était déjà connus. Aujourd’hui, il est démontré que le genre Salmonella comprend 3
espèces : Salmonella enterica, Salmonella bongori et Salmonella subterranea (AUBRY, 2012). Mais seules les deux premières sont reconnues par l’OMS (AGBAJE et al., 2011).
L’espèce principale est Salmonella enterica qui comprend elle-même six sous-espèces (GRIMONT et al., 2007), à savoir: Salmonella entericasubsp. arizonae; Salmonella entericasubsp. diarizonae; Salmonella entericasubsp.enterica; Salmonella entericasubsp. houtenae; Salmonella entericasubsp. indica; Salmonella entericasubsp. salamae.
La sous espèce la plus fréquente est S. entericaenterica. Elle compte environ 2600 sérovars qui représentent 99,5% des souches isolées (Tableau II, page 15).
S. enterica S. enterica subsp. enterica 1531
S. enterica subsp. salamae505
S. enterica subsp. arizonae99
S. enterica subsp. diarizonae336
S. enterica subsp. houtenae73
S. enterica subsp. Indica13
S. bongori 22
Salmonella enterica est la plus fréquemment rencontrée en pathologie humaine et animale. Actuellement plus de 2500 sérotypes de cette espèce ont été identifiés, dont deux sérotypes, enteritidis et typhimurium, sont responsables de la majorité des cas de salmonelloses chez l’Homme (70 %) (GRIMONT et al., 2007).
Caractères bactériologiques
Caractères morphologique
Les salmonelles sont des bacilles à Gram-négatif, non sporulant, la plupart du temps doués d’une  mobilité propre grâce à des flagelles péritriches (à l’exception de Salmonella gallinarum). La taille des bâtonnets varie entre 2 et 5 μm de longueur sur 0,7 à 1,5 μm de largeur (KORSAK et al., 2004).
Caractères culturaux
Les salmonelles sont des bactéries aéro-anaérobies facultatives. Après 24h d’incubation à 37°C sur un milieu ordinaire, les colonies obtenues ont un diamètre de 3 à 4 μm. Elles sont généralement lisses (smooth : S), rarement rugueuses (rough : R), sauf dans les urines pour une raison inconnue. Sous forme rugueuse, les salmonelles sont rarement pathogènes.
A partir d’un milieu mono microbien (tel que le sang ou le liquide céphalorachidien), une gélose ordinaire suffira à leur croissance. Par contre, dans le cas de prélèvements polymicrobiens (fèces par exemple), l’utilisation de milieux sélectifs est indispensable. Les micro-organismes pathogènes dans les aliments, dans l’environnement ou bien dans les matières fécales sont généralement présents en petit nombre et peuvent entrer en concurrence avec une flore saprophyte, abondante dans certaines matrices.
Caractères biochimiques
Les salmonelles présentent les caractères généraux de la famille des Enterobacteriaceae. Elles possèdent une nitrate réductase mais pas d’oxydase. Elles fermentent le glucose avec ou sans production de gaz. Au sein de la famille des Entérobacteriaceae, les caractères permettant l’identification biochimique du genre Salmonella sont :
– l’absence d’uréase et de tryptophane désaminase ;
– l’absence de production d’indole et d’acétoïne ;
– l’absence de fermentation du lactose, du saccharose, de l’inositol, de l’amygdaline, de l’adonitol et du 2-cétogluconate ;
– la présence d’une thiosulfate-réductase ;
– la décarboxylation fréquente de la lysine et de l’ornithine ;
– la capacité fréquente de croître sur milieu au citrate de Simmons.
Deux des trois espèces du genre Salmonella peuvent être différenciées par leurs caractères biochimiques : Salmonella bongori ne fermente pas le sorbitol et pousse sur un milieu contenant du KCN (cyanure de potassium), contrairement à Salmonella enterica.
Les six sous-espèces de Salmonella peuvent également être identifiées par leurs caractères biochimiques (GRIMONT et al., 2007).
Caractères antigéniques Les salmonelles possèdent trois antigènes.
Il s’agit des antigènes O, H et Vi, qui sont recherchés à l’aide d’immuns-sérums de lapin.
Les antigènes de paroi (ou antigènes somatiques) sont composés par les antigènes O. Ils sont portés par le Lypo-Poly Saccaride (LPS). Sur les 67 antigènes O dénombrés (GRIMONT et al, 2007) il existe :
• des facteurs O majeurs : les souches qui l’ont en commun font partie d’un même groupe. Par exemple, Salmonella paratyphi et Salmonella typhimurium, possèdent l’antigène O : 4 ;
• des facteurs O accessoires : leur intérêt est mineur étant donné qu’ils sont souvent communs à de nombreux groupes (O : 12 est commun aux groupes O : 2, O : 4, O : 9, O : 9,46 et O : 9, 46,27). Leur présence est liée  à la modification de la structure du LPS par une enzyme, par un bactériophage ou par un plasmide.
Les antigènes flagellaires ou antigènes H sont déterminés par la séquence en acides aminés d’une protéine, la flagelline. Chez les salmonelles (comme chez d’autres entérobactéries), ils ont la particularité d’exister sous deux formes.
Ces deux formes s’expliquent par le phénomène de la variation de phase.
En effet, deux systèmes de synthèse codant pour des flagellines différentes coexistent dans un même sérovar. Salmonella typhimurium possède une première spécificité i correspondant à la phase 1, la seconde 1,2 correspondant à la phase 2. De plus, tous les flagelles d’une même bactérie portent la même spécificité. Ainsi, lors de la mise en culture d’une bactérie de spécificité i, il apparaîtra dans la colonie un certain nombre de bactéries de spécificité 1,2. C’est l’un des moyens d’échappement aux défenses de l’hôte.
Sur la base de ces deux (02) antigènes (O et H) plus de 2500 sérovars ont été caractérisés.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’AVICULTURE DANS LA REGION DE DAKAR
I.1. Présentation de la zone périurbaine de Dakar
I.2. L’élevage avicole dans la région périurbaine de Dakar
I.2.1. Les systèmes d’élevage
I.2.1.1. Système avicole traditionnel
I.2.1.2. Système avicole moderne
I.3. Les contraintes
I.3.1. Contraintes zootechniques et économiques
I.3.2. Contraintes alimentaires
I.3.3. Contraintes sanitaires
CHAPITRE II : LES SALMONELLOSES AVIAIRES ET MOYENS DE LUTTE
II.1. Salmonellose aviaires
II.1.1. Généralités sur les salmonelles
II.1.1.1. Historique et classification
II.1.1.2. Caractères bactériologiques
II.1.1.2.1. Caractères morphologique
II.1.1.2.2. Caractères culturaux
II.1.1.2.3.Caractères biochimiques
II.1.1.2.4. Caractères antigéniques
II.1.2. Salmonelles dans la filière avicole
II.1.3. Salmonelloses dues à la consommation de viande de volailles
II.1.3.1. Fréquence
II.1.3.2. Facteurs de risque
II.2. Moyens de lutte contre les salmonelloses: les antimicrobiens
II.2.1. Classification des antimicrobiens
II.2.1.1. Classification des principaux antibiotiques utilisés en médecine vétérinaire
II.2.1.2. Classification des principaux antibiotiques utilisés en aviculture
II.2.2. Les antibiotiques utilisés contre les salmonelles chez les poulets de chair
II.2.2.1. Principe d’utilisation des antimicrobiens
II.2.2.1.1. Utilisation à titre préventif
II.2.2.1.2. Utilisation en métaphylaxie
II.2.2.1.3. Utilisation à titre curatif
II.2.2.1.4. Utilisation comme additif alimentaire
II.2.2.2. Molécules d’antibiotiques utilisées
II.2.3. Limites de l’utilisation des antimicrobiens : l’antibiorésistance des salmonelles
II.2.3.1. Evolution
II.2.3.2. Conséquences
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. Matériel
I.1.1. Matériel animal
I.1.2. Matériel d’élevage et contrôle de performance
I.1.3. Matériel de laboratoire
I.1.4. Matériel de fabrication des rations alimentaires
I.1.5. Matières premières utilisées pour les rations alimentaires
I.2. Méthodes
I.2.1.Evaluation des effets antimicrobiens du « Bioclean forte »
I.2.2. Evaluation des effets du « Bioclean forte » sur les performances de croissance des poulets
I.2.2.1. Conduite d’élevage
I.2.2.2.Collecte des données
I.2.2.3. Calcul des paramètres zootechniques
I.2.3. Evaluation de la rentabilité économique
I.2.4. Analyse statistique des données
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II.1. Résultats
II.1.1.Paramètres d’ambiance
II.1.2. Effets du « Bioclean forte » sur le contrôle de la salmonellose aviaire
II.1.3. Effet du « Bioclean forte » sur les performances de croissance des poulets de chair
II.1.3.1. Consommation alimentaire
II.1.3.2. Consommation d’eau
II.1.3.3. Evolution pondérale
II.1.3.4. Gain moyen quotidien (GMQ)
II.1.3.5. Indice de consommation
II.1.3.6. Poids carcasse et rendement carcasse
II.1.3.7. Taux de mortalité
II.1.4. Effet du « Bioclean forte » sur la rentabilité économique
II.1.4.1. Estimation du coût de production d’un poulet
II.1.4.2. Estimation de la rentabilité économique
II.2. Discussion
II.2.1. Méthodologie
II.2.2. Effet du « Bioclean forte » sur le contrôle de salmonelloses aviaires
II.2.3. Effet du « Bioclean forte » sur les performances de croissance des poulets de chair
II.2.3.1. Effet sur la consommation alimentaire et hydrique
II.2.3.2. Effet sur l’évolution pondérale
II.2.3.3. Effet sur l’indice de consommation et le rendement carcasse
II.2.3.5. Effets sur le taux de mortalité
II.2.4. Effet du « Bioclean forte » sur la rentabilité économique
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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