Comment s’effectue la mise à jour ?
Pages statiques, pages dynamiques
Au service multimédia, l’équipe effectue une mise à jour quotidienne du site de la ville.
Cependant, toutes les pages ne sont pas réactualisées. En effet, il existe des pages qui, depuis leur création, n’ont jamais été modifiées ou réactualisées. J’ai décidé d’appeler ces pages « statiques » parce qu’elle n’ont jamais été réactualisées et que l’information reste la même. De cette définition, j’ai décidé d’appeler « pages dynamiques », les pages qui sont régulièrement mises à jour. Enfin, le terme « quasistatique » qualifie des pages qui ne sont mises à jour que très rarement. Comme le montre le tableau ci-après, le site possède peu de pages à actualiser régulièrement. On peut remarquer que ce sont les rubriques d’actualité (auxquelles on accède à partir de la page d’accueil) qui sont les seules à bénéficier de mises à jour régulières.
On remarque également, que le site possède un quantité importante d’informations qui ne sont pratiquement jamais mises à jour. Ces informations rendent le site peu vivant et la quantité de pages statiques laisse paraître que le site se limite pratiquement à une fonction de « plaquette d’information » en ligne.
La recherche d’information à mettre sur le site
Pour réaliser les mises à jour, une recherche d’information est nécessaire. Comment procède l’équipe pour rechercher les informations? Comme je l’ai signalé dans la première partie, il existe plusieurs type de sources qui inspirent le site. La plus importante est le magazine de la commune : » La Tribune de Villeneuve d’Ascq ». Cependant, elle paraît tous les mois mais l’édition d’été (juillet – août) est très restreinte : c’est juste une double feuille comportant les événements de l’été.
Au mois de juin, l’équipe s’est donc très largement inspirée de ce magazine pour réactualiser le site, alors qu’en juillet il a fallu trouver d’autres sources. Les vacances sont synonymes d’une activité plus réduite, sauf pour les centres de loisirs et colonies de vacances. C’est ainsi que les colonies sont devenues l’une des principales rubriques à actualiser sur le site pendant l’été. L’accent a également été mis sur la culture en mettant en valeur les horaires d’ouverture de la médiathèque municipale et des musées de la ville. Ceci consistait à mettre en avant des pages déjà existantes du site.
Parfois, l’équipe s’est servie de « plaquettes » indiquant diverses expositions, parcours « nature »,… pour étoffer un peu le contenu du site.
Les outils utilisés
Tout ce qui concernait la mise à jour nécessitait des outils ; pour la création de nouvelles pages web, c’est l’éditeur « frontpage » qui était principalement utilisé.
Pour retoucher des images, le service possède deux logiciels : « paint shop pro » et « photoshop ». Comme le service ne possède pas la dernière version de « photoshop » , l’équipe préfère utiliser le premier logiciel.
Après avoir réalisé les pages à mettre sur le site, le service dispose d’un logiciel de transfert de fichiers FTP Voyager « . Ce logiciel sert à transmettre les fichiers d’une machine vers le serveur. Si un fichier n’est pas transféré sur le serveur, la mise à jour n’est pas réalisée.
Une des machines du service contient une copie du site de la ville. Pour corriger un fichier, il faut toujours prendre le fichier contenu dans cette copie de site. Le réseau reliant les machines permet de réaliser cette opération. Quand on crée ou réactualise un fichier, il faut toujours veiller à bien l’enregistrer sur la copie du site avant de l’envoyer au serveur.
Les autres aspects intéressants (banner, jeu euros)
Cependant, la mise à jour du site ne consiste pas seulement à actualiser des informations, certains points importants sont également à travailler : il s’agit du banner et du jeu de l’euro. Le banner est un bandeau destiné à attirer l’attention des internautes sur certains événements.
Le jeu de l’euro est destiné à familiariser les internautes avec la nouvelle monnaie. Ces deux objets font partie de la mise à jour régulière. En effet, le banner sert à mettre en valeur un événement, il reste sur le site une à deux semaines maximum. Quant au jeu de l’euro, il consiste à retrouver, parmi 3 propositions, le prix en euro de l’article du jour. Pour réaliser un jeu de l’euro, il faut donc le préparer à l’avance et le réactualiser toutes les semaines maximum.
Ce dont je me suis occupée, ce que j’ai fait et réalisé
Lors de mon stage, j’ai réalisé deux banners, j’ai fait des corrections orthographiques, j’ai réactualisé la page » technoval » (concernant les entreprises), j’ai créé une page agenda, j’ai réalisé 2 jeux de l’euro, j’ai réactualisé la page des musées, j’ai fait des petits paragraphes pour les arrivées de « colos ». Voici les différentes méthodes que j’ai utilisées pour effectuer chacune de ces opérations.
LE BANNER
Le banner a été créé sous le logiciel » paint shop pro ». N’étant pas experte en réalisation graphiques et retouches d’images, on m’a d’abord expliqué comment se réalisait un banner, puis on m’a laissé la possibilité de créer l’image. Il faut savoir qu’un banner doit obligatoirement comporter le logo de la ville de Villeneuve d’Ascq.
Les dimensions du banner sont petites (168*35 pixels), il faut essayer de valoriser le maximum d’informations en peu de détails et en utilisant le moins d’espace possible.
Cette information servira ensuite à attirer l’utilisateur sur une page extérieure qui détaillera l’événement.
LES CORRECTIONS ET REACTUALISATIONS
Au niveau des corrections orthographiques : les erreurs (fautes de frappe remarquées après coup, fautes orthographiques,…) étaient soit signalées par un tiers (une personne écrivant sur le site) soit par le directeur de la communication. Pour garder la crédibilité du site de la ville, celles-ci devaient être corrigées dans les plus brefs délais. Pour corriger, il existe deux possibilités, soit faire la correction dans le code HTML, soit remettre le fichier dans l’éditeur » frontpage » et le corriger en visualisant le tout. Certaines erreurs (comme les liens d’images mal réalisés, des couleurs ou des caractères ne correspondant pas à la charte graphique de la page) sont plus faciles (selon moi) à corriger directement dans le code HTML en changeant les balises ; les autres fautes se corrigent dans l’éditeur frontpage car on a plus de clarté.
Pour la réactualisation, il s’agit de transformer des pages HTML existantes. Prenons le cas de la rubrique » technoval ». Un dossier regroupant des informations sur le » technoval » avait été envoyé au service multimédia. Ce dossier comprenait les noms, adresses, responsables et numéro de téléléphone des entreprises en juin 2001. Pour mettre à jour les pages du site, il a fallu vérifier que toutes les entreprises citées figuraient sur le site, ajouter celles qui venaient d’entrer et retirer celles qui n’y figuraient plus . La charte graphique des pages était déjà créée mais il fallait veiller à ne pas la modifier en ajoutant des informations.
Lors de mon stage, j’ai également eu l’occasion de mettre à jour la page des « expositions ». Là aussi, une charte graphique existait déjà : la page possédait un fond coloré et était composée de plusieurs cadres de couleurs comportant des images et des informations concernant des expositions.
LES PAGES CRÉÉES
Pour créer la page « agenda », j’ai utilisé l’éditeur » Frontpage ». J’ai commencé par créer un nouveau fichier intitulé « agenda ». J’y ai inséré le titre ainsi que les événements que l’on voulait y faire figurer. J’ai essayé de faire en sorte que les couleurs ne soient pas trop claires et diversifiées pour ne pas surcharger la page. Pour créer les rubriques de l’agenda, j’ai mis la date et le jour en couleur, l’événement en gras, et les informations supplémentaires en caractères normaux. J’ai ensuite enregistré la page puis je l’ai envoyée sur le serveur.
Cependant, j’ai été amenée à produire des informations récentes sur le site. En effet, l’été étant synonyme de vacances, c’est le sujet des » colonies » qui a fait la » une » des pages du site. Durant le mois de juillet, l’équipe a donc décidé de consacrer une rubrique spéciale aux enfants partis découvrir d’autres régions. Le matin, le ser¬ vice enfance (qui s’occupe des colonies) téléphonait au service multimédia pour leur donner des nouvelles de chaque centre. Ces informations étaitent ensuite transmises sur le site. C’est une rubrique qui nécessitait plus d’inventivité car il fallait formuler les phrases et les idées avec ses propres mots : être clair en quelques lignes. Malgré le peu de paragraphes que j’ai pu écrire, c’est une rubrique qui m’a vraiment attirée car elle nécessitait de réelles qualités rédactionnelles que j’ai pu mettre en valeur.
Pourquoi ? L’enjeu de la mise à jour
Pour rendre fiable la structure
Le premier enjeu de la mise à jour est de montrer la fiabilité de la structure. La mairie est censée représenter la population de la ville. La habilité des informations émises par la mairie est donc importante. De plus, la mairie est considérée comme fiable au niveau des informations sur la ville et ses activités. Les informations du site doivent être récentes. En effet, si la réactualisation d’un site date de y a quelques mois, sa habilité est mise en cause. Les informations récentes montrent que la mairie se soucie de donner des nouvelles aux habitants de sa ville. Encore faut-il que les informations soient hables elles aussi.
Pour valoriser le site
L’actualisation des informations contenues sur le site permet de valoriser le site.
Si un site contient des informations récentes, il est plus intéressant de le consulter.
La valeur de l’information est mise en avant.
Pour rendre le site attractif
Enfin, la mise à jour permet également d’avoir un site plus attractif : on n’a jamais la même chose quand on se connecte au site ; ceci rend le site intéressant en lui-même.
Cependant, y a-t-il un moyen plus efficace de captiver l’attention de l’internaute? Il est vrai que le fait de changer l’actualité (qui fait un peu la » une » du site) attire l’oeil puisque on n’a pas les mêmes titres ou les mêmes images qui sont visibles, il y a toujours des nouveautés. Sur le site, un autre moyen d’attirer l’attention de l’internaute existe : c’est le banner.
La mise à jour nécessite qu’on se consacre au site de la mairie existant. Au niveau de la mairie de Villeneuve d’Ascq, le site est presque un simple dépliant qui n’informe pas exactement comme il le faudrait. Je pense que certaines rubriques pourraient être dynamiques alors qu’elles ne le sont pas. La mairie s’est pour l’instant contentée de faire un site mais elle ne se donne pas les moyens de le faire vivre.
Repérage des services en ligne
Création du tableau par l’inventaire des fonctions ou objets représentant l’interactivité ou la communication
Pour repérer les services en ligne, j’ai commencé par observer des sites de mairies. J’ai dû me référer à la liste des sites de mairie trouvée sur l’annuaire « Yahoo »26. Je devais examiner les sites un par un en relevant des caractéristiques liées à l’interactivité, à la communication ou à la citoyenneté. La liste de Yahoo comporte environ 1000 sites. Pour nepas m’attarder sur chacun d’entre eux, j’ai commencé par observer un échantillon de sites. Pour relever l’échantillon, j’ai décidé de prendre les 20 premiers sites de la liste. Le fait d’observer d’abord un échantillon de site m’a permis de me faire une idée de ce que j’allais trouver sur le reste de la liste et de repérer comment j’allais m’organiser pour rechercher l’information voulue sur les autres sites de cette liste. En effet, il fallait que je sois rapide et efficace : cela demandait beaucoup d’organisation.
Pour étudier l’échantillon, je repérais des éléments sur le site jusqu’au moment où je commençais à me familiariser avec la navigation et la structure de chaque site. Je prenais des notes concernant les éléments intéressants que je trouvais : leur nature, leur fonction ou encore information
qu’ils transmettaient. Comme le repérage de ces éléments me servirait à réaliser une grille d’observation, je n’ai pas réalisé de grille d’évaluation. Au fur et à mesure que j’observais les sites, je voyais se dessiner des contenus communs et j’ai ainsi pu me faire une idée de ce que j’allais trouver ailleurs. J’ai commencé à faire une liste d’éléments que j’avais trouvés. Cet échantillon m’a
également permis d’avancer plus vite puisque j’avais des points de repères : j’ai remarqué que, bien souvent, les éléments qui se distinguaient des autres se trouvaient mis en évidence sur la page d’accueil. C’est pourquoi, je regardais d’abord la page d’accueil qui, bien souvent, m’indiquait les informations que je voulais repérer. Ensuite, j’entrais dans les parties les plus « intéressantes » du site selon les rubriques indiquées, (citoyenneté, emploi, …). Lorsque je ne trouvais rien en regardant la page d’accueil et les rubriques, j’allais directement au plan du site. Celui-ci permet de repérer en un clin d’oeil les éléments essentiels, s’ils existent, du site. Pour l’observation du reste des sites, j’essayais de repérer rapidement les éléments de ma liste selon la méthode que je m’étais élaborée, puis, si l’objet avait une caractéristique particulière, j’en prenais note.
Pour créer le tableau, je me suis aidée des notes que j’avais prises en observant les sites et de la liste des objets que j’avais réalisée. Le tableau servirait, en fait, à faire un inventaire quasi exhaustif des éléments représentatifs (de l’interactivité et de la communication) dans les sites de mairie français. Le tableau ne comportera donc pas tous les sites observés mais les sites dont les éléments correspondent aux valeurs recherchées. Par exemple, un site qui possède des rubriques uniquement descriptives et qui n’a aucun élément qui le différencie des autres n’apparaîtra pas dans le tableau.
Les sites à faire figurer dans le tableau étant nombreux, j’ai donc décidé de faire apparaître l’adresse des sites horizontalement et de faire des colonnes verticales pour indiquer les éléments retenus.
Pour l’observation des sites, il fallait que je fasse attention aux adresses : en effet, certains sites ne sont pas les sites officiels de mairie mais des sites personnels. Comme j’observais les sites officiels, j’ai décidé de ne pas m’attarder sur les sites personnels et de ne pas en tenir compte dans mon étude. La plupart des sites municipaux ont des noms comportant « mairie-nom.fr » ou « ville-nom.fr ». D’autres sites ont un nom différent qui présente la ville mais ce sont également des sites officiels. C’est comme ceci que j’ai repéré les sites qui paraissaient être intéressants au premier abord mais qui ne correspondaient pas à l’objectif attendu.
Comment s’est fait le choix des éléments?
Dès qu’une page comportait un formulaire ou d’autres signes interactifs, je m’y attardait plus que lorsque je trouvais du texte. J’essayais donc de repérer des éléments plutôt concrets et significatifs. Il fallait aussi que ces objets s’accordent à l’échantillon que j’avais observé ou alors qu’ils soient une exception.
Ce sont les fonctions que l’on appelle « interactives » (parce qu’elles font participer les internautes) que j’ai remarqué en premier lieu. J’ai donc commencé par regrouper tous les éléments faisant appel à d’autres personnes présentes sur le web : liste de dif¬ fusion, newsletter, forum, chat, petites annonces interactives. Puis, j’ai voulu mettre en avant les informations qui permettaient de faciliter la recherche d’informations comme le menu déroulant, les FAQ, news défilantes en première page, les plans (interactifs en particulier), les fiches pratiques. J’ai aussi relevé les informations que proposait la ville pour se valoriser en sachant que ce n’était pas une information statique : dans ces objets figurent les vidéos, les webcams, les visites virtuelles, les e-cards et les vues panoramiques. D’autres fonctions m’ont paru intéressantes à observer : les jeux (quizz, questionnaires ou autres jeux où l’on a les réponses en ligne dès que l’on a envie de les voir apparaître), les sondages (parce qu’une question est posée est l’internaute voit directement où il se situe par rapport aux autres), annuaires (interactifs dans lesquels les particuliers, associations ou entreprises peuvent s’inscrire), les téléprocédures (et autres formulaires à remplir en ligne) et les téléchargements (car on peut transférer des documents officiels, par exemple, sur son ordinateur).
Définitions et analyse
Définitions des objets trouvés
Après avoir réalisé le tableau, il a fallu que je définisse les termes que j’y avais inséré. Pour trouver des définitions, je suis allé sur le site de l’administration suisse qui comporte des dictionnaires en ligne sur des thèmes variés dont l’informatique.
Les dictionnaires informatiques sont classés par thème. Comme je voulais trouver des définitions concernant les sites internet, j’ai d’abord cliqué sur le dictionnaire de la Commission ministérielle Française. Cependant, ce site était inaccessible. Je me suis donc tournée vers le dictionnaire restant ayant pour thème l’internet le dictionnaire de l’AFPA 32 . Ne trouvant pas toutes les définitions dans ce dictionnaire, j’ai décidé de me servir d’un dictionnaire plus général : le dictionnaire du jargon français33, un dictionnaire d’informatique dont je me sers régulièrement. Après avoir repérés certaines définitions, j’ai condensé les informations trouvées pour en faire mes propres définitions. Certaines définitions plus spécifiques à l’environnement des administrations ne figuraient pas dans ces dictionnaires. J’ai donc recherché sur internet (en utilisant des moteurs de recherche) les mots que je ne trouvais pas. Lorsque je ne trouvais pas du tout la définition recherchée, je construisait une définition en me basant sur mes connaissances.
Comment est-ce que j’ai abordé mon étude de ces guides ?
N’ayant aucun renseignement sur le domaine des « city guides », j’ai décidé de commencer mon observation en allant me documenter sur internet (puisque c’était le seul moyen que j’avais de rechercher de l’information). Sur la recommandation de mon responsable de stage, je me suis d’abord rendue sur le site du Journal du Net pour repérer des articles en rapport avec les guides de ville. J’ai trouvé plusieurs articles consacrés aux city guides dont un37 qui m’a permis de me rendre directement sur les sites de ces guides de ville. Comme les articles du journal en ligne se basaient surtout sur le côté économique de ces guides, j’ai décidé de me tourner vers les dépêches de l’annuaire de recherche « Yahoo ».38pour savoir si je pouvais y trouver des articles plus généraux.
Sur le site de Yahoo, j’ai trouvé quelques dépêches se rapportant aux « city guides » qui m’ont permis de me donner un bref aperçu de ce que représentaient ces sites. Après cela, je suis passée à l’observation directe des sites (grâce aux adresses que j’avais trouvées sur le journal du net). Puis, j’ai ensuite survolé rapidement ces guides pour voir quelles étaient leurs avantages et leurs inconvénients, leurs points forts et faibles par rapport à un site municipal.
City guide et site municipal
D’une part, le guide de ville n’est pas vraiment un site comme les autres puisqu’il fonctionne en réseau. C’est aussi un journal qui se compose de rédacteurs locaux pour chaque ville. Le même journal est présent dans plusieurs villes de France, l’interface et les partenaires sont les mêmes, seules diffèrent les informations (elles changent selon la localité). Les sites de mairie sont, quant à eux, indépendants des autres. Il n’existe pas de réseau de sites de villes. Chaque commune définit elle-même les diverses caractéristiques que le site va posséder.
D’autre part, il faut savoir que les guides de ville n’ont pas du tout les mêmes en¬ jeux que les sites municipaux. En effet, ces guides comportent des enjeux financiers et publicitaires qui font d’eux des sites très commerciaux alors que les sites municipaux se concentrent plutôt sur les services destinés principalement aux citoyens.
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Table des matières
Introduction
I Présentation générale du stage et de son environnement
1 Présentation de la structure et du service
1.1 La mairie de Villeneuve d’Ascq
1.1.1 Une ville nouvelle
1.1.2 Une identité bien affirmée
1.1.3 Le fonctionnement d’une mairie
1.2 Les services de la mairie
1.2.1 Le service information, communication & protocole
1.3 Le service multimédia
1.3.1 Une double naissance : le site et le service multimédia
1.3.2 Rôle du service
1.3.3 Les employés du service
1.3.4 Le « dircom », directeur de la communication
1.4 Situation géographique
2 Le site internet
2.1 L’histoire et l’évolution du site
2.1.1 D’un public spécialisé (les entrepreneurs) vers un autre public spécialisé (les citoyens et internautes)
2.1.2 Changements d’orientation
2.1.3 L’idée d’un portail
2.2 Le site et la ville
2.3 Quelques informations sur le site
2.3.1 Le site en chiffres
2.3.2 Les informations du site
2.4 Analyse de l’existant au niveau du site
2.4.1 Construction de la grille d’évaluation
2.4.2 Conclusion
2.4.3 Le site dans sa globalité
3 Présentation du projet et de la mission
3.1 Le projet de site portail
3.2 Mon cadre de travail
3.2.1 Les locaux
3.2.2 L’environnement technique
3.3 Ma mission
3.3.1 Recherche d’information et mise à jour
3.3.2 Participation au projet de site portail
3.3.3 En quoi consistera mon travail ?
4 Présentation de la problématique
4.1 Les problèmes de la mission
4.2 Les problèmes qui en découlent
II Méthodologie et veille (analyse de la concurrence des sites de mairie)
1 Mise à jour
1.1 Comment s’effectue la mise à jour ?
1.1.1 Pages statiques, pages dynamiques
1.1.2 La recherche d’information à mettre sur le site
1.1.3 Les outils utilisés
1.1.4 Les autres aspects intéressants (banner, jeu euros)
1.1.5 Ce dont je me suis occupée, ce que j’ai fait et réalisé
1.2 Pourquoi? L’enjeu de la mise à jour
1.2.1 Pour rendre fiable la structure
1.2.2 Pour valoriser le site
1.2.3 Pour rendre le site attractif
2 Les sites de mairie
2.1 Repérage des services en ligne
2.1.1 Création du tableau par l’inventaire des fonctions ou objets représentant l’interactivité ou la communication
2.1.2 Comment s’est fait le choix des éléments ?
2.2 Définitions et analyse
2.2.1 Définitions des objets trouvés
2.2.2 Brève analyse de chaque objet puis de l’ensemble
2.2.3 Résultats de l’analyse
2.3 Comparaison des sites de mairie et des sites commerciaux de ville (les » city guides »)
2.3.1 Comment définir un « city guide »?
2.3.2 Pourquoi est-ce intéressant de l’étudier ?
2.3.3 Comment est-ce que j’ai abordé mon étude de ces guides?
2.3.4 City guide et site municipal
2.3.5 Les enjeux et les réalités des « city guides »
2.3.6 les « city guides », les sites de mairie et les portails
2.4 Les sites de mairie et internet font-ils bon ménage ?
2.4.1 Articles trouvés sur les sites de mairie et internet
2.4.2 Documents officiels concernant l’évolution des sites
2.5 Les sites de mairie observés : conclusion
2.5.1 Quel devrait être le rôle d’un site municipal ?
2.5.2 Les objets interactifs et attractifs : réels outils de communication ou simple décoration ?
2.5.3 Pourquoi est-il intéressant d’observer les sites de mairie ?
III Les sites portails et la problématique
1 Les sites portails
1.1 Qu’est-ce qu’un site portail ?
1.1.1 Quelques précisions sur la notion de « portail »
1.1.2 L’emploi du terme « portail »
1.1.3 Quelques caractéristiques des sites portails en entreprise
1.1.4 Les sites portails de mairie
1.2 Pourquoi un site portail ?
1.3 Portail et Villeneuve d’Ascq
1.3.1 La fonction du futur site portail de la ville
1.3.2 Que représente le projet de portail pour la ville de Villeneuve d’Ascq?
1.4 L’organisation de l’information sur un site portail
2 Le portail serait-il un nouvel accès à la communication ?
2.1 La communication
2.1.1 La communication entre les différents acteurs de la mairie
2.2 Portail et communication
2.2.1 Une meilleure communication grâce au portail
2.2.2 Communication binaire et ternaire : le triangle communicatif
2.3 Définition des termes cibles
2.3.1 L’administration
2.3.2 Les élus
2.3.3 Les citoyens
2.4 Qu’est-ce que la démocratie participative ?
2.5 Conclusion
3 Les problèmes relatifs à la gestion du projet de portail
3.1 Qu’est-ce que gérer un projet ?
3.1.1 Le projet
3.1.2 La gestion de projet
3.2 Quels sont les moyens mis en oeuvre au niveau de la ville?
3.3 Le projet de portail de la ville
3.3.1 Les phases du projet
3.3.2 Les futures caractéristiques du portail de la ville
4 Les problèmes relatifs à l’internet dans la ville
IV Résultats de la problématique et évaluation
1 Les résultats de la problématique : propositions pour le site portail
1.1 Les diverses propositions au niveau du site
1.1.1 Les propositions relatives aux outils communicants (basés sur l’observation des sites municipaux)
1.1.2 Propositions diverses
1.2 Les propositions pour l’organisation de l’information et de la recherche documentaire
2 Évaluation
2.1 De mon travail
2.2 De l’entreprise
2.3 Des résultats obtenus
2.4 Du projet
2.5 Difficultés rencontrées
2.6 Est-ce que j’aimerais travailler dans cette entreprise et pourquoi?
3 Comment faire évoluer le site municipal vers un site portail
3.1 Refonte complète du site
3.2 Création d’un nouveau site plus ciblé en plus du site existant
3.3 Conseils pour l’évolution du site existant
3.3.1 Création d’un cahier des charges pour une réelle évaluation des besoins et évolution du site
3.3.2 Correction des problèmes « techniques »
3.3.3 Changer les frames et éviter les surcharges
3.3.4 Changer la charte graphique
3.3.5 Autres remarques
Conclusion
Bibliographie
1 Livres
2 Articles
3 Sites internet
Liste des annexes
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