Les projets de la lutte contre l’insécurité alimentaire

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« Food Security Unit» ou Unité Sécurité Alimentaire

Le CRS intervient sur le plan social el économique afin de favoriser le développement de Madagascar. Pour cela, elle met en œuvre dans l’Unité Sécurité alimentaire plusieurs activités .
– Amélioration et augmentation de la productivité des denrées.
– Promotion du microcrédit,épargne .
– Marketing (organisation, études de marché, planification de la production, transformation, stockage …).

Le volet Santé

La santé FSU a aussi son approche pour toucher la population cible et c’est « la Déviance Positive » abrégée par DP. Elle se définit comme une approche efficace utilisée pour réduire la malnutrition par un modèlese trouvant dans la communauté et sélectionné sur la base de son bon comportement etle bon résultat.
L’approche DP/FARN a permis à certaines communautés de réduire le niveau de malnutrition infantile (6 à 36 mois) et de prévenir la malnutrition pendant des années après la réalisation du programme.
Généralement, les objectifs de cette approche résident dans :
– la réhabilitation rapide des enfants malnutris identifiés au sein de la communauté.
– la continuité de cette réhabilitation mais à leur maison et fait par les familles elles-mêmes.
– la prévention dans l’avenir la malnutrition chez tous les enfants nés dans la communauté par le changement des normes de la communauté ; en matière de soins aux enfants, d’alimentation et de recours aux services de santé.
Des mères ayant de bonnes techniques de cuisine et de soin de l’enfant sont identifiées et regroupées pour partager leur savoir avec celles qui ont des enfants malnutris .En même temps, les enfants suivent un soin intensif.

Le volet Agriculture

Le volet agriculture adopte l’approche appelée « Farmer Field School » (FFS) ce qui veut dire Ecole paysanne de terrain ou encore champ d’école paysanne, qui consiste à former les paysans sur de nouvelles techniques de culture. C’est une approche développée et initiée par le programme IPM de la FAO en Indonésie (Integrated Pest Management). Cette école devra contenir un groupe de 25 à 30 membres. Elle est basée sur la découverte, l’apprentissage et l’éducation des adultes, facilités par un animateur expérimenté.
Elle s’effectue durant le cycle de production complet et les paysans membres effectuent une analyse économique simple des résultats à la fin de la saison. Ils choisissent parmi les cultures qu’ils pratiquent déjà de façon traditionnelle et donc à rendement peu élevé. Nombreuses sont les communautés qui ont déjà cultivé le riz par le mode SRI, SRA par le biais de FFS; et d’autres cultures qu’elles jugent difficiles à pratiquer tels le « Petsay », les concombres, et autres. Ces paysans, sous la supervision d’un animateur, observent et apprennent des nouvelles techniques qu’ils peuvent appliquer dans les champs.
A la fin de l’apprentissage ils feront la comparaison entre les rendements des deux modes de culture et verront celui qui est avantageux te rentable. C’est indéniablement le mode amélioré qui produira un rendement élevé, à condition qu’ils ont suivi jusqu’à la fin le champ d’école et possèdent une persévérance dans la pratique.

Le volet Marketing

Il est essentiel de rappeler quelques définitions qu’a été données au terme « Marketing » depuis son apparition : « Le Marketing est état d’esprit et un ensemble de techniques permettant de comprendre, de créer, de maintenir, de développer ou de conserver un marché»2, d’après Yves CHIROUZE.
« Le Marketing est le mécanisme économique et social par lequel individus et groupent satisfont leurs besoins et désirs au moyen de l’échange de produits et autres entités de valeur pour autrui »3
Le composant marketing de l’unité adopte une approche appelée «Approche Territoriale » pour contribuer à l’atteinte de l’objectif de CRS/ Mg. C’est une approche créée par le Centre International d’Agronomie Tropical (CIAT). Après 10 années d’expériences réussies en Amérique, elle est l’approche de développement adéquat au marketing agricole.
Il s’agit de connaître les caractéristiques biophysiques du lieu, de rechercher les débouchés avant de se lancer dans la production proprement dite : produire ce qui se vend et non plus l’inverse. Ainsi, nous pouvons en tirer la définition du « Marketing appliquée à l’agriculture » comme suit : « c’est collecter, comprendre et utiliser les informations sur le marché pour prendre une meilleure décision de production. »4
– création de groupe d’intérêt et développement de nsensusco : identification des acteurs et création de groupes (Equipe Agro Entreprise), définition et caractérisation du territoire, développement d’un consensus (vision partagée sur la délimitation de territoire, monographies, plans d’action).
– identification des opportunités de marché : identifcation rapide des marchés, évaluation des opportunités de marché et évaluation des opportunités de marché par les paysans .
– conception de projets agricoles intégrés : analyse de la chaîne de marché, identification de points critiques et formulation de projets agricoles .
– et renforcement du système local d’appui : formation des partenaires promoteurs (Union des coopératives de fermiers, les associations de fermiers, la Chambre de Commerce Régionale, la Direction Régionale du Ministère de l’Agriculture ainsi que l’équipe du Département du Développement diocésainetc).
A Madagascar, le rôle de CRS/MG est de promouvoir cette approche dans le milieu rural. La phase pilote a commencé en 2003 à Antsirabe pendant la contre saison. Des opportunités existent pour la population rurale, afin d’améliorer leurs conditions de vie telles :
– L’accroissement de la compétitivité de la chaîne de marché.
– Donnant plus de valeur ajoutée aux produits.
– Diversification des produits et services.
– Meilleures organisations des parties prenantes.

L’insécurité alimentaire chronique 

Qui touche la majeure partie de la population rurale. Elle est chronique si l’individu manque constamment de nourritures (quantité / qualité). Un individu adulte qui consomme moins de 2.200 Kcal par jour soit classifié malnutri, tandis que le seuil est de 900Kcal pour un enfant (<5 ans).

L’insécurité alimentaire saisonnière 

En milieu rural cette forme d’insécurité alimentaire intervient durant la période de soudure, période qui se situe généralement du mois de décembre jusqu’au mois de mai.
C’est la période où chaque ménage doit diminuer al quantité et/ou fréquence d’aliment à consommer. Il doit substituer une quantité de riz par du maïs, du manioc etc.… durant ce semestre. L’état nutritionnel de chaque ménage devient alors critique ; ainsi arrive l’exode rural et les gens sont forcés de partir en ville pour chercher du travail ou bien, retirer leurs enfants de l’école pour les faire travailler.

L’insécurité alimentaire temporaire 

Généralement imprévisible, apparaît quand les individus  ont un faible accès à la nourriture à cause des phénomènes aléatoires d’ordre naturel (cyclones, inondations, sécheresse, tremblement de terre…), d’ordre politic o-économique (crise économique et social).
L’insécurité alimentaire à Mananjary est, pour la plupart des cas, causée par le bas niveau d’instruction de la majeure partie de la population, du pouvoir d’achat, coutume et religion, du faible rendement de production, de l’insuffisance d’argent liquide pour les besoins urgents, du faible nombre des IMFs implantés dans la région et la difficulté d’y accéder s’il en existe.
Une grande partie de la population est analphabète. Le niveau d’étude joue un rôle important dans le domaine de la sécurité alimentaire. Dans l’ensemble, et d’après notre enquête la grande majorité des adultes ont un faible niveau d’étude. Par la suite, il sera difficile de modifier leurs habitudes (alimentaire, mode culturale), pour eux les aliments doivent rassasier le ventre en quantité, mais non pas nutritifs. Ils n’ont pas la connaissance qu’une bonne alimentation doit couvrir les différents types d’aliments qui sont représentés par les aliments énergétiques, constructeurs et réparateurs et protecteurs (céréales, les racines, viande, poisson, fruits et légumes, etc..). En moyenne 46 Kcal / kg / j est le besoin énergétique de l’homme.
Du fait du bas niveau d’éducation de la population à part les étrangers, la plupart des paysans produisent des denrées destinées à être consommées sans but de les vendre. Ceci ne fera pas entrer de l’argent au sein la famille et ne contribue pas à une évolution de marché.
Coutume et religion: Les restrictions d’origine religieuse et ancestrale jouent également un rôle très important dans les traditions alimentaires Antambahoaka. La majorité des familles respectent toujours les valeurs symboliques de l’alimentation à partir des règles qu’ils ont prises pendant leur jeune âge. Les interdits alimentaires restent toujours significatifs pour tous les membres de la famille.
Pouvoir d’achat: A Mananjary, durant la période de soudure, la situation s’est aggravée et l’état nutritionnel des enfants comme des adultes devient de plus en plus critique. Les provisions dans les greniers de chaque ménage se sont épuiséeset les produits alimentaires disponibles sur les marchés diminuent et imitant à la hausse des prix du PPN. Chaque famille s’est efforcée de réduire son repas quotidien en attendanla prochaine récolte.
Les groupes vulnérables restent toujours les plus touchés par ces problèmes parce qu’ils ont une faible possibilité d’affronter la situation de crise.
Faible rendement de production: Le manque de connaissance en technique agricole ne rentabilise pas la production des paysans ; ils produisent à une certa ine limite de rendement ainsi les produits ne suffisent qu’à être consommés. Donc, ces paysansne disposent pas de produits à stocker ni à vendre ce qui entraine une pénurie durant les saisons culturales.
Insuffisance d’argent liquide pour les besoins urgents: En général, 80% des groupements enquêtés répondentque la satisfaction alimentaire est égale à la grande consommation de riz avec ou sans viande (occasionnellement). Pour les autres, la satisfaction alimentaire est considérée comme l’apaisement de la faim : « Voky ».

Rôles des partenaires : cas de BDEM

Comme CRS est un organisme non opérationnel mais à titre de bailleurs, il a besoin des partenaires diocésains afin d’exécuter esl activités pour l’atteinte des objectifs. Le Bureau de Développement de Mananjary fait partie de ses partenaires pour l’intervention dans le Diocèse de Mananjary.

Présentation de BDEM

Le Bureau de Développement de l’ECAR Mananjary (BDEM) est une structure au niveau du Diocèse. C’est une entité créée par l’Evêque du Diocèse de Mananjary dans l’objectif d’une mise en place d’un développement durable de l’homme et tout l’homme. Il est un organisme opérationnel ce qui veut dire qu’il réalise les projets sur terrain ; et CRS en tant qu’organisme non opérationnel travaille avec BDEM comme partenaire diocésain, il est le bailleur de fonds de ses partenaires. Une monographie simplifiée s’avère nécessaire pour connaître l’environnement du lieu où le partenaire exerce ses activités. Ainsi ci-dessous cette monographie : La ville de Mananjary est située sur la côte SUD-EST de Madagascar, à 600 km de la capitale, sur la RN 25. Le district de Mananjary occupe une superficie de 5.330 km² avec une population totale de 401.724 habitants, dont 90% sont des agriculteurs et composés essentiellement de Foko Antambahoaka. La région est caractérisée par un climat tropical chaud et humide, avec une forte pluviosité estiméesupérieure à 2.000 m/an. (Source : Carte et photographie paysage de Madagascar : CIRAD).
Elle est marquée par une forte présence de reliefs, les bas fonds de la région sont étroits. Mananjary est exposé habituellement à des cataclysmes naturels tels que : cyclone, sécheresse (mal répartition des pluviométries annuellement ou déficits hydriques saisonnières), inondation qui affectent beaucoup la production déjà insuffisante dans la région. (Source : Rapport de synthèse CNS).
Ce risque est lié à la position géographique de al région, aux carences organisationnelles et institutionnelles, ainsi que d’infrastructures (passage d’un cyclone au moins une fois tous les 3 ans).
Selon la synthèse du CNS, la zone de Mananjary est aussi caractérisée par un niveau de vulnérabilité élevé (pauvreté et malnutrition chronique combiné). En outre, les manques d’infrastructure, d’approvisionnement en ea u potable ne font qu’aggraver la situation d’insécurité alimentaire et la manifestation des maladies diarrhéiques.
Du côté institution financière et crédit rural, trois banques primaires sont présentes à Mananjary : BTM/BOA, BFV-SG et dernièrement installé BNI-CA ; TIAVO est la seule institution de micro-finance qui y existe.
D’après la monographie, les contraintes de la région sont nombreuses ne citant que l’inexistence de financement du monde rural, les passages cycloniques, l’insécurité sociale.
L’économie de la région repose essentiellement surl’agriculture et l’élevage.
Compte tenu de son milieu naturel, quatre types de culture sont généralement pratiqués : cultures vivrières dominées par la culture de riz te de manioc, cultures de rentes en particulier le café, cultures industrielles, cultures fruitières.

Les projets de la lutte contre l’insécurité alimentaire dans le Diocèse de Mananjary

Les projets de lutte contre l’insécurité alimentair réalisés dans le diocèse de Mananjary par BDEM sont repartis dans les trois composantes de l’unité Sécurité Alimentaire. Chaque composante adopte une approche, et chaque approche possède ses activités pour l’atteinte de l’objectif. Premièrement, la composante santé-nutrition a commeapproche la Déviance Positive ; celle-ci identifie un modèle parmi toute la communauté pour ensuite partager sa recette entre eux. Puis, pour le volet agriculture-production il a été élaboré l’approche Farmer Field School ; c’est une approche participative qui transmet les techniques modernes de culture. La dernière qu’est la composante agriculture-marketing, elle a mis en œuvre l’Approche Territoriale qui est composée de la formation en marketing, faire une étude de marché ; formation en technique de stockage de vivres ; en comptabilité simplifiée et le projet MIHARY MAHARITRA (MM) débuté en Octobre 2007 qui est un projet élaboré dans le but de l’amélioration de la stabilité des revenus des paysans. Le MM est un développement d’aide financière ou un développement de services inanciersf.
En effet, la malnutrition, la sous-alimentation ne sont que la manifestation d’une réalité économique et sociale basée sur le usso-développement et la pauvreté.Ces trois composantes du projet de lutte contre l’insécurité alimentaire ont été présentées dans la section 3 du chapitre I. Maintenant, nous allons voir les évolutions des communautés cibles après les actions de CRS et BDEM dans la section suivante.

Les états des actions de BDEM

Des efforts méritoires ont été effectués dans larmationfo et la sensibilisation des groupes cibles par le biais des méthodes participatives à l’étude de marché et à l’identification des opportunités de marché. Les enquêtes ont permis d’évaluer les résultats de ces efforts comme succès, certains problèmes ont été résolus du fait de l’adoption des approches de CRS/Mg. Comme l’Approche Territoriale, son processus constitue plusieurs opportunités pour le développement du monde rural :opportunité d’échange d’information entre les intervenants, opportunité d’améliorationde revenus pour les paysans, processus dynamique de l’évolution des opportunités de marché, opportunité de redynamisation de groupements à vocation agricole. Ces opportunités sont devenues réalité. Ci-dessous les indicateurs d’impacts de l’Approche Territoriale en Marketing : Des augmentations de revenu ont été principalementremarquées : Le cas des groupements JINJASOA dans la communautéde Manakana I Tsiatosika et TSARA SAHA d’Ankazotokana Antsenavolo qui ont reçu la formation il y a deux à trois années passées. Ils ont affirmé la réussite de l’adoption de Marketing par le fait qu’ils peuvent subvenir à leurs besoins actuellement si av ant ce n’était pas le cas. De plus, ils deviennent des vitrines de leur communauté par leurbrillance en matière de culture, de vie quotidienne.
On a obtenu comme information de leur part durant l’enquête que leur revenu s’est accru de 30%.

Les modalités et les conditions d’adhésion

A première vue, les institutions financières ne sont pas suffisamment impliquées dans l’Approche Territoriale alors que les groupes cibles sont mal informés sur l’outil « crédit » qui constitue l’un des moyens de concrétisation de leurs projets d’entreprises agricoles.
De plus, les conditions émises par les IMFs ne sont pas à la portée du niveau de vie des paysans que l’organisme CRS subvient, tels que :
· Les IMFs étudient cas par cas selon canevas  standard  le  dossier du groupement  ou du paysan.
· Au moins 1 mois d’adhésion.
· Le délai de traitement de dossier pour un décaissement de crédit prendra entre 15 jours à un mois selon la nature du prêt.
· Condition d’octroi de crédit :
La possession d’une Garantie solidaire, de fonds de garantie est des premières conditions que doit remplir l’emprunteur.
· Modes de remboursements.
Mensuellement le crédit à court terme devrait êtreremboursé avec ses intérêts Celui du crédit à long terme peut être remboursé,elons l’institution financière, tous les six mois ou par an.
· En cas de non recouvrement de crédit.
Selon le nombre de jours de retard, il y aura une pénalité à payer en surplus du montant du crédit/ de la mensualité ou annuité.
Dans un cas grave, il y aura un recours par voie judiciaire.
Malgré ces conditions citées ci-dessus, certaines ’entred d’elles varient selon les modes utilisés de chaque institution financière. Certes, ces conditions sont imposées mais il est important de préciser que le manque de moyens financiers joue un rôle prépondérant dans le problème de l’insécurité alimentaire.

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Table des matières

PARTIE I – PRESENTATION GENERALE DE L’ORGANISME
CHAPITRE I – Identification et organisation de CRS /MG
Section 1 – Identification de l’organisme
Section 2 – Structure organisationnelle
Section 3 – L’Unité « Food Security »
CHAPITRE II – Situation de l’insécurité alimentaire et actions de BDEM
Section 1 – Insécurité alimentaire dans le Diocèse de Mananjary
Section 2 – Rôles des partenaires : cas du BDEM
CHAPITRE III – Introduction de la CECI
Section 1 – Bref rappel de l’Approche territoriale
Section 2 – Introduction de l’Approche CECI
PARTIE II – ETUDE DU SYSTEME CECI
CHAPITRE IV – Description de la méthodologie de la CECI
Section 1. Les principes de la CECI et but de la CECI
Section 2. La description de la méthodologie du système
CHAPITRE V – Les phases d’implantation du CECI et rôle de l’Agent de Terrain
Section 1 – La phase préparatoire
Section 2 – La phase de formation
Section 3 – La phase de supervision
Section 4 – Le rôle de l’Agent de Terrain
CHAPITRE VI – Identification des points caractéristiques de la CECI
Section 1 – Les règlements intérieurs (RI)
Section 2 – Les engagements des membres
Section 3 – Les avantages et les limites de la CECI
PARTIE III – ANALYSE CONTEXTUELLE DE LA MISE EN PLACE DE LA CECI ET PROPOSITION DE SOLUTIONS
CHAPITRE VII – Identification des problèmes pour l’implantation du système
Section 1 – Les problèmes relatifs à la constitution de l’épargne
Section 2 – Les problèmes relatifs au fonds de prêt
Section 3 – Barrière sociale
Section 4 – Problème de sécurité de fonds
CHAPITRE VIII – Solutions proposées et recommandations
Section 1 – Solutions proposées
Section 2 – Recommandations
CHAPITRE IX – Impacts de l’implantation de la CECI
Section 1 – Impacts économiques
Section 2 – Impacts sociales
Section 3 – Impacts sur l’environnement
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES

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