Les qualités requises d’un bon système d’information du Contrôle de Gestion

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Problématique et hypothèse de trava il

Cette section est consacrée à l’énoncé de la problématique et la formulation d’hypothèses de l’ouvrage.

Enoncé de la problématiqu e

Ainsi, notre problématique qui se définit comme « neu activité qui consiste à poser les problèmes d’une manière rationnelle et systémique. »
Vu l’importance que le système Reporting dispose au sein de l’Aqualma, et les rôles qu’il y joue, nous nous posons la question suivante : le système Reporting du Contrôle de Gestion d’ AQUALMA est-il réellement efficace pour le contrôle de l’activité de l’entreprise ?

Formulation d’hypothèse

D’après la réalité que nous avons vue dans la société Aqualma (au sein du département contrôle de gestion), nous avançons l’h ypothèse suivante : le système reporting est, en effet, réellement efficace pour le contrôle de l’activité.
Pour pouvoir confirmer ou infirmer cette hypothèse, nous allons analyser le système reporting en demontrant l’implication des outils mis en place, dans la prise de décision.

Méthodes de recherche et techniques derecherche

Dans cette section nous présentons la méthodologiede recherche et la technique de recherche.

Methodes de recherche

Nous verrons dans cette partie méthodologique, les démarches que nous avons adoptées en vue de répondre à la problématique et surtout de confirmer ou infirmer les deux hypothèses que nous avions avancées précédemment. Cette méthologied peut être organisée de la façon suivante :
· Nous avons procédé à la lecture des ouvrages et documents qui sont de près ou de loin, liés à la question de départ. Après nous avons élaboré une serie de question adressée aux quelques responsables pour opérer lesentretiens exploratoires.
· Et au terme de ces entretiens exploratoires et ces lectures instructives, nous sommes arrivés à la problématique de l’ouvrage.
· Les informations que nous avons obtenues à partir d es étapes antérieures ont fait l’objet d’analyse par la méthode SWOT (Strenghs, Weaknesses, Opportunities,
Threats). Cela nous a permis de tirer des conclusions et des propositions des solutions spécifiques aux divers problèmes et défaillances constatées. 7

Techniques de recherche

Notons que les techniques ne doivent pas être confondues avec la méthode parcequ’elles ne sont au fond que des moyens utilisés pour collecterdes données.
Il existe plusieurs techniques pour recueillir les données dont on a besoin pour mener une étude.
Pour réaliser notre analyse, la collecte des données a été effectuée par les techniques suivantes :
· l’observation extensive par l’élaboration d’un questionnaire ouvert qui a été soumis aux responsables contrôle de gestion de Majunga.
· l’observation ou la technique documentaire qui nous a permis d’élaborer la conceptualisation et la théorisation de notre travail.
Afin de mieux comprendre le rouage du système d’information d’Aqualma, il y a lieu de cerner l’entreprise dans tous ses atours.

PRESENTATION DE LA SOCIETE AQUALMA

Dans ce chapitre, nous allons faire la connaissance de l’entreprise. D’abord sur son identité, sur sa structure, sur le contrôle de Gestion et enf in sur son environnement externe.

Identité de la société AQUALMA

Dans cette section, nous allons exposer l’historique, l’identité et enfin les objectifs de la société AQUALMA

Historique

AQUALMA est la première en date et la plus importante entreprise d’aquaculture industrielle de Madagascar. L’intérêt du groupe UNIMA pour cetteactivité s’est manifesté dès 1988 lors de la création de la ferme pilote d’élevage de crevette de Nosy Be cofinancé par le PND/FAO, le gouvernement Malgache et PNB. Et dont PNB a étéle réalisateur et le gestionnaire.
· En 1992 : – Construction des infrastructures de base dans la baie de la Mahajamba telles : la base vie du personnel, les ports et les aéroports, la station de pompage, la station d’énergie
· En parallèle, une écloserie pour la production despost-larves a été construites à Nosy Be (capacité de production : 100 millions post larves par an).
· En 1993 : Construction 220 hectares de bassins de grossissement à Mahajamba Construction de l’usine de conditionnement à Besakoa
· En 1994 : Construction 220 hectares de bassins de grossissement supplémentaires à Mahajamba.
· En 1995 : Extension de la surface de production de la ferme de Mahajamba à 680 hectares de bassins de grossissement (construction de 240 hectares supplémentaires)
Augmentation de la capacité de l’écloserie à 200 millions de post-larves par an. 9
Amélioration des équipements de l’usine de conditionnement.
· En 1996 : La montée en puissance de la ferme de Mahajamba a nécessité l’installation d’équipements complémentaires tels que :
La construction de la seconde station de pompage et installation de deux nouvelles pompes
Acquisition de nouveaux équipements pour l’usine (machine à glace, tunnel de congélation groupe électrogène…..)
· En 1999 : Aqualma a investi dans la construction d’une ferme de géniteurs, basée à Moramba.
· En 2000/2001 : Aqualma a construit la seconde ferme à Besalampy avec 285 hectares de bassins de grossissement.
· En 2003 : Construction d’une seconde unité d’élevag larvaire à Ambatomifoko d’une capacité de 200 millionsde post-larves par an.
· En 2004 : Extension de la ferme de Besalampy à 435 hectares de bassins de grossissement.
· Construction de l’usine de traitement à Besalampy d ’une capacité de 13 tonnes 7 par jour. Les produits de la récolte étaient auparavanttraités à bord d’un navire usine (AQUAMEN IV) spécialement aménagé à cet effet, qui n’autorisait que 5-6 tonnes/jour de produits.

Identité de l’AQUALMA

Présentation physique

La société «Aquaculture de la Mahajamba » dénommée «AQUALMA » est une filiale du groupe UNIMA. Elle est spécialisée dans l’élevage,le traitement et l’exportation des produits de la mer. Son siège social se trouve à Antananarivo Lot VJ2 AD-Ambohimiandro Madagascar.
Elle est repartie sur plusieurs sites :
· L’écloserie basée à Nosy Be, assurait auparavant la maturation des géniteurs, la ponte-éclosion et l’élevage larvaire. Par la suite,cette unité était simplifiée et se limitait à la production des post-larves à partir d es nauplii en provenance de l’unité de Moramba (les phases de maturation et de ponte-éclosion étant assurées depuis 1999 par la ferme-géniteur de Moramba). Mais aujourd’hui, cette unité est mise en veilleuse.
· La ferme de grossissement est implantée dans la baie de la Mahajamba avec une surface de 700 hectares de bassins. La ferme a une capacité annuelle de production de 3.000 tonnes de crevettes de taille moyenne de 25g.
· L’usine de conditionnement est construite à côté du village de Besakoa dans la baie de la Mahajamba et a une capacité de traitemen de 18 tonnes de crevettes par jour. L’usine est certifiée ISO 9001 vient d’obtenir récemment la certification IFS niveau supérieur.
· Pour renforcer et sécuriser sa capacité de production en Post-Larves, Aqualma a créée sa propre unité d’élevage de géniteurs et deproduction de Nauplii dans la baie de Moramba. Cette ferme de géniteur est en activité depuis 1999 avec une capacité de production d’environ 1 milliard de nauplii par an.
· La ferme de Besalampy avec une surface de 435 hectares de bassins de grossissement et son usine de conditionnement avec une capacité de traitement de 13 tonnes de crevettes par jour. Cette ferme est mise en veilleuse depuis le mois de novembre 2008.
· Une seconde unité de production larvaire (écloserie) a été créée en 2003 à Ambotomifoko.
· Le bureau administratif et logistique qui emploie 100 personnes est basé à Majunga. Ce bureau se localise à l’immeuble SCIM-4, rue Gallieni BP 93 Mahajanga 401.

Le contrôle de gestion des unités décentralisées.

Les principales responsabilités de la fonction de controleurs de gestion tournent autour de deux axes:

· Elaboration des outils de pilotage:

Elaboration des tableaux de bord d’exploitation à 3 niveaux :- connaissance et suivi des prix de revient, – contrôle budgétaire par centre de décision, – suivi du programme de compétitivité du site.

Participation à l’élaboration des plans d’actions pour la baisse des coûts et au chiffrage de leurs impacts.

Elaboration et suivi des projets de réduction des couts avec les responsables opérationnels

Participer à la mise à jour périodique de la projec tion des résultats annuels du site Participation et soutien à l’élaboration des budgets annuels du site.

· Gestion des immobilisations:

S’assurer du respect de la procédure de gestion des investissements.

Elaboration avec les cadres concernés du fichier électronique de lancement des investissements (FPB, FDI, FSAO, FCC) en conformitéavec la procédure, jusqu’à la clôture du dossier.

Elaborer le tableau de suivi budgétaire des investissements.

S’assurer de la bonne gestion du fichier de suivi des immobilisations, de la validation des mises au rebut, et faire les rapprochements nécessaires sur le terrain.

Participer aux inventaires du patrimoine.

Contrôle de gestion système d’information et projet

Les principales missions de la fonction des contrôl eurs de gestion système d’information sont les suivantes:

· Mettre en place et suivre le système d’information de gestion (pas de contrôle de gestion sans outils de gestion et de prévisions fiables), mettre au point les procédures de collecte d’informations comprises par tous et homogènes (nécessitant souvent une étroite collaboration avec les services informatiques) afin que ces informations soient disponibles au moment voulu et que les méthodes soient cohérentes ;

· S’assurer de la pertinence de la qualité et de l’efficacité des systèmes d’information et de suivi des performances et contribues à leur développement en veillant à ce q’ils soient les plus en plus orientés « Décision » ;

· Elaborer les projections financières et procéder aux simulations économiques ;

· Participer à l’élaboration des prévisions à court et moyen termes notamment le chiffrage au programme en ligne de la saison ou du mois et procéde aux analyses nécessaires ;

· S’assurer que toutes les fonctions économiques, financières et de suivi des performances sont regies par des procédures, efficace et régulièrement mise à jour ;

Contrôle de gestion Central

Les principales fonctions de controleurs de gestion tournent autour de deux axes:

· Travaux de clôture mensuelle des comptes :

Participer activement aux travaux mensuels de clôtu re des comptes

Responsable de la gestion des tableaux de bord, états financiers, Reporting…. du département CDG

· Synthèse et aide à la décision :

Informer la Direction du site de l’évolution de l’activité et des mesures correctives et préventives envisagées.

Faire la synthèse de l’analyse des écarts budgétaires

Présenter un rapport d’activité mensuelle au Directeur de site et au CDCG Editer le Booklet mensuel des TB et résultats financiers du site

Participer aux gestions de crise pour le chiffrage des impacts nécessaires à une prise de Décision

Environnement externe

L’environnement externe est constitué par l’ensemble des acteurs avec qui l’entreprise est ou sera en relation immédiate dans sa gestion quotidienne.

Difficultés de la filière crevettière à Madagascar

L’exploitation de crevettes représente 10% des exportations de Madagascar dont 50% sont assurés par UNIMA. Elle occupe la première place enterme de rentrée de devises. Actuellement, la filière crevettière évolue dans uncontexte difficile de dilemme économique. L’incessante hausse de prix du pétrole sur le marché mondial remet en cause l’avenir de la filière crevettière à Madagascar. Le contexte mondial veut que le prix du pétrole continue sur cette pente ascendante. Au début de la campagne 2008, le prix de la tonne métrique de carburant hors taxe était de 624 dollars. Au débutde la campagne 2009, il est monté à 955 dollars. C’est une hausse de 53% en une année seulement. En parallèle, l’effondrement du prix de vente ne fait qu’aggraver la situation.

L’offre mondiale de crevettes d’aquaculture a explo sé à partir des années 2000. Cela entraîne mécaniquement le prix vers le bas. Depuis ces dernières années, on compte une baisse de 30% des prix à l’international. La situation pourra all er encore en empirant dans les années à venir. En effet, pour cette année 2009, la Chine prévoit ed produire 1 million de tonnes de crevettes d’élevage. Ce qui est énorme et ne manquera sûrement pas d’influence sur les prix au niveau des marchés internationaux. Un autre facteur contribue aussi à la dégradation de la filière. A l’heure actuelle, la farine de poissons coûte de plus en plus cher et sa production menace les espèces pélagiques. 1

Environnement Juridique

Le groupement des Aquaculteurs et des Pécheurs de crevettes à Madagascar (GAPCM) est un organisme qui regroupe tous les intervenants dans le monde des crevettes dans l’Ile. Il a pour objectif de respecter l’environnement et surtout de ne pas bouleverser l’écosystème.

Ainsi, il incite les producteurs à pratiquer l’élevage des crevettes dans les meilleures conditions, autrement dit, 5 à 10 crevettes par m² : ce qui n’est pas le cas des autres pays où se pratique un élevage intensif qui commence à 50 crevettes par m² voire plus.

Certains problèmes risquent de limiter voire d’empêcher le développement de cette filière. L’augmentation de la pression fiscale en est un. En effet, elle atteint actuellement plus de 15% soit 3 fois plus que celle des autres producteurs étrangers.

Le Groupe Unima et son environnement

Le groupe UNIMA œuvre dans le domaine de la crevett iculture depuis plus de 30 ans. On peut dire qu’il est le pionnier même de la crevett à Madagascar.

En effet, il représente 2/3 des crevettes exportéespar an : sur 7 500 tonnes de crevettes exportées annuellement, la part de l’Aquaculture est à peu près de 5 000 tonnes pour une moyenne de 12 tonnes par jour.

· Fournisseurs

Au départ, Aqualma a importé les aliments de ses crevettes, mais cette charge est trop lourde pour l’entreprise. AQUALMA a opté pour une stratégie d’intégration vertical, c’est pourquoi elle a bâtit une usine d’aliment de crevettes à la Réunion : NUTRIMA pour répondre à son er besoin (aliment : 1 poste de charges de production). De plus, hormis les hydrocarbures et les petits consommables, AQUALMA fait appel à des fourn isseurs étrangers afin de respecter les différentes normes internationales.

· Marché

Les produits UNIMA sont sur un marché de niches, unmarché haut de gamme.

Tout fois, avec l’augmentation de la production des autres pays et celle de Madagascar, la disponibilité globale de larges stocks de crevettesà bas prix, la fragilisation de l’économie des pays où se trouvent ses marchés, rend ce positionnement fragile à maintenir. Nous savons que « la confiance » du consommateur est un élément essentiel du marché. Mais les crevettes de Madagascar ont toujours véhiculées une image de très bonne qualité et AQUALMA peut s’appuyer sur cette notoriété pour vendre ses produits.

· Clients

Toujours dans cette optique d’intégration verticale UNIMA Europe, filiale distribution du groupe, se charge de l’enchaînement et la mise à la disposition des produits sur le marché européen. Les réseaux de distribution actuels sontla Grande et Moyen Surface et Restauration Hors Domicile dont les principaux clients sont :

· Concurrents :

Pour faire face au changement apporté par la concurence de plus en plus rude des producteurs de crevette d’Asie et d’AMERIQUE LATINE , l’entreprise devra :

Réduire les couts de production pour être compétitif au niveau des prix

Augmenter le volume de production pour développer ses parts de marché. Réduire les charges fixes et optimiser les investissements.

Trouver la Valeur Ajoutée et se différencier paral flexibilité du produit et l’innovation Améliorer les performances et d’optimiser les ressources (recherche de synergie).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITE SUR LE SYSTEME REPORTING
CHAPITRE I : DOMAINE D’ETTUDE
Section 1 : Présentation du sujet
1.1 Objet d’analyse
1.2 Délimitation spatiale « Contrôle de gestion »
1.3 Intérêt du sujet
Section 2 : Problématique et hypothèse de travail
2.1 Enoncé de la problématique
2.2 Formulation d’hypothèse
Section 3 : Méthodes de recherche et technique de recherche
3.1 Méthodes de recherche
3.2 Techniques de recherche
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA SOCIETE AQUALMA
Section 1 : Identification de la société AQUALMA
1.1 Historique
1.2 Identité de l’AQUALMA
1.2.1 Présentation physique
1.2.2 Présentation juridique
1.3 Objectifs principaux
Section II: structure de l’AQUALMA et du contrôle de gestion
2.1 Organigramme interne
2.2 Rattachement du département contrôle de gestion à la Direction
2.3 Attributions des Directions
2.4 Organisation de la fonction du contrôle de gestion
2.4.1 Le contrôle de gestion à l’unité décentralisé
2.4.2 Contrôle de gestion système d’information et projet
2.4.3 Contrôle de gestion Centrale
Section 3 : Environnement externe
3.1 Difficultés de la filière crevettière à Madagascar
3.2 Environnement Juridique
3.3 Groupe UNIMA et son environnement
Chapitre III : BASE THEORIQUE DE L’ETUDE
Section 1 : Système d’information du contrôle de gestion
1.1 Définitions et finalités liées au système d’information
1.1.1 Définitions du système d’information
1.1.2 Définitions de l’information
1.1.3 Finalités du système d’information
1.2 Les qualités requises d’un bon système d’information du Contrôle de Gestion
1.2.1 Qualité de l’information
1.2.2 Degré d’automatisation
1.2.3 Des méthodes de contrôle
1.3 Importance du système d’information pour le contrôle de gestion
1.3.1 Evolution du contrôle de gestion et nécessité d’un système d’information
1.3.2 Un système d’information pour le contrôle de gestion
Section 2 : Reporting de contrôle de gestion
2.1 Généralité sur reporting
2.2 L’intérêt du reporting
2.3 Contenu et la forme du reporting
Section 3 : Théorie de Contrôle budgétaire
3.1 Définition et objectif
3.1.1 Définition de contrôle budgétaire
3.1.2 Objectif
3.2 Calcul et analyse des écarts
3.2.1 Interprétation des écarts
3.2.2 Caractéristiques des écarts constatés:
3.2.3 Prise de décisions corrective
PARTIE II : EVALUATION DU SYSTEME REPORTING DE CONTROLE D GESTION DE L’AQUALMA ET PROPOSITIO D’AMELIORATION
Chapitre I : PRESENTATION DU SYSTEME REPORTING DE L’AQUALMA
Section 1 : Système d’information de gestion de l’AQUALMA
1.1 Présentation générale de Business Objects
1.2 Origines et caractéristique de l’information dans le Business Objects
1.3 Présentation des données, Partage des informations et Mise a jour de documents
Section 2 : Etats Reporting à l’AQUALMA
2.1 Présentation des états Reporting de l’AQUALMA
2.1.1 Bilan
2.1.2 Compte de résultat
2.1.3 Tableau de Financement
2.1.4 Autres états reporting de l’AQUALMA
2.2 Opérations nécessaires à l’élaboration des états Reporting de l’AQUALMA
2.2.1 Préalables à l’élaboration des états Reporting
2.2.2 Processus de traitement des états reporting de L’AQUALMA
Section 3 : Calcul et l’analyse des écarts à l’AQUALMA
3.1 Ecarts sur charges
3.1.1 Comptes de charges
3.1.2 Décomposition des écarts sur Charges, frais ou dépense
3.2 Ecarts sur Chiffre d’affaires
3.3 Ecarts sur compte de résultat
Chapitre II : EVALUATION DU SYSTEME REPORTING DE L’AQUALMA
Section 1 : Diagnostic de l’efficacité du système d’information du contrôle d de l’AQUALMA
1.4 L’intérêt de Business Objects
1.5 Avantages et apports de Business Objects
1.5.1 Apports à la comptabilité
1.5.2 Unicité et intégrité de l’information:
1.5.3 Décentralisation des tâches
1.5.4 Une meilleure circulation des données
1.6 Les risques de Business Objects
Section 2 : Evaluation et analyse des états reporting et de ses processus d’établissement
2.1 Intérêts des états Reporting
2.2 Evaluation du compte de résultat
2.3 Problèmes rencontrés lors de l’établissement des autres états Reporting
2.3.1 Problèmes de délais de restitution des données
2.3.2 Casse tête technologique
2.3.3 Le suivi des événements post clôture
Section 3 : Evaluation de la méthode du contrôle budgétaire et de son application à l’AQUALMA 6
3.1 Importance du contrôle budgétaire pour l’AQUALMA
3.2 Conditions de réussite du contrôle budgétaire
3.3 Limites de la méthode budgétaire
3.3.1 Un outil trop tourné vers le passé
3.3.2 Focalisation excessive sur les données valorisées
3.4 Forces et faiblesse du contrôle budgétaire à l’AQUALMA
3.4.1 Points forts du contrôle budgétaire à l’AQUALMA
3.4.2 Points faibles
Chapitre III : PROPOSITION D’AMELIORATION SUR LE SYSTEME REPORTING DE L’AQUALMA
Section 1 : Intégration des autres états reporting dans le Business Objects
Section 2 : Mise en place d’un contrôle budgétaire proactif
2.1 Qu’est ce que le contrôle budgétaire proactif ?
2.2 Les phases du passage d’un contrôle budgétaire à un contrôle de gestio budgétaire
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE