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La micro finance
Définition de la micro finance
La plupart du temps, la micro finance consiste à offrir à des familles en situation de précarité économique un crédit faible montant pour les aider à s’engager dans les activités productrices. D’après la définition synthétique et selon plusieurs sources, la micro finance, c’est l’octroi des services financiers (d’épargne et crédit) à des personnes. Le développement d’une activité productive, le plus souvent l’artisanat ou le commerce et ayant pas accès aux institutions financière commercial en raison de leur profil socio- économique (il s’agit d’agent économique en situation de précarité, sans revenu fixe, qui offre aucune des garanti en vigueur dans les institutions bancaires commerciales)
La définition du micro crédit et micro épargne
Micro crédit :
Le micro crédit se définit comme un prêt à court terme permettant la constitution d’un fond de roulement et la réalisation des petits investissements (exemple : achat d’une machine à coudre pour un artisan)
Micro épargne :
Selon la définition de la banque mondiale, il s’agit d’une épargne souvent non liquide ou faible montant nominal (bijoux, animaux et des actifs divers à faible valeur)
L’origine et évolution du micro finance
La tontine
La tontine fut en 1953par un banquier italien LORENZO TONTI. Généralement, la tontine est une association d’épargnants dans laquelle les adhérents se réunissent régulièrement pour mettre en commun leurs cotisations et recevoir à tour de rôle de la somme ainsi rassemblée. En effet, les tontines se représentent sous deux formes : en forme simple et en forme complexe. La forme simple de la tontine repose sur le principe réciproque chacun cotise à la date régulière tous les jours du marché ou toutes esl semaines sinon tous les mois et reçoit à tour de rôle l’ensemble des cotisations.
Dans le tontine complexe d’autres fonctions se greffent comme des caisses spécifiques pour les assurances, décès, maladies, raisf de scolarités. Les motivations sur lesquelles se basent les tontines peuvent être divers ordres à part la motivation économique essentielle qui est de disposer en une fois d’une grosse d’argent, les motivations sociales sont loin d’être négligeable. En effet, se réunit entre personne de confiance constitue un facteur important dans la dynamique de la tontine.
Les tontines rencontrent toutefois des limites du fait de leur manque de flexibilité. Les participants ne peuvent pas toujours recevoir un crédit au moment où ils ont besoin ainsi que le montant qui l eur est nécessaire.
Le passage de l’informel au formel
La finance informelle appelle aussi finance autonome car elle se développe en dehors d’intervention extérieur avec des règles et des formes précises existe depuis longtemps mais sa connaissance se limitait souvent à quelque cliches sur le rôle néfaste des usuriers. On découvre progressivement se diversité à travers les tontines garde monnaies, prêts familiau x, banquiers ambulants, caisse de solidaire. L’existence de la forme informelle nous montre qu’il existe bien une demande réelle de service de la micro finance. Autant, cette demande est importante autant les risques et les limites relatives à la finance autonome nécessitent le formalisation du système financier. Autrement dit, il faut créer un intermédiaire financier formel.
Les raisons qui ont conduit à la création d’institutions de la micro finance formelles sont de trois types :
Aider une institution de micro finance à résoudre les problèmes de financement. Pour ce faire, la formalisation est nécessaire car elle permet à la fois l’accès à l’épargne et aux ressources commerciales, dans un cadre mieux sécurisé.
Cette formalisation permet également d’accroitre la capacité d’une institution d’entendre les services financiers à uns groupes cible déterminé.
La dernière raison de la formalisation, c’est que la création d’une intermédiaire formelle contribue à limiter les risques inhérents au financement autonome et à éviter les risques en rendant les opérations conformes à des réglementations strictes en matière de transaction financière.
Les modèles GRAMEEN BANK et BANCOSOL
La tendance actuelle à la transformation d’ONG financière autonome en institution de micro finance formelle a eu des répercussions plutôt positives dans de nombreux pays le modèle « GRAMEEN BANK » en est une illustration.
Ce modèle montre qu’il est possible de faire du crédit qui rembourse bien (taux de remboursement ou de recouvrement de l’ordre de 98%) à des paysans pauvres sans terre, majoritairement des femmes (94% de la clientèle). Mais ceci nécessite des techniques financières spécifiques prêtes à faible montant de remboursement hebdomadairement avec une épargne obligatoire et des formes encadrement de la population. Ce système nécessite une motivation élevée de la part des personnels, des réunions fréquentes de tous les protagonistes et des formations pour les bénéficiaires. Une longue expérimentation (1976-1983) de ce système conduisait sur un statut bancaire MUHAMMAD YUNS. Cette banque accorde de petits crédits aux démunis aux paysans sans terre et aux femmes.
Les institutions financières et la croissance économiques : cas banques et la micro finance une clientèle considérable 2,4 MILLIONS en 1998. Ce modèle est souvent reproduit dans de nombreux pays mais il est nécessaire à chaque fois une adaptation importante au contexte local. Contrairement à la GRAMEEN BANK qui comme principale cible la population en milieu rural la BANCOSOL bolivienne et colombienne s’intéresse surtout à une clientèle urbaine dont les activités sont de petits tailles et touchent l’auto emploi et les PME. Cette population constituait une demande importante de services de micro finance mais était non bancaire auparavant. L’existence et l’importance de cette demande sont à l’origine de la création de la BANCOSOL ainsi que des modèles similaires.
Les rôles de la micro finance dans l’économie
La micro finance joue un rôle intermédiaire entre ceux qui ont trop de disponibilités (les déposants) « micro épargne et ceux qui n’en ont pas assez (les emprunteurs) « microcrédit ».
Le micro finances adoptent des différents stratégies adéquate pour investir les activités des agents économiques : c’est-à-dire, ils utilisent des emprunteurs préteurs intermédiaire qui font circuler les fonds des préteurs finaux jusqu’aux emprunts finaux.
La notion intermédiaire financière de la micro finance concerne donc tous les canaux de financement et contribue de manière à l’équation d’équilibre de l’offre et de la demande de financement :
D’abord, la mobilisation de l’épargne par le biais de collecte et la création monétaire par l’achat des titres ou l’octroi du crédit. Cette fonction d’intermédiaire financiers consiste aussi de mettre en contact des agents non financiers ayant un besoin de financement. Si les marchés financiers permettent d’assurer cette confrontation, leur imperfection explique l’existence de l’intermédiaire financière.
Ensuite, les caractéristiques des marchés financières ne permettent pas d’en faire des marchés « parfaits » aux sens de la théorie économique. Pour cela, les marchés ne permettront pas de satisfaire simultanément les caractéristiques des besoins de financement ce qui conduit le micro finance à transformer les échéances.
Enfin, les micros finance améliorent la condition de la vie des micros entrepreneurs, c’est-à-dire la micro finance permet aux micros entrepreneurs d’investir dans les projets productif, pour cela, il est généralement réservé aux micros entrepreneurs. Toutefois, dans de nombreux programmes, pour être considéré comme un client acceptable, un micro entrepreneur doit déjà disposer de son activité et avoir fait la preuve qu’il pouvait d’assumer. En effet, la micro finance se distingue des banques classique par une double fonction d’intermédiaire sociales et financière c’est-à-dire les institutions de micro finance se servent d’intermédiaire sociaux, autrement dit, elles aident ceux qui n’ont pas accès aux crédits et aux services d’épargne. L’intermédiaire sociale exige donc la constitution d’un groupe capable de fournir des informations sur et/ou leurs membres ce qui permet aux organisations financière affiliées ce groupe de développer une relation confidentielle de prêt.
Les enjeux et les théories sur la croissance économique
Les théories économique est un concept polysémique, on tend souvent à l’opposée au développement selon Kuznets : « la croissance est essentiellement un phénomène quantitatif. A cette effet, on peut définir la croissance économique d’une notion comme un accroissement durable du produit par tête ». Par contre, François Perroux af firme que « la croissance est phénomène irrégulier qui s’accompagne de changementdans les structures ». Pour Schumpeter, lui met l’accent sur les effets de la croissance lorsqu’il la définit comme « un processus de destruction créatrice qui révolutionne incessamment des éléments de l’intérieur la structure économique en détruisant continuellement des éléments vielles et en créant continuellement des éléments neufs ». Généralement, la croissance économique se définit comme un accroissement sur une longue période des quantités de biens et services produit dans un pays. Cette quantité de bien et service est mesurée chaque année et l’indicateur qu’on utilise est le PIB définit par la somme des valeurs ajoutées. Avec la croissance, on mesure ce que les hommes ont réussi à produire au cours d’une année.
Les variables explicatives5
La monnaie
Chacun d’entre nous utilise la monnaie mais, si son utilisation est aisée, la connaissance que nous avons des mécanismes monétaires souvent plus délicate. La monnaie facilite la transaction c’est-à-dire celle-ci est un instrument d’échange, elle est un réserve de valeur ; on dit que la monnaie est instrument de réserve. Le vendeur n’est pas obligé d’acheter une autre chose, il peut attendre pour utiliser les fonds que lui-même à ach eteur, il peu épargner.
Le fondement de la valeur de la monnaie
La monnaie est un instrument pratique d’échange, de valeur ou de réserve, mais aussi on peut se poser la question de savoir sur quoi repose sa valeur. Si la monnaie-marchandise (thé, café, etc.…) et la monnaie-métal (or, argent)
tiraient leur valeur d’utilisation comme marchandise, il n’est pas de même de la monnaie actuelle. Les billets ont tout d’abord assis leur valeur sur la confiance que l’on pouvait les transformer aisément en métal en demandant l’échange : c’est ce qu’on a appelé la convertibilité de la monnaie.
La monnaie papier est appelé « fiduciaire » du mot latin « fides » qui signifie la confiance. Avec l’évolution des échanges, le billet fut imposé dans les échanges et acquit de ce fait le cours légal, puis l’État imposait le cours forcé, la convertibilité en métal devenant impossible. En plus, les billets ne suffisent pas à assurer convenablement les échanges est apparue la monnaie scripturale, monnaie représente par des jeux d’écritures : débit- crédit entre deux comptes. Cette monnaie scripturale a d’abord été véhiculée par le virement et le chèque : elle est aussi utilisée maintenant au moyen des cartes de paiement voire des cartes électronique avec des Operations en termes réel. La valeur de la monnaie ne repose plus de nos jours sur sa valeur marchande mais sur la confiance que ses utilisateurs accordent à la puissance publique.
Les formes de la monnaie
Comme nous venant de le voir, la monnaie a évoluée au cours des siècles notamment dans ses formes. Actuellement, la monnaie existe sous trois formes de la monnaie :
La monnaie fiduciaire : il s’agit des billets de banque et des pièces, ces dernières étant appelées : monnaie divisionnaire
La monnaie scripturale : on définit par ces mots la monnaie circulant par jeux d’écritures entre comptes, le support pouvant être le chèque, le virement ou une carte paiement. La monnaie scripturale peut se transformer à tout moment en pièces ou en billets de banque (cas d’un retrait au guichet d’une banque) et réciproquement (cas du dépôt de la recette d’un commerçant par exemple).
La monnaie électronique : Le principe de base du paiement électronique est simple. L’acteur dispose d’une carte plastique (de type courant carte Bleue, Eurocard, carte verte,…) qui c ontient des informations (identification bancaire) inscrites clair sur la carte ou bien contenues dans une petite mémoire incorporée à celle-ci.
La masse monétaire
La masse monétaire c’est l’ensemble des disponibilités monétaire et quasi-monétaire.
La monnaie au sens strict, M1
M1 qui regroupe les moyens de paiements. Elle comprend les billets et pièces et les dépôts non rémunérés gérés par les établissements de crédit, les centres de chèques postaux et le trésor : billets monnaies divisionnaires et dépôts è vue en francs détenues par les agents non financière résidents.
Les billets et pièces : il s’agit de monnaie fiduciaire ou manuelle
Les dépôts à vue non rémunérés : on retrouve les épôtsd sur compte-chèques dans l’établissement de crédit, à la banquecentrale, auprès des chèques postaux et chez les comptables publics.
La monnaie, M2
M2 comprend M1 plus des placements en unité monétaire rémunérée auprès de l’établissement des crédits bancaires c’est-à-dire elle regroupe avec M1, les placements à vue en francs rémunérés gérés par l’établissement de crédit et le trésor et non susceptible d‘être mobilisés par émisions de chèque.
La monnaie, M3
M3 comprend les liquidités monétaire qui regroupent M1 plus M2 plus le placement liquides à court terme existant en dehors des banques.
La monnaie, M4
C’est des billets de trésoreries émis par les entreprises, bons de trésors négociables.
La création monétaire
Les contreparties de la masse monétaire
Les sources (ou contreparties) de la masse monétaire sont au nombre de trois. La première n’est autre que la composante extérieure, c’est-à-dire la variation des avoirs en monnaie étrangère ou les devises pour M2, à quoi s’ajoute celle de la position des banques d’un pays vis-à-vis de l’extérieur pour M2. Disons, pour simplifier que tout achat de la monnaie étrangère ou des devises par la banque centrale tend accroitre la quantité de monnaie tandis que les ventes exercent un effet restrictif sur celle-ci.
La seconde contrepartie est représentée par le crédit au trésor c’est la partie du déficit public qui n’est pas financée par des ressources d’épargne. Enfin, conçurent à la création de monnaie tous les créditsfait par le système bancaire à l’économie (entreprise, particuliers) déduction faite de la fraction de ces crédits financé par de l’épargne : émissions nettes d’obligations par des banques, accroissement des fonds propres.
La banque centrale et la création monétaire
D’une façon générale, les banques centrales ne créent plus beaucoup de monnaie : cela tient au fait qu’elles n’accordent pas directement des crédits aux entreprises et aux particuliers et qu’une grande part des recours bancaire accordés à l’État est initialement consentie par les banques commerciales. C’est pourquoi d’ailleurs pour l’appellation « banque centrale » c’est-à-dire « banque des banques » tend de plus en plus à l’emporter sur celle des institutions d’émissions.
Il n’en reste pas moins que la banque centrale deux sortes de monnaies indispensables au processus de création monétaire :
Il s’agit, d’une part, des billets de banque qu’ele remet aux banques qui, à leur tour, les délivrent aux entreprises et aux particuliers, sans d’ailleurs qu’il y ait à proprement parler, de création monétaire, puis que ce sont des avoirs en compte des banques sur les livres de la banque centrale, puis des particulières ou des entreprises sur les livres des banques, qui sont transformés en billets.
D’autre part, de la monnaie scripturale constitué par les soldes créditeurs des banques et des autres intermédiaires financiers sur les livres de la banque centrale ; contrairement aux composante de la masse monétaire, cette monnaie sert qu’aux règlements interbancaire et n’intervient pas dans le circuit normal des échanges ; cependant, son aptitude à se transformer en tous les autres catégories de la monnaie entres elles. Les avances directes au trésor normalement la voie la plus importante de la création monétaire effectué en propre par la banque centrale ; en effet, la fluctuation de besoins de financement du trésor déterminent encours d’années d’importantes variations qui entrainent autant de création de création puis de destruction monétaire. Le législateur intervenu pour fixer les limites et les modalités de ces avances.
La consommation
Économiquement, la consommation et l’investissementsont des éléments de la demande globale c’est-à-dire pour compléter les analyses de la demande global, il faut tenir compte la consommation. Mais qu’est-ce que la consommation ?
La consommation est un acte de destruction d’un bien ou d’un service dans le but de satisfaire nos besoins. Elle peut être publi que ou privée mais on s’intéresse à la consommation privée.
La fonction de la consommation keynésienne
Keynes explique la consommation des ménages à partir du revenu disponible Ydappelle aussi revenu national brut. Et dans son explication, il parle d’une loi dite loi psychologie fondamentale qui s’annonce comme suit : « en moyenne et la plupart du temps, les hommes tendent à accroitre leur consommation à mesure que le revenu croit, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu. Alors d’après cette loi, la consommation est en relation directe avec le revenu disponible mais non proportionnelle avec le niveau de ce revenu.
En posant Ct la consommation des ménages de la période t, Ct=f(Yt-1) avec 0 1.
Et Keynes fait une remarque qu’on doit avoir toujours une consommation minimale même si le revenu est nul ; c’est la conso mmation incompressible. Ainsi la fonction de consommation keynésienne s’écrit paramètre positif inférieur à 1. Nous pouvons tirer quelques caractéristiques de cette relation :
La consommation des ménages comporte deux composantes : une composante autonome (C0) et une composante induite (cYd).
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Table des matières
INTRODUCTION
Partie I : APPROCHE THEORIQUE
Chapitre I : Les institutions financière
Section1: Généralités sur les banques
§1- Définition
§2- Historique de l’activité bancaire
§3- Type de banques
Section 2 : La micro finance
§1 Définition de la micro finance
§2 L’origine et évolution du micro finance
§2.1 La tontine
§2.2 Le passage de l’informel au formel
§2.3 Les modèles GRAMEEN BANK et BANCOSOL
§3 Les rôles de la micro finance dans l’économie
Chapitre II : Les enjeux et les théories sur la croissance économique
Section1. Les variables explicatives
§1 La monnaie
§1.1Le fondement de la valeur de la monnaie
§1.2 Les formes de la monnaie
§2 La masse monétaire
§2.1 La monnaie au sens strict, M1
§2.2 La monnaie, M2
§2.3 La monnaie, M3
§2.4 La monnaie, M4
§3 La création monétaire
§3.1 Les contreparties de la masse monétaire
§3.2La banque centrale et la création monétaire
§3 La consommation
§3.1 La fonction de la consommation keynésienne
§4 Épargne
§5Investissement
§5.1 La fonction de l’investissement
§5.2 Le déterminant de l’investissement selon Keynes
Section 2 : Les différentes contraintes de la croissance économique
§1 Asymétrie d’information
§2 Chômage
§2.1 Les différentes formes de chômage
§3 Inflation
§3.1 Définition
§4 Le secteur informel
Section 3 : Les théories sur la croissance économique
§1 Les étapes de la croissance de Rostow
§1.1 La société traditionnelle
§1.2 Les conditions préalables au démarrage
§1.3 Le décollage ou démarrage
§1.4 La marche vers la maturité
§1.5 L’ère de la consommation de masse
§2 Le modèle de Solow, Harrods-Domar
§2.1 Le modèle de Solow
§2.2 Le modèle de Harrods-Domar
§3 Les nouvelles théories de la croissance
§3.1 Le modèle de Römer, Lucas, Shell
Chapitre III: Les relations entre les institutions financières et la croissance économique
Section 1 : Le model de ROBERT Barro
Section 2 : La théorie de GREGORIO et GUIDOTTI
Section3 : La politique économique
§1 Politique monétaire
§1.1 La politique monétaire expansive
§1.2 La politique monétaire restrictive
§2 La politique économique conjoncturelle de Mundell et Fleming
§2.1 La balance des paiements
§2.2 La politique conjoncturelle dans le modèle IS-LM-BP
PARTIE II : APPROCHE ANALYTIQUE
Chapitre I : Les institutions financières
Section 1 : secteur bancaire
§1 : L’analyse du système monétaire au niveau de la banque centrale
§1.1 La contre parties de la masse monétaire
§1.2 les différents dépôts auprès de la banque centrale par catégorie de déposants
§1.3 Les ressources du système monétaire
§.1.4 Les créances de la banque centrale
§1.5 Le rationnement du crédit auprès de la banque centrale
§2 : L’analyse de crédit et l’offre des banques commerciales
§2.1 Les produits de la banque B.O.A
§2.2 Les produits essentiels de la banque BNI- CL de Madagascar
§2.3 L’objectif de secteur bancaire
Section 2 : la micro finance
§1 Historique de la micro finance à Madagascar
§2 Typologie selon le statut social
§2. 1Les Institutions Financières Mutualistes
§2.2 Institutions Financières non Mutualistes
§3 Les offres des micros finances : cas CECAM et OTIV
§3.1 Les produits de CECAM
§4 Les types de crédit offerts par l’OTIV
§5 Principales activités financiers par la micro finance
Chapitre II : La situation de la croissance économique à Madagascar
Section 1 : Les composantes de la croissance économique
§1 Niveau de la consommation à Madagascar
§2 L’environnement de l’investissement à Madagascar
§2.1 L’investissement directe de l’étranger
§2.2 L’investissement publics et l’investissement privé
§3 Epargne et emprunt
§3.1 L’épargne
§3.2 L’Emprunt
§4 Le niveau de l’importation et de l’exportation à Madagascar
§4.1 l’exportation
§ 4.2 Importation
Section 2: La situation des 3 secteurs à Madagascar
§1 Secteur primaire
§2 Secteur secondaire
§3 Secteur tertiaire
Section 3 : Les contraintes de la croissance économique
§1 Le taux d’inflation à Madagascar
§2 Le niveau d’emploi et chômage à Madagascar
Chapitre III : les relations entre la croissance économiques et les institutions financières
Section1 : l’impact de la politique de l’offre des institutions financières sur les acteurs économiques
§1 les différentes façons d’utilisation du crédit auprès des entreprises
§2 Les problèmes entre les stratégies des banques et les entreprises malgaches
§3 Les problèmes de l’artisan et l’agriculteur face à la stratégie des banques commerciale
§4 Etude des impacts des stratégies de la micro finance pour les acteurs économiques
§4.1 Impact sur le niveau et les conditions de vie des ménages des promoteurs
§4.2 Impact au niveau de l’activité
§5 Destination du crédit
§6 Le système monétaire de la Banque Centrale
Chapitre IV : Recommandation
Section 1 : Suggestion sur les mécanismes entre la croissance et les stratégies des institutions financières
Section 2 : Rôle de l’Etat
CONCLUSION
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