L’évolution de la vie de l’homme est inévitable puisque celui-ci ne cesse de s’épanouir intellectuellement que moralement et encore dans bien d’autres domaines suivant son quotidien au niveau de la société. D’ailleurs, si l’on se réfère à la primordialité de son travail ; son enthousiasme dépend de l’importance qu’il accorde vis-à-vis de celui-ci. Toutefois, l’essence même du travail de l’individu réside dans sa relation avec autrui soit en conflit soit en coopération. C’est pourquoi, la présente recherche s’est orientée sur le développement de l’homme au travail. D’où l’intitulé de la recherche : « Les relations interpersonnelles au travail pour une question de mieux-être ».
Actuellement, l’essor économique influence la dynamique des conduites humaines dans les situations de travail. La bureaucratie ainsi que le taylorisme se confondent pour donner naissance à un nouveau mécanisme de travail. Cependant, cette situation met l’homme en position de ressource matérielle servant de bénéfice et d’intérêt pour la valeur économique de l’entité dans laquelle il travaille. Sur ce, on a pris comme cas d’étude le BIMTT Amparibe Antananarivo avec la constatation des réalités d’un centre de formation du CFP Bevalala. L’homme en tant qu’employé est soumis par des principes et des droits qui le régissent en fonction des activités qui lui sont contribuées. Aussi, la mise à disposition de ce mécanisme est nécessaire pour assurer la hiérarchisation des différents membres constitutifs d’une organisation .
HISTORIQUE, DEFINITIONS ET ROLES DU TRAVAIL
HISTORIQUE DU TRAVAIL
Le travail n’a cessé de s’innover et demeure un fait social inexorable dans la vie de l’homme. C’est pourquoi, un bref aperçu de son historique s’avère important. Tout commence par l’homme primitif, qui ; pour répondre à ses besoins vitaux puisait des biens matériels tout faits dans la nature, et cela durant des dizaines et des centaines de milliers d’années. Néanmoins, l’homme progresse au niveau de son apprentissage grâce à la fabrication des biens dont il a besoin à partir des matériaux naturels à sa portée (bois, pierre, feu, etc). Au fur et à mesure, l’homme perfectionne constamment ces instruments de travail ainsi que les procédés de fabrication. Ainsi, il devient plus habile à les manier. C’est par le travail que la main d’œuvre humaine a pu accaparer un tel degré de perfection et d’enthousiasme qu’elle a su créer tant d’œuvres et d’ouvrages de toutes sortes :
l’art, les sciences humaines, les sciences physiques et mathématiques, etc. Ce fait peut être illustré par la sculpture des statues antiques, l’irrigation des déserts et à nos jours vers la production de matériels informatiques. Toutefois, la situation de travail ne se limite pas aux phénomènes cités précédemment.
Le travail en commun évolue donc suivant le contexte spatio-temporel et a permis à l’homme de reconnaître le besoin d’autrui à ses côtés. Autrement dit, l’homme éprouve le besoin de communiquer avec ses collègues de travail. C’est pour cela que l’ambiance au travail a vu le jour grâce aux différents langages appropriés dans la vie sociale. Au cours des contacts humains qui s’impliquaient au niveau du travail, les facultés intellectuelles des hommes se perfectionnaient. Aujourd’hui, l’homme est en train de réaliser ses rêves les plus audacieux.
DEFINITIONS DU TRAVAIL
La définition du travail est ici prise d’un point de vue général au niveau de la société actuelle. Selon Savtchenko.P : « Le travail est l’activité rationnelle de l’homme grâce à laquelle il adapte les objets de la nature à ses besoins. Au cours du travail l’homme dépense son énergie physique, nerveuse et intellectuelle. » A partir de cette définition, on peut dire que le travail de l’homme est exercé grâce à la raison qu’il emploie le démarquant ainsi du travail des animaux. En effet, l’homme use de sa rationalité en transformant les ressources de la nature suivant ses besoins. Cependant, la satisfaction de ces divers besoins inclut des aptitudes physiques, intellectuelles et mentales.
De nos jours, le travail est une sphère d’échange par le biais de l’argent plus précisément par une rémunération soit en salaire mensuel, en commission ou en primes. Pour Pontoizeau.P-A : « Orienté vers des fins mystiques, le travail était un effort légué par une condition définie en ces mots redoutables : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front. » »Cette situation démontre que le travail marque la condition de l’homme ; et que son essence même ne se réalise que par l’accomplissement d’un travail qui mérite récompense. C’est pourquoi tout travail entrepris par l’homme est échangé par un dû de son effort.
LE TRAVAIL ET SON ROLE
Comme l’affirme Savtchenco.P : « Le rôle du travail ne se borne pas à assurer l’existence et le développement de l’homme, il n’est pas que la source de sa force et de sa richesse. En agissant par son travail sur le milieu ambiant, l’homme modifie en même temps sa propre nature, assure le progrès de la culture matérielle et spirituelle, développe ses capacités physiques et intellectuelles. »Autrement dit, l’épanouissement de l’homme ne se limite pas par la garantie des apports en nature subvenant à ses besoins matériels et spirituels. Or, le travail abordé par ce dernier suscite en lui un nouveau comportement de son soi vis-àvis de son travail et envers autrui.
D’un autre côté, le travail permet une humanisation véritable de l’individu. Entre autres, E.Kant dit : « Traite l’humanité, en toi-même comme en autrui toujours comme une fin et jamais simplement comme un moyen. »Ici, l’auteur entend par humanité la dignité qui se confond avec la responsabilité. En effet, le travail permet à l’homme d’obtenir une meilleure qualification de sa personne. Etant donné que l’homme s’identifie par rapport à la réalisation de son travail, il devient maître de ses capacités personnelles vers une possibilité d’amélioration et d’accentuation de son bien-être.
Nous pouvons donc constater que le travail humanise l’homme au cours de son évolution et à travers l’histoire. D’ailleurs, ce dernier a besoin de construire des relations de travail avec les autres. Analysons de plus près la psychodynamique du travail.
LA PSYCHODYNAMIQUE DU TRAVAIL
« Dans le domaine du travail, la psychodynamique cherche à explorer les mécanismes de défense mis en œuvre par les travailleurs pour préserver leur santé mentale. (…)L’aspect dynamique relève ici des interactions entre personnes, situations et contextes mais aussi des liens complexes entre travail, souffrance et plaisir. » A travers cette définition, la psychodynamique du travail considère donc la présence de trois intervenants : le réel, l’ego et l’autrui. Ces trois dimensions forment un triangle de la psychodynamique étant les trois espaces de développement de l’homme au travail. Premièrement, la confrontation au réel se base sur l’accomplissement de l’activité au travail par l’homme. Pour ce faire, cela nécessite une intelligence théorique et une intelligence au travail. Autrement dit, le travail part du principe de la gestion et de la subjectivité. De ce fait, malgré les principes dictés par l’organisation du travail, les travailleurs ne font jamais ce qu’on leur dit de faire et c’est par ce principe qu’ils adaptent leurs propres initiatives tout en terminant leur tâche. Deuxièmement, l’énigme de la subjectivité ou l’ego tient compte du modèle psychanalytique à travers une lutte sur deux fronts : biologique et social. Biologiquement, chaque homme possède en lui un caractère pulsionnel et vital où il apporte sa contribution au sein de son milieu social comme enjeu à sa santé. Socialement, face à une organisation du travail ; l’homme se demande quel est le sort réservé à son intelligence et à sa personnalité face aux systèmes oppressants de son environnement interne qu’externe.
Enfin, voyons l’énigme de la coopération par la présence d’autrui. Au sein de toute entité où l’homme travaille, il lui est exigé de respecter certains principes dictés par autrui. Entre autres, il existe un ajustement mutuel dans l’exécution du travail. C’est pour cette raison que le travail implique un espace de convivialité et des épreuves de vérité. Il faut noter que le travail implique toujours une activité de production de règles.
|
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : MATERIELS ET METHODES
CHAPITRE 1 : MATERIELS
SECTION 1 : REVUE DE LA LITTERATURE
1.1 LA REPRESENTATION DU TRAVAIL
1.1.1 HISTORIQUE, DEFINITIONS ET ROLES DU TRAVAIL
1.1.2 LA PSYCHODYNAMIQUE DU TRAVAIL
1.1.3 LIEN ENTRE SANTE ET BIEN-ETRE AU TRAVAIL
1.2 LE BILAN DE LA PERSONNE AU TRAVAIL
1.2.1 LES RELATIONS TACHE-ACTIVITE
1.2.2 REPRESENTATION TRIPOLAIRE DES RAPPORTS DE L’HOMME AU TRAVAIL
1.2.3 CONSTRUCTION DE L’IDENTITE DANS DES INTERACTIONS SOCIALES
1.3 LA CULTURE ORGANISATIONNELLE AU TRAVAIL
1.3.1 LA CULTURE ET LA REACTION INDIVIDUELLE
1.3.2 LES STRATES DE LA CULTURE ORGANISATIONNELLE
1.3.3 LES SITUATIONS DE COMMUNICATION AU TRAVAIL
SECTION 2 : JUSTIFICATION DU CHOIX DE LA ZONE
2.1 LE CHOIX DE L’ENTREPRISE PAR RAPPORT A LA QUESTION DE RECHERCHE
2.2 LES DONNEES OBTENUES EN RAPPORT AVEC LE VECU QUOTIDIEN DE L’HOMME
SECTION 3 : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
3.1 HISTORIQUE DU BIMTT
3.2 ORGANISATION DU BIMTT
3.3 CONTRIBUTIONS APPORTEES PAR LE BIMTT AU NIVEAU DE LA SITUATION ECONOMIQUE
CHAPITRE 2 : METHODES
SECTION 1 : METHODOLOGIE DE COLLECTE DES DONNEES
1.1 LA COLLECTE DES DONNEES : REPONDRE AUX QUESTIONS QQQCOP
1.1.1 LA TECHNIQUE CENTRALE ET LES SOURCES D’INFORMATIONS A PRIVILEGIER
1.1.2 CONSTITUTION ET GESTION DE LA BASE DES DONNEES
1.2 LE TRAITEMENT DES DONNEES
SECTION 2: METHODOLOGIE D’ANALYSE DES DONNEES
2.1 CHRONOGRAMME DE LA RECHERCHE
2.2 LA METHODE QUALITATIVE APPLIQUEE SUR TERRAIN
SECTION 3 : METHODOLOGIE DE VERIFICATION DES HYPOTHESES
3.1 VERIFICATION BASEE A PARTIR D’UNE ETUDE TRANSDISCIPLINAIRE
3.2 VERIFICATION BASEE SUR LA SITUATION REELLE A ANTANANARIVO
PARTIE II : RESULTATS
CHAPITRE 1 : LES SYSTEMES DE VALEURS REGISSANT LE BIMTT
SECTION 1: LA COMMUNICATION FORMELLE AU TRAVAIL : UN CAS INEVITABLE POUR LA MISE EN PLACE DE DECISION ET DE POUVOIR
1.1 STRUCTURE ET ORGANISATION DU BIMTT : LES VALEURS DE BASE A PRIORISER
1.1.1 LA COLLABORATION DES FORCES VIVES
1.1.2 CONSTITUTION DES MEMBRES FONDATEURS ET PRINCIPES D’ADHESION DES NOUVEAUX MEMBRES
1.1.3 LES DROITS ET DEVOIRS DES MEMBRES CONSTITUTIFS
1.2 LES VALEURS SECONDAIRES DU BIMTT : LES CULTURES ET LES ATTRIBUTIONS A REPARTIR AUPRES DES MEMBRES
1.2.1 LES ATTRIBUTIONS DE L’ASSEMBLEE GENERALE, DU CONSEIL D’ADMINISTRATION, DU COORDINATEUR EXECUTIF
1.2.2 LES RESSOURCES A LA DISPOSITION DU BIMTT ET LES AFFECTATIONS
1.2.3 LES VALEURS PERSONNELLES ETABLIES EN CONFORMITE AUX PRINCIPES ORGANISATIONNELS
SECTION 2 : LES RAPPORTS AU TRAVAIL ASSURANT LA QUALITE DES ACTIVITES
2.1 LES RESEAUX ANALAMANGA MEMBRES DU BIMTT ET LEUR FONCTIONNEMENT
2.1.1 LES ACTIVITES MISES EN COMMUN AUPRES DES MEMBRES DU BIMTT LORS DES DESCENTES A LA CAMPAGNE
2.1.2 LA COMMUNICATION INTERPERSONNELLE DU BIMTT APPLIQUEE ENVERS LES MEMBRES
2.2 LES FORMATIONS OCTROYEES PAR LE BIMTT EN FONCTION DE L’ENVIRONNEMENT MACROECONOMIQUE
2.2.1 LA FORMATION SUIVANT LE CONTEXTE ECONOMIQUE ET SOCIAL
2.2.2 LE MARCHE DE L’EMPLOI ET DE L’EDUCATION A METTRE EN EVIDENCE PAR LE BIMTT SUIVANT LE PROFIL ENVIRONNEMENTAL DE LA REGION D’ANALAMANGA
CHAPITRE 2 : LA FACULTE D’ADAPTATION DU TRAVAILLEUR POUR UNE SATISFACTION AU TRAVAIL
SECTION 1 : LES CONTRAINTES EXISTANTES AU TRAVAIL A L’ENCONTRE DES CONFLITS DE BESOINS OU DE RELATIONS
1.1 LA GESTION D’INFORMATIONS ET DE COMMUNICATION AFFAIBLIE PAR LE MANQUE DE TECHNOLOGIE D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION
1.1.1 LES RESSOURCES MATERIELLES, FINANCIERES ET INFORMATIONNELLES VERS UNE CONFRONTATION AU REEL
1.1.2 LES RELATIONS DU BIMTT A L’ETAT MALAGASY POUR UN DEVELOPPEMENT DURABLE
1.2 LES VALEURS TRADITIONNELLES TOUJOURS EN VOGUE : FONDEMENTS D’UNE MEILLEURE RELATION AU TRAVAIL
1.2.1 LES VALEURS DU « FIHAVANANA »VERS UNE QUESTION D’EPANOUISSEMENT DE L’HOMME
1.2.2 LES COMPETENCES PROFESSIONNELLES EN RAPPORT AVEC LES PRATIQUES ANCESTRALES ET DE LA VIE PAYSANNE
SECTION 2 : LA SATISFACTION AU TRAVAIL VERS LA SANTE DE L’ORGANISATION ET DE L’HOMME
2.1 SOUTIEN, EMPATHIE DU BIMTT POUR LE DEVELOPPEMENT DU GENRE HUMAIN
2.1.1 L’IMAGE DE L’ORGANISME ACCENTUEE PAR UNE APPROCHE PARTICIPATIVE
2.1.2 LA SANTE PHYSIQUE ET MENTALE GRACE A UN MEILLEUR ENVIRONNEMENT
PARTIE III : DISCUSSIONS
CHAPITRE 1 : INTERPRETATION DES RESULTATS
SECTION 1 : EXISTE-T-IL UNE MODIFICATION DE LA QUALITE DU TRAVAIL A CAUSE DE LA COMMUNICATION FORMELLE PRESENTE DE LA CULTURE ORGANISATIONNELLE ?
1.1 MENACE SUR LA QUALITE DU TRAVAIL PAR UNE MAUVAISE GESTION DE LA COMMUNICATION
1.1.1 LE GENRE : UN CAS SOUVENT PRESENT DANS LE MILIEU RURAL
1.1.2 LA COMMUNICATION ET SES DIMENSIONS POUR UNE NOUVELLE APPROCHE DE DEVELOPPEMENT
1.1.3 LES CONTRAINTES D’ACCES A L’INFORMATION : FREIN DE DEVELOPPEMENT
1.2 UNE PUISSANTE INTERACTION APPLIQUEE DANS LE CADRE DU TRAVAIL EN ZONE RURALE
1.2.1 LA PARTICIPATION : UN DES LEVIERS DE CHANGEMENTS POUR LES RESULTATS ET LA DURABILITE DU TRAVAIL
1.2.2 LE RENFORCEMENT DES POUVOIRS : ACQUISITION DES CAPACITES INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES
SECTION 2 : LA SATISFACTION AU TRAVAIL EST-ELLE FAVORISEE PAR LA CAPACITE D’ADAPTATION RELATIONNELLE MALGRE LES CONTRAINTES EXISTANTES ?
2.1 LES REALITES SUR DES COMPORTEMENTS NEGATIFS OU POSITIFS VERS UNE INSATISFACTION AU TRAVAIL ?
2.1.1 LES STEREOTYPES, LES PREJUGES, LES DISCRIMINATIONS : SOURCES DU MALAISE SOCIAL
2.1.2 LA NOTION DE LIEU : UNE INFLUENCE DANS LE DOMAINE DE L’ACTION
2.1.3 LA NOTION DE VALEUR TRADITIONNELLE : UNE CONSTRUCTION DU SOI ET DU BIEN-ETRE AVEC AUTRUI PAR LE « FIHAVANANA »
CHAPITRE 2 : ANALYSE PAR RAPPORT AUX RESULTATS
SECTION 1 : LES EVIDENCES CONSTATEES PARTANT DE LA COMMUNICATION CONVENTIONNELLE
1.1 LA COMMUNICATION PARTICIPATIVE SUIVANT UNE ECHELLE D’ACTION
1.1.1 LE BIEN-ETRE DES TRAVAILLEURS DU BIMTT SUSCITE INDIRECTEMENT L’ENGAGEMENT
1.1.2 LES RESULTATS MIS EN EVIDENCE PAR L’ANALYSE DU CONTEXTE PRESENT AU NIVEAU DES QUALITES DE TRAVAIL
1.2 LES APTITUDES REFLEXIVES A OPTER VERS UN NOUVEL ASPECT DES RAPPORTS ENTRE LE PERSONNEL-MEMBRE ET LE TRAVAIL
1.2.1UN REFLEXE ET UNE NOUVELLE POSTURE VERS UN CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
1.2.2 UNE MODIFICATION DE LA PRATIQUE PROFESSIONNELLE DU BIMTT EN ACTION
SECTION 2 : LA QUESTION DU MIEUX-ETRE PAR UNE CAPACITE D’ADAPTATION PERSONNELLE DE SOI AVEC AUTRUI ?
2.1 LA RECONNAISSANCE DE SOI PAR AUTRUI AU NIVEAU DU TRAVAIL A EXECUTER
2.1.1 LA RELATION AVEC LES COLLEGUES : UN SENTIMENT DE PLENITUDE
2.1.2 LES SOURCES DE MOTIVATION DE L’ACTIVITE DE TRAVAIL
2.2 L’IMPORTANCE D’AVOIR DE SAINES RELATIONS AU TRAVAIL : UNE PRIORITE
2.2.1 LES CONDITIONS DE SUCCES DU PLAN PHYSIQUE QUE MENTAL
2.2.2 LE BILAN DE L’ORGANISATION POUR UN BON DEVELOPPEMENT DES RELATIONS DES INDIVIDUS
CHAPITRE 3 : DIFFICULTES RENCONTREES ET RECOMMANDATIONS
SECTION 1 : LIMITES ET DIFFICULTES RENCONTREES
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS
2.1 INCITER L’EMERGENCE DES ACTEURS ECONOMIQUES VERS UNE ADAPTATION DES RELATIONS AU TRAVAIL
2.1.1 DEVELOPPEMENT DES INITIATIVES PRIVEES ET DU SAVOIR-FAIRE
2.1.2 LES INFLUENCES POSITIVES SUR LES FACTEURS PRESENTS DANS LES RELATIONS DE TRAVAIL DU BIMTT
CONCLUSION GENERALE