LES PSITTACIDES ET LES PATHOLOGIES DUES A LEUR CAPTIVITE
La composition de la colonie
Elle diffรจre suivant l’espรจce et la pรฉriode de l’annรฉe. Les insรฉparables forment des colonies composรฉes de plusieurs couples (61, 72,117, 165), et รฉventuellement des jeunes de ces derniers non encore รฉmancipรฉs ou exclusivement de cรฉlibataires car un oiseau dรฉpariรฉ au milieu de couples sera persรฉcutรฉ par les autres (117) . Les eclectus non appariรฉs peuvent constituer de petits groupes de mรขles (61, 72, 165). La plupart des espรจces vivent en petits groupes familiaux ou en bandes comprenant des couples et des cรฉlibataires, jeunes ou veufs. la colonie se disperse souvent en pรฉriode de reproduction comme chez les insรฉparables, les amazones, les aras hyacinthes par exemples, les couples devenant plus territoriaux. (42, 43, 61, 72)
Cependant certaines espรจces particuliรจrement grรฉgaires comme les perruches ondulรฉes ne se reproduisent qu’en colonies, les couples se stimulant entre eux. (117) Les perroquets gris du Gabon, quant ร eux, vivent en sociรฉtรฉ complexe de fission/fusion : ils constituent des groupes de grande taille, de plusieurs centaines ร plusieurs milliers dโindividus pour fourrager au sol, boire ou dormir, soit aux moments de la journรฉe oรน ils sont le plus vulnรฉrables vis ร vis des prรฉdateurs et se dispersent en plus petits groupes d’une dizaine dโindividus chercher leur nourriture dans les arbres, rรฉduisant ainsi la compรฉtition entre individus.(41) Il est intรฉressant de remarquer que mรชme des oiseaux trรจs territoriaux comme les eclectus forment rรฉguliรจrement des dortoirs communs avec des cacatoรจs ร huppe jaune. (61, 72, 165)
Organisation et avantages de la colonie
La colonie assure une protection contre les prรฉdateurs : les oiseaux ne sโalimentent pas tous en mรชme temps; ceux qui ne mangent pas font office de sentinelles, chez les aras, cacatoรจs, amazones, caรฏques par exemple(42, 43, 141, 165), et signalent toute arrivรฉe d’un danger provoquant lโenvol gรฉnรฉral dans toutes les directions ce qui perturbe le prรฉdateur.(42, 43, 61, 72, 141, 165) Les membres d’une colonie se nourrissent en gรฉnรฉral sur les mรชme aires de nourriture : lorsqu’un individu repรจre une source de nourriture il en informe les autres. (61, 72, 141, 165). Cela prรฉsente รฉgalement un avantage reproductif: Quand un grand nombre de partenaires est disponible, la probabilitรฉ de trouver un partenaire est plus importante que si les oiseaux devaient parcourir des kilomรจtres ร la recherche d’un reprรฉsentant du sexe opposรฉ.
De plus dans les colonies, les cris d’oiseaux en parade nuptiale stimulent les autres couples, ce qui amรฉliore la reproduction, en effet les vocalise des autres couples en parade font partie des facteurs environnementaux qui provoquent les montรฉes d’hormones en pรฉriode de reproduction.(117, 129) Certaines espรจces comme les perruches ondulรฉes se reproduisent beaucoup mieux si elles peuvent voir et entendre les autres couples par exemple. par ailleurs il est plus facile aux adultes rassemblรฉs de dรฉfendre les nids et les poussins contre les prรฉdateurs. Les cacatoรจs font cependant exception, ils doivent รชtre isolรฉs pour s’accoupler et รฉlever leurs petits.(117, 141)
L’intรฉgration des juvรฉniles ร la colonie est progressive, et nรฉcessite un apprentissage des codes sociaux et de la hiรฉrarchie confรฉrรฉe par les parents et par les autres adultes aprรจs รฉmancipation. Les oiseaux en position dominante bรฉnรฉficient de nombreux avantages, ils mangent en premier se reproduisent en premier, avec les meilleurs partenaires, choisissent le nid le mieux placรฉ (le plus haut en gรฉnรฉral) ; ils ont donc des chances plus รฉlevรฉes de procrรฉer avec succรจs et que leurs petits survivent (141). Des รฉtudes ont montrรฉ chez la perruche ondulรฉe que les partenaires percevaient l’รฉtat de santรฉ des individus de sexe opposรฉ par la couleur de sa cire, la brillance des couleurs de leur plumage notamment, un oiseau fatiguรฉ, malade, vieux ou mal nourri aura un plumage plus terne, fera moins sa toilette… (33, 184) Chez les oiseaux trรจs prolifiques, comme les perruches ondulรฉes, les jeunes s’รฉmancipent beaucoup plus vite que chez les oiseaux moins prolifiques.(141) (voir Annexe nยฐ3)
Le bec
Le bec des oiseaux est constituรฉ d’os, dโun รฉpithรฉlium vascularisรฉ et dโune structure fortement kรฉratinisรฉe riche en hydroxyapatite, calcium, phosphates, qui confรจrent au bec sa duretรฉ. Cette couche kรฉratinisรฉe ou ramphothรจque comprend la rhinothรจque et la gnatothรจque qui recouvrent respectivement les parties supรฉrieure et infรฉrieure du bec. La couche vascularisรฉe trรจs fine, se situe au dessous de la couche cornรฉe et recouvre le pรฉrioste de la prรฉmaxille comme de la mandibule (119, 129). Le bec court, crochu et trapu dont la partie infรฉrieur plus petite s’emboรฎte dans la partie infรฉrieure au repos est une des caractรฉristiques des psittacidรฉs comme on le voit sur la figure 2 (117).
Ce bec est particuliรจrement mobile, en effet si comme tous les oiseaux ils peuvent bouger aussi bien le rhinothรจque (bec supรฉrieur) que la mandibule, la charniรจre รฉlastique qui permet aux os de plier sans abรฎmer le crรขne chez les autres oiseaux est remplacรฉe par une articulation, qui permet encore plus de flexibilitรฉ et ou l’os carrรฉ joue un rรดle majeur. Ce dernier s’articule avec 2 os fins en forme de gouttiรจre, appelรฉs l’arche jugale. Lorsque la mรขchoire infรฉrieur s’abaisse, l’os carrรฉ pousse ces 2 os crรขnialement et รฉlรจve le maxillaire, augmentant ainsi l’espace d’ouverture du bec (10, 103, 129) (voir figure 1).
Le bec pousse continuellement cependant ces oiseaux lโentretiennent en sโen servant. ร sa base, se trouve la cire, zone de kรฉratine plus tendre plus ou moins recouverte de plumes qui entoure les narines. Le bec trรจs robuste et mobile permet aux oiseaux de casser et dรฉcortiquer les graines. La langue trรจs musculeuse et pourvue ร la fois de papilles gustatives et tactiles, positionne les graines de faรงon ร les briser avec le maximum dโefficacitรฉ (103, 117). La graine est ainsi tenue entre mรขchoire et maxille ; la mandibule รฉcrase la gangue et la langue extrait la graine.
Les couleurs du plumage
Les psittacidรฉs sont des oiseaux au plumage colorรฉ bien que tous ne produise pas de pigments. Les couleurs perรงues sont divisรฉes en 2 cathรฉgories : celles qui sont dues ร des phรฉnomรจnes optiques dus ร la structure des plumes qui gรฉnรจre un effet Tyndall, et celles qui sont dues ร des pigments produits par l’oiseau. Les pigments produits par les psittacidรฉs sont les mรฉlanine qui donne une couleur noire, et les psittacofulvines ou psittacines donnant des couleurs jaunes, oranges et rouges (67, 96). Ces derniรจres sont propres aux psittacidรฉs et produites dans les follicules plumeux. Si l’on prend l’exemple de la perruche ondulรฉe, les oiseaux de phรฉnotype sauvage sont jaunes et verts avec des ondulations noires. Le jaune est du ร une psittacine, le noir ร la mรฉlanine, et le vert ร une superposition de psittacine et d’effet tyndall bleu (109). De nombreuses mutations de couleurs ont รฉtรฉ sรฉlectionnรฉes par les รฉleveurs au fil du temps, en voici quelques-unes. L’absence de production de psittacine donnera des perruches bleues et blanches ร ondulations noires, c’est la base des perruches ondulรฉes de ยซ sรฉrie bleue ยป (Cf. Annexe nยฐ1). Les mutations ยซ masque jaune ยป induisent une production de psittacine limitรฉe ร la tรชte, l’oiseau est alors bleu et jaune. Les oiseaux prรฉsentant la mutation ino sont albinos, ils ne produisent pas de mรฉlanine, on observe donc une disparition totale des ondulations, et des yeux rouges. D’autres mutations diminuent la concentration de mรฉlanine, les mutations ailes grises et ailes claires et font paraitre les ondulations plus pรขles c’est ร dire grises tandis que la mutation cannelle modifie la mรฉlanine rendant les ondulations brunes. Une mutations induisant l’absence de structure propre ร crรฉer l’effet Tyndall bleu donne des oiseaux lutinos sans bleu ni vert…(109)
Les sacs aรฉriens Les sacs aรฉriens sont des structures ร parois trรจs fines (2 assises de cellules), transparentes et extensibles. Ils reprรฉsentent 80 % du volume du tractus respiratoire. Ils ne participent pas aux รฉchanges gazeux. Chez la majoritรฉ des oiseaux il existe 3 paires de sacs aรฉriens et 2 sacs uniques (8 en tout). (30, 95, 129) Chaque sac aรฉrien est connectรฉ ร une bronche secondaire par un ostium. Les parabronches sont รฉgalement interconnectรฉes avec les sacs aรฉriens ร lโexception du sac cervical. Ils ont pour fonction principale de crรฉer un flux dโair unidirectionnel dans les poumons permettant les รฉchanges respiratoires (30, 95, 119, 126, 129) (voir figures 12 et 13).
Ils contribuent รฉgalement ร รฉvacuer lโextrachaleur gรฉnรฉrรฉe au cours du vol Ils jouent รฉgalement un rรดle dans la production de sons (sac claviculaire) et probablement dans le refroidissement des testicules, internes, pour la spermatogenรจse. Ces sacs aรฉriens permettent รฉgalement par leurs diverticules dans les os dit pneumatisรฉs d’allรฉger le squelette de l’animal.(119, 129) Le sac cervico-cรฉphalique particuliรจrement dรฉveloppรฉ chez les psittacidรฉs, possรจde des diverticules dans les vertรจbres C3 ร T5 et communique avec le crรขne via le sinus infra-orbital. Les sacs claviculaires, se dรฉcomposent en 2 parties : le diverticule intra-thoracique prรจs du coeur et du sternum, et le diverticule extra-thoracique qui s’รฉtend des os de la ceinture pectorale ร lโhumรฉrus proximal. Les sacs thoraciques crรขniaux et caudaux, tous deux pairs se situent dans la partie dorso latรฉrale de la cage thoracique. Les sacs thoraciques caudaux sont les seuls ร ne pas รชtre en relation avec les os pneumatisรฉs. Les sacs abdominaux sont รฉgalement pairs, ils sโรฉtendent des poumons au cloaque et possรจdent des diverticules localisรฉs autour des reins dans le pelvis et les fรฉmurs. (30, 95, 129)
|
Table des matiรจres
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
NOMS USUELS ET NOMS LATINS DE PSITTACIDES COURANTS
LISTE D’ABREVIATIONS
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DES PSITTACIFORMES ย
1- CLASSIFICATIONย ย ย ย
1-1- Place dans le rรจgne animal
1-2- Caractรฉristiques des psittaciformes
1-3- Caractรฉristiques des diffรฉrentes sous-familles de Psittaciformes
1-3-1- Les cacatuinรฉs
1-3-2- Les micropsittinรฉs
1-3-3- Les loriinรฉs
1-3-4- Les nestorinรฉs
1-3-5- Les strigopinรฉs
1-3-6- Les psittrichadinรฉs
1-3-7- Les loriculinรฉs
1-3-8- Les psittacinรฉs
2- REPARTITION GEOGRAPHIQUEย ย ย ย
2-1- Les espรจces originaires d’Amรฉrique centrale et du sud
2-1-1- Les amazones
2-1-2- Les aras
2-1-3- Les conures
2-1-4- Les piones
2-1-5- Les caรฏques
2-1-6- Les touรฏs
2-2- Les espรจces originaires d ‘Afrique
2-2-1- Les insรฉparable (Agapornis sp.)
2-2-2- Les Poicephalus sp
2-2-3-Les perroquet gris dโAfrique
2-3- Les espรจces originaires d ‘Asie du sud est/Oceanie
2-3-1-Les perruches ondulรฉes
2-3-2-Les calopsittes รฉlรฉgantes
2-3-3- Les grandes perruches
2-3-4- Les cacatoรจs
2-3-5- Les loris
3- BIOTOPE ET MODES DE VIEย
3-1- Les psittacidรฉs dans les forรชts tropicales
3-2- Les psittacidรฉs dans les rรฉgions arides
3-3- Des oiseaux sociables : la vie en couples ou en colonies
3-3-1- La vie en couple
3-3-2- La composition de la colonie
3-3-3- Organisation et avantages de la colonie
DEUXIEME PARTIE : BIOLOGIE DES PSITTACIDES ย
1-LA MORPHOLOGIEย ย ย ย
1-1- La forme
1-2- La taille
1-3- Le bec
1-4- Les ailes
1-5- Le plumage
1-5-1- Les couleurs du plumage
1-5-2- Les diffรฉrents types de plumes
1-6- Les pattes
2-LES PARTICULARITES ANATOMO-PHYSIOLOGIQUESย ย ย
2-1-Le systรจme cardiovasculaire
2-1-1- Le coeur
2-1-2-Le systรจme artรฉriel
2-1-3 Le systรจme veineux
2-1-4-Le sang
2-2- Le systรจme respiratoire
2-2-1 Les cavitรฉs nasales
2-2-2- Le larynx
2-2-3- La trachรฉe
2-2-4- La syrinx
2-2-5- Les poumons
2-3- Le systรจme uro-gรฉnital
2-3-1- La structure des reins
2-3-2- Les nรฉphrons
2-3-3- La vascularisation rรฉnale
2-3-4- Les uretรจres
2-3-5- Lโosmorรฉgulation
2-3-6- Le systรจme reproducteur
2-4- Le systรจme digestif
2-4-1-Le bec
2-4-2- L’oropharynx
2- 5- Le systรจme nerveux et les organes des sens
2-5-1- Le systรจme nerveux central
2-5-2- Les sens
2-6-Le systรจme musculo-squelettique
2-6-1- L’ossification
2-6-2- Les modifications liรฉes au vol
2-6-3- Le crรขne
2-6-4- Le squelette axial
2-6-5- Le squelette appendiculaire
2-7- Le systรจme endocrinien
2-7-1- L’hypophyse
2-7-2-La glande pinรฉale
2-7-3-Les glandes thyroรฏdes
2-7-4- Les parathyroรฏdes
2-7-5- Les corps ultimobranchiaux
2-7-6- Les surrรฉnales
2-7-7- Le pancrรฉas (fonction endocrine)
2-7-8- Les cellules endocrines gastro-intestinales
2-8-Lโappareil tรฉgumentaire
2-8-1- La peau
2-8-2- Les plumes
2-9- La thermorรฉgulation
2-9-1- Le rรดle du plumage
2-9-2- Le rรดle de la masse corporelle
2-9-3- Le rรดle de l’รฉvaporation
2-9-4- Le rรดle des rรฉseaux sanguins sous-cutanรฉs
2-9-5- Les adaptations comportementales
2-10- Le systรจme immunitaire
2-10-1- Le thymus
2-10-2- La bourse de Fabricius
2-10-3- Le systรจme lymphatique
2-10-4- La rate
3- LES PARTICULARITES COMPORTEMENTALESย ย ย
3-1- La hiรฉrarchie
3-2- La communication au sein du groupe
3-3- Les activitรฉs de substitution
3-4- Les comportements liรฉs a la reproduction
3-4-1- Les reproducteurs
3-4-2- La parade nuptiale et l’accouplement
3-4-3- La nidification
3-4-4- La ponte et l’รฉlevage des jeunes
3-5- Le comportement alimentaire
3-5-1- Gรฉnรฉralitรฉs
3-5-2- Le budget temps
3-5-3- Recherche en groupe ou solitaires
3-6- Le toilettage
3-6-1- Nรฉcessite d’entretenir le plumage
3-6-2- Entretien du bec et des pattes
3-6-3- Toilettage mutuel
TROISIEME PARTIE : LA CAPTIVITEย ย
1-LA LEGISLATIONย ย ย ย ย
1-1-Internationale
1-1-1- LโAnnexe I
1-1-2- LโAnnexe II
1-1-3- LโAnnexe III
1-2-Europรฉenne
1-2-1-L’annexe A
1-2-2- L’annexe B
1-2-3-L’annexe C
1-2-4-L’annexe D
1-3- Franรงaise
2- LES CRITERES DE CHOIX DโUN PSITTACIDEย
2-1- Un oiseau sauvage ou รฉlevรฉ en captivitรฉ
2-1-1- Les oiseaux sauvages
2-1-2-Les oiseaux d’รฉlevage
2-2- L’espace disponible
2-3- La compatibilitรฉ du couple oiseau-propriรฉtaire
2-4- La compatibilitรฉ entre oiseaux
2-4-1- Entre psittacidรฉs
2-4-2- Avec d’autres types d’oiseaux
2-5- Les capacitรฉs cognitives et relationnelles
2-5-1- Les oiseaux parleurs
2-5-2- L’attitude envers les humains
3- UN ENVIRONNEMENT ADAPTEย ย ย ย
3-1-En cage
3-1-1- La position de la cage
3-1-2- La cage
3-1-3- Les amรฉnagements dans la cage
3-1-4- L’รฉjointage
3-2-En voliรจre
3-2-1- La voliรจre
3-2-2- Les amรฉnagements de la voliรจre
3-2-3- La gestion de l’incubation artificielle
3-3-L’alimentation
3-3-1- Les besoins alimentaires
3-3-2- Le rythme de distribution de lโalimentation
3-3-3- Les diffรฉrents modes d’alimentation
3-3-4- Les variations liรฉes au stade physiologique
4-L’ENVIRONNEMENT SOCIALย ย
4-1- La ยซ colonie ยป humaine
4-2- La communication au sein de la ยซ colonie ยป de substitution
4-2-1- Attitudes ยซ positives ยป
4-2-2- Attitudes nรฉgatives
4-2-3- Dรฉfense du territoire
4-3-Cohabitation de plusieurs animaux
QUATRIEME PARTIE : PRINCIPALES AFFECTIONS LIEES AUX CONDITIONS ENVIRONNEMENTALESย ย ย
1-AFFECTIONS LIEES A LA CAGE/VOLIEREย ย
1-1- Place disponible
1-1-1- La sรฉdentaritรฉ
1-1-2- La surpopulation
1-2- Localisation
1-2-1- Qualitรฉ de l’air
1-2-2- Tranquillitรฉ
1-2-3- La tempรฉrature
1-2-4- L’รฉclairage
1-2-5- Les changements de lieu
1-2-6- La hauteur de la cage
1-3- Les matรฉriaux constitutifs
1-3-1- Les grillages
1-3-2- Les peintures
1-4- L’hygiรจne
1-5- La cage ouverte
2-LES AFFECTIONS LIEES AUX ELEMENTS DANS LA CAGE
2-1- Les perchoirs
2-2- Les jouets
2-3- Les systรจmes de chauffage
2-4- Les plantes
2-5- Les surfaces abrasives
2-6- Le nid
3-LES PATHOLOGIES LIEES A LA CONDUITE DโELEVAGE
3-1- La conduite de la reproduction
3-1-1- Le choix des reproducteurs
3-1-2- Un environnement inadaptรฉ
3-1-3- La ponte
3-1-4- L’incubation
3-1-5- L’รฉlevage des jeunes
3-1-6- Le sevrage
3-2- La gestion sanitaire
3-2-1- L’introduction de nouveaux animaux
3-2-2- La circulation des personnes
3-3- La mauvaise gestion des paramรจtres d’ambiance
3-4- Les pathologies iatrogรจnes
3-4-1- La coupe de griffes
3-4-2- L’administration de mรฉdicaments
3-4-3- Le mauvais รฉjointage
4- LES PATHOLOGIES COMPORTEMENTALES
4-1- Le picage psychogรจne
4-1-1- Dรฉfinition et prรฉsentation
4-1-2- Les causes de picage
4-2- L’agressivitรฉ
4-2-1- L’agression par peur
4-2-2- L’agression de dominance
4-2-3- L’agression territoriale
4-2-4- L’agression par jalousie
4-2-5- La morsure ยซ non agressive ยป
4-3- Les troubles de la sexualitรฉ
4-3-1- Un choix inappropriรฉ du partenaire
4-3-2- L’absence de partenaires
4-3-3- Les troubles de la couvaison et de l’รฉlevage
4-4- Le syndrome du prolapsus du cacatoรจs
5- LES PATHOLOGIES INFECTIEUSES OPPORTUNISTES
5-1- Lโaspergillose
5-2- La maladie de la dilatation du proventricule (MDP)
5-3- La candidose
CINQUIEME PARTIE : PRINCIPALES AFFECTIONS LIEES A LA MALNUTRITION139
1- LA CACHEXIEย ย
2- LA MALNUTRITION CHRONIQUE GENERALISEEย
2-1- Chez les adultes ร l’entretien
2-1-1- Une bonne tolรฉrance
2-1-2- Les consรฉquences dermatologiques
2-1-3- Les consรฉquences sur l’รฉtat gรฉnรฉral et l’immunitรฉ
2-2- Chez les animaux en croissance
2-2-1- Le retard de croissance
2-2-2- La maldigestion et l’hypoprotรฉinรฉmie
2-3- Chez les adultes reproducteurs
3- LES HYPO- ET HYPER-VITAMINOSESย ย ย ย
3-1- La vitamine D et le calcium
3-1-1- Chez les jeunes en croissance
3-1-2- Chez les adultes
3-2- Carence et hyper-vitaminose en vitamine A
4- LES AFFECTIONS METABOLIQUESย ย ย
4-1- Lโobรฉsitรฉ
4-2- La stรฉatose hรฉpatique
4-3- Les troubles de la balance phospho-calcique
4-4- La goutte
4-5- L’athรฉrosclรฉrose
4-6- Les intolรฉrances alimentaires
4-7- L’hรฉmosidรฉrose
5-LES INTOXICATIONS ET INTOXINATIONSย ย
5-1-La toxine botulique
5-2- Les insecticides
5-3- Les mรฉtaux lourds
5-4- Le chlorure de sodium
5-5- Les mรฉdicaments
5-5-1- Les sulfamides
5-5-2- La doxycycline
5-5-3- Les autres mรฉdicaments
5-6- Les plantes toxiques
5-6-1- L’avocat (Persea americana)
5-6-2- La rhubarbe (Rheum sp.)
5-6-3- Les plantes d’appartement
5-7- Les graines mal conservรฉes
5-8- Les autres sources d’intoxications
5-8-1- Le cafรฉ et le chocolat
5-8-2- L’รฉthanol
5-8-3- Les produits mรฉnagers
5-8-4- Les rodonticide
6- LE GRITย ย ย ย
6-1- Dรฉficit
6-2- Excรจs
CONCLUSIONย ย ย ย
ANNEXE Nยฐ1 : LES PSITTACIDES EN IMAGES
ANNEXE Nยฐ2 : CLASSIFICATION DES PSITTACIFORMES
ANNEXE Nยฐ 3 : PSITTACIDES COURANTS EN CAPTIVITE ET LEURS CARACTERISTIQUESย ย ANNEXE Nยฐ 4 : LES ESPECES DE PSITTACIDES ET LEUR PROTECTION AU NIVEAU MONDIAL ET EUROPEEN
ANNEXE Nยฐ5 : L’ENRICHISSEMENT EN IMAGES
ANNEXE Nยฐ6 : LES CARENCES ET LEURS EFFETS SUR LES PSITTACIDES
ANNEXE Nยฐ7 : LES MEDICAMENTS DANGEREUX POUR LES PSITTACIDES
BIBLIOGRAPHIE
Tรฉlรฉcharger le rapport complet